vendredi 10 janvier 2020

Quand le Parisien devient très politiquement correct.



Le 08 janvier 2020 monsieur Sébastien Roselé admirable journaliste du merveilleux quotidien le Parisien et ancien de BFMTV (ce doit être là qu’il a fait ses classes de propagandiste d’état) réussi une performance unique et digne des heures les plus glorieuses de la bonne propagande d’état de Corée du Nord (Il semble bien être sous traitement de deux cachets de 100mg/ jour de Padamalgam, d’un cachet de 500mg/ jour de Cépalislam, et d’une cuillère de sirop antidéséquilibre).


Je vais vous commenter ce magnifique article, n’étant pas sous traitement, d’abord le titre,
Meaux : un homme fiché S séquestre deux femmes de la protection judiciaire de la jeunesse. (Assez classique, on sait sans qu’on nous le précise qu’un «homme» fiché S ne peut être qu’un mahométan forcément radicalisé (Oh comme ils disent) mais qu’il est de bon ton de fermer sa gueule si on veut faire carrière dans le «journalisme» marxiste culturel ou politiquement correct comme expliqué ici.)
Passons à l’article,
Lundi, un homme de 19 ans muni d’un couteau s’est enfermé avec deux fonctionnaires dans les locaux de la PJJ. Il a été mis en examen et placé en détention provisoire ce mercredi après-midi. (Bien tout cela mérite explication ; là ce n’est plus un «homme» mais un mineur, dont on sait qu’il ne peut être que mahométiste extrémiste qui a séquestré sous la menace deux personnes dans les locaux de la protection Judiciaire de la Jeunesse).
Continuons donc sans peur des redites (faut bien meubler),
Un homme de 19 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire ce mercredi après-midi pour séquestration, menaces de mort et refus de prélèvements génétiques. Il est soupçonné d'avoir séquestré deux fonctionnaires de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) ce lundi vers 15 heures. (Je ne sais pas vous, mais ce soupçonné me sonne drôlement aux oreilles)
Révélée par R-T-L (qui précise dans son article que l’«homme» est suivi médicalement pour des troubles psychiatriques, monsieur Roselé grâce à sa cuillère de sirop antidéséquilibre du bon docteur Mohamed Ben Couscous n’en fera lui, pas part) l'agression a été commise dans les locaux de la PJJ, situés au 30, rue Aristide-Briand (Là on est content, ça c’est de l’info !). L' «homme», considéré comme islamiste radicalisé par les services de l'Etat, est fiché S (Islamiste radicalisé, comment le reconnaître ? BFMTV semble en connaître un bout sur la question; cliquez ici. En savoir plus, c'est ici. Mais bon ne chipotons pas notre Rat dit Calisé n’est pas pour le Parisien un fada).
Et on continue,
Ce lundi, le jeune homme a d'abord retenu une première fonctionnaire, une psychologue. Lui qui était pourtant entré dans les locaux sans arme a sorti un couteau (C’est un djihadiste prestidigitateur, les pires ! A mon avis  ils ne l´avait pas fouillé pour ne pas le stigmatiser le pauvre «jeune»). La psychologue a réussi à prendre la fuite et s'est rendue chez sa cheffe de service pour l'avertir (Alors là, la cheffe, c’est le genre de truc qui me hérisse. Je signale de nouveau que l’académie Française conformément à sa mission, défendant l'esprit de la langue Française et les règles qui président à l'enrichissement du vocabulaire, rejette un esprit de système qui tend à imposer, des formes telles que, professeure, recteure, cheffe, auteure, ingénieure, pipeuse (à Saint Claude), procureure, etc., pour ne rien dire de chercheure, qui sont contraires aux règles ordinaires de dérivation et constituent de véritables barbarismes). Celle-ci a invité l'agresseur à venir lui parler dans son bureau dans le but de le ramener à la raison. Le jeune homme (enfin) est entré dans la pièce, toujours armé de sa lame, a refermé la porte et a séquestré la victime. Alertée, la police est intervenue pour la libérer et arrêter le forcené. Lequel a proféré des menaces de morts envers les agents.
Le mis en cause a été placé en garde à vue et interrogé par les enquêteurs du commissariat de Meaux. Le parquet du tribunal de Meaux a décidé d'ouvrir une information judiciaire pour séquestration et menaces de mort.
Le débat devant le juge des libertés et de la détention pour décider s'il serait placé en détention ou non se tiendra la semaine prochaine car les avocats étaient en grève ce mercredi. En attendant, le suspect a été incarcéré. Le parquet n'a pas souhaité communiquer la date de cette audience et a indiqué qu'il demanderait le huis clos (Vous n’en saurez jamais plus sur ce bon jeune homme de la diversité culturelle représentant la religion d’amour et de tolérance, qui fait apparaitre des couteaux face à deux femelles autochtones au comportement fasciste).
Toujours selon le parquet, l'homme «était connu des services de la justice» et «avait déjà été condamné par la justice pour des menaces et des violences».
Selon nos informations, l'homme était suivi par la PJJ par décision d'une juge des enfants. Il devait se soumettre à plusieurs mesures éducatives qui précédaient des jugements qui n'avaient pas encore été rendus.

Michel Alain Labet de Bornay

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