dimanche 17 mai 2009

Allez; encore un beau mythe à la poubelle de l’histoire


In introïbus, ,une bonne vidéo sur les « idées »des communistes actuels avec un camarade qui ce fait mettre le nez dedans comme les petits chats ( et encore ; j’ ai jamais vu de chats socialistes, c’est intelligent un chat !) .

Si on regarde cette magnifique vidéo avec attention c’est comme dans Cavanna à Charlie Hebdo 1969-1981 : Je l'ai pas lu, je l'ai pas vu... mais j'en ai entendu causer et j’ai ce « jeune » camarade c’est « J’ l’ai pas lu, je le vois pourtant c’est un échec, je suis communiste enfin j’en ai entendu causer, hein soyons sérieux je suis illettré, sinon je ne serait pas communiste au 21eme siècle » Pauvre jeune homme lobotomisé pas la pensée marxiste culturelle au QI d’ une moule, il reste ce petit crétin toujours, mais alors toujours aussi con, vulgaire, incompétent et consternant de débilité, empêtré dans ces paradoxes et ces contradictions ! Chez ces gens là monsieur, on ne pense pas avec sa tête, mais avec son cul. Les bolchos socialos et autres cocos, ou t’est d’accord avec leurs « idées » ‘qu’ils se gardent bien de vous exprimer « idées » incohérentes de merde ou tu ferme ta gueule, t’as le droit d’être d’accord c’est tout ! De toute façon si t’est pas d’accord, t’est un Nazi (Appliquer le socialisme sur des rats, pourquoi pas sur des hommes pendant qu’on y est). Voilà ça clos le débat. Quand je vous le disais.

Allez aujourd’hui déboulonnons de nouveau un mythe.

Marcel Paul :

Ce pestilentiel communiste est né le 12 juillet 1900 à Paris et est enfin mort le 11 novembre 1982 à l'Ile Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) il est allé directement en enfer.
Immonde militant syndical communiste dès 1922, Marcel Paul sera Secrétaire général de la fédération de l'éclairage de la CGTU de 1931 à 1935, puis de la fédération CGT de 1937 à 1966. Il avait adhéré au parti communiste en 1923, était devenu proche du traître et criminel contre l’humanité Maurice Thorez qu'il admirait profondément. En 1934, il est élu, avec Léon Mauvais (le bien nommé) conseiller municipal communiste dans le 14e arrondissement de Paris. Il démissionnera en 1937 lorsqu'il sera élu secrétaire général de la fédération CGT de l'éclairage.

Mobilisé en 1939, il est fait prisonnier au moment de la débâcle, parvient à s'évader et à regagner Paris, mais comme il ne trouve pas le contact avec le parti communiste, il part en Bretagne à vélo où il renoue avec le parti et notamment avec Auguste Havez, responsable régional de la Bretagne. Il partage plus ou moins les responsabilités d'interrégional de Bretagne avec Havez jusqu'en novembre 40, dans une période où Havez avait des positions un peut plus anti-allemandes que celles de Duclos et Tréand à Paris mais néanmoins nettement collaborationnistes. En novembre 40, il rejoint la région parisienne où il s'occupe à la fois de l'organisation d'une "organisation spéciale" (OS) et de renouer avec ses relations syndicales.
Après juin 41, lorsque le torchon brûle entre socialistes, à la rupture des accords des Socialistes Nationaux du chancelier démocratiquement élu Monsieur H. Hitler d’avec les Socialistes Internationaux du dictateur camarade assassin et criminel contre l’humanité Staline, il se serait prétendument investit avec ses groupes terroristes de l' O S dans l'action anti-allemande.


Il est arrêté le 13 novembre 1941 (après seulement 4 mois de prétendue « résistance à l’occupant » par la Brigade Spéciale et conduit au commissariat de Saint-Denis. Interné à la centrale de Fontevraud en février 1943, il est ensuite transféré à Blois. Livré aux Allemands avec une partie des détenus, il est dirigé sur Compiègne, puis déporté à Buchenwald (14 avril 44). C'est là qu'il devient le principal responsable du "comité des intérêts français" présidé par le colonel Manhès.

Ce "comité des intérêts français" parvient à épargner une fin tragique aux autres membres et certains sympathisants du Parti Communiste. En effet, systématiquement, Paul choisit pour les « commandos » d'où l'on ne revenait pas les « ennemis de classe », tandis qu'il se chargeait de placer ses camarades dans les postes (cuisine, infirmerie, etc.) où l'on pouvait survivre. C'est pour cette raison que la Commission nationale lui refusa la carte de déporté résistant, en précisant qu'il s'était conduit en détention d'une manière « contraire à l'esprit de la Résistance ».

L'un des plus connus est l’idiot utile juif Marcel Bloch, alias Marcel Dassault, un grand capitaliste abrutile qui manifestera par la suite sa gratitude en versant chaque année une énorme somme d'argent à la fédération des déportés F N D I R P. A noter qu'il a souvent prétendu comme tout bon communiste menteur veule et lâche avoir été le leader d'une prétendue "insurrection" du camp. Faute de preuves, d'une part de l'existence même de cette insurrection, d'autre part de son rôle supposé, on ne lui reconnut jamais ce rôle.

À la Libération bien qu'il ce soit conduit en détention à Buchenwald d'une manière « contraire à l'esprit de la Résistance ». il est nommé ministre de la production industrielle dans le Gouvernement provisoire de la République française : du 26 janvier au 24 juin 1946 dans le gouvernement Félix Gouin et du 24 juin au 16 décembre 1946 dans le gouvernement Georges Bidault . Il fait voter la loi inique de nationalisation de l'électricité et du gaz le 8 avril 1946 créant Électricité de France et Gaz de France, bastion communiste et vache à lait des membres de la nomenklatura du parti.










Ne manquant pas de culot, comme tous les marxistes, Il fonde avec le colonel Manhès la Fédération nationale des déportés et internés résistants et patriotes en octobre 1945.
Il est député communiste de la Haute-Vienne à la Deuxième Assemblée Nationale constituante, puis à l'Assemblée nationale de 1945 à 1948, année où il démissionne.
Il siège au Comité central du Parti communiste français de 1945 à 1964.
La grande salle de la Bourse du travail de Saint-Denis dans le neuf trois, porte son nom.

Bornay

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