dimanche 11 septembre 2011

La clique « socialiste » veut « bâtir l’égalité réelle ». -mouarff !



On n’augmente pas la richesse en la divisant : on ne créera pas de croissance en taxant plus.
 
Karl Marx :
Le Livre du salaire (1847)
Discours sur la question du libre-échange (1848)
Travail salarié et capital (1849)
Les Luttes de classes en France (1850)
Critique de l’économie politique (1859)
Principes d’une critique de l’économie politique (1857-1858, posthume)
Matériaux pour l'économie (1861)
Théories de la plus-value (1862)
Critique de l'économie politique (1864)
Salaire, prix et profit (1865)
Le Capital, tome I (1867)
 
Le Parti Socialiste (*) a le compteur bloqué sur 1867. Pathétique.
 
Petite leçon d’économie pour les nuls… heu… pour les socialistes. Par le Dr. Adrian Rogers, 1931- Professeur d’économie (1) :
 
Un professeur d'économie annonce fièrement qu'il n'a jamais vu un seul de ses élèves échouer, à l'exception d'une classe entière, qui était convaincue que le socialisme fonctionnerait parfaitement si personne n’était ni pauvre ni riche.
 
Le professeur leur dit : « OK, nous allons mener une expérience, basée sur le socialisme. 
 
A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes, et chacun recevra cette note. Comme ça, personne ne ratera son contrôle, et personne n’aura 20/20 : il n’y aura ni riches, ni pauvres »
 
Après le 1er contrôle, le prof. fit la moyenne et tout le monde obtint 13/20.
 
Les élèves qui avaient travaillé dur étaient énervés, et ceux qui n'avaient pas travaillé étaient ravis.
 
Au second contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins, tandis que ceux qui avaient travaillé dur décidèrent cette fois de lever le pied et travaillèrent moins. 
 
La moyenne du contrôle fut 9/20, donc tout le monde eut 9/20. Personne n'était content.
 
Au 3 ème contrôle, la moyenne tomba à 5/20. 
 
Les notes ne remontèrent jamais.
 
Tout le monde s’accusait de tous les maux, s'injuriait et se traitait de noms d'oiseaux, l’atmosphère devint épouvantable, et plus personne ne voulu faire le moindre effort pour les autres.
 
A leur grande surprise, ils ratèrent tous leur examen de fin d’année. 
 
Le professeur leur expliqua alors que le socialisme aussi, finit toujours en échec, car si la récompense est grande, l’être humain fait des efforts pour l’atteindre, mais si le gouvernement confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n'essaie de réussir. Les choses sont aussi simples que çà.
 
****
 
Première morale de cette histoire : « on ne peut pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche »
 
Seconde morale de l’histoire : « Tout ce qu'un individu reçoit sans faire assez pour l'obtenir, un autre a dû travailler pour le produire, sans en tirer lui-même le bénéfice »
 
Troisième morale de l’histoire : « le gouvernement ne peut distribuer aux uns QUE ce qu'il a préalablement confisqué aux autres »
 
Quatrième morale de l’histoire : « Quand une partie du peuple croit qu'il ne sert à rien de faire trop d’efforts, car elle pense que l’autre partie les fera pour elle, et quand ces derniers se disent que ça ne sert à rien de faire trop d’efforts car ils bénéficieront à d'autres, cela s'appelle le déclin et la fin d'une nation. Car on n'accroît pas les biens en les divisant. »
 
 
Je conclu, en reprenant Carolyn Hileman, l’auteur de l’article : « celui qui n’est pas foutu de comprendre ça, j’ai du mal à imaginer comment il peut diriger un pays ».
 
Reproduction autorisée par :

© Jean-Patrick Grumberg pour www.Drzz.fr


(*) Note de Michel Alain Labet de Bornay : Monsieur Grimberg est fort aimable en écrivant les « Socialistes » ! Hors si les théories et « idées » de monsieur Marx sont bien obsolètes elles portent un nouveau nom ce sont des idées Marxistes culturelles ou Maxcul pour simplifier  Marxisme culturel quesaco ? Toutes les réponses sont là. Cliquez ça mord pas !

3 commentaires:

  1. En effet nos brillants socialistes nouveaux maxculs si prompts à toujours critiquer se vautrent dans une médiocrité qui traduit bien leur désarroi, et n'ont de ressource que de critiquer Sarkozy ou les initiatives gouvernementales.. Ne sont ils plus les novateurs, les réformateurs ou comme autrefois les fameux progressistes? En tout cas ce n'est pas leur programme désuet et plein de poncifs éculés, ni leurs leader usés qui ont déjà amplement montré leur incapacité à gouverner qui pourront convertir grand monde à leur idéologie dépassée.... La boucherie qui se prépare pour leurs primaires va bientôt commencer, nous en rions déjà, à la promesse de beaux moments épiques !

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  2. Les socialistes ont progressivement glissé vers le caniveau de la facilité et de la démagogie. C'est regrettable pour la France et les Français, mais c'est indubitable.
    Esprits sales et veules, ils utilisent la calomnie et l'injure, car il leur est plus facile de haïr que de construire.

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  3. Pourquoi ils n'ont plus d'idées....? Mais ils n'en n'ont jamais eu, à part la critique systématique qui est leur fond de commerce !! 2012 approche, et la surenchère dans leurs rangs au niveau des promesses électorales ne cesse de s'amplifier (sans dire d'ailleurs par quels moyens techniques ils pourront tenir ces promesses).

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