dimanche 20 mai 2012

C'est l'histoire d'un mec...

C'est l'histoire d'un mec...


C'est à voir ! A lire, surtout que c'est sur la Rue 89 pourrie que j'ai dégotté ça !

Toutefois attention aux poncifs !

Ces "jeunes" y sont rigolos!

Décidément je me demande si la Rue89 de merde et gauchiste comme pas deux ne retourne pas sa veste; verra t on bientôt Nolwenn Le Blevennec voter Marine Le Pen ? Au fait qui a dit quand on aime « Marine » on a toujours 20 ans ?


20 ans profite bien, moi à seize ans engagé volontaire dans la marine (Déjà!) j’attendais en gardant un dépôt de munitions en Mai 68, les rouges des chantiers navals de la Seyne, le MAS 49/56 avec grenades et munitions ; dommage ils sont pas venus ! Pas de couilles les cocos ! Mais ce n’était que partie remise, j’ai « cassé » du rebelle plus tard en 71 dans le Tibesti.

Mais horreur malheur, à 21 ans je me vit contraint pour un court instant de rejoindre la CGT, l’immonde syndicat rouge ! Oui moi, élevé par les anciens de l’Indo et d’Algérie avec un père industriel et un grand père héros de la deuxième guerre mondiale ! Adhérent de la CGT ? C’est chose vile et malsaine, pire que l’adhésion aux jeunesses Hitlérienne comme Benoît Ixe Vé trois bâtons.

Mais les vicissitudes d’un inscrit maritime sur les bâtiments battants pavillon Français (Eh oui ; à cette époque nous avions une grande marine marchande, mais les cocos de la CGT l’ont coulée). Cégétiste moi ? Un baptisé au sein de notre sainte mère l’église catholique ? Que nenni mon général, je m’en étais confessé auprès d’un homme de Dieu qui me condamna à demander pardon à Dieu et à réciter quelques patenôtres et autres avés j’étais sauvé ouf !

Ceci étant dit je suis devenu libertarien : "Clique ici mon petit"

Effectivement, je suis moi aussi un électeur FN, mais j’aime bien le rock, je ne suis pas riche, ( Retraite de 700 Euros par mois) j’aime bien le ragea et Eminem, j’ai vu plein d’arabes et « d’hommes de couleur » dans ma vie que j’ai dirigé et en ai même flingué quelques un, je n’ai pas de télé et aime bien tout le monde du moment qu’ils restent chez eux !

Comme toi,j’ai habité un HLM, comme toi j’ai débuté dans la vie avec rien etc etc…



Mais moi raciste ? Oui ! Bien sur !

Dernièrement, plusieurs personnes, soit en laissant des commentaires, soit en m’envoyant directement un mail sur mon blog pour m’informer de la « vérité » attention hein ; LA Vérité vraie, vérité avec un V majuscule, comme celle que découvraient régulièrement les agents du NKVD dans l’empire soviétique, aujourd’hui membres communistes de la C.G.T. ou militants du MRAP, du NPA, du P.I.R. du P.S. et du PCF et qui permettaient d’envoyer les coupables pour quelques années effectuer un stage « nature et découverte » au fin fond de la Sibérie. Aujourd’hui heureusement remplacé par les stages de rééducation citoyen ou les procès aux patriotes.
 
Ces chantres de la bonne pensée Ailedeshachieuse, Mrapistofurieuse ou licraseuse, ces prophètes de l’humour marxiste de bon goût, ces séparateurs du bon grain et de l’ivraie ont eu cette révélation quasi divine : je suis raciste (voir fasciste, voir coupable « d’incitation à la haine raciale » et surtout, surtout, horresco referens ; potentiellement coupable d’injures et de diffamation envers des sectateurs d’un vieux chamelier barbu !). Pourtant dans mes articles je reste courtois en parlant de l’Islam et de son merveilleux pro fêtes, mais bon j’m’en va vous dire ; je pense  en fait au beau pro fête comme à un vieux pédé de bédouin enculeur ce chèvre, barbu, pédophile, criminel, assassin et illettré ! Alors bon effectivement : Oui, messieurs dames, je suis raciste et sioniste. Ce n’est pas venu comme ça, d’un coup. Oh non, au début, je n’étais pas raciste et sioniste, mais comme je vois comment les antiracistes traitent la France et les sionistes. Au départ, j’étais même plutôt tolérant, me disant qu’après tout, il n’y avait aucune raison d’exclure des gens de notre beau pays uniquement parce qu’ils n’étaient pas nés au bon endroit et qu’ils étaient antisémites. Mais j’ai rapidement dû me rendre à l’évidence : non seulement la France ne peut pas accueillir toute la misère du monde, mais en plus, elle a trop reçu d’enculés d’antisémites communistes ou Islamistes, qu’il faut renvoyer en Suède (excuse mi :en Norvège) et pour certains à grands coups de pied dans le cul en étant gentil. Prenez les « Hommes de couleur » par exemple. Ils seraient certainement plus heureux chez eux, sur leur continent  ou règne la paix, l’amour, la justice, les droits de l’homme et la tolérance, où ils passent leur temps à paresser et à discuter à l’ombre de grands arbres, en écoutant les griots leur parler des coutumes. Au lieu de ça, ils préfèrent ces cons venir faire éboueur ou trafiquant de drogue en France. Non, franchement, ils seraient bien plus heureux chez eux.


Et les « jeunes »? Je pensais au « pépites de la nation » aux « chances pour la France » ou CPF. Ceux qui ne pensent qu’à faire du rap, cette belle musique très légèrement agressive certes mais tellement enrichissante culturellement ! Plutôt que de chercher à s’intégrer comme leurs parents et toucher les allocs, ces pseudos français ne chercheraient qu’à faire régner le désordre et la révolte allant jusqu'à assassiner des enfants juifs aux dires de mauvaises langues (Des fachos du FN sûrement !), alors qu’ils devraient être content de vivre dans un pays qui donne à chacun une aide sociale et de la bonne beue, de la coke, des kalachnikov ou des putes s’il en a besoin. Mais voyez-vous, tout ça, en France, il serait interdit de le dire. En fait, dire de quelqu’un qu’il n’est pas blanc, c’est prêter le flanc à la critique antiraciste. Puisque l’antiraciste, son exemplaire de Libération ou de l’ Huma sous le bras, ne tolère pas qu’on dise de quelqu’un qu’il est (biiiip…. Noir, jaune ou rouge), c’est insoutenable pour lui. Un peu à la manière dont le tartuffe de Molière déclarait : « couvrez ce sein que je ne saurais voir », l’antiraciste bien pensant déclame « couvrez cette couleur de peau que je ne saurais voir ». Donc oui, encore une fois, je l’avoue, vaincu par vos arguments irréfutables : Je suis raciste et je vote FN (Ben oui, parce que le raciste n’est rien s’il ne vote pas FN).


Pour conclure, je voudrais aussi ajouter que c’est moi qui ai composé la célèbre chanson du groupe Sioniste «  Israël en Force »: « Maurice ( Le prénom a été changé, en vrai c’est Mohamed ) mouche à merde » (dont le refrain est, pour mémoire : « Maurice mouche à merde, nous ne voulons pas de toi, Maurice mouche à merde, on va te ramener chez toi en Jordanie »). J’ai également composé des textes pour Rasez Gaza, Butter le Hamas ( Jusque dans les chiottes) et le Hezbollah Caca (je crois n’en oublier aucun). Ami gauchiste et raciste si tu lis ce dernier paragraphe, pas besoin de m’envoyer un mail injurieux me disant que je ne suis pas l’auteur des paroles de la chanson en question et des textes référencés: je le sais, ce n’était qu’une forme d’humour (oui, je sais, on ne rigole pas avec ça, mais je n’ai pas pu m’empêcher). L’humour, ce que les militants bien pensants (Du MRAP, de la LDH ; j’en passe et des meilleurs ou règne le politiquement correct qui est devenu l'instrument d'un terrorisme intellectuel qui n'a rien à envier aux pires idéologies socialistes nationales ou internationales du siècle passé, mais qui, par sa saveur doucereuse, pourrait nous conduire à l'abîme sans presque que l'on s'en aperçoive) sont persuadés d’être les seuls à détenir. Et tu sais, quand je vois que les antiracistes sont ces mecs qui m’envoient des mails (ignoblement anti blancs et antisémites pleins d’injures grossières), des fois, j’ai vraiment envie d’écouter Légion 88. Alors attendez moi, gardez moi une place au sein du beau mouvement RAC (Rock Anti Communistes), j’arrive bientôt.

 Michel Alain Labet de Bornay.

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1 commentaire:

  1. C’est l’histoire d’un autre mec
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    C’est l’histoire d’un autre mec. Qui a pas vingt ans mais plus de soixante. Qui se sent tout prés du jeune mec. C’est son frangin.

    Le vieux mec, il se désespère. Il ne reconnait plus son pays. Le vieux mec, il avait été élevé chez les curés qui avaient fait de lui un vrai athée mais un bon étudiant. Pendant ses études, tous ses copains étaient gauchistes et lui pensait comme eux, ça lui paraissait comme une vérité d’évidence.

    Puis le vieux mec a gagné en âge Il a toujours bien voté, bossé, élevé ses enfants. Il était un peu déçu de voir ses copains gauchistes devenir psychanalystes ou fonctionnaires et s’embourgeoiser plus que lui. A tel point qu’il ne les a plus revus.

    Le vieux mec, il avait beaucoup, vraiment beaucoup lu et il avait appris l’histoire. Surtout celle de son pays.

    Son pays, il l’aimait. C’était venu comme cela, tout seul.

    Son pays, c’était Chateaubriand et le sandwich jambon beurre, Balzac et Édith Piaf, les poilus de 14/18 et les forêts et les montagnes, Saint Louis et San Antonio, Gainsbourg et la tour Eiffel, le défilé du 14 juillet et Noël, les fêtes de village et Évariste Galois.

    Puis un jour en 2010, le vieux est devenu un déviant d’extrême droite, il a fait l’impensable, il a voté Front National.

    Le vieux n’était pas devenu gâteux ou subitement nazi. Il s’est même sérieusement demandé ce que son père, résistant et engagé dans la 2ème DB en aurait pensé. Et il en a conclu que son père n’avait pas risqué sa peau pour la France d’aujourd’hui.

    Celle de l’analphabétisme au collège et de l’inculture des plateaux de télé. Celle la médiocrité des dirigeants prés à détruire deux mille ans de civilisation par conformisme ou intérêt électoral. Celle de la repentance et des bons sentiments. Celle des communautarismes. Celle de la répression soft, de tout, du tabac, des putes, des mal-pensants. Celle qu’ils diluent dans une Europe désossée.

    Mais le vieux, il a, au dire d’un expert qui a défini l’électeur type du Front National, un profil de caissière de supermarché au chômage.

    Pauvre con d’expert. Si le Front National arrivait au pouvoir, il serait des premiers courtisans serviles à courber l’échine dans le sens du vent.

    Voilà. Le vieux quand il a lu le texte du jeune mec, il a repris un peu d’espoir. Et il voulait le lui dire.

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