jeudi 18 juillet 2013

Détrousseurs de cadavres et agresseurs de policiers.


5 commentaires:

  1. Les charognards de Brétigny sont les électeurs de Hollande et sa clique
    Le tragique accident de Brétigny-sur-Orge voit une nouvelle fois, l’unisson, le gouvernement et les journaleux, de concert, mentir grossièrement aux Français, et une partie de la presse internet jouer son rôle dans la réinformation.
    Ils ont d’abord voulu nier la réalité décrite par Nathalie Michel, du syndicat de police Alliance, évoquant un groupe de jeunes (probablement d’origine scandinave) dépouiller les cadavres et les blessés, les lestant notamment de leurs téléphones portables, avant de jeter des pierres aux policiers et aux pompiers qui les chassaient, révoltés par une telle barbarie.
    Ils ne veulent pas davantage entendre parler d’un possible sabotage, alors que le syndicaliste de la CFDT, Fabian Tosolini, évoque cette piste. Ce refus d’envisager cette hypothèse évoque obligatoirement l’affaire AZF, où, dix jours après les attentats du 11 septembre 2001, les duettistes Jospin-Chirac avaient donné des consignes pour que cette possibilité soit immédiatement classée, comme le rappelle le journaliste Marc Mennessier dans son livre « AZF un silence d’Etat ».
    Sans le poids des sites internet que la collabosphère appelle la fachosphère, les Français ne sauraient rien des ces faits qui révoltent le commun des mortels.
    La suite ici : http://ripostelaique.com/les-charognards-de-bretigny-sont-les-electeurs-de-hollande-et-sa-clique.html


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  2. Dupont-Aignan @dupontaignan

    Brétigny. Un mensonge de plus sur les violences des nouveaux barbares. Je sais de source sure que les victimes ont été dépouillées !

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  3. « Il y avait des gens qui étaient en train de perdre leurs bras ou leur jambe, et d’autres sont venus voler leur montre ou leur portable ! »
    Christophe Crépin (Unsa-police)
    Le Figaro

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  4. Il essayait de glisser sa main dans le sac de ma femme

    - Francetv info : Où étiez-vous après l’accident ?
    - Jean-Robert Barroux : C’était environ deux heures après le drame [donc vers 19h30]. On a senti une tension monter lorsque les CRS sont venus pour élargir le périmètre de sécurité, après l’évacuation des grands blessés. Au total, dans le périmètre de sécurité, il devait y avoir deux cents personnes entre les voyageurs, les secours, les policiers et les journalistes.

    - Que s’est-il passé alors ?
    Pendant que j’étais en train d’accorder une interview, j’ai vu quelqu’un se coller à ma femme. Au début, je croyais qu’il voulait entendre ce que je disais. Mais j’ai vu que cet adolescent, qui doit avoir entre 15 et 18 ans, essayait de glisser sa main dans le sac de mon épouse. C’était très discret, comme un pickpocket. Aussitôt, j’ai mis fin à l’interview, je suis allé vers lui en lui lançant « Qu’est-ce que tu fais ? » Alors il est parti, s’est fondu dans la foule.

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  5. Dans un reportage de RMC, un pompier qui était sur place confirme les jets de pierres et des insultes racistes par des voyous.

    « Moi j’ai pas arrêté de me faire insulter dans tous les sens : fils de pute, sale Blanc… J’ai pris « sale Blanc » plusieurs fois, ça fait pas plaisir. »

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