samedi 13 juillet 2013

Les racailles des banlieues ? Des détrousseurs de cadavres ! PS complice !






Un certain Monsieur Frédéric Cuvillier occupe les fonctions de ministre socialiste des Transports. Es qualités il a été amené à réagir aux scènes révoltantes qui se sont déroulées au milieu des cadavres, des blessés, et des wagons disloqués. Chacun de ses mots mérite d’être cité. Des pompiers ont été caillassés. Dans la bouche de M. Cuvillier ça donne : « l’accueil des pompiers a été un peu rude » ! « Un peu rude » ? « Rude » selon la préciosité langagière de ce ministre socialiste de la République cela voudrait sans doute dire que des pompiers auraient été blessés… Et « très rude », que des soldats du feu auraient été tués... Rien de tel et on comprend le « ouf » particulièrement écœurant de M. Cuvillier. D’après ce dernier il n’y a pas eu, à sa connaissance, de « pillage organisé ». Juste des comme d’habitude des  « cas isolés » et « un vol de portable ». Re « ouf ». Des hyènes et des chacals – c’est-à-dire une trentaine de « jeunes » – étaient à l’œuvre à Brétigny-sur-Orge. La force de l’habitude sans doute, et quand l’habitude est forte on ne va quand même pas s’arrêter à quelques cadavres et blessés. Mais M. Cuvillier, et d’autres, nous demandent de nous habituer à ces habitudes. Car, évidemment, il ne s’est rien passé de très grave à Brétigny-sur-Orge. Des cas isolés… En effet, comme chacun sait, il serait assez naturel, dans l’ordre des choses, qu’après une catastrophe, un incendie, une dramatique collision de voitures, des « jeunes » viennent se livrer à l’exercice de la dépouille… Mais qu’ont-ils donc dans les tripes sinon la haine ? Et qu’ont-ils donc dans la tête sinon le plus visqueux des appâts du gain ? Jérôme Guedj, député du coin, (socialiste mais d’une autre façon que M. Cuvillier) a, lui, trouvé les mots justes pour qualifier ces « jeunes » : « de sombres crétins inhumains ». Une partie de ce diagnostic pourrait fort bien s’appliquer à son collègue socialiste Cuvillier.
 

7 commentaires:

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  2. Des barbaresques!13 juillet 2013 à 11:24

    Ecoeurant... Imaginez votre femme, ou votre mari, ou vos enfants, ou vos parents, ou vos amis, incarcérés dans l'accident(?), baignant dans leur sang, se faisant détrousser par des barbares. Horrible. Ecoutez un soi-disant ministre socialiste cachant la vérité aux français. Ignoble. Ecoutez les médias radio et télé, quand diront-ils la vérité? Minables. Ecoutez un certain Désir, si prompt à hurler au loup quand un extrémiste de gauche se fait tuer en attaquant un extrémiste de droite. Comment, vous ne l'entendez pas cette fois? A vomir. Ecoutez un certain ministre de l'intérieur, celui qui dit "avoir mal à la France" à grands coups de menton pour défendre les gens du voyage, dénoncer ces actes de barbarie. Non? pas cette fois, trop occupé le nez baissé dans sa gamelle? Et tous ces humanistes de comptoir socialistes, si virulents et rapides à donner des leçons, où sont-ils? Ah oui, j'oubliais, ils sont en train de leur préparer le droit de vote quand ils ne sont pas français, car c'est très urgent. Le premier qui me parle de solidarité, je cogne.

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  3. Seront-ils condamnés par la justice? Je crains que non. Les juges collabos, ont peur de cette racaille, peur des représailles , des menaces à leur encontre s`ils font leur métier , alors ils libèrent. Un exemple, revoir les condamnations des sous merdes voyous du trocadéro: aucune (trop peur qu`on leur mette le feu à leur maison) s`ils s`avéraient trop sévère . Dans tout ça il y a beaucoup de lâcheté.

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  4. Témoignage d'un secouriste Un des élèves de mon épouse était présent parmi les secouristes et confirme la violence des agissements d'une bande ethnique blancophobe ayant caillassé les secours pour permettre à une partie des leurs de détrousser les morts et les blessés choqués. Une scène d'apocalypse témoignant de l'infinie barbarie de ce racaillistan. Pas besoin d'être de droite pour avoir la rage, décrocher son vieux fusil, essuyer ses lunettes et prendre le sentier de la guerre....

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  5. Quatre jeunes hommes ont été interpellés dimanche à Brétigny-sur-Orge, soupçonnés d'avoir participé vendredi, après le déraillement du train, à une bousculade lors de laquelle un urgentiste s'est fait dérober son téléphone portable.

    Que s'est-il passé exactement vendredi juste après le déraillement du train ? Peu de temps après, lors d'une bousculade, un médecin urgentiste a reçu un coup, son téléphone portable est tombé et a été dérobé, a précisé une source proche de l'enquête. Selon cette source, quatre hommes mis en cause ont été interpellés dimanche matin à Brétigny-sur-Orge, et placés en garde à vue au commissariat d'Arpajon (Essonne). Certains sont majeurs et d'autres mineurs, a précisé cette source.

    Dans cette affaire, un adolescent de 16 ans de Brétigny-sur-Orge, avait été interpellé dès vendredi soir près des lieux de l'accident. Il se trouvait toujours en garde à vue dimanche. L'incident a trouvé sa genèse quinze minutes après l'accident survenu à 17h14, quand des jeunes gens qui se trouvaient à la gare de Brétigny-sur-Orge se sont dirigés vers les quais. Un différend a éclaté entre un secouriste et plusieurs de ces jeunes car, selon une autre source proche de l'enquête, ils n'auraient pas obtenu qu'une jeune femme qui les accompagnait soit observée par le médecin. Selon une autre source, les premiers témoignages recueillis ne font pas état de volonté de pillage comme une rumeur en fait état, mais indiqueraient que les jeunes gens disaient vouloir porter secours aux victimes.

    Le syndicat de police Alliance a au contraire évoqué sur Europe 1 la présence d'un groupe de jeunes "qui semblent porter secours aux victimes" mais les policiers "se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres". La sûreté départementale de l'Essonne est chargée de déterminer s'il y a eu pillage ou volonté de pillage. La thèse n'est pour l'heure accréditée par aucun témoignage direct. Suite à cette bousculade, deux plaintes ont été déposées: par le médecin qui s'est fait dérober son téléphone et par un policier, pour outrages lors de la première interpellation de vendredi.

    Dans un incident distinct, juste après l'accident, des projectiles ont été lancés vers des représentants de l'Etat, notamment un camion de pompiers. Selon une source proche de l'enquête, un groupe de jeunes était mécontent d'être éloigné des lieux de la catastrophe en raison de la mise en place d'un large périmètre de sécurité. Plusieurs sources policières, ainsi que la mairie, ont confirmé que la situation à cet endroit avait alors été brièvement tendue mais que les forces de l'ordre avaient rapidement éteint la montée de fièvre. Secouristes du Samu et de la Croix Rouge n'ont pas fait état d'incident grave les visant. Les pompiers de l'Essonne n'ont pas souhaité se prononcer.

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  6. Dernières nouvelles. Brétigny : un document policier évoque des vols d'effets de victimes
    le 18 juillet 2013
    Un rapport policier fait état de "certains fauteurs de troubles" qui ont "réussi à s'emparer d'effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes". Les autorités rappellent que pour l'heure aucune plainte n'a été déposée.

    Seul un vol, celui du téléphone portable d'un secouriste, a pour l'instant été signalé. Mais ce ne serait pas un cas isolé selon un rapport policier révélé jeudi par Le Point et consulté par l'AFP. Ce document revient sur les premières minutes qui ont suivi le déraillement du Paris-Limoges en gare de Bretigny-sur-Orge, causant la mort de six personnes, vendredi dernier. Les auteurs de ce texte relatent ainsi l'intervention de la CRS 37. Ils écrivent qu'"à leur arrivée", ses hommes "devaient repousser des individus, venus des quartiers voisins, qui gênaient la protection des véhicules de secours en leur jetant des projectiles".
    "Certains de ces fauteurs de troubles avaient réussi à s'emparer d'effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes", poursuivent les rédacteurs qui ne précisent pas l'heure d'arrivée des CRS ni s'ils ont assisté à ces vols ou s'ils ont recueilli des témoignages les accréditant. Le syndicat Alliance avait le premier signalé les faits dès le lendemain de l'accident. Des incidents minimisés par les autorités et qualifiés d'"actes isolés" par le ministre des Transports Frédéric Cuvillier.
    Le ministère de l'Intérieur avait aussi assuré que les jets de projectiles avaient rapidement cessé après l'intervention des forces de l'ordre. Une enquête est en cours, avec des auditions de policiers, de secouristes et l'analyse d'images de vidéosurveillance. "Si la synthèse des CRS (était) confirmée par l'enquête, l'attitude de ceux qui ont minimisé, qui ont fait passer Alliance pour des menteurs, voire ont qualifié nos propos de pure manipulation propagandiste, est honteuse, scandaleuse et inadmissible", a déclaré Frédéric Lagache, du syndicat policier. "Leur attitude peut donner l'impression qu'ils soutiennent l'action de ces barbares", a-t-il ajouté.
    Appel à la prudence
    Pour le député UMP Eric Ciotti, "le gouvernement a, dès samedi matin, cherché à minimiser, voire même à dissimuler l'existence de ces faits odieux". "Si le contenu de ce rapport est avéré, il reviendra au Premier ministre d'expliquer pourquoi son gouvernement a sciemment minimisé les scènes de vols et de caillassage qui ont suivi l'accident. Il s'agirait-là d'une faute politique et morale que les Français ne pourraient comprendre", selon le parlementaire qui demande à Manuel Valls "de faire toute la transparence".
    Une source policière a répété qu'une seule plainte, celle d'un secouriste, avait été enregistrée à ce jour. Elle a appelé à la prudence concernant d'éventuels vols d'effets de victimes "Ce sont des remontées d'information faites à chaud qui doivent par la suite être étayées par les enquêtes et des témoignages sur PV." Selon elle, "la situation a été gérée dans les conditions les plus sereines possibles dans de telles circonstances". Concernant les "caillassages", elle a répondu qu'il "a pu y avoir quelques jets de projectiles au moment où les forces de l'ordre ont établi le périmètre de sécurité. Mais la situation est très vite redevenue calme." Selon elle, il n'y a jamais eu "de volonté délibérée d'entraver l'action des secours" de la part de personnes présentes.

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