jeudi 12 octobre 2017

What is Cultural Marxism ? The infiltrated Jehovah's Witnesses ?




De plus en plus souvent qualifié de «New World Order» (Nouvel Ordre Mondial désigné par l'acronyme NWO, ou NOM en français), dit aussi «la Caste» (s’applique plus à ses dirigeants) ou «le système» (j’ai entendu l’oligarchie, les témoins de Jéhovah l’appelle «le présent système de chose») ou encore le «politiquement correct», la «bienpensance», dit aussi «état providence» ou système «Big Brother»,  tous courants «post-marxistes», une notion allemande de l'avant-guerre qualifiait le marxisme culturel de «bolchévisme culturel», j’allais oublier les appellations d’origine américaines, de «freudo-marxisme», «marxisme Occidental» et «néo-marxisme». De plus le pseudo «philosophe» et «sociologue» français activiste d’ultragauche Jean-Pierre Le Goff parle pour qualifier le marxisme culturel ou le NOM de «gauchisme culturel», arguant que ce «gauchisme culturel» va se répandre dans les médias et toute la société, pénétrer une partie de la droite et se constituer en nouvelle culture hégémonique, CQFD.
Cette idéologie au départ marxiste-léniniste est devenue la règle idéologique en occident sous le nom de marxisme culturel. Le 17 décembre 2015 j'écrivais une réponse d'un commentaire de monsieur Straub un ancien marin et mien ami patriote sur fesse de bouc, Claude Straub disait: «C'est là que l'on remarque ce qu'est réellement la sphère politique qui nous mène en barque depuis plus de cinquante ans. Une mafia comprenant les politiques intégrés dans le système depuis des décennies, les PDG sortis de l'ENA (école où on vous apprend comment ruiner les travailleurs sans les perdre), les fonctionnaires politiques à tous les niveaux, tous les médias télévisuels et journalistiques rémunérés ou sanctionnés par l'Etat, toute la smala artistique haut de gamme, des metteurs en scène aux intermittents, enfin tous ceux qui profitent de ce système véreux et laxiste». Monsieur Straub est intuitif il voit bien que ce fameux «système» qu’il dit avec raison être maffieux marche sur la tête. Mais je ne suis pas sûr que même les dirigeants actuels soit vraiment pleinement conscients de leur état de déliquescence et de la situation. Cette «sphère politique» a un nom, cela s’appelle le marxisme culturel, c’est en terme classique politiquement correct de la pensée unique remarquablement théorisé par Antonio Gramsci un système qui comprend l’ensemble de l’organisation sociale, système devenu totalement marxiste culturel, ce système, ne comprend pas seulement «ceux qui profitent de ce système véreux et laxiste» mais l’ensemble des peuples de France, d’Europe et d’ailleurs dans le monde occidental car nous y sommes tous, vous, moi, Vincent, Fritz, Paolo, François, John, Manuel, Paul, Mohamed et les autres. Des victimes de l’impérialisme culturel qui «profitons» ou «pâtissons» tous de ce fameux système à plus ou moins hautes doses. D’aucuns irons plus loin en parlant de «clans de la mafia politique française» disant : «Ce n’est pas le FN qui menace la paix civile mais la caste avec ses privilèges, son arrogance, son mépris des classes populaires, des «sans dents», ses magouilles électorales…». Et là non ! Non mesdames et messieurs, les classes, les castes etc. etc. c’est fini ; c’est de l’histoire ancienne et peu de gens l’on vu venir, nous avons tous participé à l’avènement du marxisme culturel. Mea culpa, mea maxima culpa, j’ai comme tant d’autres participé naïvement à ce système maffieux et il y a seulement une dizaine d’année que je pense avoir compris comment ça marche. Cliquez ici. Je peux me tromper et je le voudrais bien, c’est pourquoi je suis et mon blog est là pour ça, ouvert aux commentaires critiques. Pour vous faire comprendre mon opinion, je dois faire un petit retour en arrière. De tout temps il existait des groupes hiérarchisés définis de manière rigide et institutionnelle comme effectivement les castes, les états ou les ordres de l'Ancien Régime (Noblesse, Clergé, Tiers-état). Dans les sociétés modernes, en l'absence de définitions légales, certaines auteurs ont cherché à définir au sein de la société des groupes, appelés «classes sociales», homogènes par leur statut social, leur mode de vie, leurs conditions matérielles, leur comportement, leurs intérêts, leurs actions, leur vision du monde...
Exemples : classe ouvrière, classe moyenne, classe dirigeante. Parmi les concepts fondamentaux de l'anthropologie politique : la société, le pouvoir politique, les 
hiérarchies génèrent toujours des inégalités sociales. Mais les «classes» sociales classiques définies selon Karl Marx en deux «classes» principales : le prolétariat, avec la paysannerie et son sous-prolétariat classe dominée, et la bourgeoisie petite, commerçante, industrielle et son aristocratie financière, classe dominante qui possède les moyens de production n’existent plus. Dans le marxisme culturel maintenant dominant, il n’y a plus que quatre statuts tous plus inégalitaires les uns que les autres.  
                                                                                                           
 Le premier est celui de parasite de premier niveau. 

Le second est celui de parasite de second niveau. 
                                                                                               Le troisième celui des assistés.  
                                                             
 Le quatrième celui des producteurs esclaves. 
                                              
Il existe toutefois une perméabilité entre le deuxième et premier niveau ; et entre le troisième et plus rarement quatrième niveau ce que je vous montrerez plus tard.   Il existe une cinquième catégorie partiellement hors «système», les marginaux, les athées politiques, les sectes américaines hors système, qui essaient de voler en dessous des radars (pas facile mais possible, je vous en reparlerai un jour) et les fameux «migrants» ayant remplacés les «sans-papiers» qui sont des immigrés clandestins en situation irrégulière mais que l’on peut rapidement situer en troisième niveau avant leur passage en quatrième.  
                                                                                        
Nous pouvons faire une analogie avec les anciennes «classes» comme en marketing ou concernant les transports aériens, ou la «classe» désigne le niveau de confort dont dispose le passager: dans la soute, en classe économique, classe affaires et première classe.     Depuis des années le marxisme culturel qui sévit dans l’éducation nationale socialiste et marxiste culturelle (Premier et second niveau. Nota : les retraités sont au troisième) n’enseigne plus l’histoire de France dans le but de maintenir le public (Particulièrement le quatrième niveau) et surtout l’électeur de tous les niveaux dans l’ignorance et la bêtise. Comme ici. (Une des bases de l’établissement du NOM ou Marxisme culturel est l’affaiblissement de l’éducation par une baisse progressive du niveau et une élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les jeunes). Faire en sorte que le «peuple» (2, 3, 4ème niveau) soit incapable de comprendre les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. «La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieure ». Extrait de «Armes silencieuses pour guerres tranquilles».
Le marxisme culturel une religion ?
Vous savez maintenant que les classes dites «sociales» n’existent plus, l’ère de la «dictature du prolétariat» est advenue, les «parasites» de premier niveau (plus ou moins riche) gouvernent le «peuple» (de plus en plus pauvre). C’est le marxisme culturel dans sa pleine acceptation devenue une religion séculière avec ses dieux, son clergé, ses dogmes et sa liturgie. Les générations post soixante-huitardes ont parfaitement intériorisé l’évangile de la tolérance et de l’humanisme qui considère comme un péché mortel toute critique du fameux progressisme et de ses corollaires comme le féminisme et l'écologie, le pacifisme qui selon une acceptation courante est la doctrine et l'action des partisans de la paix ou du rétablissement de la paix qui peut être qualifié aujourd’hui de pur «marxisme culturel». L’ancienne vision chrétienne du pacifisme associé à une personne refusant le recours à toutes formes de violence est curieusement beaucoup plus répandue et c’est sur cela que jouent les marxistes culturels ; la confusion. Le «pacifisme» a toujours trouvé un grand écho dans la réflexion et l’action des guerriers communiste depuis ses origines. Les socialistes d'avant 1914  (des marxistes) durant la Première Guerre mondiale, les opposants aux guerres coloniales, le mouvement Amsterdam Pleyel dans les années 1930 préfiguraient le mouvement soi-disant pacifiste communiste d’après-guerre. Les «militants» de la paix d’aujourd’hui professent un pacifisme qui n'est jamais assimilable à la non-violence mais participe du dogme et de la liturgie marxiste culturelle.
L’ex-agent du KGB Yuri Bezmenov passé à l’Ouest dont nous aurons l’occasion de reparler, explique après sa défection en 1970, la vaste stratégie de subversion de l’Ouest et des pays non-alignés par l’URSS. Qualifiant très justement l’idéologie marxiste de «succédané de religion», véhiculant de puissants mythes reposant sur une frustration des «masses» excitées par des agents d’influence. Ce vaste plan, Bezmenov le résume comme ceci : «Une fois endoctriné, même devant des faits indiscutables, un individu continuerait à nier». C’est aujourd’hui ce qu’ils font, ils nient le marxisme culturel et le NOM est assimilé à une théorie du complot. Wikipédia aujourd’hui nous dit à ce propos : «La notion de marxisme culturel décrit une théorie du complot dans les milieux conservateurs et d'extrême-droite, d'après laquelle l'École de Francfort et la pensée politique de gauche sont à la base d'un complot qui vise à détruire la culture occidentale. D'après les protagonistes de la théorie, le multiculturalisme et le politiquement correct visent à détruire la société occidentale et sont le produit de la théorie critique». Jusqu’en 2011 Wikipédia donnait comme explication ceci : «Le marxisme culturel est une forme de marxisme qui analyse le rôle des médias, l'art, le théâtre, le cinéma et les institutions culturelles de la société en mettant de l'emphase sur les luttes de genres, de classes et d'ethnies. Formulé par l'école de Francfort et Herbert Marcuse, il aurait contribué à la montée de la rectitude politique en Occident. Il s'agit d'un moyen culturel et non-révolutionnaire pour revendiquer l'abolition des classes et l'égalitarisme absolu», ce qui était évidemment fort incomplet mais beaucoup plus juste qu’aujourd’hui avec cette forme de sophisme ad Hitlerum du «complot» (le sophisme ad hitlerum  vise à discréditer par avance les conclusions d'un contradicteur en l'associant à un personnage ou une idéologie qui ne peut susciter que le rejet). Vous aurez bien sûr remarqué que resurgit toujours dans cette «théorie du complot» affirmée par des marxistes culturels ce sophisme ad Hitlerum comme aussi le Sophisme Non Sequitur : le patriotisme ce n’est pas bien, les délits ce n’est pas bien, donc patriotisme=délit. C’est une conclusion, extrêmement fallacieuse: vous n'êtes pas d'accord avec le marxisme culturel multiculturaliste ou féministe, donc vous défendez l’extrême droite. Vous êtes donc un gros facho. Or ici il ne s'agit nullement de défendre le fascisme, mais bien un droit fondamental à ne pas être d’accord avec une idéologie. Le sophisme ad Hitlerum comme le Non Sequitur vise à discréditer par avance les conclusions d'un contradicteur en l'associant à un personnage ou une idéologie qui ne peut susciter que le rejet.                                                                                  Cette religion séculière et ses sectes distillent du marxisme culturel à gogo, qualifiés de courants «post-marxistes», avec le féminisme Ici et l'écologie.
Raymond Aron, sociologue de la «société industrielle», et libéral, pensait que cette doctrine marxiste servait de «fondement à une religion séculière, le communisme, et d'idéologie à l'empire soviétique» nous aurons l’occasion d’en reparler plus loin.
Il serait idiot de ne pas dire que la religion séculière marxiste a vu le jour en URSS (Union des Républiques socialistes soviétiques) qui n’a pas jamais véritablement appliqué le modèle mis en place par la théorie marxiste. La relecture qu’en a faite Lénine, rendue nécessaire par le peu d’indications laissées par Marx et Engels sur la marche à suivre, a conduit à une reformulation qui, si elle sauve momentanément le langage et l’option révolutionnaire, en altèrent de nombreux points essentiels. Ainsi le matérialisme historique est-il contesté au nom des libertés éthiques ; de même, le primat de l’économique sur le politique et celui de la nécessité historique sur la liberté des sociétés humaines sont remis en question. La mise en place de nouveaux principes, cette fois marxistes-léninistes, vont générer des conséquences imprévues.
La plus marquante d’entre elles est le retour du politique. En effet, Marx considérait cet élément comme faisant partie de la superstructure et à ce titre, relevant de la domination bourgeoise de même que le droit. À l’inverse, le régime qui s’installe en URSS va le réhabiliter et le projeter au premier plan de son système, notamment par le biais du Parti. Se met alors en place un modèle particulier d’organisation du pouvoir : la «partitocratie idéocratique». L’expression la plus évidente de ce modèle est la détention légitime du pouvoir par les personnes qui ont en charge l’existence du Parti. Mais ce modèle présente un aspect fondamental, qui engendre l’exacerbation des principes mis en place par Lénine : l’aspect probant de la religiosité du système étayée par le culte du chef. D’autre part, l’évolution du modèle socialiste a été davantage dictée par la résolution de problèmes dramatiques nés de la mise en place de la collectivisation et de l’industrialisation que d’un attachement à une ligne préétablie (notamment dans la seconde moitié des années 30). Cette altération par rapport au modèle marxiste va avoir pour conséquence la reconduction d’un modèle inattendu. Si la profession de l’athéisme était officielle, il n’en demeurait pas moins que, cherchant à concilier des éléments nouveaux et anciens (notamment dans le domaine agricole) incompatibles, les Soviétiques composaient un modèle contradictoire. En reconduisant une forme religieuse  du pouvoir ou en la nourrissant d’éléments marxistes, ils tentaient de concilier l’inconciliable.
Si il est certain que le marxisme culturel a infiltré l’église catholique et a fait des conciles des soviets et du Pape un marxiste multiculturaliste, si vous aviez un doute il n’est que de voir comment Monsieur Bergoglio dit le Pape converti à la religion séculière marxiste culturelle et souffrant d'encéphalite spongiforme religieuse veut faire la leçon à l'Europe: il veut en bon marxiste culturel, des visas «humanitaires» pour tous les envahisseurs dit «migrants», réfugiés politiques, économiques ou non, des regroupements familiaux étendus à tous les ascendants et descendants, «aux frères et aux sœurs, cousins, cousines, voisins et Rock Voisine» des jeunes hommes débarqués en Europe ; il veut l'accès à la nationalité, à l'emploi et à la régularisation des illégaux, le tout dans le respect de la «culture» de chacun.  Voir là.
Les témoins de Jéhovah infiltrés par le marxisme culturel ?
Avec cette partie traitant des témoins de Jéhovah et de leur rapport avec un des théoricien anarcho-syndicaliste que je considère comme un des marxistes culturels parmi les plus influents du 20ème siècle, il faut que je vous en dise un peu plus sur mon parcours spirituel. Baptisé une première fois en 1951 dans la religion protestante luthérienne puis une deuxième en 1952 dans la sainte religion catholique apostolique et romaine, je suis instruit d’abord par des maîtres d’école à l’époque patriotes et laïcs puis par des pasteurs (école du jeudi et du dimanche avec étude de la bible, version Louis Segond) dans la religion protestante luthérienne et confirmé au temple Saint Martin de Montbéliard en 1968, sans oublié un court passage chez les frères de l’institution Saint Joseph de Remiremont ce qui explique une certaine connaissance des dogmes et rites catholiques. De plus, ma famille catholique s’honore de compter parmi ses membres Saint Néron de Bornay canonisé par Jean Paul II et dans ma famille protestante Tobias Matthieu (1546 - 29 mars 1628) prince-évêque de Durham de 1595 à 1606, puis archevêque d'York de 1606 à sa mort. Chercheur passionné et exégète biblique, Panenthéiste (doctrine philosophique) convaincu, j’ai longtemps suivi l’enseignement initiatique de l’Ordre de la Rose Croix, des liens intéressants avec des responsables de l’Ordre Initiatique et Traditionnel de l’Art Royal(OITAR) une scission de l’obédience maçonnique irrégulière du Grand Orient (GO) ont occupé mon esprit pendant quelque temps, puis je suis initié Franc Maçon à l’obédience régulière de la GLNF ouvrant ses travaux de Loge au Chapitre 1 Verset 1 à 9 de l’évangile de Jean. Politiquement anarcho-capitaliste, mais je préfère le terme de libertarien minarchiste, libre penseur et croyant en D-ieu mais pas aux religions qui n’apportent que de mauvaises réponses aux malheurs qu’elles engendrent (Franc maçon et anarchiste, n’y a-t-il pas là quelque chose de bizarre ? Oh non, notre frère Christophe Bitaud dans son livre L'Unique et l'Initié dira: «Le point commun entre l'anarchiste et le franc-maçon c'est bien la construction de soi, la recherche inlassable du plein épanouissement de son individualité, hic et nunc. «Deviens ce que tu es» écrivait Nietzsche, un homme vrai en toutes circonstances ajoute l'anarchiste et le franc-maçon. Quel meilleur endroit pour y parvenir que la loge maçonnique ? Véritable microcosme libertaire où règne l'ordre sans l'autorité, où s'épanouissent la sagesse, la force et la beauté, où l'harmonie n'est plus une utopie. Certes, on peut rencontrer des anarchistes, ou prétendus tels, sectaires et intolérants (Noam Chomsky anarchiste libertaire en fait partie), des francs-maçons, ou supposés tels, arrivistes et arrogants (Il y en a, j’en connais, ignorants des origines judéo-chrétiennes de la maçonnerie spéculative). On peut être déçus par les individus, mais gardons-nous de les juger, il faut dire que les idéaux portés par la maçonnerie et l'anarchisme sont d'un accès difficile. L'aventure vaut d'être vécue. J'ai dit». Extrêmement curieusement des soupçons d’appartenance de Charles Taze Russell le pasteur américain d'influence millerite fondateur de la société Watchtower (Les témoins de Jéhovah) à la franc-maçonnerie ont eu lieu, relayées par plusieurs écrivains délirants dont Lady Queenborough (Edith Star Miller) dans «Occult Theocracy» publié dans les années 1930 ou l'Américain Fritz Springmeier en 1990 (voir ici les photos de la tombe de Russell et d’autres preuves évidentes pour un frère, mais peu de gens savent que la maçonnerie américaine est d’obédience régulière, ses membres croyant en D-ieu et qu’aucun obstacle ne s’oppose par exemple pour un frère maçon américain à recevoir le baptême par immersion des témoins de Jéhovah) ; Inversement j’ai été le témoin d’une initiation d’un musulman qui a prêté son serment maçonnique sur le Coran, ces initiations «bizarres» ont toujours été courante dans le franc Maçonnerie. Notre frère Rudyard Kipling dans son merveilleux poème à sa loge mère, le savait bien, extrait :
Car tous les mois, après la tenue,
Nous nous réunissions pour fumer
(Nous n'osions pas faire de banquets de peur d'enfreindre la règle de caste de certains frères)
Et nous causions à cœur ouvert de religions
Et d'autres choses
Chacun de nous se rapportant
Au Dieu qu'il connaissait le mieux.
Rappelez-vous frères de penser au Dieu que vous connaissez le mieux.
J’ai toujours considéré le dialogue avec ce que j’appelle des «hommes de Dieu», (rabbins, prêtres, pasteurs, chercheurs, maitres de tous ordres ou de toutes obédiences etc. etc. comme fondamental, errant sur une sorte chemin de Damas depuis toujours) j’avais il y a environ 35 ans engagé le dialogue avec des témoins de Jéhovah de Nice avec qui j’avais eu des rapports sympathiques et des lectures et études bibliques intéressantes (essentiellement des textes de leur propre traduction de la Bible. Hors il est bien évident que suivant le vieil adage : omnis traductor traditor (chaque traducteur est un traître) il m’était à l’époque difficile d’adhérer à toutes leurs thèses). Je ne me suis pas converti mais je les ai toujours considérés comme des femmes et des hommes justes qui suivent une voie droite, qui n’est pas la mienne mais qui ont des choses à dire et dont de nombreuses personnes devraient s’inspirer.                                                     
 Dernièrement j’ai été amené à engager un dialogue agréable avec quelques témoins de ma petite ville et à assister (chose que je n’avais pas faite depuis 35 ans) à une réunion dans un de leur «temple» dit «Salle du Royaume».                                                               Là il m’a été donné une brochure, la «Tour de garde» anciennement «réveillez-vous» sorte de catéchisme très bien fait et très dogmatique. Quelle ne fut pas ma surprise d’y trouver une référence à l’anarcho-syndicaliste Noam Chomsky (Chomsky y dit une chose juste: «personne ne va déverser la vérité dans notre esprit. C’est à nous de la trouver par nous-même») de nombreux marxistes ont dit des choses justes mais la doctrine est criminelle dans l’ensemble. D’abord intéressé par le marxisme, Chomsky s’en détacha très tôt pour choisir une voie dite libertaire de gauche assez originale et peu connue l’anarchisme juif. Chomsky fut aussi au début très influencé par Karl Korsch, «philosophe», enseignant, théoricien et militant du communisme de conseils (une des versions séculière du marxisme culturel bien représenté par les républiques des conseils l’horreur communiste barbare totale particulièrement sous Béla Kohn ou Cohen dit Béla Kun qui mit en œuvre la  terreur rouge au sein de la République des conseils de Hongrie (du 21 mars au 1er août 1919).Cette pseudo «république» en viendra à utiliser la propagande antisémite, bien que la plupart de ses cadres aient été eux-mêmes des juifs d’origine, des Erev Rav (Le peuple de boue, ou érèv rav (hébreu:  «tourbe nombreuse») ou assafsouf («ramassis») est un groupe d’étrangers (des faux juifs) se joignant aux Hébreux lors de l’Exode hors d’Égypte. Dans la traduction du Monde Nouveau de la Bible les témoins de Jéhovah appellent l’Erev Rav le «peuple mêlé» ; Exode Chapitre 12 verset  37 : Alors les fils d’Israël partirent de Ramsès pour Soukkoth, au nombre de six cent mille hommes de pied, [des hommes] robustes, sans compter les petits. 38 Et un peuple mêlé, immense, monta aussi avec eux, ainsi que du petit bétail et du gros bétail, cheptel très nombreux. La tradition juive fait de l’Erev Rav des convertis insincères, responsables des fautes d’Israël dans le désert et des comportements indignes se manifestant parmi les Juifs. Eliyahou ben Shlomo Zalman plus connu comme  le Génie de Vilna simplement par son acronyme hébraïque HaGRA (HaGaon Rabbénou Eliyahu - Notre Maître Élie, le Génie), explique que le érèv rav sont ceux dans le peuple juif qui au lieu de contrer «ceux qui parmi les Nations causent du tort au peuple juif» choisissent la polémique et s’en prennent à lui utilisant les «fausses vertus des hypocrites et des trompeurs». Notons que le marxiste, le républicain ou le socialiste est dans tous les cas entouré de ses fausses vertus des hypocrites et des trompeurs. Cette conduite est expliquée au sujet des Juifs dans l'histoire moderne comme «étant le désir de certains Juifs d'être reconnus sur le plan social dans un environnement hostile aux Juifs», ou comme «la conséquence d’une éducation juive défectueuse». Ils sont considérés comme des «ennemis de l’intérieur» ou des «juifs antisémites» personnellement je les qualifie de faux juifs. Combien de gens savent que des dizaines de milliers de juifs, de demi-juifs ou de quart de juifs serviront sous l'uniforme nazi durant la guerre ; en savoir + sur les soldats juifs d'Hitler. Rabbi Pinchas Winston un spécialiste lui aussi des temps de la fin écrit qu'il existe dans le judaïsme un terme technique, le érèv rav, pour désigner les Juifs qui au fil des générations «sont tellement assimilés et influencés par des valeurs non juives qu'ils sont devenus par eux-mêmes des ennemis de la nation juive». Il donne pour exemple «les Juifs qui sont tellement à gauche [politiquement] qu'ils sont devenus des antisémites à part entière» (Certains marxistes culturels sont aujourd’hui de vrais antisémites comme on peut le voir ici et là lalalère...). Il explique que «ce qui les rend dangereux» est que lorsque «des non-Juifs disent au sujet du peuple juif ce que le érèv rav dit, ils sont qualifiés d’antisémites, par contre quand c'est le érèv rav qui le dit ils sont considérés comme introspectifs, honnêtes, courageux, puritains, alors qu'en fait ce qu'ils sont réellement est des haineux d’eux-mêmes»), chez les cadres juifs convertis à la religion séculière marxiste de la République des conseils de Hongrie, une affiche dénonce les Juifs refusant de partir au front et proclame «Exterminez-les s'ils ne veulent pas donner leur vie à la cause sacrée du prolétariat !». Béla Cohen dit Kun fait rafler et exécuter la plupart des cinq mille juifs polonais venus tenter de se ravitailler en Hongrie. Dans les dernières semaines du régime marxiste, les éléments radicaux tentent de prendre le contrôle, réclamant la mise du grand progressiste Szamuely à la direction du gouvernement et l'intensification de la politique de terreur qui avait déjà atteint des sommets de l’horreur, et exigeant une «Saint-Barthélemy rouge». Tibor Szamuely, le camarade progressiste et humaniste commissaire politique aux affaires militaires, s’illustra dans de la répression des activités contre-révolutionnaires et fut l'un des principaux responsables de la terreur rouge hongroise. À ce titre, il n'hésita pas à faire commettre d’immondes atrocités contre les religieux qu’il ira jusqu’à faire crucifier sur la porte des églises et de faire violer les nonnes et les jeunes élèves des écoles confessionnelles par ses «petits gars de Lénine». Il parcourut le pays à bord d'un train réquisitionné avec la  bande de gangsters bolchéviques les «gars de Lénine» et multiplia les actions de répression, faisant notamment pendre les paysans opposés à la collectivisation ou, dans les villes reprises au Royaume de Roumanie, les notables accusés de collaboration avec les Roumains. Durant ces quelques mois, des milliers de cadavres de paysans, de bourgeois, de religieux joncheront leur route. Des cours martiales de fantaisie seront  organisées, suivies de généreuses pendaisons aux arbres ou l’humaniste progressiste Szamuely fera défiler devant les pendus les veuves (qui seront plus tard violées) et les enfants des suppliciés. Tout comme Lénine, et les autres, Szamuely clamait que «la terreur est la principale arme de notre régime». Parmi les «autres» on trouve un des fondateurs de l’idéologie marxiste culturelle, György Lukács un converti à la religion séculière marxiste né dans une famille de la grande bourgeoisie juive de Budapest. Dans la République des conseils de Hongrie de 1919 il est commissaire à l'Instruction. Avec Szamuely, Lukács devint l'idéologue et l'exécuteur de la terreur rouge. À l'approche des armées roumaines, Béla Kun et d'autres dirigeants communistes hongrois purent s'enfuir en Autriche. Tibor Szamuely fut arrêté à la frontière où il fut assassiné. La communauté juive d'Autriche refusa de l'inhumer dans le cimetière juif et l'enterra en dehors avec cette épitaphe «Ici creva un chien».   
                                                                               Revenons à Karl Korsch né le 15 août 1886 en Allemagne à Tostedd dans les landes de Lunebourg, et mort le 21 octobre 1961, à Cambridge aux États-Unis, un des théoriciens américains du marxisme culturel. Plus encore qu’à l’œuvre de  Korsch, Noam Chomsky, fut marqué par l’œuvre de George Orwell un socialiste aux  deux œuvres au succès durable, les deux textes magnifiques publiés après la Seconde Guerre mondiale : La Ferme des animaux et surtout 1984, roman dans lequel il crée le concept de Big Brother, depuis passé dans le langage courant de la critique des techniques modernes de surveillance et de contrôle des individus. L'adjectif «orwellien» est également fréquemment utilisé en référence à l'univers totalitaire imaginé par cet écrivain anglais.                                                               

Noam Chomsky qui est pour moi un marxiste culturel en collaboration avec l'universitaire Edward Herman, a contribué à la naissance des travaux consacrés à «l'économie politique» («political economy») des médias de masse. Cette approche s'intéresse, dans une perspective critique, au fonctionnement de l'industrie des médias dans ses rapports avec les pouvoirs économique et politique. Partis du constat qu'en «démocratie» les élites ne peuvent pas se contenter d'user de la force pour asseoir leur domination et du principe que les intérêts de la majorité de la population diffèrent de ceux de l'élite, Chomsky et Herman ont cherché à démontrer empiriquement, dans leur livre La Fabrication du consentement (1988), comment, dans le contexte américain, les principaux médias participent au maintien de l'ordre établi. Dans leur optique, les médias tendent à maintenir le débat public et la présentation des enjeux dans un cadre idéologique construit sur des présupposés et intérêts jamais questionnés, afin de garantir aux gouvernants l'assentiment ou l'adhésion des gouvernés. C'est ce qu'ils ont appelé, en reprenant une formule forgée en 1922 par Walter Lippmann, l'un des fondateurs des relations publiques, la «fabrication du consentement» («manufacturing consent»). Dans La Fabrication du consentement Chomsky ne dévoile qu’un des aspects mineurs de l’établissement du marxisme culturel, le contrôle absolu par les parasites de premier niveau et l’abêtissement des medias pour dévaloriser le jugement personnel et l’esprit critique. Mais il y en a beaucoup d’autres, afin de détruire les démocraties occidentales par l’intérieur sans avoir recours à la force, les théoriciens du marxisme culturel ont imaginé et mis en œuvre des actions multiples touchant à la fois les institutions et les valeurs démocratiques. Ces actions ont évolué au fil du temps afin de s’adapter au contexte et aux événements. Infiltration des partis existants comme des religions existantes (plutôt que création de nouveaux partis). Encouragement de l’immigration de cultures exotiques qui auront du mal à s’intégrer, généreront des tensions et contribueront à la destruction progressive de l’identité de la race blanche et des valeurs démocratiques, volonté de faire obstacle au maximum à la natalité blanche en promouvant l’avortement et en encourageant le développement de familles sans enfants (encore un détail frappant lors de mon passage chez les témoins de Jéhovah, c’est le nombre important de jeunes enfants dans la communauté et de jeunes couples, normalement chacun doit savoir que si les Témoins de Jéhovah n’annoncent pas la fin du monde des hommes, ils annoncent la fin du système de choses caractérisé par la domination de l’homme par l’homme (théorie marxiste), la violence et l’injustice. Cependant, la Bible ne précise pas le jour et l’heure où «Dieu» devrait mettre fin à ce «présent système de choses». Le mouvement réaffirme régulièrement sa foi dans l’approche de la fin ou Armageddon. Hyans Toussaint, un des membres du mouvement en Amérique du Nord, déclare «La guerre, les pestes, la situation économique, ce sont toutes des choses qui nous préoccupent. On sent qu’il y a une imminence, quoi qu’on n’a pas de date, mais pour nous, c’est de plus en plus clair». Le porte-parole des Témoins de Jéhovah, Doug Dunsire est lui catégorique, «On vit les derniers jours. Nous pensons que c’est très proche. Les prophéties de la Bible, on les voit se réaliser».
Tout cela rejoint mes propres conclusions.
1) Le progrès technologique et la société devenue marxiste culturelle et multiculturaliste nous conduit à un désastre inéluctable;
2) Seul l'effondrement de la civilisation moderne pourrait empêcher le désastre, mais c’est trop tard, le désastre est à nos portes;
3) Le marxisme culturel est la première ligne de défense de la Société technologique contre l’homme et les lois naturelles;
4) Ce qu'il faudrait, c'est un mouvement par exemple libertarien, voué à l'éradication de la société technologique, consumériste et marxiste culturelle qui prendrait des mesures pour tenir à l'écart tous les marxistes culturels et assimilés (socialistes, communistes, droite molle, centre etc. etc.) mais encore une fois il est bien tard.
Malthusianiste convaincu je pense que bien que les avertissements apocalyptiques (ou de fin du monde) s'inscrivent dans une tradition très ancienne, il est plus que temps (et même trop tard) de prendre en compte les théories actuelles qui s'appuient sur des faits incontestables dont la réalité est reconnue par des rapports et expertises scientifiques et institutionnels, tels que ceux du Club de Rome, du GIEC7, d'autorités militaires internationales, de la Banque mondiale et du Forum de Davos (Les marxistes culturels comptant parmi eux quelques éveillés). Par ailleurs, les risques mis en avant ont désormais pour origine l'activité humaine.
Dans son Introduction au manifeste, La Société industrielle et son avenir (1995) Theodore Kaczynski un néo luddiste écrit: «La révolution industrielle et ses conséquences ont été un désastre pour l’espèce humaine. Elle a accru la durée de vie dans les pays «avancés», mais a déstabilisé la société, a rendu la vie aliénante, a soumis les êtres humains à des humiliations, a permis l’extension de la souffrance mentale (et de la souffrance physique dans les pays du tiers monde) et a infligé des dommages terribles à la biosphère. Le développement constant de la technologie ne fera qu’aggraver la situation. Ce qu’auront à subir les hommes et la biosphère sera de pire en pire ; le chaos social et les souffrances mentales s’accroîtront, et il est possible qu’il en aille de même pour les souffrances physiques, y compris dans les pays «avancés». Le système techno-industriel peut survivre ou s’effondrer. S’il survit, il peut éventuellement parvenir à assurer un faible niveau de souffrances mentales et physiques, mais seulement après être passé par une longue et douloureuse période d’ajustements, et après avoir réduit les êtres humains et toutes les créatures vivantes à de simples rouages, des produits calibrés de la machine sociale. En outre, si le système perdure, les conséquences sont inéluctables : il n’y a aucun moyen de réformer ou modifier le système de façon à l’empêcher de dépouiller les hommes de leur dignité et de leur autonomie».
Pour moi et pour beaucoup d’autres, les trente-trois prochaines années sur Terre sont déjà écrites, grosso modo, et l’honnêteté est de risquer un calendrier approximatif. La période 2020-2050 sera la plus bouleversante qu’aura jamais vécue l’humanité en si peu de temps. A quelques années près, elle se composera de trois étapes successives : la fin du monde tel que nous le connaissons (2020-2030), l’intervalle de survie (2030-2040), le début d’une renaissance (2040-2050).
L’effondrement de la première étape est possible dès 2020, probable en 2025, certain vers 2030. Une telle affirmation s’appuie sur de nombreuses publications scientifiques que l’on peut réunir sous la bannière de l’Anthropocène, compris au sens d’une rupture au sein du système-Terre, caractérisée par le dépassement irrépressible et irréversible de certains seuils géo-bio-physiques globaux. Ces ruptures sont désormais imparables, le système-Terre se comportant comme un automate qu’aucune force humaine ne peut contrôler. La croyance générale dans le libéral-productivisme renforce ce pronostic. La prégnance anthropique de cette croyance est si invasive qu’aucun assemblage alternatif de croyances ne parviendra à la remplacer, sauf après l’événement exceptionnel que sera l’effondrement mondial dû au triple bug énergétique, climatique, alimentaire. La décroissance est notre destin. La seconde étape, dans les prochaines années 30, sera la plus pénible au vu de l’abaissement brusque de la population mondiale (épidémies, famines, guerres), de la déplétion des ressources énergétiques et alimentaires, de la perte des infrastructures (y aura-t-il de l’électricité en Ile-de-France en 2035 ?) et de la faillite des gouvernements. Ce sera une période de survie précaire et malheureuse de l’humanité, au cours de laquelle le principal des ressources nécessaires proviendra de certains restes de la civilisation thermo-industrielle, un peu de la même façon que, après 1348 en Europe et pendant des décennies, les survivants de la peste noire purent bénéficier, si l’on peut dire, des ressources non consommées par la moitié de la population qui mourut en cinq ans. Nous omettrons les descriptions atroces des rapports humains violents consécutifs à la cessation de tout service public et de toute autorité politique, partout dans le monde. Certains groupes de personnes auront eu la possibilité de s’établir près d’une source d’eau et de stocker quelques conserves alimentaires et médicamenteuses pour le moyen terme, en attendant de réapprendre les savoir-faire élémentaires de reconstruction d’une civilisation authentiquement humaine. Sans doute peut-on espérer que s’ensuive, autour des années 50 de ce siècle, une troisième étape de renaissance au cours de laquelle les groupes humains les plus résilients, désormais privés des reliques matérielles du passé, retrouvent tout à la fois les techniques initiales propres à la sustentation de la vie et de nouvelles formes de gouvernance interne et de politique extérieure susceptibles de garantir une assez longue stabilité structurelle, indispensable à tout processus de civilisation.                                                                  
Revenons à nos témoins et à cette réunion de gens qui pensent vivres à juste titre les derniers jours et qui pensent qu’ils sont très proches ; il y a parmi eux et c’est extrêmement curieux, des jeunes femmes qui ne semblent pas tenir compte des paroles de Jésus rapportées par Mathieu en rapport avec la fin du «présent système de chose» : «Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là!». Mat. 24:19 et Marc 13:17, paroles reprises par Luc Chapitre 23 Verset 29 : «Car voici, des jours viendront où l’on dira: Heureuses les stériles, heureuses les entrailles qui n’ont point enfanté, et les mamelles qui n’ont point allaité!». On peut y croire ou ne pas y croire, (Croire = admettre une idée sans raison ou preuve suffisantes (conviction subjective) mais si on dit respecter la parole de «Dieu» on doit à mon avis la respecter. Mais bon, ce n’est pas le sujet et j’aurai j’espère l’occasion d’y revenir.                      
Une dernière chose au sujet des témoins qui sont l’objet de très virulentes critiques au sujet des transfusions sanguines qu’ils refusent. Hors,  les transfusions de sang, qui sauvent tant de vies, il faut le reconnaître, ne sont pas sans détériorer les acquis de nos chromosomes-mémoires. Nous en revenons aux questions posées par la société technologique contraires aux lois naturelles. Jadis, les hommes croyaient que le monde était stable et rassurant. Et puis certains hommes se déclarant «savants» furent en possession de la vérité, attention hein, de la vérité avec un grand V, la vérité vraie ! La Vérité ! Cette vérité-là était dangereuse ; tout est vibration dirent-ils. Alors l'univers se mit à vibrer et depuis tout va mal. Nous devons tout cela à la science, nos habits en matière synthétique, la télé qui aliène, nos aliments frelatés, nos autos polluantes et les bruits qui rendent fous. Excédé par le vrombissement incessant des avions, M. Sprenger de Weert (Pays-Bas) veut acheter une D.C.A. Un honnête homme de Charleroi, M. C..., rendu fou par les pétarades des motos d'un groupe de jeunes turbulents, tire sur eux avec son fusil de chasse... Toujours grâce à la science! Et c'est par elle aussi que les hommes sont animalisés «vachisés, chevalisés, singisés» par le jeu des injections de sérums et de vaccins. Tout ce sang d'animaux, toute cette souffrance, que l'on nous transfuse, établit un lien quasi magique d'une espèce à l'autre. Et le sang des générations d'enfants qui naîtront de nous, quel rôle jouera-t-il dans l'ascèse spirituelle de l'humanité? La race des animaux qui souffrent, ne prend-elle pas sa revanche, en bestialisant peu à peu la race qui l'exploite?
L’ère du Marxisme Culturel triomphant.
Le marxisme culturel se charge de la destruction des valeurs de solidarité telles la famille ou la nation, la destruction des repères culturels et moraux fondateurs en sabotant les morales chrétiennes, l’utilisation dans l’enseignement du sexe et notamment de l’homosexualité pour transgresser la morale traditionnelle et créer de nouvelles revendications clivantes dans la société, l’affaiblissement de l’éducation par une baisse progressive du niveau et une élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les jeunes, noyautage de la magistrature pour culpabiliser les victimes et exonérer les criminels, création d’une dépendance financière croissante vis à vis de l’état afin de créer une population asservie et assistée, substitution progressive de la famille monoparentale ou homoparentale à la famille traditionnelle comme modèle de société, promotion d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité, propagation des grandes peurs écologiques, totalement fictives et manipulées à longueur d’années, voilà qui peut faire préférer la fréquentation des témoins de Jéhovah (à consommer avec modération tout de même) plutôt que des suppôts du marxiste culturel.
Mais le marxisme culturel est aujourd’hui triomphant. On peut citer comme victoires du marxisme culturel l’adoption de mesures communistes, sans prise de pouvoir formelle des partis communistes : voir ici. Monsieur le professeur Ignacio M. García Medina offre (cliquer ici) une belle présentation dans laquelle il réfléchit à l'assaut marxiste culturel sur l'éducation et la culture avec de nombreux exemples dans son discours du 21 juillet 2016 à la XI Université d'été de l'IJM à Lanzarote.                                 Un léger sursaut très anecdotique a lieu aujourd’hui contre l’idéologie communiste classique notamment chez monsieur Stéphane Courtois.
Le plus pratique pour en savoir plus c'est de lire ce que pense Liberpédia sur le sujet. C’est un peu long et à mon avis pas assez documenté sur l’aspect historique.
Pour en savoir plus sur le ce plan historique il est important de se remémorer qu’après le rejet et l’échec des révolutions hongroises et allemandes de 1918, Lénine (Ancien chef de gang, Vladimir Illitch Oulianov dit Lénine et sa bande, dont Joseph Djougachvili, qui portait alors le pseudonyme de Koba et beaucoup moins souvent celui de Staline, Maxime Litvinov, Leonid Krassine et Alexandre Bogdanov avec un groupe de terroristes géorgiens menés par  Simon Ter-Petrossian dit Kamo, compagnon et allié de Staline font un braquage de banque le 26 juin 1907 dans la ville de Tiflis (aujourd'hui Tbilissi, capitale de la Géorgie). Une diligence de la banque de Tiflis est attaquée par la bande de malfaiteurs «bolcheviks» pour évidemment une très bonne cause bien pacifiste et tous, financer leurs activités révolutionnaires pacifistes, humanistes, démocratiques et tolérantes. L'attaque terroriste mais tellement progressiste menée par un grand nombre d'assaillants (une trentaine) tue pacifiquement quarante personnes et en blesse démocratiquement cinquante autres selon les archives officielles, pourtant peu suspectes d'exagération. Les grands démocrates et braqueurs humanistes s'échappent avec 341 000 roubles. Lénine comme chef de gang toucha au moins 140 000 roubles. Parmi les mythes que l’on entend bien trop souvent figure en bonne place celui du «Lénine philosophe» ou «innocent penseur». Ce dernier n’aurait pas créé les bases d’un Etat communiste totalitaire. Cette stupide théorie est un bon moyen que les communistes actuels et les marxistes culturels utilisent pour mettre toute la faute des dérives criminelles sur le compte de Staline, afin de faire oublier que les méfaits que ce dernier a commis viennent directement de la doctrine des penseurs du communisme. N’oublions pas que le chef de gang Lénine est responsable directement de très nombreuses morts, soit par la famine, soit en ordonnant lui-même la mort de plus de 10 millions de personnes).                        
                                                   
Cela ne doit pas occulter que Vladimir Illitch Oulianov dit Lénine est le fondateur de l’idéologie marxiste culturelle, constatant que son régime ne survivait que par la terreur. Il fallait donc trouver autre chose! En 1922 il convoqua à l’Institut Marx-Engels de Moscou une réunion du Komintern afin que Lukács et Münzenberg (les deux théoriciens du marxisme culturel) puissent exposer officiellement leur stratégie de conquête de l’Occident. Au contraire du marxisme économique par le soulèvement du prolétariat ils proposaient d’y substituer le «marxisme culturel» par la subversion des «intellectuels». Le chemin serait plus long mais la victoire certaine. Et nous y sommes, le début du vingt-unième siècle consacre la victoire absolue et définitive de l’idéologie marxiste culturelle. Il n’y aura pas de retour possible.

A suivre…


Note 9 ? Une perle de l’ethnographie politique ! On peut bien sûr ne pas être d'accord avec cet auteur mais il a le mérite de ne pas faire de langue de bois. Chaque biographie qu’il nous donne est étudiée à travers l’histoire... évidemment lourde de sens pour la compréhension du positionnement marxiste culturel des hommes politiques d’aujourd’hui. Note 9 le livre qui déchire à donf !

Michel Alain Labet de Bornay.
 
2017. Agence de Presse AIS (Accréditation International System). Trade Mark. Tous droits réservés.
Ce matériel peut être publié, diffusé ou redistribué dans la mesure de la citation de la source.
Une faute d'orthographe, une erreur à signaler ? Une précision à apporter? Des sous à nous envoyer ? Commenter l’article les commentaires sont libres et les ânes honimes tolérés ou écrivez à : a.de.bornay@gmail.com


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire