Pour ceux qui suivent mes articles sur Internet depuis plus de 10 ans, ils me savent libertarien minarchiste.
Je vous invite à lire cet article du 11 janvier 2010 : La vraie politique, une perspective d'un économiste Québécois sur l'actualité. Je vous en donne ici un extrait qui représente bien ma propre pensée : «Pour la plupart des gens, la façon de voir la politique est selon le fameux clivage gauche / droite. Pour moi, c’est un anachronisme. Ce clivage est apparu en France en 1789 dans un débat concernant le poids de l’autorité royale face au pouvoir de l’assemblée populaire. Cette façon de faire s’est par la suite propagée à presque tous les systèmes politiques «d’assemblées». Ce clivage convenait peut-être à la réalité de cet espace-temps en particulier, mais il est aujourd’hui totalement incohérent. Le problème avec ce clivage est qu’il y a, autant à gauche qu’à droite, des individus que je qualifierais d’étatistes. La seule différence entre eux est que d’un côté ils veulent utiliser l’État pour grossir le filet social et renforcer l’égalitarisme de la société alors que de l’autre ils veulent utiliser l’État pour obtenir des faveurs économiques pour les entreprises (protectionnisme, subventions) et pour intervenir dans l’économie (plans de relance) et sur la scène internationale (guerres, impérialisme). Qu’ils soient de gauche ou de droite, les étatistes sont tout aussi néfastes pour la société et pour les libertés individuelles. C’est pourquoi les libertariens ne s’identifient pas vraiment à aucune de ces idéologies. Pour approfondir le sujet lire aussi en cliquant ici.
Ceci étant posé, il est un sujet qui devrait faire la une des médias du
monde entier et qui est totalement tenu sous le boisseau du politiquement
correct. Car pour savoir si vous voulez vraiment vous faire sodomiser avec de
la vaseline ou avec du sable il est primordial de me lire !
Avec
ici : What is a cultural marxisme publié le 16 janvier 2018 j’avais
l’espoir de réveiller un peu les gens. J’écrivais : «Le marxisme culturel se charge de la destruction des valeurs de
solidarité telles la famille ou la nation, la destruction des repères culturels
et moraux fondateurs en sabotant les morales chrétiennes, l’utilisation dans
l’enseignement du sexe et notamment de l’homosexualité pour transgresser la
morale traditionnelle et créer de nouvelles revendications clivantes dans la
société, l’affaiblissement de l’éducation par une baisse progressive du niveau
et une élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez
les jeunes, noyautage de la magistrature pour culpabiliser les victimes et
exonérer les criminels, création d’une dépendance financière croissante vis à
vis de l’état afin de créer une population asservie et assistée, substitution
progressive de la famille monoparentale ou homoparentale à la famille
traditionnelle comme modèle de société, promotion d’une forme exacerbée de
féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur
complémentarité, propagation des grandes peurs écologiques, totalement fictives
et manipulées à longueur d’années, voilà qui peut faire préférer la
fréquentation des témoins de Jéhovah (à consommer avec modération tout de même)
plutôt que des suppôts du marxiste culturel. Mais le marxisme culturel est
aujourd’hui triomphant. On peut citer comme victoires du marxisme culturel
l’adoption de mesures communistes, sans prise de pouvoir formelle des partis
communistes : Monsieur le professeur Ignacio M. García Medina offre une belle
présentation dans laquelle il réfléchit à l'assaut marxiste culturel sur
l'éducation et la culture avec de nombreux exemples dans son discours du 21
juillet 2016 à la XI Université d'été de l'IJM à Lanzarote. Un léger sursaut
très anecdotique a lieu aujourd’hui contre l’idéologie communiste classique
notamment chez monsieur Stéphane Courtois. Attention toutefois les marxistes
culturels d’aujourd’hui nettement conscient de la chose ont crus trouver la
parade en disant : Le marxisme culturel est une théorie du complot, c’est
m’sieur Jérôme Jamin un prof belge stalinien de l’Université de Liège en
Belgique qui utilise ses fonctions afin de conduire des activités
antinationales (Oui, vous avez bien lu antinationales !). Michel Colluci dit
Coluche notre grand philosophe Français
disait : «Savez-vous maintenant que les Français ils nous prennent pour
des imbéciles ? Ah, puis au début, ça est un peu ! Puis après ça est un gros
peu, hein ! Hé, moi, je le sais bien, parce que je suis allé à Calais. Pendant
le wikende. C'est parce que ma femme avait gagné des skis nautiques, et puis
par chez nous, c'est tout plat, y a pas de lacs en pente, hein !». Monsieur
Jamin est donc jusqu’à preuve du contraire un étranger (qui parle pas
l’étranger mais pas français tout de même) Coluche disait aussi : «Ce serait
raciste de penser que les étrangers n'ont pas le droit d'être cons». Vous allez
me : «oui mais certains suisses aussi parlent Français», d’accord Coluche y
avait pensé en disant : «Les Belges et les Suisses, c'est les deux seuls qui
ont pas compris qu'en fait c'était la même chose. C'est à cause de la distance,
là-bas, ils se disent, c'est sûrement pas pareil, mais ils se gourent... Non
parce que un vrai con en Suisse, c'est un Belge, mais dans l'ensemble ça valait
pas le coup de faire deux pays rien que pour ça, hein, ils auraient pu se
démerder... », et aussi : «J'ai eu des plaintes des Suisses: "Monsieur,
vous faîtes toute une publicité aux Belges, tout ça. Alors que nous on a les
Suisses-Allemands, ils sont largement aussi cons!»Le gros problème est qu’aujourd’hui cette idéologie est dominante dans le monde entier je vous invite à lire en cliquant ici ; extrait : «Le débat politique est précédé et accompagné d’un débat-culturel, le méta-débat, le cadre conceptuel, la «fenêtre de discours» ou encore «l’agenda politique» (anglicisme), Weltanschauung ou même Zeitgeist. En termes marxistes : «l’hégémonie culturelle» ou «l’idéologie dominante». Le marxisme culturel consiste à modifier ce cadre philosophique de manière subtile, en faveur du collectivisme et du communisme, pour faciliter une éventuelle prise de pouvoir ultérieure. Il consiste aussi à mentir, manipuler, désinformer, user d’arguments de mauvaise foi, autrement dit avancer des arguments auxquels on ne croit pas soi-même, dans le but de saborder les sociétés non socialistes».
Vous avez noté ? Le marxisme culturel consiste à modifier la société
de manière subtile, en faveur du collectivisme et du communisme, pour faciliter
une éventuelle prise de pouvoir ultérieure.
Le socialisme et d’autant plus le
marxisme culturel étant absurde aussi bien philosophiquement qu’économiquement,
plus le socialiste ou le marxiste culturel sera intelligent et informé, moins
il sera un idiot utile, et plus il sera un hypocrite et un manipulateur. Les
arguments en faveur du socialisme ne sont dès lors pas conceptuellement
valables, ni même sincères : ce ne sont que des instruments rhétoriques,
ce que François Guillaumat a appelé «faire du bruit avec la bouche» par
opposition à un discours rationnel et honnête.
Vous venez Français d’être les témoins d’un pseudo «grand débat». Hors le cadre du débat autorisé s’appelle le «politiquement correct» un synonyme de
marxisme culturel : sortir de ce cadre (au-delà des limites de quelques
pourcents de divergence idéologique gracieusement autorisées aux x de service)
est interdit, soit directement (censure) soit indirectement (limitation de
l’accès aux médias, ostracisme, etc.).
Pour vous obliger à enfin réagir
j’avais besoin d’un vrai marxiste culturel, le sieur Christian Delarue ici sur: Le grand
soir là sur agoravox
et son blog sur mediapart.fr
Monsieur Delarue est un vrai
marxiste avoué et un délicieux communiste antiraciste. Un poème à lui seul, magnifique
exemple du marxiste culturel d’aujourd’hui. Notez que ce cher monsieur est
profondément sincère, le marxisme étant une religion séculière, ce brave homme
est aussi sincère qu’un curé, un pasteur ou un imam, il a la foi ! Mais il
ne fait vraiment pas l’unanimité parmi les marxistes d’ailleurs le grand
criminel contre l’humanité Staline lui donnera personnellement sa formulation théorique en
1937 : «Le trotskisme a cessé d’être
un courant politique dans la classe ouvrière ; de courant politique qu’il était
sept ou huit ans plus tôt, le trotskisme est devenu une bande forcenée et sans
principes de saboteurs, d’agents de diversion et d’assassins agissant sur ordre
des services d’espionnage des Etats étrangers». L’insulte la plus infamante
est sans doute celle d’«hitléro-trotskyste»,
qui connaît son heure de gloire des années 30 aux années 50 pour dénoncer
la complicité et la proximité de nature entre les trotskystes et les ennemis
acharnés de l’URSS. Jamais au grand jamais je n’oserais traiter de noms d’oiseaux
si horribles ce bien cher desservant du culte marxiste culturel trotskiste, ainsi
monsieur Delarue exemplaire fonctionnaire des finances à Rennes peu dormir
tranquille… pour l’instant.
Aux difficultés de
circonscrire l'anticommunisme en tant qu'objet d'études politique s'ajoutait
l'usage du terme, au cours de l'histoire, par les communistes eux-mêmes :
l'accusation d'«anticommunisme»
est ainsi employée comme un argument disqualifiant contre leurs adversaires,
qualifiés d'«anticommunistes
primaires». Les «anticommunistes», terme englobant l'ensemble des opposants
au communisme, ont pu ainsi être accusés de relayer la propagande
de la CIA, ou être assimilés au néofascisme,
voire au néonazisme. Si ce n’est comme moi qualifié de
multirécidiviste de la haine raciste. Les communistes ont été, au cours de la Guerre
froide, relayés dans cet usage par leurs «compagnons de route», à l'image
du ténia Jean-Paul Sartre qui déclarait en 1961 : «un anticommuniste est un
chien, je ne sors pas de là, je n'en sortirai plus jamais». Youaf youaf, moi je pisse en levant la
patte mais considère les communistes comme des égarés. À l'époque,
l'accusation d'anticommunisme sert également à stigmatiser des opposants au stalinisme
qui, dénonçant le communisme soviétique comme une imposture, se
revendiqueraient eux-mêmes d'une forme alternative du communisme, à l'image des
trotskistes
comme monsieur Delarue.
ça
commence là : Avant-propos
Pour
la suite cliquez ici : Chapitre 1
Pour
la suite cliquez ici : Chapitre 2
Pour
la suite cliquez ici : Chapitre 3
Pour
la suite cliquez ici : Chapitre 4
Pour
la suite cliquez ici : Chapitre 5
Pour
la suite cliquez ici : Chapitre 6
Pour
la suite cliquez ici : Chapitre 7
Pour
la suite cliquez ici : Chapitre 8
Pour
la suite cliquez ici : Chapitre 9
Ouf vous en avez fini !
Normalement après avoir lu cet essai
d’ethnologie politique en forme de bonum factum, pour vous la sodomie à sec ou
avec vaseline ce sera terminé.
Michel Alain Labet de Bornay
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