Une vingtaine de personnes en comptant large (Voir les photos ici) et pourtant représentants de quatre associations de la nébuleuse rouge islamo gauchiste et marxiste culturelle (Le mouvement de la Paix (sic), le MRAP local, France Palestine 40 et la LDH), c’étaient rassemblées à Mont de Marsan sur le marché de la place Saint Roch le 24 novembre 2012 pour la « paix » à Gaza. Selon l’anonyme rédacteur de l’article sur le site du MRAP local, il était certain que le cessez-le-feu à Gaza avait joué un rôle un peu démobilisateur pour rappeler selon ses dires, combien la situation serait dramatique à Gaza et dans les territoires prétendus occupés.
Monsieur Daniel Salhorgne, retraité ancien directeur pour l’aquitaine de la Fédération Nationale des Coopératives d'Utilisation de Matériel Agricole, président local du mouvement de la paix (Un outil de propagande marxiste satellite du PCF.) et trésorier fédéral du MRAP des Landes (Autre partie de la nébuleuse rouge), s’en est allé de son petit discours marxiste, un véritable débordement partial sous couvert du conflit proche oriental, nouveau vecteur de l'antisémitisme moderne. Je vous en livre quelques extraits que je vais ensuite vous commenter avec l’aide de Victor Perez.
Chers amis,
Bien que ce mercredi une trêve a été conclue entre le Gouvernement israélien et le Hamas pour suspendre les bombardements par air, par mer, et par terre de l’armée israélienne, mais aussi les tirs de roquettes du Hamas sur le territoire israélien, Tel Aviv n’a pas renoncé pour autant à intervenir militairement dans la bande de Gaza en cas de violation de la trêve. C’est pour cela, et d’autres raisons encore que je vais expliciter, que nos organisations (Mouvement de la Paix, MRAP, France Palestine 40, LDH) ont décidé de maintenir l’appel à mobilisation de ce matin. (…) Redisons le avec force, la voie de la paix à Gaza, en Palestine, et en Israël, passe par la mise en œuvre de plusieurs résolutions (…)
Il faut la levée immédiate du blocus de Gaza (…) Rappelons au passage que les tentatives pacifistes de briser l’enfermement de Gaza ont été durement réprimées par la marine israélienne au mépris de la vie de militants pacifistes et du droit international.(…)
Il faut que la communauté internationale (l’ONU) sanctionne les actes illicites d’Israël.(…)
Il faut que cesse la politique de colonisation d’Israël en Cisjordanie et à Jérusalem. Les implantations de colons se poursuivent tous les jours en dépit des condamnations de l’ONU et du droit international (…)
Il faut aujourd’hui que la communauté internationale reconnaisse la Palestine comme État non membre, à défaut (merci les USA) de pouvoir la reconnaître dans l’immédiat comme un État à part entière.(…)
Il faut réaliser l’accord de Paix tant attendu, et qui aboutirait à la reconnaissance d’un État Palestinien sur les frontières de 1967 avec Jérusalem pour capitale, et le règlement du problème des réfugiés. (…)
Pour
certains, dont monsieur Salhorgne président dans les Landes de ce fameux
mouvement de la « paix » et ces « amis » du MRAP le conflit
proche oriental est d’une simplicité enfantine ! Il n’y a qu’à… !
Il faut que… ! «Il faut aujourd’hui que la communauté
internationale reconnaisse la Palestine comme Etat». C’est le cri qu’une
poignée d’anti-israéliens primaires ont déjà lancé dans l’organe marxiste
culturel Le Monde « La
France doit dire oui à l'admission de la Palestine à l'ONU » qui leur
sert de référence. Pascal Boniface, Gisèle Halimi, Stéphane Hessel ou encore,
parmi d’autres, Jean-Claude
Lefort ancien député communiste, président de l'Association France Palestine
Solidarité, Marcel Francis Kahn ancien coprésident de l'AFPS partie de la
nébuleuse de la haine antisioniste, Pierre Tartakowsky, ancien communiste de la
CGT et président de La Ligue des droits de l'homme et Edgar Morin (*) sont de cette liste et leur appel
nauséeux comme celui de monsieur Salhorgne n’étonne donc pas.
Leur
démarche vise, disent- ils, « (…) à surmonter l'impasse du
"processus de paix" initié à Oslo et de "négociations"
menées sans référence aux paramètres du droit international. Elle répond à une
question simple : oui ou non, l'Etat de Palestine a-t-il vocation à exister et
à être reconnu dans les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale,
conformément au droit international, et donc admis au sein de la communauté des
nations ? Cette demande place les Etats membres devant leurs responsabilités :
oui ou non, vont-ils enfin choisir de faire un acte politique pour imposer le
droit ? ».
Chacun
tentera évidemment de rechercher dans les textes de loi ce ‘’droit
international’’, cité par ces signataires et par monsieur Salhorgne, qui
s’impose donc à tous, n’est pas encore appliqué et qui détermine d’emblée ce
que seront les frontières israéliennes mais aussi la Capitale du futur état de « Palestine » ?
Cela,
on s’en doute, sans que l’Etat d’Israël ait son mot à dire !
Toutefois,
bien malin celui parmi les signataires qui pourrait indiquer de quel droit
parle t-ils ?
Ils
invoqueront certainement la résolution onusienne 242 en se basant sur une
traduction française tronquée qui stipule un « retrait DES territoires
occupés » alors que la loi originale votée en langue anglaise n’évoque
que « le retrait DE territoire » afin que les futures
frontières internationales deviennent « sûres » et ne soient
plus celles que la ligne d’armistice de 1949 a tracé d’office.
Ils
présenteront, bien sûr, les Conventions de Genève de 1949 lesquelles
interdisent la colonisation, sans pouvoir démontrer que les territoires de Judée,
Samarie et de Gaza sont propriétés pleines et entières des
‘’Palestiniens’’. Un ‘’peuple’’ ayant usurpé la nationalité commune aux
Jordaniens d’avant 1946 et aux Israéliens d’avant 1948 dans l’objectif
d’imposer, dans l’imaginaire collectif, l’idée qu’il a été dépossédé de ‘’son pays’’ !
Ils
citeront, peut-être, des paramètres Clinton en oubliant de rappeler que
ceux-ci ont été refusés par Yasser Arafat lors des négociations de Camp
David en l’an 2000 car n’intégrant pas l’exigence d’un « droit de
retour », au sein même de l’état juif, de nationaux arabes d’origine
‘’palestinienne’’ désignés par la propagande islamogauchiste comme « réfugiés
palestiniens ». Un « droit de retour » ayant comme
seul objectif l’éradication de l’état juif par le jeu de la démographie.
Ils
mentionneront probablement aussi les « Accords de Genève » de
2003. Des ‘’accords’’ cependant réalisés entre particuliers et n’ayant donc
aucune valeur juridique.
Mais
ils seront dans l’incapacité TOTALE de citer UNE SEULE LOI
INTERNATIONALE impliquant un retrait israélien sur la ligne d’armistice de
1949, qu’ils nomment abusivement « frontières de 1967 », et un
renoncement à la ville sainte de Jérusalem.
C’est
donc sur une narration mensongère du conflit et une loi internationale fictive
que se basent ces ‘’humanistes’’ ou « progressistes » pour en appeler
aux autorités françaises afin qu’elles aident à faire avancer leur triste
agenda. Leur planning étant d’imposer à l’Etat d’Israël un diktat
territorial avant vraisemblablement de le contraindre à ‘’solutionner’’, au nom
bien sûr d’une « paix juste et durable », le « problème
des réfugiés ».
Ces
tristes sires ne sont motivés en fait que par la nuisance qu’ils peuvent
occasionner à l’état juif. Les ‘’Palestiniens’’ ne leur servent que
d’exécutoire. A preuve, les quelques cinq cents assassinés en Syrie par le
pouvoir encore en place et totalement ignorés par les signataires.
La
France, au bout du compte, cédera
t-elle à cette supplique ? Il est à parier fortement que oui ! La
politique pro arabe et ses besoins en pétrole et pétrodollars ainsi que la peur
d’émeutes dans les centaines de territoires perdus de la République sont des
raisons suffisantes aux yeux du pouvoir.
Dédicace au MRAP National. |
Merci
à Victor Perez pour cette belle réponse.
(*) Le 26 mai 2005 a été un très beau jour
pour la justice française. Edgar Morin et ses amis sont condamnés par une
justice française en train de regagner ses territoires perdus et son
honneur", a déclaré Me Gilles- William Goldnadel à Paris. Me Goldnadel,
président des associations France-Israël et Avocats sans frontières (ASF),
ajoute: "Avec ma consoeur Aude Weill-Raynal, [j'avais écrit] l'article
intitulé "Les territoires perdus de la justice française". Nous [y]
mettions en garde les hommes de bonne volonté de notre pays contre la tendance
de certains magistrats à excuser les pires débordements sous couvert du conflit
proche oriental, nouveau vecteur de l'antisémitisme moderne ". Le 26 mai,
la Cour d'Appel de Versailles a condamné Edgar Morin, sociologue, Danièle
Sallenave, écrivain, Sami Naïr, ancien député eurodéputé (Pôle républicain) et
Jean-Marie Colombani en sa qualité de directeur de la publication du journal Le Monde, pour diffamation
raciale à payer aux Associations France-Israël et Avocats sans frontières un
euro de dommages et intérêts, à payer à chacune des deux associations -
France-Israël et ASF - la somme de 3.000 euros au titre des frais de justice.
Elle a aussi ordonné une mesure de publication de cette décision dans le
quotidien Le
Monde
qui avait diffusé le 4 juin 2002 leur tribune "Israël-Palestine: le
cancer". Ces trois auteurs écrivaient notamment: "Les juifs qui
furent humiliés, méprisés, persécutés, humilient, méprisent, persécutent les
Palestiniens. Les juifs, victimes de l'inhumanité montrent une terrible
inhumanité. Les juifs, boucs émissaires de tous les maux,
"bouc-émissarisent "Arafat et l'Autorité palestinienne, rendus
responsables d'attentats, qu'on les empêche d'empêcher".
Cette Cour d'appel
estime que ce délit est caractérisé pour avoir imputé "à l'ensemble des
Juifs d'Israël le fait précis d'humilier les Palestiniens et d'en tirer
satisfaction " et "aux Juifs dans leur globalité et, au-delà même des
seuls Juifs d'Israël, le fait de persécuter les Palestiniens". Me
Goldnadel ajoute: "Il s'était trouvé des juges, en première instance, pour
dire qu'il faisait jour à minuit et pour prétendre, contre l'évidence textuelle
la plus aveuglante, que lorsque l'on écrivait "les Juifs "on visait
en réalité le gouvernement Sharon! Et il s'était trouvé des prétendus
intellectuels pour nous expliquer doctement que nous faisions du harcèlement
judiciaire, que nous n'obtiendrions jamais gain de cause, que nous faisions
cela en sachant pertinemment que nous perdrions et uniquement pour brider la
liberté d'expression. Si nous n'avions pas poursuivi Le Monde et Edgar Morin, alors,
cela voulait dire que ce journal ou ces intellectuels, en toute impunité,
pouvaient s'en prendre expressément aux Juifs à travers le conflit du Proche-
Orient. Si nous n'avions pas saisi la justice, nous aurions laissé se
développer un usage, et une jurisprudence, où tout devenait possible pour
certains en raison de leur position ou de leurs origines".
Michel Alain Labet de Bornay
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Fa toi !
RépondreSupprimerA l'allah n’Alise attentive de ton article harâm et non cor Annick ta mère la pute par notre équipe de mahomerdation du Saint Dicat des Journaleux Francarabiens, celui ci a été déclaré sincèrement harâm par Mohamerdatus notre logiciel qu’Oran nique sa mère mis en place sur Rue89, Bellaciao, le Monde et autres sites, socialo mahométans et marxistes culturels, celui-ci devrait être immédiatement retiré de la publication, âme doux lilas, en raison de sa non Allahité vis-à-vis de la Charia de l’AFP (Agence France Palestine) Le motif du retrait immédiat de ton article harâm sous peine de damnation éternelle dans les flammes de l’enfer mahométan, est : Sent le Rat Louf. Rame doux lilas. En fait ton article sent le cochon fils de chien ! Et pi si la charia de la ri poublique si tout. Si coum sa là, ti ferme ton gueule ducon ou ak barre toi avec ton article harâm spice di counard.
Nos mahomerdateurs islamomarxistes mrapistofurieux sont tenus à une stricte obligation de respect de la pensée mrapiste ou Mao et des corranerries musulmanes. In chat là ! Ou Lynch Allah ( Because it is the law of the west man).
Notre neutralité islamique de notre n’Allah Lise est d’ailleurs régulièrement vérifiée par un ayatollah du parti antisioniste de Dieudonné et par les mollahs et commissaires politiques de la rédac de rue89, des sites humanistes et tolérants du MRAP (Mouvement pour le Respect et l’Allégeance au Prophète) et du politburo (PSL) du MRAP National
Bon, assez riz pour aujourd’hui et même pour deux mains coupées, comme disait notre camarade Mao Tsé Toung.
Louange à Allah la queue leu leu.
On te dit pas sale mec à tes loukoums, mais va te faire beurrer la raie publique sale facho raciste sioniste.
Al Am’touchepa Shafimal pour Mahomerdatus (PSL).