mardi 1 juin 2010

France2 la télé totalitaire !


Présenter comme de l’information ce qui n’en est pas, est une pratique connue des régimes totalitaire non démocratiques, comme les régimes musulmans ou communistes.


Deux « affaires » viendrons illustrer mon propos de ce jour, toutes deux ayant la même origine, la chaîne de télévision France 2, héritière de la télévision d'état !! ... Télé d'état, télé pour magnats marxistes de la « gauche » caviar vison islamo marxiste et autres journaleux collectivistes à la solde du pouvoir et de la connerie ambiante antisioniste.

Ces deux affaires ont pour origine France2. La première concerne la suite de l’émission « Les Infiltrés », présentée sur France 2 par Monsieur David Pujadas dit (Le larbin tout lisse) (*1) et dont les pseudos reportages tournés en caméra cachée sont produits par Capa, (Chabalier Associated Press Agency) l'agence fondée par Hervé Chabalier, militant fondateur de la Jeunesse communiste révolutionnaire ! Agence vendue en 01 2010 à Monsieur Larue (*2) Ceci explique bien des choses ! Emission passée sur France 2 le 27 avril 2010, dans laquelle le mouvement nationaliste Français Dies Irae et son président Fabrice Sorlin, ont été gravement mis en cause, différentes plaintes ont d’ailleurs été déposées à l’encontre de l’agence CAPA et de France 2.


La seconde concernera l’affaire Al Dura qui avait déjà fait la une des gazettes en France et a quitté l’actualité depuis plusieurs années. Dans le monde arabe, elle a pourtant maintenant valeur de symbole. Monsieur Charles Enderlin, le correspondant de France 2 en Israël depuis 1991 en est à l’origine. Le sentiment de dégoût que suscitent l’auteur de l’affaire Al-Dura parmi les Israéliens et surtout parmi les francophones et nationalistes d’Israël est de notoriété. Pour la plupart d’entre eux, Monsieur Enderlin s’est rendu responsable de la plus vaste calomnie anti-israélienne à l’origine de la motivation meurtrière des assassins de Daniel Pearl et de la vague d’actes antisémites du début des années 2000.

La mise en parallèle de ces deux affaires démontrera la haine profonde et scandaleuse de l’ensemble de la classe politique Française infiltrée par l’idéologie marxiste et Internationale envers les nationalismes, qu’ils soient Israéliens ou Français.

En 1945, le peuple scandait " Unissons nous ! Battons nous ! Chassons le boche ! ". En 1962, les arabes Algériens scandaient "La Valise ou le cercueil". En 2003, les pacifistes marxistes et les anti-américains d’Attac scandaient "L’Irak aux Irakiens". " La France aux français ou Israël au Israélites " ? C’est interdit ? Ce serait du racisme ?
 
Lorsque l’Otan, en 1999, noie la Serbie sous un tapis de bombes pour prévenir un éventuel « génocide » des albanais au Kosovo. C’est une opération de pacification destinée à contrer la menace Nationaliste serbe.

Lorsque dix ans plus tard, on constate qu’il y a bien eu une épuration d’un peuple au Kosovo, mais celle du peuple serbe sous le joug du Nationalisme albanais. L’Otan prend acte, ne s’oppose pas, et œuvre à la création d’un Kosovo albanais.


La conscience collective accorde au Tibet d’être libéré de l’invasion et de la colonisation communiste chinoise qui métamorphose sa société traditionnelle et son identité nationale. C’est le droit des tibétains d’être libre chez eux, sans chinois.

Il devient raciste d’appliquer cette conscience à la France et à Israël.

Entre parenthèse, je dois avant toute chose  vous parler de deux cas assez symptomatiques de l’opinion que certaines personnes ont de France2  et de ces émissions. Monsieur Bernard Tapie, en particulier, un opportuniste Socialiste et criminel de droit commun mais qui n’a pas sa langue dans sa poche, avait été condamné par le tribunal correctionnel de Paris pour diffamation après avoir qualifié d'"escrocs" les journalistes de Capa et de France2.

Dans une interview parue dans un numéro de TV Magazine, il déclarait que les journalistes de Capa de l'émission Les Infiltrés, présentée sur France 2 par David Pujadas sont des « escrocs ». A l'en croire, « huit fois sur dix, ils bidonnent » et « sont capables de monter des coups avec des acteurs... ».

Pour les magistrats parisiens, les propos litigieux étaient clairement diffamatoires puisqu'ils imputaient à l'agence Capa de "faire mentir les images aux spectateurs qu'on prétend informer". Le tribunal déplorait alors l'usage chez Monsieur Tapie de "formulations catégoriques et brutales" qui ne laissent "aucune place au doute".

Pour Capa et France2 cette procédure venait s'ajouter à une autre. Capa avait en effet dit avoir attaqué un de ses propres journalistes, qui avait dénoncé la recherche de sensationnalisme de l'agence.

Djaffer Ait Aoudia, journaliste... des Infiltrés. Et ses propos chatouillaient autrement le magazine de France 2 que la charge grossière de Tapie. Dans une interview fleuve parue dans Closer (le magazine people dont la rédaction avait été aussi infiltrée, vous suivez ?), celui-ci, qui jouait le rôle d'un réfugié algérien bloqué à Calais, expliquait avoir été écarté au moment du montage de son sujet, épinglant en particulier le commentaire, « bourré d'informations erronées. (...) Le commentaire parle de drogue et de prostituées dans le milieu des réfugiés (...) Comment voulez-vous qu'un réfugié qui vient à Calais quelques jours pour partir en Grande-Bretagne, qui doit payer le passeur, qui ne connaît pas la langue, qui ne sait pas la plupart du temps où il se trouve, introduise de la drogue en France ? On est dans l'exagération totale. »

Plus grave, Djaffer Ait Aoudia déclarait que certains des réfugiés filmés à leur insu et qui évoquaient les passeurs seront en danger de mort une fois le sujet diffusé. « On m'a dit : “On va les flouter”. Le grand public ne les aurait pas reconnus, mais les passeurs, si ! Ils peuvent les zigouiller ! C'était à moi de faire le tri des images. S'ils voulaient un témoignage à propos des passeurs, il fallait utiliser ceux, explosifs, d'anciens réfugiés que j'avais rencontrés en Grande-Bretagne, des réfugiés qui étaient en sécurité et qu'on avait filmés à visages découverts. Mais non, ce n'est pas avoir la meilleure image qui compte mais la plus forte, faire du sensationnel au détriment de la réalité du terrain. » Il avait également évoqué cette affaire dans Télérama (*3) début novembre, où il prenait ses distances avec l'infiltration utilisée comme unique méthode d'investigation.


D’abord, donc, essayons de voir d’un peu plus prêt l’affaire Dies Irae, cette mascarade honteuse pour la télévision publique et une tromperie qui pourrait être malheureusement à la source de beaucoup de violence dans la France d’aujourd’hui.
Les amalgames, les mensonges et les manipulations scandaleuses de l’émission « Les Infiltrés » diffusée mardi 27 avri 2010, ou une multitude d’accusations diffamatoires ont été portées contre l’association Dies Irae et son Président Fabrice SORLIN, accusations qui ne proviennent que d’une seule source : l’agence CAPA et France 2.

Évidemment, nul n’est tenu de me croire sur parole et de soutenir Dies Irae dans cette quête de la Vérité, mais ce que nous demandons aujourd’hui, c’est d’éviter les condamnations hâtives sans jugement et sans réflexion comme celles condamnant Israël et son peuple.
Cette estocade sinistre portée à l’encontre de la Tradition Française et de l’Eglise catholique Romaine, s’apparente à toutes celles portées par la gauche marxiste au peuple juif et à Israël.

Préalablement, il convient d’indiquer qu'au sujet de « l’infiltré », le dénommé Mathieu MAYE (*4)  dont on attend toujours avec impatience la justification de sa qualité de journaliste, la société CAPA a prétendu qu’il était infiltré à compter de 2005.

Il n’est pas inintéressant de noter que l’association DIES IRAE (*6) n’existe que... depuis 2008.

On accuse nettement l’association DIES IRAE dans ce reportage d’être un mouvement raciste et antisémite.
Le mouvement DIES IRAE, ses membres  et sympathisants condamnent ouvertement ce genre de propos.

Lors de l’émission des  « Infiltrés » sur la pédophilie, un élu UMP (*5) conseiller municipal UMP du Mesnil Saint-Denis, membre du CRIF, a été mis en cause. A-t-on accusé l’UMP ou le CRIF d’être un parti pédophile ? De même, a-t-on jamais accusé le PS, la Ligue des droits de l’homme et les Verts auxquels avait adhéré Richard DURN, le tueur fou de Nanterre, d’être des organisations paramilitaires ? 

Évidemment non ! Alors pourquoi agir de cette façon avec l’association DIES IRAE ? Y aurait-il différents traitements médiatiques « selon que vous serez puissants ou misérables », selon vos idées politiques antimarxistes, ou sionistes, ou selon votre appartenance religieuse chrétienne ou Israélite?

Ce « reportage » est directement téléguidé de l’Elysée et ce pour plusieurs raisons, tout d’abord les manifestations d’antisémitisme sont maintenant le fait de toute une catégorie de population de Français de papier qui éructent d’odieux cris antisémites dans les rues de Paris,soutenus par toute une franche d’Islamos marxiste du Parti Socialiste au NPA Cliquez ici Et Là ! et qu’il convient de recadrer cela au plus vite les Français n’étant plus dupes et recommencent à « mal » voter, alors il convient de faire croire aux gogols lobotomisés par la téloche qu’un odieux complot d’extrême droite ce prépare en France !

Au travers de ces méthodes, de ces mensonges et de ce parti pris, transparaît le symbole même de la collusion entre une presse gardienne d'une idéologie islamomarxiste et un système politique social démocrate qui la porte. La situation très difficile que vit l’association Dies Irae aujourd'hui n'est qu'un épiphénomène qui s'inscrit dans le cadre beaucoup plus large d'un système politique aux abois, confronté aujourd'hui à ses propres contradictions, submergé par des crises économiques, sociales et politiques successives et de grande ampleur, et qui n'a d'autre choix pour légitimer son existence que de stigmatiser les plus critiques à son égard.
Je pense que ce que nous pouvons aujourd'hui appeler l'affaire des Infiltrés, comme il y eu une affaire Al dura, n'est que le commencement d'une nouvelle méthode de diabolisation, de haine et de diffamation à l’égard des nationalismes Français ou Israélien qui sera de plus en plus violente (*7).
Nous devons donc dès maintenant Français nationalistes philosémites et vous autres les Nationalistes Israéliens ouvrir les yeux sur cette réalité et commencer à prendre conscience de la nécessité absolue de nous serrer les coudes, de nous aider mutuellement et de nous soutenir dans les épreuves.
En un an d’infiltration et des dizaines de réunions plus tard (conférences, ateliers,…) pas un seul propos raciste, ni d’appel à la « guerre raciale » tenu par son président ou l’un des cadres de l’association, que ce soit en privé, ou en public, n’a pu être obtenu par Mathieu Maye.

N’est-ce pas une preuve confortable pour les plus sceptiques que l’association DIES IRAE n’est en aucun cas un mouvement néo-nazi, raciste, ou antisémite ?

Concernant les fameux « Carnets de Turner », (*8) cette allusion émane d’un garçon, Florent B. qui a fréquenté de manière très furtive la dite association pendant quelques mois avant de disparaître subitement en juillet 2009, quelques semaines après la fin du reportage. Après vérification, les carnets de Turner un Roman qui diffusent des thèses virtuelles ouvertement païennes, aux antipodes de la philosophie chrétienne dont DIES IRAE se réclame - et sont sans doute les plus virulents du reportage.

Après avoir rompu tout contact l’année dernière, cet individu a adressé un mail en février 2010 à ses anciens amis leur indiquant qu’il rompait tout contact avec eux pour des motifs idéologiques en affirmant qu’il avait changé radicalement d’idéologie politique. A ce jour, ce garçon vit notoirement avec une militante d’extrême gauche. La jeune femme appartient à la branche jeune du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) d’Olivier Besancenot. Cliquez ICI Pour le Nouveau Parti Antijuif! Contactez les : jeunes@npa33.org ou npajeunes.bordeaux@free.fr Jeunes du Nouveau Parti Antisémite de Bordeaux

Naturellement, l’association DIES IRAE et son président ont donné instruction à leur avocat de faire valoir leurs droits en justice et attendent avec impatience les preuves que leurs détracteurs seront susceptibles d’apporter.
Ceux qui le souhaitent peuvent les aider sur ce point, en apportant un soutien financier par un don, si petit soit-il, à l'adresse suivante « faire un don » sur http://soutien.dies-irae.fr/
Quoi que l'on puisse penser, aucune association, aucun mouvement, aucun parti, ni personne n'est à l'abri d'une telle manipulation et de tels mensonges. Lorsque vous devenez la cible du système, avec les moyens modernes de communication et l'incroyable puissance du rouleau compresseur médiatique, votre marge de défense est malheureusement très réduite.
Nous en avons la preuve avec la deuxième affaire, mettant encore une fois en cause les méthodes de France2. Wikipédia Al Dura

L’affaire al Dura. En France, elle a quitté l’actualité depuis plusieurs années. Dans le monde arabe, elle a maintenant valeur de symbole. En Grande-Bretagne ou aux États-Unis (dans le Wall Street Journal), elle a conduit, pour le moins, à s’interroger sur le respect des règles de déontologie journalistique par la télévision française publique. En France, en dehors d’articles de la Metula News Agency (Mena) fondée par Stéphane Juffa, de l’agence Media Ratings créée par Philippe Karsenty, et de quelques mentions faites dans un livre boycotté, nul n’en a entendu parler.

Les faits sont connus : un homme et un petit garçon se trouvent pris sous le feu de l’armée israélienne. Ils tentent de se réfugier derrière un baril de béton, le long d’un mur. Le petit garçon est « tué ». Il est la « victime innocente » de la « barbarie sioniste ». Les images sont filmées par Talal Abou Rahmeh et commentées par Charles Enderlin, qui ne doute pas un seul instant de ce que son cameraman lui montre, bien qu’il n’ait pas assisté à la scène.
La figure du « petit garçon mort », telle que filmée et expliquée (sur France 2) se retrouve de Gaza et de la Cisjordanie au Liban, à l’Égypte, à l’Iran. Des enquêtes suivent : l’une débouche sur un documentaire de la télévision allemande (« Trois balles et un enfant mort »), et conclut que le petit garçon n’a pu être tué par des balles israéliennes, mais a été victime de tirs palestiniens.
Une autre (celle de la Mena) conclut, elle, démonstrations rigoureuses à l’appui, que tout cela n’a été qu’une odieuse mise en scène.
Les téléspectateurs français n’ont pu voir ni le documentaire allemand ni celui de la Mena. Aucun débat n’a pu avoir lieu sur la question.
Pour l’avoir dit, et pour avoir mis en doute la version officielle de France 2, Media Ratings s’est vu accuser de diffamation.




(*1) David Pujadas est membre du club Le Siècle Club de réflexion et d'influence.

Le Siècle est un « club », fondé en 1944 par Georges Bérard-Quélin, réunissant des membres très influents de la « classe dirigeante » française. On y retrouve des hauts fonctionnaires, des chefs d'entreprises, des hommes politiques de droite ou de gauche, des syndicalistes, ou encore des représentants du monde de l'édition et des médias de premier plan.

Quelques membres du Siècle :

- Nicolas Sarkozy (sixième président de la Ve République et ancien ministre et président de l’UMP)
- David Pujadas (journaliste et présentateur télévisé TF1, France 2)
- Martine Aubry (Femme politique socialiste)
- Jean-Marie Colombani (journaliste Le Monde)
- Michèle Cotta (journaliste, ancienne directrice de France2)
- Anne-Marie Couderc (Hachette Filipacchi Médias)
- Rachida Dati (ministre de la Justice)
- Laurent Fabius (ancien trotskiste et ancien premier ministre)
- Laurent Joffrin (journaliste et directeur de publication Libération)
- Corinne Lepage (avocate, ancien ministre de l’Environnement)
- Lionel Jospin (Socialiste,ancien premier ministre)
- Serge July (ancien PDG de Libération)
- Maurice Lévy (PDG de Publicis)
- Jean-Marie Messier (conspirationniste, ancien membre)
- Nicole Notat (présidente de Vigeo et ancienne dirigeante de la CFDT)
- Patrick Poivre d’Arvor (journaliste et présentateur télévisé TF1)
- Jean-Pierre Raffarin (ancien premier ministre)
- Édouard de Rothschild (banquier et homme d’affaires)
- Louis Schweitzer (ancien président du conseil d’administration de Renault, président de la HALDE)
- Dominique Strauss-Kahn (ancien ministre des Finances, Directeur général du FMI)
- Marc Tessier (ancien président de France Télévisions)

Sur Canal Plus, les "Guignols de l'info" ont fait allusion au Siècle, avec une séquence où une organisation nommée "Le Spectre" gouverne secrètement la France. Dans une mise en scène à la manière de James Bond - "Octopussy" ou de la série TV "Le Prisonnier", on y voit des personnalités médiatiques et politiques obéir servilement aux ordres du "n°1" de l'organisation, incarné par la marionnette d'Ernest Antoine Seillière.

(*2) Fabrice Larue, PDG de Fabrice Larue Capital Partners (FLCP), a pris, vendredi 29 janvier 2010, le contrôle de la société CAPA. Fondée en 1989 par le journaliste communiste révolutionnaire Hervé Chabalier, qui en était depuis toujours l'actionnaire majoritaire, Capa emploie aujourd'hui plus de 230 personnes - dont 134 permanents - et a réalisé, en 2008, un chiffre d'affaires de 45 millions d'euros.


(*3) L'article de Télérama Extraits : « Ce que voient ces adeptes de l’imposture journalistique (…) Cette immersion dans un univers peuplé d’individus floutés sera suivie d’un débat animé par David Pujadas. « Il s’agit de confronter le téléspectateur à des situations anormales, voire condamnables, afin de provoquer un choc salutaire », (…) la méthode chatouille sérieusement la déontologie : voici des « journalistes » qui mentent, piègent, volent des images. (…) l’imposture n’est pas un outil d’investigation parmi d’autres : c’est le concept même de l’émission. » Jean-Michel Aphatie, pourtant profane en matière de reportages d’investigation, a ainsi, sur son blog, fait du magazine de Capa sa bête noire du moment. Pour l’intervieweur politique de Canal+ et RTL, Les infiltrés incarne un journalisme dévoyé, méprisable et donc inacceptable : « Avancer masqué s’apparente à du viol. » « Ce n’est pas du journalisme, c’est de l’espionnage. » !


(*4) Mathieu MAYE avait été infiltré, en qualité de journaliste dés 2005 au sein du FNJ puis fin 2008 au sein de l’association DIES IRAE. 
Ayant tout lieu d’exprimer les plus expresses réserves sur la qualité de journaliste du susnommé, l’Association a fait délivrer à l’agence CAPA une sommation interpellative de communiquer la carte de presse de Monsieur MAYE pour les années 2005 jusqu’à ce jour.
L’agence CAPA n’a pas déféré à cette sommation ni même indiqué les raisons pour lesquelles elle ne souhaitait pas justifier de sa prétendue qualité de professionnel. Il conviendra donc d’en tirer toutes les conséquences qui s’imposent tant sur les méthodes journalistiques parfaitement contestables au regard des règles déontologiques de la profession, qu’au regard des affirmations de l’agence sur la qualité prétendue de journaliste de Monsieur MAYE.
La dénonciation de ces méthodes et de ces procédés ne visent évidemment pas à éluder le contenu du reportage à l’encontre desquels l’association DIES IRAE et son président, vont engager prochainement une action judiciaire et rétablir la vérité.
Ci-après un lien vers un excellent article repris du site Novopress, et tiré du journal Minute, qui remet totalement en question les fondements de l'émission des Infiltrés, "À l'extrême-droite du Père". Pour information, nous tenons quand même à préciser une nouvelle fois, que contrairement à ce qui est dit dans cet article, nous ne sommes pas un mouvement catholique mais bien un mouvement politique et social. Extrait:

« Un FAF est un être immonde qui n’a pas le droit de cité dans le monde où l’on vit. » Un « faf », c’est un « facho ». Quelqu’un d’« extrême droite ». Comme les gens que Les Infiltrés, l’émission présentée par David Pujadas, ont montrés la semaine dernière sur France 2. Avec, parmi les acteurs à charge, un certain Antoine, lecteur des Carnets de Turner. Un Antoine qui s’appelle en réalité Florent, et qui est l’auteur de la phrase citée : « Un FAF est un être immonde qui n’a pas le droit de cité dans le monde où l’on vit » ! Voilà qui fait prendre un nouveau coup dans l’aile au « reportage » effectué par l’étrange Mathieu Maye. Les révélations de Minute.

(*5) Source : «  le pervers de 64 ans qui draguait la petite jessica de 12 ans et lui disait qu'il lui apprendrait à faire l'amour en douceur (…) ce porc est un élu UMP des yvelines et haut membre du CRIF. Haut membre de la croix rouge aussi. C'est Maurice Gutman (…) au niouf depuis février.



 Extraits : Maîtres absolus de la télé
Barons de la presse imprimée
Vous nous endoctrinez
En prétendant nous informer
Votre vocation devrait être communiquer
Mais elle est devenue dominer et intoxiquer.
Fils de Goebbels et de Staline
Enfants des pires vermines
Vous avez troqué la déontologie
Contre une funeste idéologie 
La grande messe du vingt heures
N’est plus que le bal des menteurs,
Maqués avec les politiques
Vous n’êtes que des putains médiatiques,
Corps et âmes vendus
Aux pires des corrompus. 
Coluche le visionnaire disait dans le fameux sketch « Et puis y'a la télé » en 1977 :
«  La question qu'on s'pose c'est pourquoi les gens ils sont devenus cons. Hé ben c'est parce qu’on les abrutis avec la télé, les journaux, la publicité, alors bon.(…).Et puis alors t'as la télévision. Alors le mec y rentre du boulot, c'est les informations le soir à 8 heure, ( …) On s'autorise à penser dans les milieux autorisés" alors ça les milieux autorisés c'est un truc vous y êtes pas vous hein. Vous êtes même pas au bord, vous n’y êtes pas du tout. Le milieu autorisé c'est un truc, c'est un endroit autorisé ou y'a plein de mecs qui viennent pour s'autoriser des trucs; mais y'a que le milieu qui compte. Et là d'dans y'a une poignée de connards qui tournent en rond en s'autorisant des trucs : "qu'est tu fais là ? Ben j'sais pas j'vais p't'être m'autoriser un truc mais c'est vachement gonflé j'hésite."
"S'autorise à penser dans les milieux autorisés qu'un accord secret" alors là vous savez ce que c'est qu'un accord secret. C'est un accord dont, que on a pas le droit d'en parler. C'est interdit d'en parler donc pas dans l'information non plus. "Qu'un accord secret pourrait être signé" c'est même pas sur ! Et alors moi je dis que quand un mec, sur une information, il en connait pas plus que ça, il a qu'a fermer sa gueule ! Et même... Et même à la rigueur il s'rait pas venu on était pas fâchés.
Bon alors pendant c'temps là y'a des filous derrière qui nous fabriquent des centrales, des prisons, des canons pour nous becqueter l'oxygène et les autres avec leurs tronches de premier de la classe, y s'pointent le soir à 8 heure "le temps restera nuageux sur une majeure partie de la France" et merde !
Et alors c'qu'est formidable c'est qu'ils se croient honnêtes ces cons là. Ils se croient honnêtes. Ils sont sûrs qu'ils disent l'information.
Alors ils voudraient qu'on soit intelligent et y nous prennent pour des cons ? Ben comment on f'rait alors ?
(*7) Dies iræ est une locution latine signifiant Jour de colère. La réforme liturgique du concile Vatican II a supprimé le Dies irae du rite ordinaire de la messe romaine qui l’avait adopté depuis le XIIIe siècle.
(*8) Source : Les carnets de TURNER en Français. Roman. Roman d'Andrew Macdonald (William L. Pierce) ? Attention :

Arrêté du 21 octobre 1999 portant interdiction de circulation, de distribution et de mise en vente d'une publication

NOR: INTD9900515A
Par arrêté du ministre de l'intérieur en date du 21 octobre 1999, considérant que la publication intitulée Les Carnets de Turner est de provenance étrangère en ce qu'elle est la traduction française de l'ouvrage The Turner Diaries (Les Carnets de Turner), écrit en 1978 sous le pseudonyme d'Andrew Mac Donald par William L. Pierce, de nationalité étrangère, considérant que la mise en circulation en France de la publication Les Carnets de Turner est de nature à causer des troubles à l'ordre public en raison de l'apologie du racisme, de l'antisémitisme et du recours à la violence qu'elle fait, la circulation, la distribution et la mise en vente de la publication intitulée Les Carnets de Turner sont interdites sur l'ensemble du territoire.

NB : Vive la France et la censure d’état xénophobe ! L’état Français censure une oeuvre littéraire, un roman, une narration fictionnelle parce qu’elle est une publication ETRANGERE !. "Ce sont les despotes maladroits qui se servent de baïonnettes, l’art de la tyrannie est de faire la même chose avec des juges ». Camille Desmoulins.






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