Emeutes: "Ce n’est pas de la politique mais du vol"
Il ne s'agit "pas de politique, ni de manifestation, mais de vol", a déclaré M. Cameron. "On ne tolérera pas cela dans notre pays", a-t-il ajouté devant le Parlement britannique, réuni en session extraordinaire après les pires émeutes urbaines qu'ait connues le pays depuis des décennies.
"C'est de la criminalité pure et simple. Et il n'y a pas d'excuse pour cela", a-t-il insisté. "Ce n'est pas un problème de pauvreté, mais de culture. Une culture de violence et de manque de respect à l'égard de l'autorité."
Seulement voilà si l’analyse du premier ministre Anglais est juste, elle ne l’est que partiellement. Cette sois disant « culture » a un nom ; il s’agit de l’Islam qui coiffant les aspirations les plus viles, flattant les pulsions les plus archaïques, encourageant la paresse intellectuelle, l'intolérance, l’hypocrisie, la violence, prêchant un virilisme pathologique, justifiant les pires ignominies antiféministes et antisémite, l'islam n'est ni une sagesse, ni une civilisation, ni un mode de vie, c'est un fléau."
Le pillage et le vol dans le monde musulman n’est pas un phénomène accidentel, ni le résultat des habituels causes désignées par les collectivistes marxistes culturels ou Islamo marxistes qui comme : Cliquez ICI sur le Post.fr nous soutiennent que : « les émeutes actuelles en Angleterre sont les fruits de l'injustice liée au système capitaliste et étatique, défendus par la police ». Le discours débile de ces pauvres crétins lobotomisé par l’idéologie collectiviste avec les autres humanistes progressistes et pacifistes nous disent que ces actes malveillants on pour cause– pauvreté, ignorance, injustice –mais avec l’échec de ces concepts de « vivre ensemble », de « multiculturalisme », on a en fait affaire à un processus systématique islamique bénéficiant d'un soutien idéologique total.Rien de surprenant à cela quand on écoute par exemple les propos du prédicateur musulman Abu Ishaq al-Huwaini :
« Si nous pouvions réaliser une invasion djihadiste ne serait-ce qu'une fois par an, ou, si possible, deux ou trois fois, alors beaucoup de gens dans le monde deviendraient musulmans. Et si certains s'opposent à notre dawa [prosélytisme], ou se mettent en travers de notre route, nous devons les tuer ou les prendre en otages, ou confisquer leur fortune, leurs femmes et leurs enfants. De telles batailles empliront les poches des Mujahids [combattants], qui pourront ramener chez eux trois ou quatre esclaves, trois ou quatre femmes et trois ou quatre enfants. Cela pourrait s'avérer une opération rentable si vous multipliez chaque prise par 300 ou 400 dirham. Cela pourrait constituer une sorte d'abri financier permettant à un djihadiste, en cas de besoin financier, de vendre une de ses prises (c'est-à-dire esclaves). »
Huwaini cite le Coran comme référence d'autorité – se vantant d'avoir [à son appui] un chapitre entier intitulé « butin » – ainsi que la sunna [tradition] de Muhammad, et évoquant précisément le célèbre hadith Sahih Muslim, dans lequel le prophète ordonne aux armées musulmanes de proposer trois choix aux non-musulmans : la conversion, la captivité, ou la mort ([auxquelles peut se substituer] l'esclavage).
Dans la salle d'audience du tribunal de la cité de Westminster, au sud de Londres, les prévenus se prénomment Youssef, Marwan, Samir, Omar, Ibrahim... Tous musulmans ! Ils ont entre 16 et 20 ans. Tous sont nés en Angleterre. Habillés d'un tee-shirt de marque sportive, uniforme classique « casquette survêt, baskets », ils sont déscolarisés, sans travail et vivent le plus souvent chez leur mère séparée ou divorcée, d'expédients, de vol et de trafics de cannabis ou de cocaïne quand ce n’est pas du crack ou de l’héro. Dans le box vitré où ils comparaissent entre deux policiers noirs en chemise blanche et cravate, ils n'ont pas peur, affichant une relative indifférence à l'examen de leur dossier ou même ricanant.
Tous les prévenus sont là sous l'accusation de violent desorder (troubles sérieux à l'ordre public), deuxième degré dans l'échelle des incriminations, le plus grave étant le rioting (l'émeute). Dans le premier cas, les accusés encourent six mois de prison, dans le second dix ans.
Ibrahim a 16 ans et demi. Le juge veut savoir si l'un de ses parents est présent. Réponse négative de l'avocat qui voudrait que son jeune client soit assigné à résidence, dans l'attente d'être jugé, quitte à pointer au commissariat du coin. Le juge refuse, la représentante de l'accusation, une jeune blonde ardente (C’est vilain les blondes ! Manquerait plus qu’elle soit Chrétienne d’extrême droite, on sait jamais avec ses blondes !), ayant juste avant égrené la liste des huit infractions pour lesquelles il a le pauvre chéri, ces dernières années, été reconnu coupable. Cela va des incivilités (sic) à la détention et à la consommation de cannabis, un inventaire qu'Ibrahim a écouté en se frottant les yeux ou en se caressant le menton. "Il y a une escalade", observe la juge. "C'est un délinquant d'habitude. Son mode de vie est tel qu'il ne se conformera pas à une assignation à résidence", dit-elle d'un ton neutre, tout en lui reconnaissant "l'immaturité émotionnelle" sympa la nouvelle appellation d’un musulman « Immature émotionnel ! » plaidée par son avocat.
Pas de cadeau non plus pour Youssef, 19 ans, dont l'avocat avait tenté de démontrer que c'est un bon musulman qui fait le ramadan et va à la mosquée, comme si c’était une preuve de bonne conduite ! Rappelons que tous les terroristes assassins criminels musulmans sont de bons musulmans qui font le ramadan et vont dans les mosquées. Son casier judiciaire affiche une condamnation à trois mois de prison avec sursis pour détention et consommation de drogue. Madame le procureur relève naïvement qu'alors on lui a donné une chance de se racheter en le laissant en liberté. Interpellé une nuit de pillage et de violence dans des circonstances qui restent à éclaircir, la justice préfère se le garder sous la main. Samir, 18 ans, paraît content de lui avec sa petite barbichette de mollah, et ce n'est surtout pas un tribunal qui va l'intimider. Les policiers lui ont mis la main au collet alors qu'il sautait, criait dans la rue, se montrant "agressif". Becky Owen, représentante de l'accusation, lui reproche d'avoir participé à un "kidnapping". Deux acolytes tenaient en respect un homme, et il a filmé la scène. Son avocat souligne que son client est scolarisé, et qu'il « travaille » pour des organisations caritatives dans le cadre de matchs de football. Madame le juge ne veut rien savoir, d'autant qu'il s'est montré récalcitrant au moment de son interpellation. Jour et nuit, c'est ainsi depuis deux jours dans les tribunaux de Londres, la justice anglaise suit son cours.
Et chez nous ? C’est aussi NIQUE TA MERE LE JUGE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Bande de bâtards !
Et dire qu’on voudrait nous faire croire comme on a voulu le faire croire aux anglais, au forceps (ils l’ont dit chez nous les Sarkozy-Bruni de l’UMPS), que ce genre d’individu est une chance pour notre pays, une pépite pour notre avenir, un modèle socioculturel ?
Vous avez raison, Michel, mais il est aussi vrai que l’ignorance inhérente à l’Islam Idéologie politique sans culture, conduit tout droit à la pauvreté de ses adeptes ! Quand à l’injustice elle existe aussi de par le fait que l’on donne de l’argent à ses populations au détriment des de souche qui les entretiennent à rien faire et à voler quand ce n’est pas beaucoup plus grave !
RépondreSupprimerConnaissez vous l’histoire des Duponts ?
Les Dupont sont propriétaires d’une très belle maison de famille, qu’ils se transmettent, améliorent et retapent depuis des générations.
Un jour ils ont employé et logé une bonne.
Au bout de quelques mois le gouvernement leur a dit que la bonne était aussi une Dupont, ainsi que son mari et ses enfants et qu’ils avaient les mêmes droits qu’eux sur la maison.
Comme les Dupont n’étaient pas d’accord le gouvernement leur a infligé une lourde amende et a mis le remonté d’entre eux en prison pour racisme anti-bonne.
Les enfants de la bonne vexés et pas très intelligents ont saccagé la maison.
La police est venue les arrêter puis les a aussitôt relâchés, le gouvernement ayant jugé qu’ils avaient été insultés. Ils sont donc revenus s’installer tranquillement dans la maison des Dupont, et attendent que les Dupont réparent les dégâts.
Pour moi, ni le gouvernement, ni les beaux esprits, ni les intellos, ni les gauchistes, rien ni personne ne me fera croire que la bonne des Dupont, le mari de la bonne et ses enfants sont des DUPONT.
Âne Onime.
RépondreSupprimerTu est un raciste! la famille de la bonne sont des Duponts !
Puisqu'ils habite chez les Duponts!