l faut dissoudre l’AFPS, Soutien de la campagne antisémite BDS.

Collectif Tous ensemble contre le nouvel antisémitisme.: Il faut dissoudre l’AFPS, Soutien de la campagne a...:   A l'heure où les écrits racistes et antisémites se multiplient sur Internet et où les populations françaises de souche,font l'objet d'un déferlement de haine, à l’heure ou des musulmans agressent et assassinent des personnes de confession Israélite,des enfants juifs, pour la première fois depuis plus de 50 ans, on assiste au meurtre d'enfants juifs dans une école! Il est temps de rappeler aux associations éditrices de contenus haineux que le racisme antisémite n'est pas une opinion mais un délit, et que le CTECNA veillera tout particulièrement à dénoncer ceux qui depuis plusieurs années multiplient les messages antisémites sur la toile.

C’est cet antisé­mite  exclusivement de gauche que les pourritures marxistes nomment de l’anti­sio­nisme (fondé sur un sou­tien inconditionnel au terrorisme et au natio­na­lisme pales­ti­nien et non sur l’unité entre « prolét­aires » juifs et arabes) qui a contri­bué à créer cet immonde climat antisémite, volon­tai­re­ment en France par l’AFPS, la CAPJO, le PCF, le PS, le NPA, EELV, SOS Racisme, le MRAP, la LDH, le LICRA, le PIR,et le FRONT DE GAUCHE ANTISEMITE. et à l’éch­elle mon­diale par l’Internationale Socialiste . Comme l’écrit jus­te­ment (pour une fois) Pierre-André Taguieff : « Être en per­ma­nence accusé de conni­vence ou de com­pli­cité avec les "sio­nis­tes", assi­milés à des "racis­tes" vivant dans un État pra­ti­quant l’ "apar­theid" et se com­por­tant "comme des nazis" à l’égard des Palestiniens, présentés comme de pures "vic­ti­mes" par des dis­cours de pro­pa­gande com­plai­sam­ment dif­fusés par les médias, cela donne aux enfants juifs de la dia­spora le sen­ti­ment d’être des cibles poten­tiel­les. La hon­teuse cam­pa­gne de boy­cot­tage mul­ti­di­men­sion­nel d’Israël va dans le même sens : chaque enfant juif peut se sentir lui-même socia­le­ment boy­cot­ta­ble ou sus­cep­ti­ble d’être désigné comme sus­pect par tel ou tel com­mando d’ "indi­gnés" vio­lents, dotés d’une bonne cons­cience en béton armé. D’où une anxiété liée à la convic­tion d’être exposé à la stig­ma­ti­sa­tion ou à l’agres­sion phy­si­que. » (Le Point, 22 mars 2012.)

Michel Alain Labet de Bornay.

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