Merci, merci, encore mille mercis au MRAP des Landes et à son anonyme et courageux rédacteur si instructif pour cet article La lutte de race et le racisme antiblanc ou on peut lire : « Une poignée d’intellectuels, prenant prétexte d’un paragraphe du rapport d’orientation du congrès du MRAP évoquant le racisme antiblanc comme un avatar du racisme dominant, prend notre organisation pour cible. »
Monsieur Pierre Tévanian cher au fameux rédacteur anonyme dans un article sur Internet : Les nouveaux sous chiens de garde. Affirme : « Le MRAP qui a finalement fait sienne, à l’issue de son dernier congrès, la notion profondément perverse - et pour tout dire : raciste - de racisme anti-blanc ! Une pétition publiée par le site Rue89 s’en est inquiétée à juste titre, tout en concédant que « le MRAP n’a pas de leçons d’antiracisme à recevoir ». Parce qu’il me semble pour ma part qu’il en a à recevoir, d’urgence. » Monsieur Tévanian ajoute : « toutes les haines sont identiques quels que soient leurs objets, et que par conséquent nous devons mettre sur le même plan et rejeter dans la même indignité la haine de l’oppression et la haine du bougnoule ».Qu’est ce qu’on riz comme disait Mao Tsé Toung.
Bien, assez ri ! Et revenons à nos agneaux; ou nos moutons de l' Aïd.
Par ses nouvelles orientations le MRAP qui tiens déjà un discours qui n’a rien à envier à Rivarol ou Minute, rejoint l’AGRIF dans ses options et va peut être se porter partie civile dans un des premiers procès de vrais racistes antiblancs.
Car, Saïdou Dias un « idiot utile » rappeur du groupe de « hip-hop » sexiste, matérialiste et prônant la violence Z.E.P ( Zone d’Expression Populaire) ex MAP (Ministère des Affaires Populaires) et Saïd Bouamama un intellocrate marxiste dit « sociologue » affilié à la CGT et membre de la Coordination communiste, deux « Roubaisiens » bien de chez nous, viennent d’être mis en examen par le tribunal de Paris pour « injures publiques envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une race ou une religion », pour faire court, nos deux complices sont des présumés racistes incitant à la haine de la nation Française et des blancs !
En août 2010, les deux présumés racistes, Algériens d’origine et de race blanche (*) avaient sorti un pamphlet haineux « Nique la France – Devoir d’insolence » et le hideux morceau de bruit de mots vulgaires « Nique la France ».
Indignation face à la « thèse » indigente et générale qui légitime les violences à l'encontre de ce même pays, au motif qu'elles seraient la conséquence de prétendues inégalités ethno sociales que subiraient « les jeunes » des « quartier ».
Indignation devant les nombreux passages où cette même thèse marxiste est reprise et amplifiée avec crudité, du genre : « C'est pourquoi nous disons calmement et sereinement `Nique la France' coloniale, raciste et inégalitaire ».
Mais l'indignation ne suffit pas. D'une certaine manière, ce serait faire plaisir aux deux libellistes, qui revendiquent un prétendu « devoir d'insolence » (c'est le sous-titre du livre).
Ce qu'il faut surtout, c'est analyser cet ouvrage, le décortiquer, et mettre à jour un discours : 1. communautariste et raciste ; 2. totalitaire ; 3. belliciste.
1) Le discours est clairement communautariste et assumé comme tel. Il y a un « nous » qui parcourt les lignes et ce « nous », est-il écrit, « est composé des Noirs, des Arabes, et des Musulmans de France ».
Plus que tout autre - j'imagine, par conséquent, les Blancs, les Chrétiens, probablement aussi les Asiatiques - le « nous » serait victime des inégalités, des injustices, et trouverait là la justification de sa révolte. « Nous avons à clamer haut et fort que nous sommes des victimes et que nous le savons » est-il écrit. Dès lors, le discours en devient raciste car chaque catégorie est renvoyée à une essence quasi congénitale : le « nous » est élevé à une espèce d'innocence fondamentale, tandis que les autres sont plus ou moins des coupables, la France constituant, quant à elle, une entité demeurant à jamais colonisatrice.
2) Ce discours est totalitaire. Il est totalitaire parce qu'il repose sur une vision du monde marxiste culturelle qui s'impose à tout, qui ne conçoit aucune limite, et qui rejette toute manifestation ou simplement tout fait adverse qui viendrait la contester.
La thèse, je l'ai dit, c'est que le « nous » subit toutes sortes d'inégalités, d'injustices, et en cela se trouve tout à fait légitime à niquer la France, siffler la Marseillaise, et « brûler des voitures, des commerces, ou des édifices publics ». S'indigner de telles violences, est-il repris sur la quatrième de couverture, c'est « présenter comme une cause ce qui n'est qu'un résultat ». Autrement dit, la conduite insultante, agressive, violente, est vue, en elle-même, comme le signe de l'injustice subie et trouverait par là le sceau de la nécessaire innocence. Et aucune limite ne paraît devoir être envisagée à une telle séquence : que certains du « Nous » en viennent au meurtre ou à la guerre civile, cela serait vu, dans ce cadre totalitaire, comme l'expression d'une injustice plus forte et plus intolérable encore. Quand des contre-exemples pourraient contester cette belle construction intellectuelle marxiste de style Front de Gauche, ils sont tournés en dérision : les fils d'immigrés qui réussissent, sont « les fayots de la République inégalitaire », les musulmans modérés sont surtout là pour mettre en exergue « la minorité dite (sic) extrémiste qui mettrait en danger les valeurs de la République ».
3) Ce discours est belliciste. L'ouvrage n'a pas pour objet de s'attaquer aux inégalités et aux injustices qui sévissent en France ; il s'agit plutôt de s'attaquer à la France qui porterait, par essence, des injustices à l'encontre des « Noirs, des Arabes, et des Musulmans ». Non pas d'agir dans l'espace d'un pays, mais de mettre à bas le pays en question. De là la figure provocatrice d'une France colonisatrice... en France. Une telle construction peut paraître complètement absurde : comment un pays peut-il se coloniser lui-même ? En réalité, il convient d'être extrêmement vigilant face à l'instrumentalisation d'un tel symbole. Si la France est colonisatrice chez elle, c'est que l'on commence à estimer que certaines parties du territoire ne lui appartiennent plus. Les auteurs, d'ailleurs, ne disent pas autre chose, et dès les premières pages : « nous reprendrons possession de nos espaces volés ; les rues, les écoles, les facs, les places publiques, les jardins d'enfants, les usines... ». Les futurs séditieux, les acteurs des Intifadas françaises à venir, ont ainsi déjà trouvé l'idéologie marxiste nauséabonde sur laquelle s'appuyer.
Voir ICI: J'ai acheté et lu "Nique la France". : Monsieur Bouamama, au sein de l’institut de formation IFAR, est notamment responsable de la préparation au Certificat d’Aptitude aux Fonctions d’Encadrement et Responsable d’Unité d’Intervention Sociale (C.A.F.E.R.U.I.S.). En est donnée la description suivante : « Les cadres de proximité interviennent dans le secteur social. Ils sont les acteurs de la mise en œuvre de l’action sociale et médico–sociale . Ils tendent à promouvoir l’autonomie et la protection des personnes, la cohésion sociale, l’exercice de la citoyenneté (ça ne s’invente pas !) . Ils cherchent à prévenir les exclusions et à en corriger les effets. Nul doute que M. Bouamama inculque aux candidats, qui œuvrent le plus souvent dans des établissements publics ou des associations subventionnées par l’État, sa vision de la société française « pyramide de l’oppression avec des strates cloisonnées et hiérarchisées … tout en bas et sans aucun droit les indigènes, ensuite les indigènes évolués… ensuite les petits Blancs et enfin la bourgeoisie coloniale. Bravo la cohésion sociale ! Un des chapitres de son ouvrage s’intitule » la révolte des quartiers populaires est légitime » (émeutes de 2005). Bel apprentissage de la citoyenneté ! »
Maintenant passons au cas Saïdou Dias l’autre présumé raciste l’auteur de la « chanson » haineuse « Nique la France » éructation barbare qui prépare la guerre ethnique en France.
Dans la rhétorique anti-française islamo marxiste, un grand pas supplémentaire a été franchi par le clip rap de trois individus ayant pris pour nom : « Zone d’expression populaire ». Les premières notes révèlent un mélange de musette et de rap : mixité des musiques ; sur la scène commencent à s’activer les trois « chanteurs », le dénommé Saïdou Dias du groupe « Ministère des Affaires Populaires » et deux seniors qui se font appeler Busta Robert et MC Jean-Pierre : mixité des cultures et mixité des générations.
« Nique la France », c’est le titre de cette charmante bluette.
Après le refrain, avec le rythme des mélopées propres au rap, les couplets vont se succéder, par exemple : « tu découvres que tu vis chez les gros cons, les rastos (racistes), qui n’ont jamais enlevé leur costume de colon » ou bien, avec tout autant de délicatesse : « c’que j’en pense de leur identité nationale, de leur Marianne, de leur drapeau, et de leur hymne à deux balles, j’vais pas t’faire un dessin, ça risque d’être indécent, de voir comment j’me torche avec leurs symboles écœurants ».
La France en prend pour son grade. Sont visés « les nazillons » et les « bidochons décomplexés », mais aussi le Français moyen, ce « petit bourgeois, démocrate, républicain, [dont le] pays est puant et raciste et assassin » : rien que ça… Les assauts anti-français vont de pair avec un anti-intellectualisme digne de l’extrême droite la plus rétrograde. Cela donne : « et y’a des intellos, des p’tits fachos à lunettes, des têtes à claques », le couplet se poursuivant par une très élégante attaque ad hominem : « comme la connasse de Fourest, qui propagent et alimentent la haine du musulman et du banlieusard avec leurs discours stigmatisants ».
Mais un autre registre est également mobilisé pour les besoins de la cause anti-française. Face aux diverses forfaitures de notre pays, la principale étant bien sûr un racisme congénital, le devoir s’impose. La chanson nous en précise les termes : « c’est mon devoir d’insolence, mon devoir d’irrévérence, mon devoir d’impolitesse, mon devoir de résistance ». Le mot est lâché : résistance. Dans une France glauque, nauséabonde, livrée… aux Français, heureusement s’est constituée une résistance. Tels les résistants qui firent face à la barbarie nazie, de nouveaux résistants, anti-racistes cette fois, se sont levés. ZEP aime jouer avec les paradoxes : quand l’ancien résistant résistait à l’occupant, le nouveau s’oppose au national. L’inversion est scélérate, mais l’on n’a que trop compris le but de la manœuvre : conforter les niqueurs de France et troubler un peu plus leurs victimes.
(*)Pour Bouamama la "race" n'existerait pas scientifiquement mais elle serait néanmoins socialement construite par le système de discrimination raciste. C’est un pur sophisme marxiste du style : Un problème comporte toujours au moins une solution. Donc s'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. En 1996 une centaine de « chercheurs » avaient signé un appel, lancé par le Pr Albert Jacquard un « grand humaniste » à la demande du MRAP, qui affirmait fallacieusement que « le concept de race ne peut être défini qu’au sein d’espèces dont divers groupes ont été isolés les uns des autres suffisamment longtemps pour que leurs patrimoines génétiques se différencient. Il se trouve que, dans l’espèce humaine, cette différenciation est si peu marquée que le concept de races humaines est non opérationnel. » Ce texte a notamment été signé par Jean-Pierre Changeux, Claude Cohen-Tannoudji, professeurs au Collège de France, Marc Augé (Ecole des hautes études en sciences sociales), Axel Kahn (INSERM), etc. Au-delà de la posture politiquement correcte (donc favorable au plan de carrière des signataires), et relayée par les médias habituels, qu’en est-il en réalité ?
La réalité, c’est que du XVIIIème siècle jusqu’à la moitié du XXème, tous les anthropologues, biologistes, et chercheurs en sciences sociales acceptaient le fait que l’espèce humaine contient un certain nombre de races biologiquement distinctes. Soit tous les scientifiques de cette époque – où notre civilisation a fait tellement de progrès – étaient des imbéciles, soit depuis la moitié du XXème cette question est devenue tellement politisée que dire la vérité est devenue professionnellement suicidaire. Après l’Art d’État, on a la Science d’État.
La définition d’une race, c’est un groupe qu’on peut reconnaître comme étant différent d’un autre groupe. En termes un peu plus scientifiques, c’est un ensemble de population qui se reproduit et qui a des fréquences de gènes différentes d’un autre groupe, conduisant à des différences observables. Quand 75% des individus peuvent être classés sans équivoque par des critères objectifs comme appartenant à un groupe ou un autre, ces groupes sont des races.
Or c’est visiblement le cas dans l’espèce humaine. Par exemple, les gènes pour la couleur de peau noire sont présents chez les Africains mais absents chez les Européens. Les gènes pour les yeux bridés sont présents chez les Asiatiques mais absents chez les Africains et les Européens. L’allèle (version de gène) pour la mucoviscidose est beaucoup plus fréquent chez les Européens que chez les autres, etc.
Un sondage réalisé en 1985 parmi les anthropologues américains a révélé que 59% d’entre eux acceptent l’existence des races. En 2001, un sondage similaire réalisé en Pologne donnait 75% de réponses allant également dans ce sens. Et ce, malgré l’influence étouffante du politiquement correct.
Selon les auteurs, on peut classer l’espèce humaine en 4, 5, 6, 7 ou 10 races. La classification en 10 races, utilisée par le Professeur Richard Lynn dans son livre Race Differences in Intelligence : An Evolutionary Analysis (2006), est la suivante :
1. Européens
2. Africains (Noirs)
3. Bushmen du désert du Kalahari et Pygmées
4. Habitants de l’Asie du sud-ouest et de l’Afrique du nord (Bangladesh, Inde, Pakistan, Irak, Iran, États du Golfe Persique, Proche Orient, Turquie, Maghreb)
5. Habitants de l’Asie du sud-est (Burma, Thailande, Cambodge, Vietnam, Malaisie, Indonésie, Philippines et Bornéo)
6. Habitants du nord de l’Asie (Chine, Japon, Taiwan, Mongolie, Tibet, Corée)
7. Peuples de l’Arctique
8. Aborigènes d’Australie et de Nouvelle Guinée
9. Autochtones des îles du Pacifique
10. Indiens d’Amérique
La plupart des journaux médicaux publient des articles montrant que ces différentes races ont des risques différents de contracter certaines maladies. Il y a même un journal scientifique appelé Ethnicity and Health qui ne publie que ça. Dans les sciences sociales, il y a deux journaux consacrés exclusivement aux différences raciales (Race and Class et Ethnic and Racial Studies). La discrimination positive pratiquée par nombre d’États prouve que les gouvernements considèrent qu’il existe des gens de races différentes. Dans le domaine du droit, il est possible d’intenter un procès contre une entreprise pour cause de discrimination raciale, donc les juges reconnaissent l’existence des races.
De nombreux articles de recherche scientifique ont été publiés montrant qu’il existe des différences entre les races au niveau de l’intelligence, de la réussite scolaire, des salaires, du statut social, du chômage, des préjugés, de la discrimination, de la consommation d’alcool, de tabac, de drogue, des pratiques sexuelles, de la longévité, du taux de criminalité, et du nombre d’attardés mentaux.
Les races existent donc.
Michel Alain Labet de Bornay
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