Musulman et homo ?

SOURCE.

En Islam ils ne sont pas encore prêts pour le mariage gay !

Sur le site Mejliss.com j’ai trouvé çà :

« Assalamou wa'alaykum mes frères, mes soeurs. (…)
Voilà, j'ai 18 ans et alhamdoulillah je suis toujours chaste (= vierge). Mais je dois faire face à un énorme problème dans ma vie : mon homosexualité.
Dès le début de mon adolescence je sentais une attirance envers les hommes, en plus des femmes, mais cela devient de plus en plus problématique, car je n'éprouve quasiment plus de sentiments amoureux envers des femmes, alors que je suis actuellement amoureux d'un de mes camarades masculins, pour mon plus grand désespoir...

Le gay beur

En tant que musulman je sais que jamais je ne pourrai avoir de relations sexuelles avec un autre homme, car l'acte sexuel avec une personne du même sexe est sévèrement réprimandé en islam ... (Ben ça alors ! La RATP Religion d’Amour de TOLÉRANCE et de Paix réprimande l’homosexualité ? Qui l’eut cru ? ). Mais le fait que je n'éprouve pas de sentiments envers les femmes me terrifie, j'ai l'impression de n'avoir aucun avenir, car oui je veux avoir une femme et fonder une famille plus tard... Mais si je n'aime pas les femmes, comment faire ? Il faut chérir sa femme et non jouer la comédie, et j'ai peur de ne jamais trouver de femme qui réveille en moi des sentiments nouveaux...
Je multiplie les invocations à Allah pour qu'il me libère de ce fardeau, mais j'ai peur de devoir vivre ça comme un "test" dans la vie d'ici-bas, et rester comme je suis jusqu'à la fin de ma vie... (…) »

La réponse du « savant » en coranneries vaut son pesant de couscous !

« Il est important de préciser que notre attitude à l'égard de l'homosexuel ne doit pas être celle du rejet ou du jugement, mais celle de l'accompagnement dans la compréhension, sans négliger les évènements de son histoire personnelle. Il s'agit surtout de ne pas développer une culpabilisation de rejet mais, par souci de réforme, d'offrir une écoute sereine qui, sans accepter ce qu'il fait, ne refuse pas ce qu'il est.
Il est vraiment important de comprendre que l'homosexualité n'est pas une fatalité. Aussi difficile que cela puisse paraître, il est possible, en demandant à Dieu la force de volonté nécessaire, de s'engager sur la bonne voie. Ainsi l'homosexuel se trouve réellement confronté à un choix. Il peut suivre ses désirs, inspirés par le Diable, si c'est ce qu'il veut vraiment. Mais dans ce cas, il doit bien garder à l'esprit qu'il sera puni par Allah pour ce choix. Shaytan a promis qu'il essayerait par tous les moyens de précipiter les Humains en Enfer.
L'homosexuel choisira-t-il de suivre celui qu'Allah décrit comme étant "notre ennemi déclaré ? (…)

Après les perceuses et les téléphones les musulmans sans fils.

Au lieu de s'engager dans cette voie qui mène inévitablement à l'échec, il vaut bien mieux suivre les directives qu'Allah nous a communiquées, et se tourner vers Lui lorsque l'on traverse une épreuve apparemment insurmontable. (…) 

Quant au mariage mon frère ;

Ce n'est peut-être pas la chose la plus facile, mais le prophète a indiqué le mariage comme moyen d'apaiser les mauvaises tentations. Le mariage permet de satisfaire à ses besoins sexuels de façon non seulement licite, mais encore susceptible d'être récompensée par Allah ! Bien sûr, il est parfois préférable de traiter ses pulsions avant de s'engager dans un mariage et mêler sa femme ou son mari à des problèmes bien compliqués.(…)
Voila mon frère j'espère de tout coeur t'apporter une aide.

Qu'Allah te garde chasse (Comme Lady Chatterley ?) ».

Le « savant marabout de fils el » islamiste nous dit que bien que l'homosexualité ne soit  pas une fatalité, c’est une mauvaise voie inspirée par le Diable qui mène à l’échec (En gros c’est une « maladie mentale » dont  peut guérir le « jeune » homme qui souffre d'un trouble psychologique ou comportemental.

Bien que dans la catégorie diagnostique des maladies mentales, l’homosexualité égo-dystonique ( C'est-à-dire qui « gêne » l’individu » ait été retirée du DSM, publié par l'Association Américaine de Psychiatrie, en 1987 (avec la publication du DSM-III-R), elle  revient potentiellement dans le DSM-IV sous la catégorie « trouble sexuel non spécifié » incluant « détresse marquée et persistante au sujet de son orientation sexuelle » en gros un grave désordre mental dont semble bien souffrir le « jeune »  musulman.

Le « savant » marabout en corranerries lui conseille donc la thérapie par aversion souvent utilisée dans des tentatives de convertir des personnes homosexuelles à l'hétérosexualité. Bien que moins utilisée depuis quelques dizaines d'années, elle est encore en usage dans certaines situations.

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