dimanche 8 décembre 2013

Mandela le kafir cache misère est mort.





La mort de Nelson Mandela déclenche une prévisible hystérie médiatico-politique.
Pour les prochains jours : déluge d’émotion feinte, concert unanime de louanges chez tous les politiciens abrutiles et slogans idiots en vue.

Il faut rappeler, à propos de Mandela, qu’il fut des années durant un chef terroriste d’extrême gauche (chef du UmKhonto we Sizwe, l’aile terroriste de l’ANC et du Parti communiste sud-africain).
Rappelons que le 1er janvier 1985, le président sud-africain Botha s’exprimant au parlement, a proposé à Mandela d’être libéré (il était emprisonné pour terrorisme criminel), s’il rejetait « inconditionnellement le recours à la violence comme arme politique ». Mandela rejeta cette offre, refusant d’abandonner les meurtres racistes.
Il a contribué à faire de la prospère Afrique du Sud un enfer pour les Blancs, et pour beaucoup de Noirs.

Un des derniers « Dieu » communiste est mort. Le créateur de la terre et du ciel socialiste s’en est allé. Les médias marxistes culturels et la classe politique collectiviste de tout partout dans le Monde sont en émoi. Normal, ce « Dieu » là avait la peau couleur d’ébène, et incarnait à leurs yeux les valeurs du melting-pot souriant. Sauf que Mandela était un marxiste révolutionnaire qui a cru à une idéologie mortifère.
En France à lire les commentaires de la gauche on a l’impression que ce n’était qu’un noir. Un noir gentil, souriant et dansant, avec un cœur tendre. Le déballage de mièvrerie et d’emphase auquel nous assistons est pathétique. Cette folie médiatique souligne que nous avons atteint un niveau extrême du marxisme culturel ambiant. C’est à la fois comique et profondément désespérant. Que le président socialiste Hollande ait décidé de mettre en berne les drapeaux de la Nation est caractéristique: ce type est devenu dingue et ne mérite plus d’être appelé président.
Winnie Mandela, Nelson Mandela et Joe Slovo sous l’emblème de la haine communiste.
Nelson (Prénom anglais donné par son institutrice) de son prénom de naissance donné par sa mère:  Rolihlahla (Rolilala (phonétique) signifie « celui qui crée les problèmes » en langue non écrite Xhosa "Langue" Bantoue" pour avoir reçu un « prénom » pareil ses parents devaient être « sorciers » avec un don de double vue, car le Ben Laden d’Afrique du Sud en a créé des « problèmes »).

Le K-mot est donc mort le 5 décembre 2013 à Johannesburg. Le faux « non violent » Mandela serait issu d'une famille « royale » Thembu de l'ethnie Xhosa qui règne sur une partie du Transkei et dont le nom du clan « tribal » est « Madiba », il était né vers 1918 à Mvezo (Union d'Afrique du Sud), c’était un des derniers dirigeant du monde à avoir tenu une politique marxiste pour son pays et  à avoir mené celui-ci à la ruine et au désespoir. Resté très « primaire » il reconnaissait l’autorité de son  « souverain traditionnel » le «  roi » Buyelekhaya Zwelibanzi Dalindyebo (Quel joli nom !), comme nous avons pu le voir lorsqu’il c’était remarié le jour de ses 80 ans, en 1998, avec une « jeunette » de 53 ans, Graça Machel, née Simbine, veuve de Samora Machel, ancien président du Mozambique président du mouvement marxiste Front de Libération Du Mozambique membre lui aussi comme Robert Mugabe de l’Internationale Socialiste (+ sur Robert) et allié de l'ANC qui avait été tué dans un accident aérien douze ans auparavant. Le mariage avait suivi des mois de négociations internationales (Bigre !) pour établir le montant du prix exceptionnel (le n’golo n’golo dans la case, coûte cher chez les sauvages) qui devait être remis au clan de Machel. Les négociations avaient été conduites par le «  roi » Buyelekhaya machin truc Banania.
Ouvrons une petite parenthèse pour parler des premières « femmes » de Mandela. La toute première Evelyn  Ntoko Mase (mai 1922-Avril 2004) était une «  infirmière » qui a été mariée à Rolilala de 1944 à 1958. Elle était la mère de quatre de ses enfants. Les deux fils de Rolilala Thembekile (1945-1969) et Makgatho Mandela (1950-2005), et deux filles du nom de Makaziwe Mandela (la première né en 1947 est morte à l'âge de neuf mois, et la seconde née en 1954). Évitant la politique, elle se convertit comme Témoin de Jéhovah. Accusant justement Rolilala d'adultère,( Un des rares cas de divorce chez les témoins qui n’ont pas vu l’accident) ils ont divorcé en 1958, année ou il a épousé Winnie Madikizela qui deviendra une criminelle encombrante.

Officiellement, Rolilala et Winnie ont été mariés de 1958 à 1996. Mais le temps de faire deux petites filles, Zenani et Zindzi, le papa était arrêté en août 1962 pour n’être libéré qu’en février 1990.
Winnie fut très présente pendant le procès où elle emmenait les fillettes. Puis elle fut éloignée de Johannesburg et du Cap et assignée à résidence dans la ville de Brandfort. Après quinze ans, en 1979, elle fut autorisée à rendre visite à son mari, dans sa prison de Robben Island, une fois tous les six mois.

Lors des nouvelles flambées de violence terroriste marxistes, au début des années 80, Winnie devint un personnage public. Mais il apparut que son discours était loin d’être celui de son mari. Autant Mandela prêchait une certaine modération et tolérance de façade, autant Winnie versait dans le marxisme réel et haineux raciste. "Un fermier blanc, une balle !", lançait-elle. Ou, dans un discours datant du 13 avril 1985 : "Avec des boîtes d’allumettes et des pneus enflammés, nous libérerons le pays." Le même jour, elle réclamait le supplice du pneu enflammé autour du cou pour les traîtres noirs.
Racisme et antisémitisme c’est cela le socialisme.
En janvier 1989, un activiste de l’ANC, âgé seulement de 14 ans, fut battu à mort. La police identifia le meurtrier : le garde du corps de Winnie, qui s’avéra avoir été aussi son amant. L’homme accusa Madame Mandela : "C’est elle qui m’a ordonné de tuer le gamin."
Elle fut accusée d’avoir été la commanditaire de l'assassinat du docteur Asvat et responsable de la disparition de plusieurs autres enfants.
En février 1990, Winnie apparaissait au bras de son mari lors de sa sortie de prison. Il fut à ses côtés lors de son procès où elle fut reconnue coupable de kidnapping et complicité de meurtre, mais condamnée, en appel, à une simple amende.
On put à juste titre estimer que la fameuse  « raison d'Etat » avait prévalu sur la justice. Le documentaire de la BBC que diffusera « La 25e heure » en est une terrible démonstration. Cette enquête minutieuse apportait non seulement de nouveaux éléments sur les agissements crapuleux de Winnie Mandela, mais aussi un témoignage accablant pour le pouvoir en place. Celui de Katiza Cebekhulu, ancien membre du Mandela United Football Club (les hommes de main de Winnie), « témoin manquant » au moment du procès, parce que exilé de force en Zambie. L'ancien président de la Zambie, le docteur Kenneth Kaunda, certifie que c'est Nelson Mandela lui-même qui lui demanda de recevoir Katiza ! 

Retrouvé par les journalistes de la BBC, le jeune homme relate les faits terrifiants dont il fut le témoin ou même le complice. Comment, pour abattre le révérend Paul Verryn - un homme que Winnie jalousait pour l'estime que lui apportait son combat anti-apartheid -, elle l'accusa de s'être livré à des violences sexuelles sur des garçons. Comment le petit Stompie, soupçonné d'être un indicateur de police, fut roué de coups dans la cave de Winnie. Et, quelques nuits plus tard, poignardé de la main même de « la mère de la nation ». L'assassinat du docteur Asvat (qui avait constaté les marques de torture sur le corps de Stompie) fut probablement commandité par la même Winnie. Katiza Cebekhulu, tombé en disgrâce pour avoir découvert des photos de Winnie et de son amant, fut aspergé d'eau bouillante, eut les dents fracassées avant d'être exilé en Zambie.

En 1991, les témoins firent défaut lors du procès de « la pasionaria marxiste des townships ». Il a fallu l'intervention de Mgr Desmond Tutu pour qu'elle sorte indemne, en décembre, de sa comparution devant la commission Vérité et réconciliation. Pour la mère de Lolo Sono, « disparu » après qu'on l'eut vu dans la voiture de sa « patronne », Winnie Mandela est devenue « la tueuse de la nation ».
Winnie était devenue vraiment une épouse encombrante. En avril 1992, son mari la quittait. Le divorce fut prononcé en mars 1996. Entre-temps, Mandela fit quand même de cette raciste criminelle la vice-ministre de la Culture et des Sciences de son gouvernement marxiste. Mais après onze mois, Winnie, suspectée de corruption, fut contrainte de démissionner.

La très raciste anti blancs communiste Winnie redevenue Madikizela fut aussi, de 1993 à 1997, la présidente de la Ligue des femmes de l’ANC.
En 2003, elle a été condamnée à quatre ans de prison, après avoir été reconnue coupable, avec son frère Addy Moolman, de 25 vols et 43 fraudes. Depuis qu’elle est sortie de prison, elle ne cesse de hurler que son ex-mari n’a fait que laisser tomber les Noirs. La preuve, selon elle, c’est que la magnifique statue de Nelson Mandela a été inaugurée dans le quartier blanc le plus riche de Johannesburg. Selon Winnie, il aurait dû trôner au centre du township symbolique de Soweto.
Vous allez voir amis patriotes, comme  on va « bouffer » du  Mandela non stop pendant toute la semaine prochaine  (ça va pleurer dans les chaumières rouges)  un si « grand » homme, ça tombe bien, ça va servir l’exécutif socialiste obnubilé par la prétendue montée du « racisme » et de l’extrême droite fantasmée. Les médias marxistes culturels vont mener la « danse » pour faire oublier la situation économique catastrophique de la France la montée du racisme anti blanc, de l’antisémitisme et son engagement militaire comme d’habitude contre des musulmans fouteurs de merde en centre Afrique !
D’ailleurs ça commence déjà : Au ministère de l’Education ( ?) nationale marxiste culturelle on publie un communiqué de presse en forme de propagande pour le fameux vivre ensemble. Comme si l’Afrique du Sud post Rolilala était un îlot de paix où toutes les communautés s’embrassent sur la bouche. Sont-ils au courant que le rêve de Mandela est un échec sur toute la ligne ? Je le pense, mais ces gens marxistes culturels abrutiles sont des menteurs, des désinformateurs de profession. 
L’Afrique du Sud est aujourd’hui l’un des endroits les plus violents et criminels au monde, où le vivre ensemble si cher aux marxistes culturels de « goâche » y est le plus meurtrier. La Nation Arc en ciel n’existe pas, et la vie pour les blancs comme pour les différentes ethnies qui composent la population noire y est plus qu’épouvantable, c’est le fabuleux héritage d’un marxisme pestilentiel.
La honte pour l'éducation nationale !
Sans compter que parmi les abrutis illuminés du marxisme trotskiste des plus nauséabond et de la valorisation des déchets figure en bonne place Jean-Luc Mélenchon.
Le petit père sans peuple qui ne rate aucune occasion de la fermer a déclaré :
« Aujourd’hui en France, des enfants mal élevés lui jetteraient des bananes. »
On s’incline face devant tant de hauteur de vue.
Mais le pompon du crétinisme est sans aucun doute atteint par nos nidoreuses associations subventionnées de « l’antiracisme » professionnel.
Sur le site du MRAP. Une copie de Wikipédia, une apologie du grand criminel marxiste et une biographie inexacte. Repris par : Bella Ciao pas au lit va au pot ! Par le MRAP Dans les Landes et  Sur le journal de la haine rouge. L’Humanité.
Le MRAP présente à : «  toute la population d’Afrique du Sud, ses condoléances les plus émues ».
Les familles, amis, de plus de 4000 fermiers blancs qui ont été assassinés par les émules racistes de Mandela, leur famille violée, parfois dépecée vivante depuis 1994 apprécieront !

Depuis cette date ce sont plus généralement quelque 75 000 Blancs qui ont été tués par des Noirs, dans un génocide initié par le président Mandela et son parti marxiste l’ANC, toujours au pouvoir.


Des dizaines de milliers de Blancs se sont vu voler leurs biens par des hordes noires armées de machettes, après la victoire de Mandela, et vivent maintenant dans des conditions de grande misère, dans des bidonvilles, souffrant de la faim.
La haine des blancs en action dans l' Afrique du sud marxiste de Mandela.

Ci-dessous une vidéo de David Duke sur le génocide des Blancs, en particulier des Boers, en Afrique du Sud :
Quand à l’association socialiste marxiste culturelle SOS Racisme elle appelait vendredi dernier à un rassemblement à 18h devant l’ambassade d’Afrique du Sud à Paris et le Cran, l’association racialiste faite que pour les noirs avait fixé Samedi à  13h, le  rassemblement de K-mots devant l’église Saint-bernard, dans la capitale.
Et l’UEJF (Union des étudiants « juifs » de France, mais surtout composée de juifs abrutiles marxistes culturels internationalistes) a salué « la mémoire d’une grande figure de la lutte antiraciste ». « Nelson Mandela restera à jamais un modèle pour tous les militants antiracistes », a estimé Jonathan Hayoun, président de l’organisation marxiste culturelle UEJF.
Jonathan Hayoun, qui devrait bien lire l’article de Shalom magazine ICI datant de 1994, et ICI celui de 1996 sans oublier l’article de Danièle Kriegel dans le Point d’Août 2012 ICI ou le numéro deux du ministère des affaires étrangères d’Israël, Danny Ayalon, nous dit : « Malheureusement, il apparaît que l'Afrique du Sud reste un pays d'apartheid. Un apartheid dirigé aujourd'hui contre Israël et aussi contre ses propres mineurs grévistes. »

Je lui conseille aussi de lire sur terre promise.net un article qui dans son titre donne bien l’opinion d’une majorité de juifs : « MANDELA : un des plus grand antisémite et anti israélien de notre époque. »  

Nonobstant bien que cela ne retire rien au fait que Mandela était une crapule antisémite, je dois rendre  César ce qui est à César ! Ce texte est un faux comme le protocole de sages de Sion, il est  la traduction française d’une lettre adressée au journaliste du « New York Times » Thomas Friedman. Il dénonce la politique de l’État d’Israël comme une politique raciste, une politique d’apartheid, et il exige le droit au retour des réfugiés palestiniens. Sur Internet, ce texte avait provoqué des réactions enthousiastes dans les milieux pro palestiniens ce qui était bien entendu le but recherché. 
En fait, il s’agit là d’une vieille histoire. Le 30 mars 2001, un journaliste palestinien vivant aux Pays-Bas publie cette prétendue « lettre de Mandela » sur le forum Internet de Thomas Friedman. Le journaliste, nommé Arjan El Fassed, ne prétend pas que la lettre soit authentique. Bien au contraire. El Fassed a recours à un genre littéraire pratiqué par Friedman, celui de la fausse lettre.
Mais le document circule sur Internet et, de fil en aiguille, on oublie son origine et des gens croient que c’est vraiment Mandela qui s’exprime. La lettre est publiée dans le quotidien palestinien « Al-Kuds », et le directeur d’« Al-Kuds » la transmet à ses collègues israéliens de « Haaretz », pour qu’ils la publient eux aussi. Les journalistes de « Haaretz » font leur métier : ils téléphonent en Afrique du Sud pour vérifier, et ils découvrent le pot aux roses.
« Haaretz » publie tout cela, l’auteur du texte s’explique, et tout rentre dans l’ordre. C’était en septembre 2002.
Six ans plus tard, en août 2008, une militante antisémite française nommée Mireille Rumeau découvre le texte anglais de la prétendue lettre de Mandela. Elle en fait une traduction française, aussitôt publiée sur le site antisémite d’ultra gauche Euro Palestine et reprise un peu partout dans la galaxie Internet par des gens qui croient détenir un document authentique. Et c’est reparti pour un tour.
Au XIXe siècle, aux Etats-Unis, un homme qui exhibait des attractions dans des foires avait déclaré : « Un nouveau gogo naît à chaque minute ». Dans le monde de la propagande, aujourd’hui, il en va de même. À chaque minute naît une nouvelle fable antisioniste, et on ne compte plus les gogos qui s’y laissent prendre.
La vidéo ci-dessous qui confirme bien l’antisémitisme de Mandela.

Le petit Hayoun me fait penser à Yossel Mashel Slovo dit Joe Slovo né en 1926 à Obelai en Lituanie, émigré à 8 ans en Afrique du Sud avec sa famille de colons et mort en 1995 à Johannesburg, ancien apparatchik du Parti communiste sud-africain (South African Communist Party, SACP), et membre du Congrès national africain (African National Congress, ANC).
Bien que sa famille soit religieuse, il est athée, tout en disant respecter "les aspects positifs de la culture juive" ( ?). Nous verrons plus loin ce que cet « homme » appelait les aspects positifs de cette « culture ». Slovo quitta l’école à l'âge de 15 ans en 1941 et trouve du travail comme commis d’expédition. Joe, en tant que délégué syndical, aurait été impliqué dans l'organisation d'une grève, il adhéra ensuite au Parti communiste sud-africain en 1942.

Il a poursuivi ensuite (parallèlement) des études de droit à l'Université de Wits durant lesquelles il s’est retrouvé condisciple de Rolilala Mandela et de Harry Schwarz, ICI. Il épousera en 1949 une activiste communiste, Ruth First, qui se trouve être la fille du trésorier du parti, Julius First. Les parents First, juifs originaires de Lettonie, avaient émigré en 1906 en tant que colonisateurs, membres fondateurs du Parti communiste d'Afrique du Sud (AFPC) ils avaient activement contribué à la création du SACP.
Le couple a eu trois filles, Shawn, Gillian et Robyn. La première a été tuée en 1982 sur dit-on un ordre de Craig Williamson, un major dans la police de sécurité sud Africaine.
 
Williamson aurait aussi ordonné l’élimination de la femme de Joe l’activiste marxiste Ruth First, qui, en fuite au Mozambique sera tuée par une lettre piégée à Maputo en 1982.

La famille de colons de Slovo était à l’époque exilée car elle avait été répertoriée comme communiste en vertu de la Loi sur la répression du communisme et ne pouvaient pas être cités ou assister à des réunions publiques en Afrique du Sud.
« En exil, les liens entre l'ANC et le SACP se renforcèrent d'autant plus que les pays du bloc de l'Est étaient les principaux fournisseurs d'armes de l'ANC et finançaient l'entraînement des recrues pour la guérilla. Joe Slovo et son épouse Ruth First se chargeaient pendant ce temps de la propagande notamment basée sur l'idéologie du combat révolutionnaire dans lequel l'ANC s'était engagé », nous dit Wikipédia.

Je vous passe le détail des années tumultueuses depuis la fin de la guerre jusqu’à l’arrivée (enfin) au pouvoir : terrorisme activisme, arrestations, séjours à l’étranger, etc. Slovo se retrouve secrétaire général du parti en 1984, fonction qu’il assumera jusqu’en 1991. Il participera ensuite aux négociations entre le gouvernement et l’ANC, allié aux communistes. La triple alliance forgée dans le combat contre l'apartheid entre l'ANC, le parti communiste et la centrale syndicale COSATU se maintiendra après la victoire électorale de l'ANC aux élections du 27 avril 1994. Joe Slovo entrera dans le premier gouvernement formé par Mandela bien que la rupture avec le capitalisme et l'économie de marché, prônés par le SACP, ait été partiellement abandonnée par l'ANC. Il mourra l’année suivante, en 1995.

Mandela et Slovo deux grands criminels marxistes.
Ce marxiste pur sucre était aussi parfaitement « antisioniste » et il écrira les lignes suivantes dans son autobiographie restée inachevée, à propos d’une visite d’un kibboutz qu’il avait faite en Palestine après la guerre :
"Within a few years the wars of consolidation and expansion began. Ironically enough, the horrors of the Holocaust became the rationalization for the preparation by Zionists of acts of genocide against the indigenous people of Palestine. Those of us who, in the years that were to follow, raised our voices publicly against the violent apartheid of the Israeli state were vilified by the Zionist press. It is ironic, too, that the Jew-haters in South Africa – those who worked and prayed for a Hitler victory – have been linked in close embrace with the rulers of Israel in a new axis based on racism."

Ma traduction: «Depuis quelques années, les guerres de consolidation et d'expansion ont commencées. Ironie du sort, les horreurs de l'Holocauste (Qu’il n’a pas connues) sont devenues le prétexte à la réalisation par les sionistes d'actes de génocide contre le peuple indigène de Palestine. Ceux d'entre nous qui, dans les années qui vont suivre, vont élever la voix contre « l'apartheid » publiquement violent de l'État d'Israël seront vilipendés par la presse sioniste. Il est ironique, aussi, que les Juifs haineux d’Afrique du Sud - Ceux qui ont travaillé et prié pour une victoire d'Hitler – (On en apprend des choses avec « Joe » il y aurait donc des juifs qui auraient prié pour la victoire d’Hitler ? Dommage qu’il ne donne pas les noms !)  ont été liés dans l'étreinte étroite avec les dirigeants d'Israël dans un nouvel axe fondé sur le racisme ( des juifs racistes ? Sacré Joe; quel humour !) ».

Quant à Jonathan Hayoun, il devra bien un jour nous dire ce qu’il pense de ses aspects positifs de la culture juive version socialiste.



Hayoun, en bon petit  professionnel du glapissement indigné et des nauséabonds borborygmes, voudrait bien nous faire croire à un message de fraternité universelle, qui n’est que la fraternité universelle de gens résolus à subir et à faire subir éternellement un régime pénitentiaire au nom d’un dogme politique «  marxiste ». Hayoun et ses complices marxistes culturels utilisent un sophisme, qu’il est indispensable de dénoncer sans relâche : Puisque eux et, -disent-ils pour nous impressionner-, tous les « démocrates » respecteraient, vénéreraient le socialisme comme étant une déclinaison de la volonté universelle, le prohiber ce serait stigmatiser leur croyance au grand soir, à la lutte finale et a eux-mêmes qui tout en étant athées comme Slavo brandissent leur prétendue judaïté comme un saint sacrement et comme le marxiste Joe nous bassinant avec ce qu’ils nomment les prétendus aspects positifs de la culture juive. Ce serait par conséquent du racisme et non une lutte d’opinion…

En bon petit marxiste culturel lobotomisé notre « ami » Jonathan qui « écrit » dans les journaux sur la toile éructait le  25/11/2013 ICI : « Beaucoup condamnent le racisme, peu sont prêts à l'identifier pour le combattre. Il devient donc urgent de multiplier les espaces de transmission qui permettront d'identifier le discours de haine, pour éviter que les paroles et les actes racistes et antisémites se multiplient et que le FN continue à être normalisé. La campagne à venir doit être une campagne des valeurs mais aussi une campagne faite de pédagogie et de déconstruction des discours d'exclusion. L'antiracisme dont être pris en compte dans les programmes politiques des partis politiques républicains voulant faire barrage à l'extrême droite. ».
On aura compris que pour Hayoun, le « racisme identifié » serait symbolisé par le « Front National » qui serait composé de « racistes », seulement voilà, encore une idée fausse, typiquement marxiste culturelle. Une falsification venimeuse, un mensonge éhonté ! Avec Internet la tromperie est depuis quelques années éventée et commence à avoir une odeur très bizarre quelque peu « nauséabonde » de faisandé. D’aucuns, des mauvaises langues sans doute, disent que çà sent le gaz !).

Début 2011 j’avais commis un article sur le net ICI. Article dont le titre : «  A cul foireux toujours merde abonde. » pourrait aller comme un gant a la « personnalité du petit axolotl Jonathan, fondateur de InProdWeTrust, diplômé en Master de Communication Politique PAris XII (Bigre ! Une place lui est réservée au futur  ministère de la propagande socialiste), diplômé en Master de Production audiovisuelle INA'Sup qui maîtrise parfaitement, l'amnésie, le négationnisme, et surtout l'occultation, la diversion et la falsification historique caractéristiques notoire du socialisme d' hier, d'aujourd'hui et de demain
Puis le 06 juillet 2006 j’écrivais ICI : « Suite aux révélations consternantes des déclarations faites devant une délégation du P.S Français dirigé par François Hollande et Pierre Moscovici, on est en droit de se poser des questions. Alors premier secrétaire du PS, François Hollande était reçu par Amar Saadani à l’époque président de l’assemblée populaire nationale algérienne APN.
Selon un haut responsable du RCD à qui les socialistes français ont rapporté les propos confirmés par la suite par un ex-responsable du FFS, lors de l’entretien en présence de M Moscovici secrétaire national aux relations internationales, Kader Arif et Bariza Khiari : le troisième homme fort de l’Algérie fidèle à son antisémitisme primaire lâcha sans sourciller « au PS il y a trop de juif il faut commencer à dés-enjuiver pour contrer leur lobby ». »
Étonnant non ?


Cette annonce a été passée sous silence et est restée sans effet majeur de la part du P.S qui, jouant l’habituel et nauséabond « jeu » politicien socialiste des atouts et du pouvoir, ne chercha pas à froisser ses interlocuteurs racistes et antisémites Algériens au regard de « possibles » futurs partenariats si le PS venait à prendre le pouvoir politique en France et en vue d’une « internationale socialiste » solidaire.

Plus tard le jeudi 10 octobre 2013, j’écrivais au nom du Collectif Tous Ensemble Contre le Nouvel Antisémitisme à monsieur le premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Philippe Désir. ICI avec bien sur une copie à monsieur Jérome Guedj. Ni l’un ni l’autre de ces responsables socialistes ne m’ont fait l’honneur d’une réponse.
Je leur avait écrit pour leur signaler que le Parti Socialiste Français soutenait par voie d’affiche douze activistes antisémites de gauche aujourd’hui sévèrement condamnés ( Voir ici un article très complet sur les porteurs de haine antisémite.) on y trouve entre autres racistes antisémites, l’antisémite raciste Aline Parmentier, Secrétaire Départementale du Parti Communiste Français section Alsace et accessoirement coiffeuse, l’antisémite Farida Trichine Sarr ( Cadre EDF) de « Justice » pour la Palestine Alsace, Farida Trichine comme par hasard est une ancienne militante du Parti Socialiste de Mulhouse., monsieur le professeur d’histoire Henri Eichholzer un antisémite récidiviste de la haine des juifs,un activiste de l’AFPS (Association France Palestine Solidarité 68), émanation directe du Parti Communiste dit Français (L’antisémite gauchiste Eichholzer avait déjà été condamné à 4 ans de prison par un tribunal de district de Tel-Aviv le 14 Mars 1984 pour avoir collaboré avec le FPLP pour préparer un attentat terroriste contre la tour du gouvernement à Tel Aviv, le FPLP est une organisation  placée sur la liste officielle des organisations terroristes antisémites), l’antisémite raciste Mohamed Akbar ( Citoyen Afghan et « travailleur » social en France) de l’Association REDA, (Association Réflexions, Échanges et Débats en Alsace, dite aussi la « dynamique » présence musulmane) et l’antisémite Jacques Ballouey d’Europe Écologie les Verts 68. Sur leur affiche puante de haine antisémite ces gens affirmaient lutter pour la liberté d’expression (sic) les propos antisémites sont à mon humble avis une conception de la liberté d’expression digne du Docteur Goebbels ou  du procureur Vychinski.

Ces faussaires de l’Histoire dont Hayoun se fait complice, incarnent mieux que de longs discours cette phrase de Winston Churchill : « Les fascistes de demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes », sans oublier celle de Léo Ferré : « Le socialisme est l’antichambre du fascisme ». Et moi j’affirme haut et fort que certains antiracistes d’aujourd’hui sont les racistes de demain sinon d’aujourd’hui !

Allez, encore une petite vidéo pour l’édification de monsieur Hayoun.


Mais revenons donc à notre « agneau » Mandela un « non violent » d’opérette, mais vrai marxiste terroriste qui entre au Congrès national africain (ANC) en 1944, afin de « lutter » contre la domination de la minorité blanche civilisée et la politique de développement séparé, appelée fort mal à propos « apartheid «  (mot afrikaans partiellement dérivé du français, signifiant « séparation, mise à part »).
L'ANC est interdit en 1960, et la lutte « pacifique » ne donnant pas de résultats tangibles, Mandela fonde et dirige la branche terroriste et criminelle de l'ANC, Umkhonto we Sizwe, en 1961, qui mène une campagne immonde et haineuse contre les blancs et contre des installations publiques et militaires. ICI.
À partir de 1983, de plus en plus de blancs innocents sont les victimes d'attentats à la bombe perpétrées en pleine rue par les activistes marxistes de MK alors qu'une campagne de terreur est organisée contre les fermiers blancs dans les zones rurales du Transvaal.

Ses actions de « lutte » les plus criminelles commanditées par le « grand homme » Mandela furent :
L'attentat contre le complexe de raffinement du groupe Sasol en 1980,
La "tentative" de sabotage de la centrale nucléaire de Koeberg près du Cap, en janvier 1982,
L'attentat de Church street à Pretoria le 20 mai 1983 (19 personnes tuées, 217 blessés),
Le 23 décembre 1985, le centre commercial Salman situé à Amanzimtoti fut l'objet d'un attentat à la bombe sanglant, perpétré par un « jeune » noir militant de l'ANC, Andrew Zondo (19 ans). L'attentat causa la mort de 5 personnes dont 3 enfants et fit plus de 40 blessés. Après l’odieux massacre d'Amanzimtoti, des membres du Congrès américain soutenus par des membres de l'administration de Ronald Reagan demandent que l'ANC et MK soit listées comme étant des organisations terroristes.
L'attentat à la voiture piégée le 14 juin 1986 à Durban devant le Magoo's Bar (3 tués, 69 blessés).
L'attentat au tribunal de Johannesburg en 1987 (3 morts, 10 blessés)
L'attentat contre la banque Standard de Roodepoort en 1988 (6 personnes tuées, 18 blessés)
L'ANC et MK ont également reconnu leur responsabilité dans la mort d'une famille de touristes afrikaners près de Messina en décembre 1985 dans le cadre d'une campagne qui fit 23 morts entre 1985 et 1987 dans les zones rurales du nord et de l'est du Transvaal.
Les familles des ses victimes de la haine communiste sont très touchées des condoléances présenté par le MRAP Français mouvement marxiste qui distille de la haine des juifs. Et c'est pas moi qui le dit.

En 1963, Mandela, notre chef terroriste d’extrême gauche marxiste est arrêté par la police sud-africaine, puis est jugé et justement condamné à la prison et aux travaux forcés à perpétuité. Dès lors, il devient un « symbole » de la « lutte » pour l'égalité raciale (Je croyais que les « races » n’existaient plus ? M’aurait on menti ?).

Rolilala (Tsouin tsouin ?) bénéficie d'un soutien international croissant.

Nettement plus tard, ce qui apparaît incompréhensible en apparence, c’est le soutient affiché à la « lutte » contre l’apartheid par le gouvernement américain qui avait une approche visant à établir ou maintenir un dialogue constructif avec le gouvernement sud-africain. Le gouvernement de Grande-Bretagne partageait la même approche.

La haine communiste
Membre du bloc occidental, l'Afrique du Sud était une pièce maîtresse dans le jeu de la guerre froide entre l'Ouest et l'Est. Pays frontalier de dictatures marxistes, elle était une puissance nucléaire et disposait en outre de ressources en métaux rares indispensables pour les industries occidentales et avait maintenu de bonnes relations avec la majeure partie des pays occidentaux, mais aussi avec d'autres états parias comme Taïwan et Israël. Par ailleurs, le principal mouvement anti-apartheid, le congrès national africain, était allié au parti communiste sud-africain, disposait de camps d'entraînement en Allemagne de l'Est et affichait une idéologie nettement marxiste et anti-capitaliste. C'est pour ces raisons et la crainte de voir un gouvernement marxiste pro-soviétique en Afrique du Sud que les états Unis et la grande Bretagne « luttèrent » contre l’apartheid.

Les marxistes en conviennent puisqu’ils écrivent :
« Les gens se sont cependant rendu compte que l’ANC n’était autre qu’une formation nationaliste petite-bourgeoise qui ne visait pas au renversement du colonialisme et du capitalisme, mais juste à l’obtention d’une certaine reconnaissance pour les élites noires (des ‘‘autochtones civilisés’’, en somme) au sein d’un système capitaliste légèrement modifié.
Après l'arrivée au pouvoir de Ronald Reagan, le sous-secrétaire d'état aux affaires africaines Chester Crocker se fit avec succès le défenseur de la "théorie du Linkage" signifiant "pas de retrait sud-africain et d'indépendance de la Namibie sans retrait simultané des troupes cubaines d'Angola" ce qui sera fait en 1989, mettant fin au contentieux entre l'Afrique du Sud et l'ONU. »
La suite ici.

Mais finalement que savons nous de cette ANC ? Le 08 janvier 1912, une poignée d’hommes, des « chefs » traditionnels, des représentants d’associations et de curieusement différentes Églises se retrouvent à Bloemfontein pour unifier les mouvements protestataires sud africains. Ce jour-là naît une organisation, le South African Native National Congress (SANNC, le Congrès national des indigènes sud-africains), qui se transformera rapidement en African National Congress (ANC, Congrès national africain). À la fin des années 1910, l’ANC soutient les mouvements de protestation qui éclatent. C’est le cas en 1919 dans le Transvaal contre le «pass», document qui permet de contrôler et de limiter les déplacements des Noirs, ou en 1920 avec la grève des mineurs africains
Pourtant, ces formes d’action ne sont pas du goût de tous les leaders de l’ANC, qui préfèrent poser poliment et de façon non violente la question des fameux « droits » face à la force britannique, y compris en se déplaçant jusqu’à Londres où, comme on pouvait s’y attendre, ils se font éconduire sans ménagement. Une attitude qui entraîne une perte d’influence de l’ANC dans les années 1920. C’est alors que se produit un événement politique qui aura des répercussions énormes sur les orientations politiques de l’ANC. En 1921 est créé le Parti communiste d’Afrique du Sud (CPSA, qui se transformera dans les années 1950, en Parti communiste sud-africain le clandestin, SACP Site officiel ici.). Quatre-vingt-dix ans plus tard, Jacob Zuma, président de l’ANC et du pays dira: « Nous devons marquer ce fait historique: le SACP a été le premier parti ou mouvement non racial (sic) en Afrique du Sud. » Ainsi, l’ANC doit au Parti communiste l’un de ses entre autres principes et de ses caractères notoirement marxistes, qui est d’être dit et seulement dit ; non racial.» Déjà, en 1924, une résolution du Parti communiste soulignait « l’importance majeure d’une organisation de masse pour la classe ouvrière dont les problèmes ne peuvent être résolus que par un front uni de tous les travailleurs, quelle que soit leur couleur ».

En
1944, une organisation de jeunesse typiquement marxiste est créée au sein de l’ANC, c’est la Ligue des jeunes (Ancyl), dont les dirigeants se nomment Nelson Mandela, Walter Sisulu et Oliver Tambo. Trois marxistes convaincus qui joueront un rôle crucial dans les années à venir. Leurs idées marxistes sont aussi basées sur le nationalisme africain (Une forme de National Socialisme en quelque sorte). À ce moment-là, Mandela, notamment, ne voit aucune nécessité d’un travail avec les Blancs et encore moins avec les communistes. C’est pourtant grâce ou à cause de Walter Sisulu, membre du Parti communiste (on le sait trop peu), et Moses Kotane que les idées de Mandela commencèrent à évoluer vers un marxisme stalinien de bon aloi qu’il cacha sous le masque de l’antiracisme (Un peu comme feu Mouloud Aounit du MRAP en France). Une telle construction était unique sur le continent africain et même au-delà. Au sein des mouvements marxistes de « libération », il y a toujours eu une tendance à écarter les communistes, voire à les réprimer une fois la victoire acquise. Les communistes algériens en savent quelque chose !

ANC? La haine des blancs!


Tambo, dirigeant de l’Ancyl dira «Avant 1950, on avait le sentiment qu’il y avait deux camps (…). Mais après 1950, nous étions tous ensemble.» De fait, des dirigeants du SACP se retrouvaient également à la direction de cette ANC, initiatrice, en 1955, de la charte de la liberté, «phare pour la « lutte » de libération», selon Mandela. On peut citer aussi le criminel assassin Chris Hani (tué après la chute de l’apartheid), Ronnie Kasrils…
L'ANC, était l'un des partis communistes le plus doctrinaire du monde. Financée et entretenue par l'Union soviétique, cette organisation constituait la bonne conscience à bon marché de l'Occident et tirait son soutien militaire de Castro, Kadhafi et Arafat.

Nous sommes loin, très loin de l’angélisme que l’on nous vend. L’ANC était une organisation violente et qui ne fut pas épargnée par une vision profondément raciste. Il suffit de lire les textes haineux qui ont pu être rédigés contre les Zoulous représentés par l’Inkhata. Ou bien lire le chant de l’ANC, si souvent chanté par Mandela , dans lequel figure ces paroles de paix et d’amour : « tuons les Blancs ».
 
Après seulement vingt-sept années d'emprisonnement Mandela est relâché le 11 février 1990, et soutient la réconciliation et la négociation avec le gouvernement du président Frederik de Klerk.


Rolilala avec le criminel communiste Castro
Si l’on pouvait douter des orientations politiques marxistes immondes de Rolilala il n’est que de savoir que pour son premier voyage hors d'Afrique du sud depuis sa libération il se rendra à Cuba (en juillet 1991). Cela ne doit rien au hasard. S'adressant à Fidel Castro, il lance: « Avant toute chose, vous devez me dire quand vous viendrez en Afrique du Sud. Nous avons reçu la visite de tas de gens. Et vous, qui nous avez aidés à entraîner nos combattants, qui avez financé notre lutte pour qu’elle puisse continuer, qui avez formé nos médecins, etc., vous n’êtes jamais venu chez nous.» En effet, le criminel contre l’humanité Castro soutenait avec l’URSS marxiste et les différentes organisations africaines communistes et terroristes en « lutte » contre le régime de l'apartheid qui continuait en Afrique du Sud Rhodésie du Sud (futur Zimbabwe).

En 1993, il est dit que le terroriste marxiste criminel reçoit avec ce dernier le prix Nobel de la paix pour avoir conjointement et pacifiquement ( ?) mis fin au régime d'apartheid et jeté les bases d'une nouvelle Afrique du Sud démocratique (sic).

Ce ne sera qu'en 2008, et surtout sous l'impulsion de George W. Bush, que Mandela verra son nom disparaître officiellement des bandes de données américaines qui listait les terroristes criminels du monde..

L'Afrique du Sud fait aujourd’hui et depuis l’ère Mandela clairement partie des pires violeurs des droits de l'homme dans le domaine médical. La Coupe du monde de football de 2010 aurait pu être une occasion d'informer l'opinion mondiale sur la négligence criminelle dont ce gouvernement marxiste fait preuve depuis plus de 15 ans et de mettre la pression pour que les choses bougent enfin; rien n'a été fait. Si un régime met quelques douzaines de journalistes et blogueurs en prison, les médias d’Afrique du Sud se déchaînent. Si un président a la mort de 120 000 bébés sur la conscience, on lui remet le prix Nobel de la paix. Quel beau monde…

Après une transition difficile où de Klerk et lui évitent une guerre civile entre les partisans de l'apartheid, ceux de l'ANC et ceux de l'Inkhata séparatistes à dominante zoulou, Mandela devient président d'Afrique du Sud en 1994. Après un unique mandat, il se retire de la vie politique active, mais continue à soutenir publiquement le Congrès national africain et est salué par les abrutiles marxistes culturels de la planète comme le « père » d'une Afrique du Sud multiraciale et pleinement démocratique, qualifiée de « nation arc-en-ciel ».

Cette mystique marxiste comme tous ce qui est socialiste est un échec dramatique !
D'après le journal Le Monde du 28 décembre 2004, l'Afrique du Sud bat des records en matière de criminalité : on y compte environ 20 000 meurtres par an, 30 000 tentatives de meurtre, plus de 50 000 viols et environ 300 000 cambriolages. Le taux de violence sexuelle en Afrique du Sud était, en 2000, le plus élevé au monde: en 2009, on estimait qu'un Sud-africain sur quatre avait commis un viol et qu'un enfant était violé toutes les trois minutes.
Un panneau africain du sud bientôt en France ?
En 2005, l'Afrique du Sud a compté quelque 19 000 personnes assassinées, 55 000 personnes violées et 120 000 hold-up selon les chiffres cités par le Sunday Times. Pour les années 2007 et 2008, les statistiques ont encore recensé quelque 240 000 cambriolages chez les particuliers, pas moins de 60 000 vols dans les magasins, les usines et les bureaux, près de 140 000 cas de dégradation lourde de matériel, ainsi que 18 487 assassinats et 18 795 tentatives de meurtre. Les violences se concentrent au Cap, à Durban, mais aussi à Johannesburg et à Pretoria. Les fermiers blancs sont aussi fréquemment victimes d'attaques racistes de noirs. Ainsi même si les derniers chiffres de 21012 publiés par la police en Afrique de sud témoignent d'une légère baisse de la criminalité, et notamment des crimes à la personne. On compte encore en moyenne 43 meurtres par jour dans le pays, dont deux d’enfants.

Avec les socialistes au pouvoir voila Français, le panneau de signalisation qui vous attend.
Vivre en Afrique du Sud fait froid dans le dos. Des journaux ont parlé de cette femme de 92 ans violée et tuée à son domicile, il y a des panneaux au bord des routes prévenant « vous entrez dans une zone dangereuse », les maisons individuelles peuvent être hérissées de barrières électriques qui annoncent  « ne pas toucher, danger de mort ». Presque tous les habitants d'Afrique du Sud ont une fois dans leur vie fait l'expérience directe de la criminalité. C’est cela l’héritage de Mandela le marxiste, le retour à la sauvagerie atavique et à la barbarie ?
Avec plus de 15 000 meurtres par an, un chiffre extraordinairement élevé,l’Afrique du sud post Mandela est encore loin de la civilisation. Quant aux agressions sexuelles, le ministre de la police avoue qu’elles restent « obstinément élevées », et c’est d’autant plus inquiétant que 40% des victimes sont des enfants. 

Selon l'indice de développement humain (IDH) du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), l'Afrique du Sud a reculé de 35 places dans leur classement entre 1990 et 2005, constatant l'appauvrissement général de la population. Le nombre de personnes vivant en dessous du seuil d'extrême pauvreté a doublé en dix ans, passant de 1,9 à 4,2 millions, soit 8,8 % de la population. Près de 40 % des villes en Afrique du Sud sont composées de townships et cette différence entre les riches et les pauvres est très visible ainsi que très présente, elle est à l'origine beaucoup de tension entre les deux prétendues « classes sociales ». Plus de 43 % de la population vit avec moins de 3 000 rands (260 euros) par an. Le chômage a un taux officiel de 24,70 % selon l'OIT, mais les syndicats en 2013 l'estiment proche de 45 %. Et le salaire moyen d'un Noir sud-africain atteindra le même niveau que celui d'un Blanc en 2021.

En 2006, le pays détenait la 121e place au classement mondial de l’indice de développement humain. Aujourd’hui il figure à la 123 ème place sur 169 (recul de 35 places entre 1990 et 2005, merci « papa » Mandela !) Une partie de la minorité blanche rendue mal à l'aise notamment par la hausse de la criminalité (541 fermiers blancs ont été sauvagement massacrés entre 1998 et 2001), par l’imbécile discrimination positive mettant à des postes de responsabilité des incompétents parce que noirs, par la pandémie du Sida, et par les événements gravissimes survenus au Zimbabwe du communiste robert Mugabe à l'encontre des fermiers blancs, émigre massivement en Australie ou en Nouvelle-Zélande. Ainsi, près d'un million de Sud-africains blancs auraient quitté le pays depuis 1994.

Par contre cette population blanche est remplacée par de nombreux Africains noirs qui immigrent en Afrique du Sud pour gagner plus d'argent que dans leurs pays d'origine.

En mai 2008, Johannesburg et d'autres villes du pays connaissent de violentes émeutes anti immigrés qui font environ 50 morts, 25 000 sans-abri et provoqué le retour dans leur pays de plusieurs milliers d'immigrés clandestins.
Le jeudi 16 août 2012, trente-quatre mineurs ont été tués et soixante-dix-huit blessés dans des affrontements entre grévistes et policiers à la mine de platine Lonmin de Marikana, au nord de Johannesburg, selon un bilan officiel de la police nationale. Les mineurs, qui vivent dans des taudis accolés à la mine, sans eau courante, touchent environ 4 000 rands par mois (400 euros). « Nous sommes exploités, ni le gouvernement ni les syndicats ne sont venus à notre aide », a déclaré l'un d'eux. « Les sociétés minières font de l'argent grâce à notre travail et on ne nous paye presque rien. Nous ne pouvons pas nous offrir une vie décente. Nous vivons comme des animaux à cause des salaires de misère ».

Je conclurai cet article avec les citations de deux grands esprits en premier l’ancêtre des libertariens Frédéric Bastiat qui dans «  La Loi » (1850) il y a plus d’un siècle à dit « Il y a trop de grands hommes dans le monde; il y a trop de législateurs, organisateurs, instituteurs de sociétés, conducteurs de peuples, pères des nations, etc. Trop de gens se placent au-dessus de l'humanité pour la régenter, trop de gens font métier de s'occuper d'elle » Un prophète !
Proudhon, qui fut le premier à se qualifier d'anarchiste disait :"Le communisme, pour subsister, supprime tant de mots, tant d'idées, tant de faits, que les sujets formés par ses soins n'auront plus le besoin de parler, de penser, ni d'agir : ce seront des huîtres attachées côte à côte, sans activité ni sentiment, sur le rocher de la fraternité. Quelle philosophie intelligente et progressiste que le communisme !"…
Michel Alain Labet de Bornay . . .

Copyright 2013. Agence de Presse AIS (Accréditation International System). (Trade Mark) Secrétariat technique de l’Association de défense des identités Françaises.
Tous droits réservés. 
Ce matériel peut être publié, diffusé ou redistribué dans la mesure de la citation de la source.
Une faute d'orthographe, une erreur à signaler ? Une précision à apporter ? Des sous à nous envoyer ? Écrivez à : frenchlibertarian@gmail.com

2 commentaires:

  1. Un mythe ce brave homme ?
    Mais non, juste une variété un peu foncée de Boumedienne, ou de Sidaïque Arafat… c’est a présent que ça va devenir tragiquement rigolo… tous les Zoulous , que sa présence en vie, retenait vont a présent se lâcher et ce n’ est pas le Jacob Zuma, qui combat le sida avec des bonbons a la vanille qui y pourra grand chose
    Mes prévisions a court terme ? Les Blancs vont se faire flinguer…ces sauvages là n’ont rien a envier aux autres sauvages comme les algériens ; souvenez vous : la valise ou le cercueil et quelques années plus tard les zalgériens se prostituaient pour un visa et pour traîner leur valise en carton en France et a la même époque les cercueils allaient servir a enterrer deux cent mille algériens …
    En second : les zoulous vont massacrer les autres noirs (style chiites contre sunnites) normal, c’est quand y aura plus de blancs genre les zarbis qui se mettent a s’entretuer quand y a plus ni juifs, ni chrétiens comme en Syrie ou en Libye.
    C’est malheureusement la même absence d’intellect , le même instinct de mort qui guide ces demeurés …Noirs ou Gris

    RépondreSupprimer