dimanche 15 décembre 2013

Passe moi ta montre, je te donnerai l’heure.



Le stade de Soweto a été l’espace d’un moment « le centre du monde », « le nombril de la  planète », puisque l’hommage à Rolilala Mandela  s’y est déroulé en présence d’une centaine de chefs d’Etat.  Deux d’entre eux seulement étaient invités à prendre la parole. D’abord  le vieux criminel communiste Raul Castro, au nom de la solidarité marxiste que l’Etat cubain a manifesté de tout temps aux révolutionnaires marxistes de l’ANC. Mandela, « qu’ Amnesty International, pourtant d’une extrême indulgence à l’égard des militants  « progressistes »  avait toujours refusé de l’adopter comme  « prisonnier de conscience » du fait qu’il ne rejetait pas la violence », fut aussi un  des dirigeants  clandestin du Parti Communiste sud africain, malgré ses dénégations. Outre le dirigeant communiste cubain, a pris également la parole Baraque Obamanania, à la tête d’une première puissance mondiale se voulant  elle aussi  « arc-en-ciel », président symbole du très allah con mondialisme métissé qui serait notre avenir indépassable  et le modèle commun planétarisé obligatoire. La boucle  est bouclée,  le symbole assez transparent…
Les plus grands enfoirés de ce monde, dont le président américain Barack Obamanania et le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, ont donc pris part avec des milliers de Sud-africains à une gigantesque cérémonie en hommage au camarade marxiste Rolilala Mandela, décédé à l'âge de 95 ans. 
Mandela? Un terroriste communiste !
Il ne semble pas qu’il ai fait l’unanimité sur ses actions même dans le monde communiste puisque ici, dans un article très marxiste titré : «  Le monde capitaliste pleure Nelson Mandela » on peut lire : « Bien sûr, les milieux populaires eux aussi croient devoir pleurer Mandela et le révérer. Mais ce qui peut permettre de comprendre quel rôle ce dirigeant bourgeois nationaliste a joué, c’est pourquoi les classes dirigeantes acclament unanimement Mandela. » la suite ici 
Cet article a donné lieu à un commentaire marxiste culturel symptomatique : « Si Mandela et tous ces traitres à leur peuple et à la classe ouvrière que sont les staliniens n’avaient pas vendu leur conscience et leur combat aux capitalistes étrangers, on n’en serait pas là. Le résultat de leurs magouilles est une Afrique du Sud vendue aux capitalistes : de l’exploitation raciste visible et officielle sous l’apartheid, on est passé à l’exploitation "raciste invisible". » Personnellement j’adore… ! 
Les idéologues marxistes culturels d’aujourd’hui prétendent qu’il ne faut pas confondre communisme et stalinisme. Seulement voilà, les communistes actuels (il en reste surtout sous la forme de marxistes culturels), pensent toujours bêtement comme Marx que la société, en se développant, passe à des formes d’organisation de plus en plus élevées, ce qui est faux. Le degré le plus élevé, le plus progressiste, du développement social serait la société communiste et l’édification du socialisme, but final de la lutte des « travailleurs » de tous les pays pour leur émancipation. Le courant de pensée marxiste se veut toujours porteur d'une forme pseudo « scientifique » de socialisme, fondé sur une analyse du capitalisme et soi disant « dépassement » de celui-ci par le biais de la lutte des classes et du passage à la propriété sociale des moyens de production.


Communistes ? Assassins !
La société communiste passe par deux immondes phases de développement : une phase inférieure, appelée socialisme, et une phase supérieure, appelée communisme.
Les deux phases du communisme possèdent la même base économique : L’expropriation, le vol des propriétaires autrement dit propriété « sociale » des moyens de production, qui déterminerait le développement harmonieux de l’économie nationale. Elles seraient caractérisées l’une et l’autre par l’absence de « classes » exploiteuses et l’absence d’exploitation de l’homme par l’homme, d’oppression « raciale » (sic) et nationale. Pour ce faire les « camarades » ont mis en place la dictature du prolétariat qui est un concept marxiste désignant la phase transitoire de la société entre le capitalisme et le communisme qui verra l’édification du socialisme. Pour les curieux voir ici 
Seulement voilà, ils ne sont jamais sorti de cette « dictature » de ce véritable capitalisme d'état, avec le culte de la personnalité, le travail forcé dans des camps d’extermination dit goulags ou laogai (ici) qui va avec, (voir le Viet Nam, la chine, Cuba et surtout la Corée du Nord, sans oublier le Zimbabwe). Ils auront beau nous chanter la chansonnette que Staline était un « dictateur » qui se servait du communisme pour justifier ses actes. ça ne « marche » plus, les supporters des goulags (Voir ici l'horreur est humaine) ,il y en a encore, comme des purges,de l’holodomor au 9 millions de victimes reconnu comme crime communiste contre l’humanité, le désastreux « grand bon en avant », le génocide perpétré par les khmers rouges... Tout cela c’est la copie du Stalinisme, c’est du pur communisme ! + ici

Robert Mugabe ? Un criminel marxiste!
Les « amis » au plus dangereux membre criminel de l’internationale socialiste Robert Mugabe étaient tous là. Le « bon » camarade Robert un des derniers bons copains du travailleur volontaire en Allemagne nazie Georges Marchais, de Mitterrand le décoré de la Francisque du Maréchal Pétain et de son épouse Danielle, encore au pouvoir en Afrique, Robert Mugabe, un  « marxiste-léniniste-maoïste » président de l’ex Rhodésie devenu le Zimbabwe, tyran assassin, dictateur rouge sanguinaire qui avec un régime raciste et communiste à précipité dans la ruine et la violence raciste marxiste un pays qui était un des plus prospère d’Afrique.
L’Internationale socialiste de continuer à soutenir Mugabe avec les fameux « progressistes » de gauche ! Après avoir soutenu Lénine et Staline, normal de continuer à soutenir des « amis » des « peuples » ! Depuis qu’il a viré les blancs en les massacrants sauvagement, le pays a plongé dans la misère la plus noire (sans jeu de mots) et l’espérance de vie a chuté à… 37 ans.

Robert Mugabe= Adolphe Hitler
Le beau régime « marxiste » de Robert est pourtant pointé du doigt par la collectivité internationale et par des organisations telles qu' Amnesty International, (Et là, il faut en faire pour que ces « gens » là, bougent leur gros cul de marxistes culturels) pour « atteintes massives » aux droits de l'homme, à la liberté d'opinion et à la liberté de la presse. J’aime bien les citations, alors je ne résiste pas à vous en donner une bonne du « camarade » Robert : En mars 2003, il déclarait « Hitler avait un seul objectif : la justice pour son peuple, la souveraineté pour son peuple, la reconnaissance de l'indépendance de son peuple et ses droits sur ses ressources. Si cela c'est Hitler, laissez-moi être le décuple de Hitler (If that is Hitler, then let me be a Hitler tenfold. That is what we stand for.). Quand je vous dis que l’amitié entre les « peuples » c’est beau comme Mein Kampf ! (Bonjour à mes « amis » du MRAP !).
L'Afrique vivaient bien mieux du temps des colonies tout comme l’Afrique ru Sud au temps de la séparation. Car, sous couvert d'indépendance, des leaders socialistes et/ou marxistes, ont fomenté des guerres civiles pour leur propre clan, et tant pis si elles ont causé la mort et la misère de millions d'Africains. Une fois au pouvoir, ils ont accaparés la majeure partie du revenu national et de l'aide internationale, engraissé une cour, une armée et une police à leur unique service, et tant pis pour les autres … à qui on faisait croire que l’idéologie mortifère communiste véritable sida mental essaye encore désespérément de faire croire que c'était la faute aux impérialistes, aux colonialistes s'ils vivaient dans la misère.
Revenons à nos tristes «hommageux ». Le président américain sans doute le meilleur lecteur de discours sur téléprompteur que compte notre époque est applaudi par la foule à son arrivée sur l'estrade ; il y a salué le « dernier grand leader du XXe siècle ». Leader ? Non mais on rêve là ! Ce type était un immonde terroriste marxiste criminel et haineux éructant le chant de haine « Tuez les blancs » à longueur de discours !
 

« C'est difficile de faire l'éloge de n'importe quel homme [...] mais c'est encore plus difficile pour un géant de l'histoire qui a mené une nation vers la justice », a dit le sinistre président dans un discours mensonger, le camarade Mandela comme tous les communistes avant lui et après lui a mené et mèneront toujours l’Afrique du sud vers la ruine, le racisme antiblanc et la haine socialiste.
« L'Afrique du Sud nous montre que l'on peut changer. » a ajouté Obama. Dommage que ce « changement » soit un échec sanglant.
Et puis cerise sur le gâteau de la haine rouge, Barack Obama a commis une faute politique extrême, qui ne sera, bien sûr, pas relevée dans les médias marxistes culturels: il a serré la main du communiste cubain Raul Castro, en se courbant respectueusement, et devant l’objectif des photographes. Cela fait une série de photos que le régime cubain va s’empresser d’exploiter à ses propres fins. Cela constitue non seulement une reconnaissance de fait du régime marxiste cubain, mais une reconnaissance déférente vis-à-vis de ce régime. Depuis plus de cinquante ans, c’est le genre de geste et de photo que veut le régime communiste de Cuba. Et ce que voulait ce régime dictatorial et criminel communiste a été fait. Ce geste d’une grande stupidité est allé droit au cœur de tous les Cubains vivant en exil.



Communisme ? La haine raciste !
Il est allé droit au cœur, de la famille d’Alan Gross, un travailleur humanitaire américain âgé aujourd’hui de soixante quatre ans, emprisonné à Cuba depuis 2009 pour, c’est ce que disent les « autorités » communistes cubaines, avoir voulu aider la communauté juive vivant encore sur l’île. Obama a été poli et courtois avec celui qui garde Alan Gross dans une geôle, et quelle geôle ! Depuis son incarcération, Alan Gross a perdu cinquante kilos, et il est aussi squelettique qu’un homme sortant d’un camp de rééducation maoïste au temps de la Révolution culturelle. La famille d’Alan Gross a demandé à Barack Obama d’intervenir en faveur d’Alan Gross, Barack Obama ne l’a pas fait.
L’occupant de la Maison Blanche est décidément plus que sordide. Mais qui trouve encore cela surprenant ?
 « L'Afrique du Sud a perdu un père. Le monde (Le monde ? Quel monde ? Celui de l’internationale Socialiste ?) a perdu un ami cher et un mentor », a déclaré sans honte ni vergogne pour sa part le secrétaire général de l'ONU le sud-coréen, Ban Ki-moon à la solde des Etats Unis.
« Ce plus grand de tous les baobabs ( ?) a planté des racines qui ont poussé partout sur la planète, a-t-il poursuivi. Nelson Mandela nous a montré la voie avec un coeur plus grand que ce stade et un sourire contagieux qui aurait pu en allumer les lumières. En fait, il a éclairé le monde. » Il aurait pu poursuivre par un monde de haine de l’autre, de haine des blancs,de haine marxiste, l’échec monstrueux du « vivre ensemble » de la société « multiethnique » ne semble pas affecter ce guignol aux mains des ricains.

Hollande était là lui aussi.
Peu avant, le président sud-africain le Zoulou communiste Gedleyihlekisa Zuma, (Gedleilékisa Zuma avait rejoint le Parti communiste sud-africain (SACP) en 1963) a été hué à plusieurs reprises par la foule, alors que l'ancien président Thabo Mbeki, écarté du pouvoir en 2008, a été applaudi.
Voyons un peu le cas du « hué ». Le 2 juin 2005, après un procès de sept mois, l’ homme d'affaires ( Zuma sait à peine lire et écrire) du Zoulou Zuma, est condamné à quinze ans de prison ferme pour avoir versé près de 160 000 euros au vice-président Jacob Zuma entre 1995 et 2001 dans le cadre d'un trafic d'influence et notamment pour avoir négocié un pot-de-vin entre Zuma et le fabriquant d'armes Thint, filiale sud-africaine du groupe français d'électronique de défense Thomson CSF devenu Thales, prévoyant un versement annuel de 500 000 rands (60 530 euros) au vice-président. Le juge a ainsi qualifié la relation entre Shaik et Zuma de « globalement corrompue ».On commence à comprendre mieux ce que vont faire Hollande et Sarkozy les joyeux duettistes de la magouille ; un slogan intéressant : « Avec l’UMPS les rois de la magouille ; on s’en met plein les fouilles ! ». Accusé de viol, racket, blanchiment d'argent,  de corruption et de fraude, le zoulou polygame et homophobe est toujours au pouvoir comme un bon dirigeant communiste. Cette ordure marxiste dirige le génocide des blancs en Afrique du Sud et exploite la majorité noire, dont une partie importante reste en dessous du seuil de pauvreté, sans accès à l’eau potable, à un logement décent, ou aux anti rétroviraux pour les séropositifs.

Le zoulou Zuma en baskets.
Quoique il en soit, le Zoulou communiste et homophobe Zuma en vertu des « enseignements du Seigneur », considère de plus l’union civile des homosexuels comme un « déshonneur ». Le 24 Septembre 2006 à Stanger, il a déclaré que le mariage homosexuel était « une honte pour la nation et pour Dieu»: «Quand j'étais jeune, un ungqingili (Insulte vulgaire en « langue » zouloue envers les personnes homosexuelles masculines équivalente en français à gros pédé ou enculé) n'aurait pas tenu devant moi. Je l'aurai assommé. » Il s’habille parfois en peaux de léopard et se déclare favorable au test de virginité des jeunes filles, respectant les coutumes les plus sexistes de son ethnie. Il pratique bien évidemment la polygamie. Zuma a été « marié » six fois ; en 2012, le Daily Telegraph a estimé que Zuma avait 20 enfants. En Juin 2012, des militants communistes, dont certains de l'ANC, se sont plaints que l'Etat a versé 1,2 M £ pour «pension alimentaire»aux femmes de Zuma, dans le contexte de sous développement et de pauvreté généralisée du pays il est un peu normal qu’il soit sifflé en 2013.

L’Afrique du sud est membre de l’internationale SOCIALISTE, l’association internationale de maffieux corrompus, racistes, etc. etc. leur XXIV Congrès c’était d’ailleurs réuni au Cap en Afrique du Sud, du 30 août au 1 septembre 2012. Madame Ségolène Royal, Vice présidente de l’IS (PS, France) la première femme de F. Hollande était là. Lisez ce texte pour savoir à quelle « sauce » ces malfaiteurs veulent nous manger. Lire ici.
Quand à l’ex président Thabo Mbeki, écarté du pouvoir en 2008, qui a été très applaudi, il ne lui manque rien dans la haine socialiste des blancs et des autres ethnies de l’Afrique du Sud.
Thabo est né en1942 dans la province du Cap. Ses parents étaient « enseignants » mais surtout, membres du Congrès national africain (ANC) et du parti communiste sud-africain (SACP) Son père Govan Mbeki, ancien dirigeant communiste était l’un des plus proches compagnons de prison du camarade Rolilala (Tsouin Tsouin), Thabo Mbeki a été formé pour diriger, d’aucun le dise « aristocrate » de la révolution. Sa langue maternelle est le xhosa comme Rolilala Mandela. Son enfance est bien sur imprégnée de références à Karl Marx

Diplômé d’une université britannique il fut aussi un camarade « cadre » dirigeant de l’ANC en exil, au côté de son mentor Oliver Tambo. Mbeki, sera aussi bien sur formé pendant 3 ans à Moscou où il suit l'école du parti communiste (Dite école du crime) et une formation militaire à l'institut Lénine de Moscou.

En Chine, à Cuba, en Corée du Nord, au Zimbabwe, au Viet Nam le communisme tue encore tous les jours.

Le « technocrate » révolutionnaire qui devait gérer l’après transition et faire de l’Afrique du Sud un pays moderne, plus juste et capable de favoriser une « renaissance » africaine est comme tous les communistes marxistes mis en face des réalités. A l’arrivée, le compte n’y est pas. Il avait aussi  ruiné sa réputation dans la crise au Zimbabwe Voir ici.
Un marxisme très personnel l’a progressivement isolé de son peuple, des blancs et des autres ethnies. Parmi les zones d’ombre considérables de ses deux mandats, il y a sa gestion catastrophiques de la crise du sida, dans l’un des pays les plus touchés au monde, avec sa contestation farfelue des données scientifiques, et son refus de distribuer des antirétroviraux, condamnant des dizaines de milliers de personnes à une mort rapide.
Les polémiques financières se sont invitées en France  dans le cadre de cet hommage, notamment sur le coût du déplacement de François Hollande et de Nicolas Sarkozy (en tant qu’ancien président) en Afrique du Sud.  Une facture salée dont a pris prétexte le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, pour ne pas se rendre aux funérailles de Nelson Mandela.
En fait je crois que Benyamin Netanyahu  ne souhaitait pas rendre hommage à un Mandela qui soutint de longue  date les revendications des Palestiniens et critiqua vivement la « politique d’apartheid » que mènerait Israël à leur égard. 
Si ce souci d’économie cache donc d’autres motivations, notons qu’en France même, la « classe » politicienne sait être généreuse avec les défenseurs de la démocratie et du pluralisme. Déjà financé dans le passé  par le super capitaliste Lagardère, l’amendement 410, du 03 décembre 2013 de l’Assemblée nationale nous apprend ainsi que le quotidien communiste pourri L’Humanité sera une nouvelle fois renfloué avec l’argent des contribuables. (Article de votre serviteur à venir )
L’Huma, le quotidien sans lecteurs  déjà le plus subventionné,  ne disparaîtra pas, car est-il indiqué dans cet amendement, « les créances détenues sur la Société nouvelle du journal L’Humanité au titre du prêt accordé le 28 mars 2002, réaménagé en 2009 et imputé sur le compte de prêts du Trésor n° 903‑05, sont abandonnées à hauteur de 4 086 710,31 euros en capital. Les intérêts contractuels courus et échus sont également abandonnés» est-il écrit.
Bref,  au motif que les débiteurs communistes ne peuvent plus payer, l’état abandonnerait ses créances sur le journal… comme c’est pratique ! Cette justification ne manquera pas d’interpeller nos compatriotes, les entrepreneurs, commerçants,  artisans qui croulent sous les charges et les impôts et  n’ont jamais droit à aucune mansuétude…
Une étude de l’Institut Coppet rappelle qu’à la fin de l’Ancien Régime, les Français travaillaient 18 jours par an pour financer les dépenses de l’État, alors qu’aujourd’hui, un salarié  travaille  du 1er janvier au 26 juillet pour l’État. La formule désignant  naguère le calamiteux système communiste constate Bruno Gollnisch,  s’applique  de plus en plus à notre Etat socialo-européiste confiscatoire: « passe moi ta montre je te donnerai l’heure ».

L’historien Nicolas Delalande (auteur du livre Les Batailles de l’impôt) rappelait récemment qu’autour de 1900, le taux d’imposition représentait environ 10 % de la richesse nationale, aujourd’hui, « le niveau des prélèvements se maintient entre 42 % et 46 % du PIB ».
Or, souligne t-il, le consentement à l’impôt vient d’un pacte entre le citoyen contribuable et l’Etat pour que celui-ci assure trois fonctions régaliennes fondamentales, indispensables: l’État protège l’intégrité du territoire protégé par des frontières ; l’État bat monnaie (garantissant l’indépendance de la nation),  l’État rend la justice (impartiale, au nom et dans l’intérêt du peuple français).Pourtant, aujourd’hui, «l’État a ouvert les frontières, l’État ne bat plus monnaie, et l’État rend une justice politique servant des lobbies et/ou des idéologies contre le peuple».

Communisme = Nazisme !
Voilà la conséquence directe de la soumission de notre classe politicienne au marxisme culturel ou à l’idéologie euro mondialiste comme l’affirme Bruno Gollnisch. Français qui ne fêteront pas demain constate-t-il encore,  le vingtième anniversaire (11 décembre 1993)  de l’adoption par les douze pays alors  membres de l’UE du  Livre Blanc de Jacques Delors, qui devait relancer la croissance et lutter contre le chômage en Europe.
Nous en voyons les résultats dans notre pays : plus de trois  millions de chômeurs, huit millions de pauvres, nos industries détruites sur l’autel du marxisme culturel, de la mondialisation et de l’ultra libre échangisme sans  frontières ni protections, une  croissance en berne, une  balance commerciale durablement plombée,  2 000 milliards d’euros de dettes publiques…
Face aux mensonges, à  l’autisme de l’UMPS, à l’incapacité des partis euro mondialistes à changer de logiciel, le FN représente une alternative sérieuse dont les Français  doivent se saisir dés 2014. Il est encore temps.

Michel Alain Labet de Bornay.


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1 commentaire:

  1. SOURCE
    Dans un article intitulé « Comment le régime d’apartheid a sauvé l’industrie d’armements israélienne »( Voir ici) le journaliste Aluf Benn pointe en particulier un maxi-contrat, d’une valeur de 1,7 milliard de dollars (soit 4 milliards d’euros environ, aux valeurs actuelles) signé entre les deux gouvernements racistes.
    Le contrat portait sur la vente de 60 chasseurs Kfir par Israël à l’Afrique du Sud, qui faisait alors la guerre, non seulement aux combattants de la résistance sud-africaine (la branche armée de l’African National Congress ANC) et namibienne, mais également aux pays africains récemment libérés de la tutelle coloniale (portugaise) comme l’Angola et le Mozambique.
    Le Kfir était un avion de fabrication israélienne dérivé du Mirage français des usines Dassault, avec cependant un réacteur de fabrication américaine. Il faut se rappeler en effet que la France fut le premier fournisseur de l’aviation israélienne, avec ses Mirage, avant que les Etats-Unis prennent le relais (fourniture d’avions complets, ou de composants) dans les années 1970. D’où le caractère mixte (mi-français, mi-américain) des composants du Kfir assemblé en Israël.
    Seulement, en 1988, lorsque le juteux contrat se profile pour l’industrie aéronautique israélienne (par ailleurs en mauvais état, suite au fiasco du projet Lavi, le successeur espéré du Kfir), les Etats-Unis ont fini par se plier aux sanctions internationales anti-apartheid, qui interdisent l’exportation d’armes vers l’Afrique du Sud depuis des lustres.
    Les USA s’opposent donc à ce que les Kfir israéliens destinés à l’Afrique du Sud –où ils prendront l’appellation Atlas Cheetah- reçoivent le réacteur américain.
    Qu’à cela ne tienne ! Le gouvernement français –alors dirigé par Chirac, le « socialiste » Mitterrand étant Président- qui, officiellement, a lui aussi fini par se rallier à la politique de sanctions anti-apartheid, retrouve ses sales vieilles habitudes. Les Kfirs destinés à l’Afrique du Sud seront au final équipés du réacteur originel des Mirage, produit par la firme nationalisée française Snecma (appelée aujourd’hui Safran).
    Comme dirait Montebourg, le « Made in France », il n’y a que cela de vrai, n’est-ce pas ?
    CAPJPO-EuroPalestine

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