jeudi 16 janvier 2014

Boycott des produits d’Israël : une militante diffamée, selon la cour d’appel



Source: Communiqué du CTECNA.

La cour d’appel de Colmar a confirmé, le jeudi 9 Janvier 214, la condamnation de Michel Labet, polémiste politique libertarien de son nom complet Michel Alain Labet de Bornay le secrétaire général du CTECNA (Site ici : Antisémitisme non merci) pour « diffamation » envers madame Aline Marie Yvonne Parmentier, secrétaire départementale section Alsace et membre du comité central du Parti Communiste Français, membre du Front de Gauche et du « collectif » Antisémite Boycott68 se revendiquant de l’idéologie marxiste aux cent cinquante millions de victimes, condamnée elle aussi la veille par cour d’Appel de Colmar avec une dizaine d’autres antisémites (*1) pour avoir provoqué à la discrimination à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion…


Aline Parmentier du PCF Antisémite !
En résumé madame Parmentier était définitivement condamnée pour incitation à la haine raciale antisémite ! Point barre !

Ainsi, lorsque monsieur Labet est condamné ( à 1 Euro de dommage et intérêts) pour diffamation(*2)pour avoir soi-disant assimilé Madame Parmentier « aux proclamateurs de propos et d'actes haineux » Ici le texte d'ou sont tiré les 4 mots en cause il est simplement condamné pour avoir dit la vérité.

Pour le secrétariat du CTECNA.

Illisible


Information contrôlée exempte d’antisémitisme.


(*1) Jean Michel Baldassi, Maxime Roll, Christiane Topouzian épouse Mure, Henri Eichholzer, Mohammad Akbar, Farida Trichine, Jacques Ballouey, Leïla ou Laïla Assakali, Assakali Yahia, Habiba El Jarroudi épouse Assakali, Assya Ben Lakbir,

(*2) Un pourvoi en cassation était immédiatement engagé par monsieur Labet.

 

1 commentaire:

  1. Antiracisme, vice à la mode L’antiracisme est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour vertus. Le personnage d’antiraciste est le meilleur qu’on puisse jouer depuis trente ans et la profession de foi antiraciste a de merveilleux avantages. C’est une imposture toujours respectée. Même découverte, personne n’ose s’élever contre elle. Les autres vices sont exposés à la critique et chacun a la liberté de les attaquer publiquement, mais l’antiracisme fait taire tout le monde et jouit d’une immunité souveraine. A force de grimaces, les antiracistes font de nous leurs otages. Qui en choque un se les jette tous sur le dos, et ceux qui agissent de bonne foi sont toujours dupes. Donnant dans le panneau des grimaciers, ils soutiennent aveuglément les singes. Combien dissimulent ainsi les folies racistes de leur jeunesse ? Combien se sont fait un bouclier du manteau de l’antiracisme et, sous cet habit respecté, ont la permission d'être les plus méchants hommes du monde ? On a beau connaître leurs intrigues, ils ne laissent pas d'être en crédit parmi nos compatriotes. Une tête baissée, un soupir mortifié, deux roulements d'yeux, une verte indignation transforment en or pur le vil plomb de leurs basses oeuvres ; et derrière cet écran, ils font prospérer leurs sales affaires.

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