mardi 23 septembre 2014

La députée Sylvie Andrieux condamnée en appel.




Un membre du gang mafieux socialiste Marseillais madame le député socialiste ex vice-présidente socialiste du Conseil Régional Paca, Sylvie Andrieux condamnée.

       Le lundi 16 août 2010 j’écrivais : « A Marseille, derrière le rideau de propagande mensongère surgit la réalité de l'horreur de la construction du socialisme provoquant misère et terreur pour la très grande majorité du peuple au profit d'une nouvelle bourgeoisie de truands et de gangsters qui, sans états d'âmes, se servent dans les poches des honnêtes citoyens pour des raisons bassement électoralistes et clientélistes, allant à Marseille jusqu'à subventionner le terrorisme musulman salafiste.

Madame le député du Parti Socialiste des Bouches-du-Rhône, Sylvie Andrieux, a été mise en examen, jeudi 8 juillet à Marseille, dans le cadre d’une affaire de détournement « présumé » (Lol) de fonds de la région Provence Alpes Côte d’Azur (PACA),dans laquelle 23 honnêtes ( ?) socialistes étaient déjà mises en cause. » La suite Ici.


UMPS=Corruption
Le vendredi 16 août 2013, j’en rajoutait une petite louche lors de l’assassinat de Jérémie Labrousse, brillant étudiant né en 1991 et originaire des Vosges.
Le malheureux « petit blanc » était mort dimanche matin 11 Août 2013 après avoir été poignardé et égorgé 2 jours avant à Marseille par une racaille multirécidiviste Ali Hamadou boulevard d'Athènes (1er arrondissement) alors qu'il allait chercher une amie à la gare Saint Charles. 
Notre « ami » socialiste Manuel Gaz Valls, dit el blancos, avait bien sur fait part de sa « profonde tristesse » ( Les fameuses "larmes de crocodile"),et appelé « l'ensemble des responsables publics à la retenue afin d'éviter les surenchères et polémiques déplacées », après les nombreuses réactions politiques rendues publiques samedi, sur fond de campagne des élections municipales à Marseille.
Surtout ne pas faire de vagues et de rappeler que le 22 Mai dernier la députée du Parti Socialiste des Bouches-du-Rhône Sylvie Andrieux avait été condamnée par le tribunal correctionnel de Marseille à 3 ans de prison, dont un an ferme, à une amende de 100 000 euros et à 5 ans d'inéligibilité pour avoir subventionné des associations qui maintiennent dans la rue les racailles marseillaises. La suite Ici.
     Et enfin le vendredi 6 juin 2014 Une dépêche de l'AFP (Agence France Prévarication) est reprise par le torchon d’Ultra gauche Libération. (Aujourd’hui invisible chez l’agence France Palestine).
Sur le canard marxiste culturel Le monde la dépêche de l’AFP est un peu plus condensée :
Extrait : « Une peine de trois ans d'emprisonnement, dont deux avec sursis, assortie de cinq ans d'inéligibilité et de 100 000 euros d'amende a été requise vendredi 6 juin en appel contre l'ex-députée socialiste des Bouches-du-Rhône Sylvie Andrieux.
L'avocat général de la cour d'appel d'Aix-en-Provence a requis la même peine que celle à laquelle elle avait été condamnée en première instance en mai 2013, pour le détournement de 2005 à 2008 de subventions du conseil régional PACA au profit d'associations fictives, estimant que la culpabilité de Mme Andrieux était « parfaitement établie ».
« Lorsqu'on voit les chiffres, on est effaré ! », s'est ému l'avocat général, qui a regretté que la députée des quartiers nord de Marseille, qui s'était mise « en congé » du PS après sa condamnation pour siéger chez les non-inscrits au Palais-Bourbon, ne reconnaissant pas les faits.
Fille d'un « baron » du defferrisme, Sylvie Andrieux, 52 ans, est entrée en politique au début des années 1990, s'implantant dans les quartiers nord comme élue locale, puis régionale et enfin députée. Réélue de justesse à l'Assemblée nationale en 2012, sans l'investiture du PS, elle a ensuite abandonné, en pleine tourmente judiciaire, son mandat à la région, restant en retrait de la campagne municipale de 2014 et assistant à la défaite de son dauphin dans son secteur, le 7e, le plus peuplé de la ville, passé au FN. »
Et puis ici étaient révélés les dessous nauséabonds du socialisme « allah » Marseillaise :
« Roland Balalas, assistant de Sylvie Andrieux et homme-clé de ce dossier, aurait ainsi déclaré au juge : "« Le fait d’aider abondamment les associations ( Musulmanes et autres salafistes) est le résultat d’une stratégie politique ; les vannes sont ouvertes en grand dans un but que l’on peut qualifier d’électoraliste et de clientéliste ... Mme Andrieux utilise sans discernement les fonds publics sans se soucier de ce qu’il y a derrière, juste pour sauvegarder ses intérêts électoraux et politiques. C’est-à-dire qu’elle se fout complètement de savoir si ce que l’on finance est bon ou pas, dans la mesure où ça augmente sa popularité dans les quartiers. (Entendre ici les « quartiers nord de Marseille essentiellement peuplés d’arabes et de racailles musulmanes, violeurs, violents, trafiquants de drogues et assassins) ».

Les petits protégés de Sylvie Andrieux.

       Au parti socialiste, et dans la Franc Maçonnerie du Grand Orient, avec les Dray, Ali Soumaré, Fabius, Dufoix, Cahusac, Rebsamen, Ayrault, Harlem Désir, Ségolène Royal ; hé oui, la Présidente de la Région Poitou-Charentes a été condamnée pour licenciements abusifs, Dominique Strauss-Kahn  pour complicité de proxénétisme, Jacques Mahéas, Sénateur de Seine-Saint-Denis, condamné lui pour agression sexuelle, Pascal Buchet, Maire de Fontenay-aux-Roses pour harcèlement, Jack Lang condamné pour rupture de contrat abusif, François Bernardini, Maire d’Istres : Condamné pour détournement de fonds publics. François Pupponi, Député-maire de Sarcelles : Condamné pour extorsion de fonds. Serge Andréoni, Sénateur Maire des Bouches-du-Rhône : Condamné pour complicité de trafic d’influences tout comme Henri Emmanuelli, Président du Conseil Général des Landes et Janine Ecochard la Vice-présidente du Conseil Général des Bouches-du-Rhône. Michel Pezet un des députés des Bouches-du-Rhône comme madame Andrieux était condamné pour recel de fonds. Jean-Noël Guérini l’extraordinaire président socialiste du conseil général des Bouches-du-Rhône était lui condamné pour association de malfaiteurs, comme Jean-Pierre Noyes simple Conseiller Général des Bouches-du-Rhône. Une liste ici et aujourd’hui avec monsieur le ministre Socialiste Thomas Thévenoud qui n'a pas déclaré ses revenus, ni payé ses loyers on frise l’escroquerie en bande organisée.
Chez les « socialopes » la délinquance et la prévarication sont une spécialité « maison ». Heureusement le Socialisme n’est heureusement pas sexuellement transmissible comme le sang contaminé, la preuve , avec la prévarication des juges marxistes félons du syndicat de la magistrature qui refusent d’incarcérer les délinquants multirécidivistes pour mettre leurs adversaires politiques dans l’embarras d’un manque de résultats  et Madame Andrieux qui subventionne des associations salafistes terroristes à Marseille, maintenant que la machination est connue , la maladie Socialiste en cours de traitement devrait très bientôt disparaître.
        Ah et puis j'oubliais, remenbeuré vous (Attention rien avoir avec les petits beurs copains de Sylvie, ce n'est qu'un néologisme Franglais pour souvenez vous, que c’est moi qui l’ai inventé) il y a aussi les vieilles affaires, que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, Montmartre en ce temps-là, Accrochait ses lilas, Jusque sous nos fenêtres …… ! : Ah qu’il était beau mon bateau le Rainbow Warrior, l’affaire Urba, la Mutuelle des étudiants de France, toutes ces belles affaires qui ont éclaboussé de merde rouge le Parti Socialiste. Normal ? Vous avez dit normal ? Oui bon, mais ça pue grave maintenant !
Une première en France une député de l’association de malfaiteurs Socialistes, madame Sylvie Andrieux membre d’un gang de voyous mafieux siégera à l’assemblée nationale avec un bracelet électronique !
            Mais revenons à notre députée socialiste qui donnait nos sous aux imams salafistes qui nous crache « allah » gueule, (Hé oui, comme tout bon escroc socialiste madame Andrieux bien que condamnée à de la prison ferme reste députée Socialiste) Ses avocats ayant annoncé qu'ils déposeraient un pourvoi en cassation. En cas de rejet de ce recours (examiné dans un délai de neuf à douze mois), une élection législative partielle serait organisée dans la 7e circonscription des Bouches-du-Rhône, là où le candidat du Front National Stéphane Ravier a ravi, en mars, la mairie du secteur.
       


Le repris de justice Socialiste Sylvie Andrieux condamnée à un an de prison ferme siégera à l'assembles Nationale payée avec notre fric ! Assemblée Nationale ?  Une assemblée de voyous !



      Monique Zerbib, présidente de la cour, a bien précisé que la partie d'emprisonnement ferme serait purgée par placement sous surveillance électronique, (Le bracelet c’est le contribuable qui le paye et puis Sylvie aux Baumettes, faut pas rêver !) comme y avait consenti la députée lors des débats en juin.

6 commentaires:

  1. LE SCAN POLITIQUE du Figaro- La députée des Bouches-du-Rhône Sylvie Andrieux a été condamnée en appel mardi à une peine de prison pour des détournements de fonds publics. L'ex-socialiste se pourvoit en cassation et s'accroche à son siège de député.
    La condamnation en appel est plus lourde qu'en première instance. La députée des Bouches-du-Rhône Sylvie Andrieux, exclue du PS en 2013, a été condamnée par la cour d'appel d'Aix-en-Provence à une peine de quatre ans de prison, dont un an ferme, assortie d'une amende de 100.000 euros et de cinq ans d'inéligibilité. Elle avait été reconnue coupable en première instance d'avoir fait verser plus de 700.000 euros d'argent public à des associations fictives de sa circonscription pour obtenir les voix d'électeurs entre 2005 et 2007, lorsqu'elle était vice-présidente du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur.
    L'élue, députée depuis 1997, reconnaît des «dysfonctionnements» mais nie les faits qui lui sont reprochés. Son avocat, Maître Gaëtan di Marino, a indiqué qu'elle allait déposer un pourvoi devant la cour de cassation.
    » Est-elle protégée par son statut?
    Depuis le 7 avril 2010, Sylvie Andrieux a perdu son immunité parlementaire. Le bureau de l'Assemblée nationale avait autorisé la levée de sa protection à l'unanimité alors qu'elle avait été mise sous contrôle judiciaire. En application de l'article 26, alinéa 3, de la Constitution, l'Assemblée a les pouvoirs de décider la suspension de la détention, des mesures privatives ou restrictives de liberté ou des poursuites engagées contre l'un de ses membres. Cela lui permet de replacer un de ses députés, à n'importe quel stade de la procédure, sous la protection de l'inviolabilité, qui concerne ses activités extra-parlementaires et le met à l'abri des poursuites judiciaires. De son côté, le Conseil constitutionnel, en application de l'article LO 136 du code électoral, a le pouvoir de prononcer la déchéance d'un député.
    » Doit-elle quitter l'Assemblée nationale?
    A l'Assemblée, Sylvie Andrieux siège avec les non-inscrits, en haut de l'hémicycle. Ses voisins sont Nicolas Dupont-Aignan, Marion-Maréchal Le Pen ou encore Gilbert Collard et désormais Thomas Thévenoud, si celui-ci revient au Palais-Bourbon. Selon le quotidien local La Provence qui cite le conseiller municipal PS de Marseille Stéphane Mari, la députée «ne lâchera jamais rien». Elle pourrait d'ailleurs revenir à l'Assemblée nationale dès mercredi, malgré sa condamnation. En revanche, ce n'est pas sur qu'elle puisse rester députée jusqu'à la fin de son mandat.
    A suivre…

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Suite du SCAN POLITIQUE du Figaro
      » Doit-on s'attendre à une élection législative partielle dans la 7ème circonscription des Bouches-du-Rhône?
      Selon La Provence, l'UMP et le FN seraient très impatients à l'idée d'une nouvelle élection. Mais ce n'est pas pour tout de suite: l'organisation du scrutin dépend des suites de la procédure et n'interviendra pas, dans tous les cas, avant un an. Sylvie Andrieux devra lâcher son mandat qu'en cas de rejet du pouvoi en cassation, dont l'examen est prévu dans un délai de neuf à douze mois. Une élection serait alors organisée dans ce secteur, où le candidat FN Stéphane Ravier a remporté, en mars, la mairie du 7ème arrondissement.
      » Comment a-t-elle été radiée du PS?
      Comme pour Jean-Noël Guérini ou plus récemment Thomas Thévenoud, le Parti socialiste envoie des signaux forts pour exclure les éléments perturbateurs et dérangeants de sa famille. La procédure est prévue par la charte éthique du parti. La direction du PS saisit la Haute Autorité - composée de deux membres, Jean-Pierre Mignard et Rémy Pautrat - qui tranche sur la situation de l'élu. La suspension ou l'exclusion concerne ceux qui sont condamnés pour des «délits relatifs à leur responsabilités ou contraire aux valeurs et principes du parti» et qui sont condamnés par la justice.
      » Va-t-elle aller en prison?
      Le pourvoi en cassation est suspensif: il annule l'exécution de la décision de la cour d'appel. Cela signifie que la députée n'ira pas en prison, en attendant l'examen de son recours. La présidente de la cour d'appel a annoncé que la peine d'un an de prison ferme serait effectuée sous bracelet électronique.

      Supprimer
    2. L'UMPS du Gorafi oublie que le pourvoi en cassation n'est pas du tout suspensif de la peine de prison ferme ni même avec sursis ! Madame Andrieux ex député socialiste sera la première délinquante condamnée dans l'histoire de France à siéger à l'assemblée nationale si elle a le front se s'y présenter!

      Supprimer
  2. Sortez vos mouchoirs :La SOCIALISTE Sylvie Andrieux, qui a vu sa peine alourdie en appel cette semaine, se dit "caricaturée" en "baronne du clientélisme" dans un entretien au JDD et estime être un "bouc émissaire désigné par Michel Vauzelle".

    "Je suis le bouc émissaire désigné par Michel Vauzelle, président de la Région PACA. En tant que vice-présidente en charge de la politique de ville de 1998 à 2008, je n'ai fait qu'appliquer une politique volontariste du président du Conseil régional",

    RépondreSupprimer
  3. Ecole du crime socialiste !
    Sylvie Andrieux a été à cette bonne école criminelle en col blanc comme vice-présidente de la Mutuelle nationale des étudiants de France (MNEF) dont les « dérives » de la gestion « socialiste » sont innombrables : elles concernent les salaires (100 000 F par mois) et émoluments d'Olivier Spithakis et d'autres dirigeants, l'embauche prioritaire des militants de l'UNEF-ID, liés d'une manière générale au mouvement trotskiste, puis intégrés dans le parti socialiste comme Jean-Christophe Cambadélis ou Marc Rozenblatt, président de l'UNEF-ID. Le journal Le Point parlera du « binôme MNEF-Unef-ID : un vivier de jeunes loups socialistes ». Ces dérives comprennent également des « gestes » de complaisance tels 300 000 francs versés à SOS Racisme par « le courtier d'assurances maison, l'Iram ». (Iram en Franc maçonnerie constructeur du temple de Jérusalem). Madame le vénérable maître Andrieux est « Franc-maçonne », elle fut membre pendant vingt ans de l'ordre maçonnique mixte Le Droit humain jusqu'en 2011.
    La direction crée un ensemble de filiales afin d'« opacifier » sa gestion. Ces structures satellites servent des intérêts politiques et permettent de salarier des personnalités prometteuses telles que Jean-Marie Le Guen, Manuel Valls ou Fodé Sylla, l'ex-président de SOS Racisme. Elles permettent de créer des systèmes de fausses factures (par exemple pour la filiale EFIC, spécialisée dans l'imprimerie), des montages financiers sophistiqués (grâce à la vente de sa société Iram, Marc Rozenblatt encaisse 17 millions de francs de plus-value…) ou des opérations immobilières plus que suspectes. Ainsi, en 1998, autour de la MNEF gravite un « entrelacs complexe et obscur d'une cinquantaine de sociétés commerciales réalisant un chiffre d'affaires d'environ 2,5 milliards de francs ».

    RépondreSupprimer