dimanche 14 septembre 2014

Vous êtes juif ? Alors partez !




A propos d’ Alain Pojolat, membre actif du Nouveau Parti Antisémite dit NPA un des organisateurs (Voir ici la liste des 50 "associations" de malfaiteurs antisémites ) de la manifestation antisémite et antiblancs du Samedi 26 juillet. Place de la République, à Paris, reçoit le mardi 29 juillet une convocation au tribunal après avoir été entendu par la police. Il sera jugé à Paris, le 22 octobre 2014, pour « avoir organisé une manifestation interdite sur la voie publique ». Un délit passible de… seulement six mois de prison et 7 500 euros d’amende pour ce récidiviste de la haine raciste.

 

 

Le camarade et activiste rouge Pojolat est le seul organisateur des récents rassemblements antisémites et antiblancs interdits à Paris à être convoqué devant le tribunal correctionnel, parce qu’il semble bien que l’apparatchik trotskiste avait déposé au nom de l’ensemble des 50 organisateurs La liste ici., la déclaration en préfecture des manifestations par la suite interdites (19 et 26 juillet), en revendiquant « fièrement » sa participation à ces rassemblements racistes.
Alain Pojolat risque gros, l’activiste d’ultra gauche de la haine marxiste culturelle est considéré comme un récidiviste en la matière puisqu’il a été récemment condamné à une amende avec sursis pour avoir organisé une autre manifestation non autorisée, celle-là aussi pour réclamer la libération du terroriste libanais… Georges Ibrahim Abdallah, le chef de la Fraction armée révolutionnaire libanaise (FARL), proche de Georges Habache, le leader du groupe terroriste marxiste le FPLP, assassin de deux diplomates : Charles R. Ray, attaché militaire américain à Paris (le 18 janvier 1982), et de Yacov Barsimentov, diplomate israélien (le 3 avril 1982).
Pojolat est né à Paris en 1948. Son père et sa mère étaient membre du Parti Communiste. Selon différentes sources et/ou son propre récit autobiographique, à 12 ans Alain Pojolat aurait été marqué par la manifestation organisée par la « gauche » le 8 février 1962. Source
Le 8 février 1962 à l'appel du Parti Socialiste Unifié et du Parti Communiste « Français », une manifestation de gauchistes pro FLN, sois disant pour la « paix » ( ?) en Algérie et contre l'OAS, avec les nervis des organisations syndicales  dite « de masse » avec la CGT, CFTC, UNEF, SGEN, FEN et SNI. 

Le fameux Mouvement de la « paix » est aussi associés à la manif organisée à Paris autour de la place de la Bastille et de la place de la République. Prévue depuis une semaine, le rassemblement est interdit par le président de la République lui même, Charles de Gaulle. (En 1962 De Gaulle assumait seul la politique générale du pays, mais aussi ses modalités pratiques et, plus particulièrement, l'interdiction des manifestations). Les CRS exaspéré par les pavés, grilles et autres cocktails Molotov que leur balance les « activistes communistes » et notamment les membres violents du GAR (Groupe d'action et de résistance) un « groupe » clandestin créé par le PSU qui prennent d'assaut des cars de police, ils chargent des manifestants qui s'engouffrent dans une bouche de métro fermée, la station Charonne. Huit personnes meurent accidentellement écrasées contre les grilles. On dénombre une centaine de blessés.
Les parents Pojolat des communistes convaincus participaient à cette manifestation haineuse et anti Française interdite (Décidément c’est une affaire de famille !). Employé à la BNP en 1967, Alain Pojolat milite d’abord à la Jeunesse Communiste Révolutionnaire (JCR) puis dans les comités Vietnam et à la Ligue Communiste (qui deviendra plus tard la LCR puis le NPA).


Il milite ensuite dans le groupe « Révolution ! » de 1973 à 1976. « Révolution ! » est une organisation (française) d’ultra gauche issue d’une scission au début de l’année 1971 de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). En 1976 « Révolution ! » fusionne avec la Gauche Ouvrière et Paysanne (GOP) qui est dirigée à l’époque par un certain… Alain Lipietz (futur député européen EELV). Mais, en 1976, Pojolat quitte « Révolution ! » Par la suite, après avoir été exclu de la CFDT, il participe avec Nathalie Ménigon à la création du collectif autonome de la BNP en 1976, ainsi qu’à Camarades.
Nathalie Ménigon avait fondé en 1978, avec des camarades à elle, dont Jean-Marc Rouillan, l’organisation terroriste et criminelle communiste révolutionnaire Action directe. En septembre 1980, elle est arrêtée après avoir participé à une fusillade contre la police qui coûte la vie à un fonctionnaire de police, à l’occasion du cambriolage d’une banque parisienne.
Elle est libérée en septembre 1981 par une amnistie présidentielle de… François Mitterrand, tout en restant inculpée de tentative d’homicide sur des policiers. Elle rejoint d’autres militants d’Action directe dans la « clandestinité ».
En janvier 1985, après une longue série d’attentats terroristes communistes et d’actions violentes, elle participe à l’assassinat du général Audran, responsable des affaires internationales du ministère de la défense.
Le 17 novembre 1986, Nathalie Ménigon et Joëlle Aubron assassinent Georges Besse, PDG de Renault. Nathalie Ménigon a donc été plus qu’impliquée dans des actions terroristes revendiquées par le groupe Action directe et a été condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité en 1989. Elle fut libérée en août 2008 après plus de 20 ans de prison.
Dans la presse, on dit de Pojolat qu’il aurait été plus que proche du groupe (terroriste) d’extrême gauche Action Directe. Dans des interviews, il rappelle qu’il a été membre du collectif NLPF (« Ne laissons pas faire »), le (fameux et très controversé) comité de soutien aux membres… d’Action directe emprisonnés.

Justement, le 26 mai 2010, dans un entretien qu’il accorde au site de « la brèche numérique », il répond à une question sur les assassinats immondes qui avaient été perpétrés par Action directe, notamment celui de Georges Besse. Georges Besse a été exécuté froidement en bas de son domicile, boulevard Edgar Quinet dans le 14e arrondissement de Paris, le 17 novembre 1986, par le groupe Action directe (commando Pierre Overney, du nom de l’activiste marxiste maoïste tué par un vigile de Renault).Groupuscule d’assassins marxistes comprenant  Joëlle Aubron, Nathalie Ménigon, Jean-Marc Rouillan et Georges Cipriani.
La réponse de Pojolat fait froid dans le dos et marque à quel point l’homme est littéralement obsédé par Action directe. C’est ainsi qu’il cherche ici à minimiser ou à excuser les assassinats qui ont été perpétrés froidement par sa camarade Nathalie Ménigon (en les plaçant dans une perspective historique).
« Question : Je pense à Georges Besse, innocent assassiné, et à bien d’autres, comment comptez-vous les ramener à la vie ?
Réponse de Pojolat : Arrêtons de traiter ce sujet comme si les faits s’étaient passés hier. 20 ans ont passé. Rappelons tout de même que Georges Besse était promoteur de plans de licenciements massifs chez Péchiney et chez Renault. Des milliers de salariés se sont retrouvés sur le carreau, certains tombant dans la dépression et l’alcoolisme et d’autres allant jusqu’au suicide.
Vous ne parlez pas du Général Audran, lui aussi exécuté par Action Directe et qui était le pourvoyeur d’armes à Saddam Hussein pendant la guerre Iran Irak. Combien de civils sont décédés à cause de ces ventes d’armes ? Comme vous voyez la question est plus compliquée qu’il n’y paraît et ce débat doit être dépassionné »

L’assassinat de Georges Besse ou du Général Audran ? Selon Alain Pojolat ce serait une question « compliquée » et un débat qui devrait être « dépassionné ».  Par contre, s’il y a bien un sujet qui ne sera jamais dépassionné chez les trotskystes… c’est bien l’antisémitisme.
Car, encore une fois, la forme d’antisionisme ( antisémitisme) la plus inquiétante et la plus abjecte se trouve parmi ceux des marxistes culturels La liste ici., qui considèrent Israël et les USA comme l’expression conjuguée du mal absolu sur la Terre.

Encore une fois, Attac France, organisation satellite du PCF (Le MRAP est membre fondateur d’ATTAC) apporte son soutien à Alain Pojolat et demande l’arrêt des poursuites à son encontre. ICI Sans oublier la confédération de la haine antisémite Ici qui demande la même chose.
Je constate encore une fois que l'antisémitisme qui s'exprime sans retenue, sans complexe comme celle des 50 organisations marxistes culturelle d’ultra gauche La liste ICI., avec leurs propos leurs actes nauséabonds et violents qui augmentent, en dépit des mesurettes prises par les « autorités » socialiste complice pour tenter de l'endiguer. L'augmentation significative des violences  antijuives, verbales et physiques a notamment été observée pendant et après les manifestations de sois disant soutien à « l'Etat islamique de Gaza » au cours desquelles des partis politiques uniquement de gauche et des élus marxistes ont défilé, malgré les cris de «  Mort aux blancs » et de « mort aux juifs » proférés en français comme en arabe. Comme je l’ai souvent exprimé ces agressions antifrançaises et antijuives de juillet, confirment que la haine des blancs et des juifs qui se propage via la propagande marxiste culturelle pro palestinienne, sont bien la source du racisme et de l'antisémitisme contemporain.    
  
Juifs, Le NPA vous demande de partir ! + ici.
Qui sont les antisémites du NPA ?

Michel Alain Labet de Bornay

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