lundi 14 septembre 2015

Migrants, arme de guerre ?





Mais pourquoi le MRAP avec ses complices politiquement corrects synonyme d’arme de guerre idéologique du marxisme culturel: ACAT-France, ADDE, Amoureux au ban public, Anafé, CCFD Terre Solidaire, CEDETIM, Comede, Emmaüs-France, Gisti, La Cimade, Fédération de l’Entraide Protestante, Femmes de la Terre, Ligue des droits de l’Homme (LDH), Mission Populaire ( ?) Évangélique, RAIDH, RESF (Réseau éducation sans frontières), le Secours catholique, SOS Racisme, le Syndicat des guacamoles de France, Saint Dicat de Lamagistrature, Terre des rances, etc. etc. sont ils si pressé d’accueillir des réfugiés « Syriens » ?
La réponse est donnée par Europe Israël qui titre gentiment : « Pour les réfugiés syriens arrivés en Europe, l’ennemi numéro un est Israël ». Nous savons que le MRAP distille de la haine des juifs et défile comme à Nice avec des drapeaux Palestiniens tels des NAZIS.
Europe Israël nous dit que si une grande partie des européens sont gênés (Seulement gênés ?) par l’antisémitisme d’une certaine frange de la population musulmane (comme c’est bien dit !), il semble que l’arrivée de réfugiés syriens notamment, n’améliore pas la situation, il y a ici des pas gênés.


MILAN – A un centre d’accueil de migrants près de la gare centrale de Milan, Mahmoud, deux ans,  dort sur un oreiller dans un pyjama gris rafistolé, épuisé après avoir fui Damas il y a un mois avec ses parents.

Leur voyage dans la mer Méditerranée de la Libye a été marquée par la violence, la faim, la déshydratation et la peur de se noyer dans les eaux agitées. Pourtant, malgré la cruauté subie aux mains de passeurs libyens, malgré la souffrance qui a été infligée par leur propre gouvernement lequel les a forcés à fuir pour sauver leur vie, la famille de Mahmoud et d’autres réfugiés syriens n’ont en tête qu’Israël comme seul et véritable ennemi.
« Tout d’abord je respecte toutes les religions, y compris le judaïsme … En Syrie, nous avons toutes les races et religions qui vivent ensemble, nous sommes tous frères … mais Israël, Israël est l’ennemi ultime, c’est ce que l’on nous a dit depuis que nous étions enfants, » dit le cousin  Mahmmoud, Adman, 21 ans, étudiant syrien en tourisme. Adman, réalisant qu’il était en train d’être interviewé par un journaliste juif, de surcroît israélien, il a sursauté.
« Wow, je suis en train de trembler. Je ne l’ai jamais rencontré un Juif avant «at-il dit après une courte pause. « Pourquoi un journal israélien s’intéresserait aux histoires des réfugiés syriens, » a t il demandé.
Il a été interloqué quand je lui ai parlé des débats actuels en Israël traitant de l’absorption des réfugiés en provenance de Syrie, et comment l’armée israélienne traitait les Syriens blessés dans les hôpitaux de fortune près de la frontière.



Malgré sa surprise et l’intérêt porté sur le moment, il m’a averti qu’il ne dirait pas aux autres réfugiés que j’étais juif. « Certains d’entre eux pourraient mal réagir », a-t-il dit.
Sous son foulard violet vif, Salima sourit l’air fatiguée et témoigne:
« Notre maison a été bombardée à trois reprises et la route que mon frère et moi avions utilisé pour aller à l’université n’existe plus » dit-elle. « Il n’y a plus d’avenir en Syrie. »
Toute la famille a essayé de fuir en Egypte il y a deux ans mais sans succès.
« Nous voulions vivre dans un pays arabe frère, nous estimions que c’était important. Mais ils nous ont traité très mal », ajoute son père Imad, qui a travaillé dans la production d’olives de retour à Idlib. « Nous ne pouvions pas travailler, nous ne pouvions rien faire ».



La Syrie a accueilli plusieurs centaines de dignitaires nazis après la défaite du régime hitlérien. Adolf Hitler a été présenté pendant plusieurs décennies comme une référence de courage et de bravoure. Les soldats syriens pratiquent encore le salut nazi comme symbole d'une idéologie ayant déjà fait ses preuves dans l'éradication des juifs.



3 commentaires:

  1. Devrait-on parler d'un afflux de migrants ou de réfugiés en Europe? La question divise les médias et suscite des réponses partagées sur les réseaux sociaux. Retour sur un débat sémantique.
    Les termes « migrants » et « réfugiés » ont des significations différentes. Ils ne sont pas interchangeables.
    Le statut de réfugié a une portée légale. Il s'agit d'une personne contrainte de quitter son pays en raison de la guerre ou de la persécution. Puisque sa vie est potentiellement en danger, les autres pays ont l'obligation de l'accueillir, selon la Convention de Genève de 1951.
    Cette obligation de protéger les réfugiés n'existe pas pour les migrants.
    Le migrant est une personne qui choisit de quitter son pays pour des raisons économiques ou politiques. Elle doit respecter les conditions des lois migratoires du pays où elle veut s'installer. De plus, un migrant pourrait rentrer dans son pays d'origine et recevoir la protection de son gouvernement, contrairement à un réfugié.
    Autre distinction importante : un réfugié ne peut pas être renvoyé dans son pays d'origine. Un migrant peut l'être.

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  2. Le témoignage brutal sur Facebook d’un voyageur qui accompagnait comme guide un groupe de pèlerins polonais revenant d’Italie est repris par plusieurs médias polonais (comme ici par exemple, où il fait un gros buzz). Auteur du blog « Obywatel Świata » (Citoyen du Monde), Kamil Bulonis se dit lui-même très surpris du retentissement de son histoire. Un retentissement d’autant plus grand qu’il s’agit justement d’un citoyen du monde, grand voyageur et homosexuel revendiqué : « journaliste, globe-trotter, gay », ainsi qu’il se décrit sur Instagram.
    Tandis que sa photo de profil Facebook est bien entendu sur fond arc-en-ciel. Voici donc ce qu’à publié ce parfait gauchiste polonais le 4 septembre dernier au soir :
    « Il y une heure et demie à la frontière entre l’Italie et l’Autriche [sur la route SS621 en direction du Parc national du Hohe Tauern], j’ai vu de mes propres yeux les gigantesques hordes d’immigrants… Malgré toute la solidarité que je peux ressentir à l’égard de gens qui sont dans une situation difficile, je dois dire que ce que j’ai vu inspire la terreur… Cette énorme foule de gens – je suis désolé de l’écrire –, ils sont d’une sauvagerie absolue… Les vulgarités, les jets de bouteilles, les cris « Nous voulons aller en Allemagne » – l’Allemagne est-elle un paradis aujourd’hui ?
    J’ai vu comme ils encerclaient la voiture d’une vieille dame italienne, ils l’ont sortie en la tirant par les cheveux et voulaient partir avec sa voiture. Ils essayaient de faire se balancer l’autocar dans lequel je me trouvais avec mon groupe. Ils nous balançaient de la merde, ils frappaient de toutes leurs forces contre la porte pour que notre chauffeur leur ouvre, ils crachaient sur la vitre… à suivre…

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    1. Témoignage suite
      Je pose la question : dans quel but ? Comment ces sauvages doivent-ils s’assimiler en Allemagne ? Je me suis senti un moment comme en temps de guerre. Vraiment, je plains ces pauvres gens, mais s’ils venaient en Pologne, je ne crois pas qu’ils trouveraient de la compréhension chez nous.
      Nous sommes restés bloqués trois heures à la frontière que nous n’avons finalement pas franchie. Tout notre groupe a été transporté de retour en Italie sous la protection d’un cordon de police. Notre autocar a été massacré, il est couvert de matières fécales, rayé, avec des vitres brisées.
      Et ce doit être la solution au problème du déficit démographique ? Ces hordes de sauvages ? Il n’y avait pas de femmes ni d’enfants avec eux. La grosse majorité, c’étaient des jeunes hommes agressifs… Hier encore, alors que je lisais les nouvelles sur tous les sites Internet, j’éprouvais inconsciemment de la pitié, je m’inquiétais pour leur destinée.
      Aujourd’hui, après ce que j’ai vu, j’ai peur et en même temps je suis content qu’ils ne choisissent pas notre patrie comme but de leur voyage. Nous, Polonais, nous ne sommes tout simplement pas prêts, culturellement et financièrement, pour accueillir ces gens. Je ne sais pas qui peut être prêt. Ce qui rentre dans l’UE, c’est une pathologie comme nous n’en avons encore jamais vue. Et pardonnez-moi si certaines personnes se sentent insultées par ce que j’écris ici…
      J’ajouterais encore que des véhicules sont arrivés avec de l’aide humanitaire – surtout de la nourriture et de l’eau – et eux, ils renversaient ces voitures… Par mégaphones les Autrichiens leur faisaient savoir que l’autorisation avait été donnée de les laisser passer la frontière. Ils voulaient les enregistrer et les laisser continuer leur voyage.
      Mais eux, ils ne comprenaient rien à ce qu’on leur disait. Et c’était le plus horrible dans tout ça. Sur ces quelques milliers de personnes, aucune ne comprenait, ni en italien, ni en anglais, ni en allemand, ni en russe, ni en espagnol… Il n’y avait que l’usage des poings qui comptait… Ils se battaient pour qu’on les autorise à continuer et ils avaient l’autorisation, mais ils ne comprenaient pas qu’ils l’avaient, leur autorisation ! Dans un autocar avec un groupe français, ils ont ouvert les soutes à bagage. Tout ce qui était à l’intérieur a été volé en un instant, il y avait une partie des affaires par terre… Dans ma courte vie, je n’avais jamais eu l’occasion de voir de telles scènes, et j’ai le sentiment que ce n’est qu’un début. Pour finir, je veux ajouter qu’aider, c’est bien, mais pas à n’importe quel prix. »

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