jeudi 17 décembre 2015

Vive les vacances, les classes c’est fini.




Un commentaire sur ma page Facebook au sujets des fameux «peoples» qui appelaient a voter en France aux régionales de 2015 contre le Front National ; commentaire de monsieur Straub qui m'a fait comprendre le travail à faire pour expliquer aux gens ce qu'il se passe chez eux: M’amène aujourd’hui à proposer une analyse de la société Française sous un jour nouveau. Claude Straub nous dit : « C'est là que l'on remarque ce qu'est réellement la sphère politique qui nous mène en barque depuis plus de cinquante ans. Une mafia comprenant les politiques intégrés dans le système depuis des décennies, les PDG sortis de l'ENA (école où ont vous apprend comment ruiner les travailleurs sans les perdre), les fonctionnaires politiques à tous les niveaux, tous les médias télévisuels et journalistiques rémunérés ou sanctionnés par l'Etat, toute la smala artistique haut de gamme, des metteurs en scène aux intermittents, enfin tous ceux qui profitent de ce système véreux et laxiste. Ajoutez à cela toute les familles les entourant, les musulmans, les "double nationalité", les morts qui continuent à voter, cela vous donne un aperçu des millions de votants qu'ils ont d'office dans les urnes. Rajoutez-y la pression des multi nationaux, la pression de l'Europe, et surtout celle des USA, ceci sans compter les tricheries autour et dans les bureaux de vote !!!
Alors de quoi ont-ils si peur, si une région ou deux seraient administrées par le Front National ! Au contraire, ils devraient être contents de pouvoir prouver aux français, que le FN est incompétent et inexpérimenté, ou ont-ils peur qu'il prouve qu'il est compétant et plus réaliste qu'eux, l'expérience venant d'office, le tout c'est de ne pas retomber dans le même piège mafieux d'avant !!! »
Claude Straub est intuitif il voit bien que ce système marche sur la tête. Mais je ne suis pas sur que même les dirigeants actuels soit vraiment conscients de la situation.


Cette «sphère politique» a un nom, cela s’appelle le marxisme culturel mon cher monsieur Straub, c’est en terme classique politiquement correct de la pensée unique remarquablement théorisé par Antonio Gramsci un système qui comprend l’ensemble de l’organisation sociale, système devenu totalement marxiste culturel, ce système, ne comprend pas seulement «ceux qui profitent de ce système véreux et laxiste» mais l’ensemble des peuples de France, d’Europe et d’ailleurs dans le monde occidental car nous y sommes tous, vous, moi, Vincent, François, Manuel, Paul, Mohamed et les autres. Des victimes de l’impérialisme culturel qui «profitons» ou «pâtissons» tous de ce fameux système à plus ou moins hautes doses.

D’aucuns irons plus loin en parlant de «clans de la mafia politique française» disant : «Ce n’est pas le FN qui menace la paix civile mais la caste avec ses privilèges, son arrogance, son mépris des classes populaires, des «sans dents», ses magouilles électorales…»
Non mesdames et messieurs, non monsieur Straub, les classes, les castes etc. etc. c’est fini ; c’est de l’histoire ancienne et peu de gens l’on vu venir, nous avons tous participé à l’avènement du marxisme culturel. 
Mea culpa, mea maxima culpa, j’ai comme tant d’autres participé naïvement au système et il y a seulement une dizaine d’année que je pense avoir compris comment ça marche. Cliquez ici. Je peux me tromper et je le voudrais bien, c’est pourquoi je suis et mon blog est là pour ça, ouvert aux commentaires critiques.
Pour vous faire comprendre mon opinion, je dois faire un petit retour en arrière. De tout temps il existait des groupes hiérarchisés définis de manière rigide et institutionnelle comme les castes, les états ou les ordres de l'Ancien Régime (Noblesse, Clergé, Tiers-état). Dans les sociétés modernes, en l'absence de définitions légales, certaines auteurs ont cherché à définir au sein de la société des groupes, appelés «classes sociales», homogènes par leur statut social, leur mode de vie, leurs conditions matérielles, leur comportement, leurs intérêts, leurs actions, leur vision du monde...
Exemples : classe ouvrière, classe moyenne, classe dirigeante.
Parmi les concepts fondamentaux de l'anthropologie politique : la société, le pouvoir politique, les  hiérarchies génèrent toujours des inégalités sociales.

Mais les «classes» sociales classiques définies selon Karl Marx en deux «classes» principales : le prolétariat, avec la paysannerie et son sous-prolétariat classe dominée, et la bourgeoisie petite, commerçante, industrielle et son aristocratie financière, classe dominante qui possède les moyens de production n’existent plus. 

Dans le marxisme culturel maintenant dominant, il n’y a plus que quatre statuts tous plus inégalitaires que les autres.


Le premier est celui de parasite de premier niveau.
Le second est celui de parasite de second niveau. 
Le troisième celui des assistés.
Le quatrième celui des producteurs esclaves. 

Il existe toutefois une perméabilité entre les deuxièmes et premier niveau ; et entre le troisième et plus rarement quatrième niveau ce que je vous montrerez plus tard.

Il existe une cinquième catégorie partiellement hors système, les marginaux qui essaient de voler en dessous des radars (pas facile mais possible, je vous en reparlerez un jour) et les fameux «migrants» ayant remplacés les «sans papiers» qui sont des immigrés clandestins en situation irrégulière mais que l’on peut rapidement situer en troisième niveau.

Nous pouvons faire une analogie avec les anciennes «classes» comme en marketing ou concernant les transports aériens, ou la «classe» désigne le niveau de confort dont dispose le passager : dans la soute, en classe économique, classe affaires et première classe.
Depuis des années le marxisme culturel qui sévit dans l’éducation nationale socialiste et marxiste culturelle (Premier et second niveau. Nota : les retraités sont au troisième) n’enseigne plus l’histoire de France dans le but de maintenir le public (Particulièrement le quatrième niveau) et surtout l’électeur de tout les niveaux dans l’ignorance et la bêtise. Comme ici. Faire en sorte que le «peuple» (2, 3, 4ème niveau) soit incapable de comprendre les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. «La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieure ». Extrait de «Armes silencieuses pour guerres tranquilles».

C’est pourquoi une petite mise au point est nécessaire.

Tout à commencé en fin 1958 avec la constitution de la 5éme république ou à l’article premier on peut lire : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale » c’est beau non ? Le dernier mot surtout, car le mot «social» de cette petite phrase va tout conditionner !

Social ; un terme fourre tout, sans signification mais qui sert à empêcher toute réflexion. Ainsi, l'économiste autrichien Friedrich Hayek écrivait-il en 1957 dans ses Essais de philosophie, de science politique et d'économie, que «l'adjectif social est devenu un mot qui ôte à toutes les expressions tout sens clair».

L’utilisation à outrance du terme «social» induit une déresponsabilisation des individus au détriment des hommes libres.

Vous allez bien sur me dire que le mot «démocratique» précède le mot «social»,  alors nous dirons que la France de la cinquième république est une sociale démocratie, une tendance assez nauséabonde du socialisme collectiviste sectateur du marxisme culturel. En France, l'appellation a été récemment employée par monsieur le président Hollande pour définir sa politique. Certains avec raison décrivent le régime français comme  «un communisme qui a réussi» (c’est vrai nous sommes en plein marxisme culturel, la vraie réussite du communisme aujourd’hui en 2015). Notez bien que tous les prédécesseurs de monsieur Hollande dont monsieur Sarkozy et leurs successeurs n’ont jamais rien changé à cela depuis 1958 et même madame Lepen n’y changera rien (Sauf à sortir de l’Europe et à créer la sixième république et ça n’est pas pour demain ou dans 18 mois !)

Lorsque vous votez amis, vous avez l’impression de choisir entre la gauche ou la droite. Hors c’est faux ! Vous votez pour plus ou moins (le plus souvent moins) de faux droits «sociaux» point barre ! Vous n’avez pas le choix, en fait vous êtes quasiment en démocratie «populaire» pléonasme étymologique si il en est, mais tellement symptomatique du lavage de cerveau Marxiste Culturel ou MC. À suivre en cliquant ici pour approfondir le sujet.

Les parasites de premier niveau de gauche comme de droite (curieusement je mettrais madame Lepen parmi ceux-ci et tous les membres du FN ayant rejoint le second ou le premier niveau) continuent à nous bassiner avec leurs «classes» sociales et autres «classes populaires» qui n’existent plus. Dans leur système marxiste culturel il y a quatre statuts ou anciennement classes. Etre du premier niveau c’est accéder au niveau de confort de la «first class» des VIP, avec carte platine, caviar allah louche, et vacances à l’Ile Maurice, tandis que vous avec votre statut de producteur esclave, vos vacances c’est chez Maurice à Lille.

En premier avec les parasites de premier niveau, vient le statut de dirigeants exploiteurs, les hommes de l'État, qui vivent de l'impôt (les «receleurs d'impôt», selon Murray Rothbard) qui ont le monopole de la violence légale. Ce sont les : politiciens, bureaucrates, policiers, soldats, un certain nombre de fonctionnaires (percepteurs, douaniers, inspecteurs du travail, etc) dont le «travail» n'a de sens que par l'existence de l'État. On peut y rajouter tous les élus et je dis bien tous à quelque niveau que ce soit, censé gérer les «biens publics».

Suit le statut des exploiteurs non dirigeants ceux là «voyagent» encore en classe «affaire» et même certains en «First»: Sans faire partie forcément de l'État, ces personnes bénéficient indirectement de l'existence de l'État. Ce sont : Les parasites de second niveau : activistes, lobbies et groupes d'intérêt, organisations et partis politiques, syndicats, associations ou corporations subventionnées par l'État (directement ou via le protectionnisme), etc. Sans oublier les profiteurs, qui pourraient très bien exercer leurs talents dans une société non étatisée, mais qui profitent de la coercition étatique (tout en la subissant aussi sous certains aspects) : PDG de multinationales en cheville avec les politiciens ou l'Administration, scientifiques, Journalistes des médias tous subventionnés, chercheurs ou artistes subventionnés ou «engagés» politiquement, activistes, juristes ou avocats qui bénéficient de l'arbitraire du droit positif et du maquis juridique qui en résulte, professions de santé chapeautées par la sécurité sociale, enseignants du public, sportifs des équipes nationales, etc.

Avec le statut d’assistés, on trouve ceux qui sont maintenus dans une certaine pauvreté par l'État qui s'en sert comme un alibi pour justifier son interventionnisme. Pour ceux là le «voyage» c’est plus souvent le tarpé ou le Lidanis que le Havane et le Lagavulin 16 ans.

Et pour finir le statut des producteurs esclaves qui ne sont ni des assistés, ni des exploiteurs (peu importe qu'ils soient salariés, entrepreneurs, ou autre).Groupe le plus nombreux, maintenu idéologiquement et légalement dans la sujétion aux autres statuts de parasites ou d’assistés. Parmi ceux-ci un statut dit de subalternité ( Voyage prévu en wagon plombés : Chevaux huit, homme 40, direction le Goulag) concerne plus particulièrement les militants de base et les électeurs du Front National comme cela est visible chez monsieur Valls premier ministre.

 Michel Alain Labet de Bornay


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