Tiens, dans la série que sont-ils devenus, voyons un
peu ce ou sont donc passé les «sauvageons»
et autres «chances pour la France» dit
aussi les «allogènes», appelés par
les journalopes médiacrasseux aux ordres du New World Order ou du politiquement
correct ou encore du marxisme culturel des membres du fameux «gang des barbares», en fait en très
grande majorité des musulmans antisémites et afro-français (pour le néologisme
Afro-français voir l'article : Les racistes noirs antisémites sont de retour),des
hommes de race noire, tortionnaires et tueurs du jeune Ilan Halimi et
représentant bien le nouvel antisémitisme.
Ilan
Halimi, 23 ans, avait été enlevé le 20 janvier 2006 à Sceaux, où il avait été
attiré dans un guet-apens par une jeune fille servant «d'appât». Après de vaines négociations avec sa famille pour une
rançon de 450.000 euros et une séquestration violente de trois semaines
émaillée de tortures, il avait été retrouvé agonisant. Il est mort à l'hôpital.
En préambule il convient d’être clair, ce concept de
nouvel antisémitisme en est une nouvelle forme qui s'est développée au début du
XXIe siècle, émanant simultanément de la gauche et de la droite molle marxiste
culturelle et de l'islam tendant à se manifester comme une opposition au
sionisme et à l'État d'Israël. Un exemple : Le 8 Janvier 2014 la cour
d’Appel de Colmar avait condamné Aline Parmentier, secrétaire départementale du
PC-(F) section Alsace, membre du Front de Gauche, activiste de la campagne
illégale et antisémite BDS et du «collectif»
Boycott68 se revendiquant de l’idéologie
marxiste aux cent cinquante millions de victimes innocentes. Elle a avec une
dizaine d’autres racistes antisémites Islamos marxistes du PIR ou d’EELV, Jean
Michel Baldassi, Maxime Roll, Christiane Topouzian épouse Mure, le professeur
d’histoire antisémite Henri
Eichholzer, Mohammad Akbar, Farida Trichine, Jacques Ballouey,
Leïla ou Laïla Assakali, Assakali Yahia, Habiba El Jarroudi épouse Assakali,
Assya Ben Lakbir, été condamnés pour
avoir provoqué à la discrimination à la haine ou à la violence à l’égard d’une
personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur
appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou
une religion… Et ce à l’instigation du BNVCA qui les ayant fait condamner, nous
cache soigneusement leur
sinistre appartenance politique de gauche, d’extrême et
d’ultra gauche. Bien que pour le BNVCA le
«palestiniste» (néologisme employé là
par le BNVCA pour marxisme culturel) exacerbé de la propagande palestinienne
constitue la source essentielle de l’antisémitisme
depuis 13 ans, et que les actions des commandos BDS participent de cette
propagande ciblée et nocive. On sent bien là l’éternel regret du BNVCA que ce
nouvel antisémitisme ne soit pas «d’extrême
droite», snif snif…
En résumé madame Parmentier et ses complices (Dit les
12 de Mulhouse) dont de nombreux «zélus» ardemment soutenu par la FSU
étaient définitivement condamnés pour provocation à la haine raciale antisémite
! Point barre ! Ces opérations racistes antisémites comme les profanations de
cimetières, étaient un des volets de cette propagande palestinienne qui incite
à la haine d’Israël et pousse à l’acte antijuif comme celui de l'afro-Français Coulibaly, de
Youssouf Fofana, de Mohamed Merah qui avait dit avoir assassiné des enfants
juifs pour «venger les enfants Palestiniens» ou de Mehdi Nemmouche et autres «Jihadistes» ou terroristes musulmans
depuis.
Revenons au gang des barbares ; lors de
perquisitions, il avait été trouvé chez les ravisseurs des documents de soutien
au Comité de bienfaisance et de secours aux Palestiniens, ainsi que du matériel
de propagande islamiste salafiste. Au téléphone, un ravisseur avait récité une
sourate du Coran à la famille d'Ilan Halimi.
Le gang islamomarxiste était composé d’une majorité
écrasante d’afro-français nous n’oublions pas que les leaders du
gang avaient des antécédents : ils étaient impliqués dans au moins 15 autres
cas de kidnapping ou de racket, certains étaient membres de la branche
française du mouvement communiste le FPLP.
Aujourd'hui, la plupart des accusés qui ont comparu en
2009 ont retrouvé la liberté, voyons le cas des autres principaux barbares ;
c’est le cas du Numéro six le petit «gars
bien» Yahia Touré Kaba qui mérite votre attention mais apparemment pas celle
du BNVCA. Pas plus d’ailleurs que le Numéro 7 sorti de prison et qui y est
immédiatement retourné.
Maître Michel Konitz avocat pénaliste défendait l'un
des 27 accusés du procès du «gang des
barbares» qui trouvait que les
peines prononcées à l'encontre des membres du gang d’afro-français
islamomarxistes étaient à la mesure de leurs actes il dira : «Je pense que c'est un verdict tout à fait
équilibré, même si c'est facile de dire ça pour un avocat de la défense. Le
«gang des barbares», c'est un amalgame de gens peu équilibrés menés par Youssouf
Fofana, qui n'est pas un cerveau mais un crétin sanguinolent. Ceux qui ont appâté
et enlevé Ilan Halimi, ainsi que ses geôliers, ne savaient pas qu'il serait
tué. Fofana était le seul à connaître toute l'histoire. Les autres personnes,
parmi lesquelles figurent des mineurs, sont complices de la séquestration, mais
pas du meurtre. C'est ce qui explique ces peines que certains jugent trop
clémentes». Quand on vous le dit : Des déséquilibrés et une bande de
cas isolés défavorisés ! Lorsqu’on lui demande : «Que pensez-vous des propos de Mme Halimi, la mère d'Ilan, qui a affirmé que la Shoah continuait en France en
2009 ?».Il répondra : «Les
victimes et leur famille ont le droit de tout dire. On doit le respecter. La
douleur excuse beaucoup de choses mais il faut raison garder. Il ne me semblait
pas nécessaire d'évoquer ici la mémoire de la Shoah. C'était un acte
antisémite, certes, mais ce n'était pas un système comme le fût le nazisme. Le
but de ce procès n'était pas d'éradiquer l'antisémitisme, ni de servir de
tribune, mais de juger les personnes responsables d'un acte antisémite».
Ce monsieur a raison, il n’était pas nécessaire
d’évoquer ici la Shoa mais là où il a tort, c’est au sujet du «système» ou nouveau concept dit aussi
new world order, qui produit ces actes de nouvel antisémite qui se sont
développée au début du XXIe siècle, émanant simultanément de la gauche marxiste
culturelle, de la droite molle et de l'islam, et tendant à se manifester comme
une opposition au sionisme et à l'État d'Israël. Le système marxiste culturel
aujourd’hui au pouvoir a pour objectif de détruire la civilisation occidentale
judéo-chrétienne et il y réussi parfaitement. On aura beau dire
que tout ça n'est qu’un triste fait divers, c'est quand même très inquiétant
que 25 «jeunes», hommes et femmes en
majorité afro-français et musulmans se soient associés pour former un gang
ethnique aboutissant à une telle barbarie. Il faut encore une fois y voir le
reflet de cette peste qu'on appelle marxisme culturel à l’origine de
l’antiracisme qui instrumentalise les musulmans et l’immigration afro-française
d’origine maghrébine et sub-saharienne (N’oublions jamais que le MRAP distille
de la haine des juifs !) cet «antiracisme»
est aussi à l’origine d’une contre-culture dite des «cités» qui cultive la haine du juif, du français de souche, de
tout ce qui fait la culture occidentale, le mépris des femmes et l'amour de
l'argent facile, à n'importe quel prix. Ces braves petits «sauvageons» incarnent une nouvelle forme de barbarie qui menace
les valeurs essentielles de la démocratie européenne et de notre culture
grecquo-latino-judéo-chrétienne.
Vous y aurez la surprise de constater que le N°6 de la liste, le sieur Yahia Touré
Kaba (quel joli nom bien de chez nous) alias «Yaks», un immigré clandestin en situation irrégulière et guinéen
analphabète, qui avait coupé les cheveux de la victime sur ordre de Fofana,
pour faire disparaître toute trace d’ADN et avait fourni deux autres amis pour
sa relève, «Fabrice» et «Baba». (…) Poursuivi pour association
de malfaiteurs, séquestration d’Ilan Halimi et actes de tortures et de
barbarie, condamné définitivement en appel à onze ans de réclusion criminelle,
notre brave sauvageon Guinéen et chance pour la France et bourreau d’Ilan
Halimi a été transféré en 2013 au centre de détention de Villenauxe-la-Grande,
avant d’intégrer une cellule de la maison d’arrêt de Troyes. C’est de là qu’il
a été extrait en 12 2014 pour être remis en liberté (Oui vous avez bien lu en
LIBERTE !). Là, des fonctionnaires l’ont conduit à l’aéroport pour l’expulser
du territoire français. Direction la Guinée, son pays natal. «Il n’était plus souhaité sur le territoire
national», a confirmé l’administration. En 2014, monsieur Bernard Cazeneuve
étant ministre de l'Intérieur au sein du
gouvernement Valls I. (Monsieur Valls ancien Premier Ministre se disant «éternellement attaché à Israël, quand même
!», bizarre ça ce «quand même»,
ce bon monsieur Valls a pourtant fait une
intervention remarquée en 2008 à Évry, parc des Coquibus, lors d’une cérémonie «symbolique pour la paix» au
Moyen-Orient, «un olivier pour la paix»,
et ceci dans le cadre de la Journée de la Terre, organisée conjointement par "Evry
Palestine" association marxiste faisant partie du
mouvement communiste AFPS
instigateur de la campagne antisémite BDS ,
et la Municipalité d’Evry (Essonne) où le maire socialiste Valls
fait une intervention. C’est à voir et à écouter !
Une preuve supplémentaire, si tant est qu’il y
en ait encore besoin, tendant à prouver que les personnes visant à accéder au
pouvoir sont capables de toutes les duplicités. La
suite c'est en cliquant ici .......
Avec le numéro sept c’est plus que de la surprise c’est
juste dans l’ordre des choses ! Avec cette grande chance pour la France (voir
ici un "détail" de l'histoire) Cédric Birot Saint-Yves un
afro-Français alias «Babas», ami du
musulman antisémite Nabil et de Yahia
Touré Kaba qui avait été geôlier est mis en examen pour séquestration, actes de
torture et de barbarie. Il déclarera : «Dès
le premier jour, j’ai pu constater que l’otage présentait des traces de
brûlures par mégots au niveau des côtes et du dos». Les coups auraient
débuté après un premier échec de remise de rançon. «Tous les quatre, Nabil, Yahia, Jérôme et moi, nous lui avons mis des
tartes quand il gémissait pour avoir des cigarettes (…) Il m’est arrivé aussi
de lui mettre de petits coups de balai sur les jambes, cuisses ou mollets».
Il est mis en examen pour séquestration, actes de torture et de barbarie. Le 5
janvier 2009, il est condamné par le tribunal de Créteil à cinq mois de
détention ferme pour avoir utilisé un téléphone portable dans l’enceinte de la
prison de Fresnes (Val de Marne) où il était incarcéré. Sa soeur cadette a
écopé de deux mois avec sursis pour lui avoir transmis la puce électronique;
Septembre 2017, l’afro-Français Cédric Birot Saint-Yves sorti de prison le 8 mai 2017, et qui était domicilié depuis chez une amie de sa sœur à Lognes s’est soustrait à un contrôle et a blessé un policier dans sa fuite en voiture le 19 juin dernier. Jugé par le tribunal correctionnel de Melun, il a écopé de trois ans et demi de prison dont deux fermes. «J’ai pas trop envie d’en parler», lance l’afro-français Cédric Birot Saint-Yves, 29 ans, au sujet de sa participation au calvaire d’Ilan Halimi, le jeune juif séquestré et torturé à mort par un gang ethnique raciste le gang des barbares en janvier 2006. Tête penchée, regard sombre, cheveux teints en blondasse tirés en arrière, il était poursuivi ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Meaux pour «conduite sans permis», «violence aggravée» et «refus d’obtempérer aggravé» en récidive. Le 19 juin 2017, un peu plus d’un mois après sa sortie de prison, il a blessé un policier en prenant la fuite en voiture suite à un contrôle de police avenue de Claye, près du commissariat de Chelles. Condamné à trois ans et demi de prison, dont deux ans ferme, il est maintenu en détention. A bord d’une Citroën C4, il avait refusé de s’arrêter. Mis en joue par le gardien de la paix, il avait alors accéléré et touché son flanc avec le rétroviseur droit. Il avait abandonné la voiture et était parti en courant. La victime, projetée au sol, souffrait d’une entorse au genou et avait bénéficié d’une ITT de dix jours. Âgé de 18 ans et 4 jours au moment de l’atroce affaire Halimi, l’afro-français Cédric Birot Saint-Yves avait été condamné en appel en 2010 par la Cour d’assises des mineurs du Val-de-Marne à douze ans de réclusion criminelle pour avoir rempli le rôle immonde de geôlier et de tortionnaire. Confondu par son ADN sur une paire de lunettes dans la Citroën, Cédric Birot Saint-Yves est resté en cavale jusqu’à son arrestation le 11 août. Le 25 juin, un mineur s’était même présenté au commissariat pour porter le chapeau à sa demande. Il avait été rémunéré 1000 euros par l’ancien geôlier (on se demande bien où il avait trouvé les sous). L’enquête a aussi permis de trouver une vidéo tournée au volant le 30 juillet 2017 où le prévenu insultait la police, se vantait d’être recherché et de «faire de la GTA», un jeu vidéo dont le héros «commet des délits et peut aller jusqu’à écraser des policiers». «Franchement, c’est cadeau pour les poursuites », commente la présidente. «Il a foncé délibérément sur le policier. Son casier judiciaire est édifiant. Il y a eu de multiples incidents en prison. Il faut prendre en compte la dangerosité de l’homme que vous allez juger», avertit Eric de Valroger, le procureur-adjoint, qui a requis 6 ans d’emprisonnement. «Ce n’est pas juste le barbare qu’on a voulu décrire. Sa détention a été compliquée. Il s’est retrouvé chez une inconnue sans boulot, cela ne pouvait pas se passer autrement», plaide Maître Daphné Pugliesi, son avocate. Et comment cela doit-il se passer ? A sa sortie, l’afro-français Cédric Birot Saint-Yves était soumis à une surveillance judiciaire qui impliquait l’obligation de ne pas se présenter à Bagneux (Hauts-de-Seine) où Halimi avait été séquestré. Les investigations ont permis de démontrer qu’il s’y était rendu plusieurs fois. En conséquence, il devra purger deux ans et deux mois en plus de sa nouvelle condamnation. Cédric Birot Saint-Yves était l’un des plus jeunes du Gang antisémite des barbares, mené par l’afro-français musulman et antisémite Youssouf Fofana. Après le départ d’un premier geôlier, il avait rempli ce rôle durant cinq jours. «Il surveillait de 11 heures à 20 heures et avait constaté les conditions inhumaines de détention et les traces de coups», indique le procureur. Maître Daphné Pugliesi, l’avocate qui avait eu le triste privilège de défendre l’indéfendable (elle le défendait déjà à l’époque), a assuré que «le procès a permis de démontrer qu’il n’avait pas donné l’idée de blesser Halimi au cutter et qu’il n’avait pas pris la photo envoyée à la famille» Ah bon; un petit gars bien non ? En tous cas une rente pour madame Pugliesi. «Cédric a arrêté spontanément quand il a découvert qu’il ne s’agissait pas de trafic de stupéfiants. Il a eu le sentiment que cet arrêt avait précipité la mort d’Halimi», ajoute-t-elle. Une fois incarcéré, le bon petit «jeune» Birot Saint-Yves avait commis trois autres délits : menace de mort sur un agent pénitentiaire en 2007, intrusion d’un téléphone portable en 2008 et outrage en 2009. Il a écumé les prisons d’Île-de-France suite à ces nouvelles condamnations et pour «des raisons sécuritaires». Un rapport avait souligné la «faiblesse de son sens moral» et son «absence de culpabilité».
Septembre 2017, l’afro-Français Cédric Birot Saint-Yves sorti de prison le 8 mai 2017, et qui était domicilié depuis chez une amie de sa sœur à Lognes s’est soustrait à un contrôle et a blessé un policier dans sa fuite en voiture le 19 juin dernier. Jugé par le tribunal correctionnel de Melun, il a écopé de trois ans et demi de prison dont deux fermes. «J’ai pas trop envie d’en parler», lance l’afro-français Cédric Birot Saint-Yves, 29 ans, au sujet de sa participation au calvaire d’Ilan Halimi, le jeune juif séquestré et torturé à mort par un gang ethnique raciste le gang des barbares en janvier 2006. Tête penchée, regard sombre, cheveux teints en blondasse tirés en arrière, il était poursuivi ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Meaux pour «conduite sans permis», «violence aggravée» et «refus d’obtempérer aggravé» en récidive. Le 19 juin 2017, un peu plus d’un mois après sa sortie de prison, il a blessé un policier en prenant la fuite en voiture suite à un contrôle de police avenue de Claye, près du commissariat de Chelles. Condamné à trois ans et demi de prison, dont deux ans ferme, il est maintenu en détention. A bord d’une Citroën C4, il avait refusé de s’arrêter. Mis en joue par le gardien de la paix, il avait alors accéléré et touché son flanc avec le rétroviseur droit. Il avait abandonné la voiture et était parti en courant. La victime, projetée au sol, souffrait d’une entorse au genou et avait bénéficié d’une ITT de dix jours. Âgé de 18 ans et 4 jours au moment de l’atroce affaire Halimi, l’afro-français Cédric Birot Saint-Yves avait été condamné en appel en 2010 par la Cour d’assises des mineurs du Val-de-Marne à douze ans de réclusion criminelle pour avoir rempli le rôle immonde de geôlier et de tortionnaire. Confondu par son ADN sur une paire de lunettes dans la Citroën, Cédric Birot Saint-Yves est resté en cavale jusqu’à son arrestation le 11 août. Le 25 juin, un mineur s’était même présenté au commissariat pour porter le chapeau à sa demande. Il avait été rémunéré 1000 euros par l’ancien geôlier (on se demande bien où il avait trouvé les sous). L’enquête a aussi permis de trouver une vidéo tournée au volant le 30 juillet 2017 où le prévenu insultait la police, se vantait d’être recherché et de «faire de la GTA», un jeu vidéo dont le héros «commet des délits et peut aller jusqu’à écraser des policiers». «Franchement, c’est cadeau pour les poursuites », commente la présidente. «Il a foncé délibérément sur le policier. Son casier judiciaire est édifiant. Il y a eu de multiples incidents en prison. Il faut prendre en compte la dangerosité de l’homme que vous allez juger», avertit Eric de Valroger, le procureur-adjoint, qui a requis 6 ans d’emprisonnement. «Ce n’est pas juste le barbare qu’on a voulu décrire. Sa détention a été compliquée. Il s’est retrouvé chez une inconnue sans boulot, cela ne pouvait pas se passer autrement», plaide Maître Daphné Pugliesi, son avocate. Et comment cela doit-il se passer ? A sa sortie, l’afro-français Cédric Birot Saint-Yves était soumis à une surveillance judiciaire qui impliquait l’obligation de ne pas se présenter à Bagneux (Hauts-de-Seine) où Halimi avait été séquestré. Les investigations ont permis de démontrer qu’il s’y était rendu plusieurs fois. En conséquence, il devra purger deux ans et deux mois en plus de sa nouvelle condamnation. Cédric Birot Saint-Yves était l’un des plus jeunes du Gang antisémite des barbares, mené par l’afro-français musulman et antisémite Youssouf Fofana. Après le départ d’un premier geôlier, il avait rempli ce rôle durant cinq jours. «Il surveillait de 11 heures à 20 heures et avait constaté les conditions inhumaines de détention et les traces de coups», indique le procureur. Maître Daphné Pugliesi, l’avocate qui avait eu le triste privilège de défendre l’indéfendable (elle le défendait déjà à l’époque), a assuré que «le procès a permis de démontrer qu’il n’avait pas donné l’idée de blesser Halimi au cutter et qu’il n’avait pas pris la photo envoyée à la famille» Ah bon; un petit gars bien non ? En tous cas une rente pour madame Pugliesi. «Cédric a arrêté spontanément quand il a découvert qu’il ne s’agissait pas de trafic de stupéfiants. Il a eu le sentiment que cet arrêt avait précipité la mort d’Halimi», ajoute-t-elle. Une fois incarcéré, le bon petit «jeune» Birot Saint-Yves avait commis trois autres délits : menace de mort sur un agent pénitentiaire en 2007, intrusion d’un téléphone portable en 2008 et outrage en 2009. Il a écumé les prisons d’Île-de-France suite à ces nouvelles condamnations et pour «des raisons sécuritaires». Un rapport avait souligné la «faiblesse de son sens moral» et son «absence de culpabilité».
Michel Alain Labet de Bornay adhérent du CTECNA.
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