samedi 30 septembre 2017

Les «barbares» que sont-ils devenus ?






Tiens, dans la série que sont-ils devenus, voyons un peu ce ou sont donc passé les «sauvageons» et autres «chances pour la France» dit aussi les «allogènes», appelés par les journalopes médiacrasseux aux ordres du New World Order ou du politiquement correct ou encore du marxisme culturel des membres du fameux «gang des barbares», en fait en très grande majorité des musulmans antisémites et afro-français (pour le néologisme Afro-français voir l'article : Les racistes noirs antisémites sont de retour),des hommes de race noire, tortionnaires et tueurs du jeune Ilan Halimi et représentant bien le nouvel antisémitisme.
 Ilan Halimi, 23 ans, avait été enlevé le 20 janvier 2006 à Sceaux, où il avait été attiré dans un guet-apens par une jeune fille servant «d'appât». Après de vaines négociations avec sa famille pour une rançon de 450.000 euros et une séquestration violente de trois semaines émaillée de tortures, il avait été retrouvé agonisant. Il est mort à l'hôpital.

En préambule il convient d’être clair, ce concept de nouvel antisémitisme en est une nouvelle forme qui s'est développée au début du XXIe siècle, émanant simultanément de la gauche et de la droite molle marxiste culturelle et de l'islam tendant à se manifester comme une opposition au sionisme et à l'État d'Israël. Un exemple : Le 8 Janvier 2014 la cour d’Appel de Colmar avait condamné Aline Parmentier, secrétaire départementale du PC-(F) section Alsace, membre du Front de Gauche, activiste de la campagne illégale et antisémite BDS et du «collectif» Boycott68  se revendiquant de l’idéologie marxiste aux cent cinquante millions de victimes innocentes. Elle a avec une dizaine d’autres racistes antisémites Islamos marxistes du PIR ou d’EELV, Jean Michel Baldassi, Maxime Roll, Christiane Topouzian épouse Mure, le professeur d’histoire  antisémite Henri Eichholzer, Mohammad Akbar, Farida Trichine, Jacques Ballouey, Leïla ou Laïla Assakali, Assakali Yahia, Habiba El Jarroudi épouse Assakali, Assya Ben Lakbir, été  condamnés pour avoir provoqué à la discrimination à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion… Et ce à l’instigation du BNVCA qui les ayant fait condamner, nous cache soigneusement leur sinistre appartenance politique de gauche, d’extrême et d’ultra gauche. Bien que pour le BNVCA le «palestiniste» (néologisme employé là par le BNVCA pour marxisme culturel) exacerbé de la propagande palestinienne constitue  la source essentielle de l’antisémitisme depuis 13 ans, et que les actions des commandos BDS participent de cette propagande ciblée et nocive. On sent bien là l’éternel regret du BNVCA que ce nouvel antisémitisme ne soit pas «d’extrême droite», snif snif…
En résumé madame Parmentier et ses complices (Dit les 12 de Mulhouse) dont de  nombreux «zélus» ardemment soutenu par la FSU étaient définitivement condamnés pour provocation à la haine raciale antisémite ! Point barre ! Ces opérations racistes antisémites comme les profanations de cimetières, étaient un des volets de cette propagande palestinienne qui incite à la haine d’Israël et pousse à l’acte antijuif comme celui de l'afro-Français Coulibaly, de Youssouf Fofana, de Mohamed Merah qui avait dit avoir assassiné des enfants juifs pour  «venger les enfants Palestiniens» ou de Mehdi Nemmouche et autres «Jihadistes» ou terroristes musulmans depuis.

Revenons au gang des barbares ; lors de perquisitions, il avait été trouvé chez les ravisseurs des documents de soutien au Comité de bienfaisance et de secours aux Palestiniens, ainsi que du matériel de propagande islamiste salafiste. Au téléphone, un ravisseur avait récité une sourate du Coran à la famille d'Ilan Halimi.
Le gang islamomarxiste était composé d’une majorité écrasante d’afro-français nous n’oublions pas que les leaders du gang avaient des antécédents : ils étaient impliqués dans au moins 15 autres cas de kidnapping ou de racket, certains étaient membres de la branche française du mouvement communiste le FPLP.
Aujourd'hui, la plupart des accusés qui ont comparu en 2009 ont retrouvé la liberté, voyons le cas des autres principaux barbares ; c’est le cas du Numéro six le petit «gars bien» Yahia Touré Kaba qui mérite votre attention mais apparemment pas celle du BNVCA. Pas plus d’ailleurs que le Numéro 7 sorti de prison et qui y est immédiatement retourné.

Maître Michel Konitz avocat pénaliste défendait l'un des 27 accusés du procès du «gang des barbares» qui trouvait que les peines prononcées à l'encontre des membres du gang d’afro-français islamomarxistes étaient à la mesure de leurs actes il dira : «Je pense que c'est un verdict tout à fait équilibré, même si c'est facile de dire ça pour un avocat de la défense. Le «gang des barbares», c'est un amalgame de gens peu équilibrés menés par Youssouf Fofana, qui n'est pas un cerveau mais un crétin sanguinolent. Ceux qui ont appâté et enlevé Ilan Halimi, ainsi que ses geôliers, ne savaient pas qu'il serait tué. Fofana était le seul à connaître toute l'histoire. Les autres personnes, parmi lesquelles figurent des mineurs, sont complices de la séquestration, mais pas du meurtre. C'est ce qui explique ces peines que certains jugent trop clémentes». Quand on vous le dit : Des déséquilibrés et une bande de cas isolés défavorisés ! Lorsqu’on lui demande : «Que pensez-vous des propos de Mme Halimi, la mère d'Ilan, qui a  affirmé que la Shoah continuait en France en 2009 ?».Il répondra : «Les victimes et leur famille ont le droit de tout dire. On doit le respecter. La douleur excuse beaucoup de choses mais il faut raison garder. Il ne me semblait pas nécessaire d'évoquer ici la mémoire de la Shoah. C'était un acte antisémite, certes, mais ce n'était pas un système comme le fût le nazisme. Le but de ce procès n'était pas d'éradiquer l'antisémitisme, ni de servir de tribune, mais de juger les personnes responsables d'un acte antisémite».

Ce monsieur a raison, il n’était pas nécessaire d’évoquer ici la Shoa mais là où il a tort, c’est au sujet du «système» ou nouveau concept dit aussi new world order, qui produit ces actes de nouvel antisémite qui se sont développée au début du XXIe siècle, émanant simultanément de la gauche marxiste culturelle, de la droite molle et de l'islam, et tendant à se manifester comme une opposition au sionisme et à l'État d'Israël. Le système marxiste culturel aujourd’hui au pouvoir a pour objectif de détruire la civilisation occidentale judéo-chrétienne et il y réussi parfaitement. On aura beau dire que tout ça n'est qu’un triste fait divers, c'est quand même très inquiétant que 25 «jeunes», hommes et femmes en majorité afro-français et musulmans se soient associés pour former un gang ethnique aboutissant à une telle barbarie. Il faut encore une fois y voir le reflet de cette peste qu'on appelle marxisme culturel à l’origine de l’antiracisme qui instrumentalise les musulmans et l’immigration afro-française d’origine maghrébine et sub-saharienne (N’oublions jamais que le MRAP distille de la haine des juifs !) cet «antiracisme» est aussi à l’origine d’une contre-culture dite des «cités» qui cultive la haine du juif, du français de souche, de tout ce qui fait la culture occidentale, le mépris des femmes et l'amour de l'argent facile, à n'importe quel prix. Ces braves petits «sauvageons» incarnent une nouvelle forme de barbarie qui menace les valeurs essentielles de la démocratie européenne et de notre culture grecquo-latino-judéo-chrétienne.

Vous y aurez la surprise de constater que le  N°6 de la liste, le sieur Yahia Touré Kaba (quel joli nom bien de chez nous) alias «Yaks», un immigré clandestin en situation irrégulière et guinéen analphabète, qui avait coupé les cheveux de la victime sur ordre de Fofana, pour faire disparaître toute trace d’ADN et avait fourni deux autres amis pour sa relève, «Fabrice» et «Baba». (…) Poursuivi pour association de malfaiteurs, séquestration d’Ilan Halimi et actes de tortures et de barbarie, condamné définitivement en appel à onze ans de réclusion criminelle, notre brave sauvageon Guinéen et chance pour la France et bourreau d’Ilan Halimi a été transféré en 2013 au centre de détention de Villenauxe-la-Grande, avant d’intégrer une cellule de la maison d’arrêt de Troyes. C’est de là qu’il a été extrait en 12 2014 pour être remis en liberté (Oui vous avez bien lu en LIBERTE !). Là, des fonctionnaires l’ont conduit à l’aéroport pour l’expulser du territoire français. Direction la Guinée, son pays natal. «Il n’était plus souhaité sur le territoire national», a confirmé l’administration. En 2014, monsieur Bernard Cazeneuve étant  ministre de l'Intérieur au sein du gouvernement Valls I. (Monsieur Valls  ancien Premier Ministre se disant «éternellement attaché à Israël, quand même !», bizarre ça ce «quand même», ce bon monsieur Valls a pourtant fait une intervention remarquée en 2008 à Évry, parc des Coquibus, lors d’une cérémonie «symbolique pour la paix» au Moyen-Orient, «un olivier pour la paix», et ceci dans le cadre de la Journée de la Terre, organisée conjointement par "Evry Palestine" association marxiste faisant partie du mouvement communiste AFPS instigateur de la campagne antisémite BDS , et la Municipalité d’Evry (Essonne) où le maire socialiste Valls fait une intervention. C’est à voir et à écouter !  Une preuve supplémentaire, si tant est qu’il y en ait encore besoin, tendant à prouver que les personnes visant à accéder au pouvoir sont capables de toutes les duplicités. La suite c'est en cliquant ici .......
Avec le numéro sept c’est plus que de la surprise c’est juste dans l’ordre des choses ! Avec cette grande chance pour la France (voir ici un "détail" de l'histoire) Cédric Birot Saint-Yves un afro-Français alias «Babas», ami du musulman antisémite Nabil et de  Yahia Touré Kaba qui avait été geôlier est mis en examen pour séquestration, actes de torture et de barbarie. Il déclarera : «Dès le premier jour, j’ai pu constater que l’otage présentait des traces de brûlures par mégots au niveau des côtes et du dos». Les coups auraient débuté après un premier échec de remise de rançon. «Tous les quatre, Nabil, Yahia, Jérôme et moi, nous lui avons mis des tartes quand il gémissait pour avoir des cigarettes (…) Il m’est arrivé aussi de lui mettre de petits coups de balai sur les jambes, cuisses ou mollets». Il est mis en examen pour séquestration, actes de torture et de barbarie. Le 5 janvier 2009, il est condamné par le tribunal de Créteil à cinq mois de détention ferme pour avoir utilisé un téléphone portable dans l’enceinte de la prison de Fresnes (Val de Marne) où il était incarcéré. Sa soeur cadette a écopé de deux mois avec sursis pour lui avoir transmis la puce électronique;
                                                                                                                                                         Septembre 2017, l’afro-Français Cédric Birot Saint-Yves sorti de prison le 8 mai 2017, et qui était domicilié depuis chez une amie de sa sœur à Lognes s’est soustrait à un contrôle et a blessé un policier dans sa fuite en voiture le 19 juin dernier. Jugé par le tribunal correctionnel de Melun, il a écopé de trois ans et demi de prison dont deux fermes. «J’ai pas trop envie d’en parler», lance l’afro-français Cédric Birot Saint-Yves, 29 ans, au sujet de sa participation au calvaire d’Ilan Halimi, le jeune juif séquestré et torturé à mort par un gang ethnique raciste le gang des barbares en janvier 2006. Tête penchée, regard sombre, cheveux teints en blondasse tirés en arrière, il était poursuivi ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Meaux pour «conduite sans permis», «violence aggravée» et «refus d’obtempérer aggravé» en récidive. Le 19 juin 2017, un peu plus d’un mois après sa sortie de prison, il a blessé un policier en prenant la fuite en voiture suite à un contrôle de police avenue de Claye, près du commissariat de Chelles. Condamné à trois ans et demi de prison, dont deux ans ferme, il est maintenu en détention. A bord d’une Citroën C4, il avait refusé de s’arrêter. Mis en joue par le gardien de la paix, il avait alors accéléré et touché son flanc avec le rétroviseur droit. Il avait abandonné la voiture et était parti en courant. La victime, projetée au sol, souffrait d’une entorse au genou et avait bénéficié d’une ITT de dix jours. Âgé de 18 ans et 4 jours au moment de l’atroce affaire Halimi, l’afro-français Cédric Birot Saint-Yves avait été condamné en appel en 2010 par la Cour d’assises des mineurs du Val-de-Marne à douze ans de réclusion criminelle pour avoir rempli le rôle immonde de geôlier et de tortionnaire. Confondu par son ADN sur une paire de lunettes dans la Citroën, Cédric Birot Saint-Yves est resté en cavale jusqu’à son arrestation le 11 août. Le 25 juin, un mineur s’était même présenté au commissariat pour porter le chapeau à sa demande. Il avait été rémunéré 1000 euros par l’ancien geôlier (on se demande bien où il avait trouvé les sous). L’enquête a aussi permis de trouver une vidéo tournée au volant le 30 juillet 2017 où le prévenu insultait la police, se vantait d’être recherché et de «faire de la GTA», un jeu vidéo dont le héros «commet des délits et peut aller jusqu’à écraser des policiers». «Franchement, c’est cadeau pour les poursuites », commente la présidente. «Il a foncé délibérément sur le policier. Son casier judiciaire est édifiant. Il y a eu de multiples incidents en prison. Il faut prendre en compte la dangerosité de l’homme que vous allez juger», avertit Eric de Valroger, le procureur-adjoint, qui a requis 6 ans d’emprisonnement. «Ce n’est pas juste le barbare qu’on a voulu décrire. Sa détention a été compliquée. Il s’est retrouvé chez une inconnue sans boulot, cela ne pouvait pas se passer autrement», plaide Maître Daphné Pugliesi, son avocate. Et comment cela doit-il se passer ? A sa sortie, l’afro-français Cédric Birot Saint-Yves était soumis à une surveillance judiciaire qui impliquait l’obligation de ne pas se présenter à Bagneux (Hauts-de-Seine) où Halimi avait été séquestré. Les investigations ont permis de démontrer qu’il s’y était rendu plusieurs fois. En conséquence, il devra purger deux ans et deux mois en plus de sa nouvelle condamnation. Cédric Birot Saint-Yves était l’un des plus jeunes du Gang antisémite des barbares, mené par l’afro-français musulman et antisémite Youssouf Fofana. Après le départ d’un premier geôlier, il avait rempli ce rôle durant cinq jours. «Il surveillait de 11 heures à 20 heures et avait constaté les conditions inhumaines de détention et les traces de coups», indique le procureur. Maître Daphné Pugliesi, l’avocate qui avait eu le triste privilège de défendre l’indéfendable (elle le défendait déjà à l’époque), a assuré que «le procès a permis de démontrer qu’il n’avait pas donné l’idée de blesser Halimi au cutter et qu’il n’avait pas pris la photo envoyée à la famille» Ah bon; un petit gars bien non ? En tous cas une rente pour madame Pugliesi. «Cédric a arrêté spontanément quand il a découvert qu’il ne s’agissait pas de trafic de stupéfiants. Il a eu le sentiment que cet arrêt avait précipité la mort d’Halimi», ajoute-t-elle. Une fois incarcéré, le bon petit «jeune» Birot Saint-Yves avait commis trois autres délits : menace de mort sur un agent pénitentiaire en 2007, intrusion d’un téléphone portable en 2008 et outrage en 2009. Il a écumé les prisons d’Île-de-France suite à ces nouvelles condamnations et pour «des raisons sécuritaires». Un rapport avait souligné la «faiblesse de son sens moral» et son «absence de culpabilité».

Michel Alain Labet de Bornay adhérent du CTECNA.

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