lundi 12 novembre 2018

Prison ferme pour les 7 de Briançon !


Aide aux immigrés clandestins : les 7 activistes d’ultra gauche du gang de Briançon risquaient cher.


De sinistres délinquants gauchistes, activistes marxistes culturels ultras gauchistes dit dans leur charabia habituel gauchiotte les  «7 de Briançon», risquaient de lourdes peines allant jusqu’à dix ans de prison et 750 000 euros d’amende, pour «aide à l’entrée sur le territoire français d’étrangers en situation irrégulière, le tout en bande organisée».
Leur procès pour aide à l’entrée irrégulière d’étrangers, en bande organisée a eu lieu ce 8 novembre.  Les complices associations de la nébuleuse de la haine rouge; CIMADE, LDH, MRAP, PC plus ou moins F, NPA, PIR, appelaient à la relaxe.
Comme d’habitude chez les gangsters marxistes culturels et autres ineptocrates on ne connaissait que leurs prénoms soit : Théo, Bastien, Eleonora, Mathieu, Juan, Lisa et Benoît. Quatre Français, deux Suisses (?), une Italienne qui ne se présentera pas au tribunal. Les organisations de la nébuleuse de la haine marxiste culturelle les appellent «les 7 de Briançon»
Il y a un moment que l’on n’avait pas eu une belle brochette de gauchistes radicaux pris la main dans le sac de la haine de la France, si ce n’est comme les 12 de Mulhouse pour la haine antisémite.

Essayons de ne pas oublier aussi les «3 de Perpignan», des proclamateurs de la haine antisémite. Avec aussi  pour mémoire d'autres fameux "7" mais d'Alençon cette fois, avec 2 militants du MRAP le délicieux mouvement de la nébuleuse communiste qui distille de la haine des juifs et puis, ayons une pensée rouge avec mademoiselle Sakina Arnaud née Khimoun, condamnée en 2005 à une amende de seulement 300 euros par la cour d'appel de Bordeaux. La cour avait cependant requalifié les faits en «dégradation légère». Le 10 février 2010, le tribunal correctionnel de Bordeaux l'a condamnée à 1000 € d'amende, cette membre active de la LDH (Ligue des Droits de l'Homme) qui avait reçu le soutien inconditionnel du MRAP et de l’ensemble des nidoreuses associations marxistes avait été reconnue coupable de «provocation à la discrimination et à la haine raciale» condamnation confirmée en appel. N’oublions pas non plus le camarade Jean-Claude Willem ancien maire communiste de Seclin qui relaxé en mars 2003 de poursuites pour discrimination envers une nation alors qu’il avait demandé aux services de restauration Seclinois de boycotter les produits israéliens, avait été condamné en appel (interjeté par le Garde des Sceaux) à verser une amende de 1000 euros. Son pourvoi en cassation rejeté, l’ancien maire de Seclin avait décidé, au nom de la liberté d’expression, de saisir la Cour européenne des droits de l’homme contre l’État français. Cette dernière l’a débouté.
Mais «les 7 de Briançon» qui ont toujours le soutien inconditionnel du MRAP une association marxiste culturelle qui distille de la haine des juifs, membre de la gauchosphère sont en fait 3 + 4 exactement, car les trois premiers ont été mis en garde à vue le 22 avril, les quatre autres ont été mis en garde à vue plus tard, le 17 juillet. Il leur est reproché «l’aide directe ou indirecte en bande organisée à l’entrée irrégulière d’étrangers sur le territoire national».
Ce jour-là, Théo, Bastien et Eleonora participaient avec 150 personnes à une manifestation soi-disant en réaction à une belle opération de blocage de passage illégal de migrants illicites de Génération Identitaire la veille, au col de l’Échelle dans les Alpes.

Défendons nos frontières

Les trois premiers activistes gauchistes ont marché de Clavière (Italie) à Briançon (Hautes-Alpes) et on fait passer illégalement la frontière à une vingtaine de migrants illicites. Leur garde à vue a duré onze jours en tôle. Dans le lot de gauchistes on trouve Bastien Stauffer (sa maman  Laurence Stauffer-Cart aime les migrants que ne les fait elle rentrer en Suisse ?) Bastien est un «étudiant» de nationalité Suisse qui devrait passer des examens d’économie à l’Université de Genève venu faire le guignol en France (La Suisse ne fait pas partie de l’Union européenne, de quoi les Suisses se mêlent-ils ? Essayez donc voir de faire passer des migrants illégaux chez les Helvètes pour voir !  Bastien Stauffer était accompagné d’un autre pique-meurons (Genevois) le Suisse-Toto Théo Buckmaster (souvent dit : Belgo-Suisse) ce dernier dit «travailleur» attendu par un employeur en Suisse (Théo 24 ans, exerce le métier (?) de «gardien de bain saisonnier» dans une piscine en Suisse, Et enfin la troisième délinquante de la bande de gangsters marxistes, Eleonora Laterza, une italienne «anarchiste» suivant des cours d’histoire politique à l’université de Turin. Nos trois étrangers venu foutre le bordel dans notre pays devaient répondre devant le tribunal correctionnel de Gap en Mai dernier «d'aide à l'entrée irrégulière en bande organisée d'étrangers». Ils encouraient un maximum de 10 ans de prison, 750.000 euros d'amende et une interdiction du territoire français. Mais le procès et renvoyé au Jeudi 08/11/2018.

Les nôtres avant les autres.
Le Mardi 06, une centaine de crétins anti Français dites personnalités du monde des arts, de la science et de la politique encore une fois une belle brochette d’idiots utiles marxistes culturels avec Philippe Poutou un homme d’ultra gauche osant ce dire ouvrier et syndicaliste, Benoît Hamon ex ministre sinistre socialiste qui veut légaliser la drogue (le cannabis) en France, Agnès Jaoui une saltimbanque politiquement très engagée à l’ultra gauche marxiste culturelle (migrants, étrangers en situation irrégulière (qu’elle n’accueille quand même pas chez elle), etc.), la bouffonne Juliette Binoche soutient du socialiste Hamon, avec les inévitables guignols marxistes culturels qui n’aime pas la France, Bruno Solo, Josiane Balasko, Costa-Gavras, Philippe Claudel, Fred Vargas, José Bové etc. Tous ont signé une tribune de «soutien» initiée par l’ultra gauchiste Cédric Herrou, agriculteur d’opérette de la Roya, devenu un symbole (la prière du passeur de clandestins : saint Bol protégez nous) depuis sa condamnation en août pour son aide illégale aux migrants.                                                         Tout le monde sait que la justice en France (dit l’ajustice de s’pays des doigts de l’homme dans le Centre d’Union Libéral) est noyautée par un syndicat (Saint Dicat priez pour Joseph Staline, Mao et Pol Pot qui sont en enfer) d’Ultra gauche le fameux «syndicat de la magistrature» et c’est ainsi qu’immédiatement au début du nouveau procès le procureur Raphaël Balland a demandé au tribunal de renoncer à la circonstance aggravante de bande organisée. Ne reste plus que l’aide à l'entrée irrégulière d'étrangers. Fini les 10 ans de prison, et les 750.000 euros d'amende et l’interdiction du territoire français.

Les migrants sont nourris...eux !
Les débats ont été difficilement conduits par Isabelle Defarge, la présidente du tribunal, qui tantôt essayait de ramener les échanges sur les faits, tantôt s’égarait elle-même dans les digressions offertes par un dossier à la dimension politique forte.
Le procureur Raphaël Balland a réclamé seulement six mois avec sursis à l'encontre de cinq prévenus: Benoît Ducos, menuisier, un passeur dit «maraudeur», adhérent de l’association nidoreuse Tous Migrants et bénévole au Refuge solidaire, ancien secouriste pisteur, qui depuis un an, héberge chez lui Alfa, un mineur de 16 ans arrivé de Guinée.  Bastien Stauffer, Théo Buckmaster, Eleonora Laterza (qui séchera le procès) dont on a déjà vu le pedigree et Lisa Malapert une «charpentière» 22 ans de Briançon.

Le magistrat a requis 12 mois d'emprisonnement, dont 8 mois avec sursis, pour Jean-Luc Jalmain, 52 ans, l’aîné des prévenus un tatoué (n’est pas à moué) aux dreadlocks poivre et sel, habitué de «Chez Marcel», le squat illégal (que fait la police ? de Briançon ouvert aux clandestins et aux trafics de drogue habituels à cette faune d’ultra gauche.et 12 mois d'emprisonnement, dont 8 mois avec sursis assorti d'une mise à l'épreuve, pour Mathieu Burellier 35 ans, membre de la bande organisée dite de «Chez Marcel» repaire des gangs d’ultra gauche, et au RSA c’est-à-dire vivant grassement de l’argent des Français qui travaillent… eux ! Burellier doté d’un casier judiciaire bien fourni est un vrai gangster d’ultra gauche, il avoue «J’ai fait du braquage et du stupéfiant, et on attend que je fasse de l’humanitaire pour me coller une bande organisée». Braquage je ne sais pas si il continue, mais stupéfiants il y a peu de doute !

Et voilà, l’«aide à l’entrée sur le territoire français d’étrangers en situation irrégulière, le tout en bande organisée», grâce à cette merveilleuse «ajustice humaniste, progressiste et pacifiste si ce n’est démocratique» de s’pays des doigts de l’homme, de la femme, des LGBT et autres pédophiles, zoophiles, pornographes marxistes culturels» qui a encore frappé voit supprimé la bande organisée. Cela voudrait dire que ces gens tous gauchistes faisant partie d’associations comme Tous Migrants (bande organisée par excellence) étaient des sortes de touristes passant pas là sans organisation, trouvant une vingtaine de noirs assis dans la neige en Italie et leur disant : «Tiens venez donc avec nous manifester contre les pas beaux vilains méchant Identitaires en passant on vous laissera en France». Ben tiens et la marmotte des alpes elle met le chocolat   «noir» dans le papier d'alu !                                                      
Il ne fait pourtant aucun doute sur l’aide apportée sur ces cas d’immigration irrégulière, les textes sont clairs : «Toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l'entrée, la circulation ou le séjour irréguliers, d'un étranger en France sera punie d'un emprisonnement de cinq ans et d'une amende de 30 000 Euros.  
                                                                 
Vous allez me dire : Oui mais Bastien Stauffer, Théo Buckmaster sont des petits Suisses et Eleonora Laterza ritale. Qu’à cela ne tienne, le législateur a prévu la chose: «Sera puni des mêmes peines celui qui, quelle que soit sa nationalité, aura commis le délit défini au premier alinéa du présent article alors qu'il se trouvait sur le territoire d'un État partie à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990 autre que la France. L’aide à l’entrée irrégulière sur le territoire avec la circonstance aggravante de «bande organisée», passible de 10 ans de prison et 750 000 euros d’amende».

Monsieur le procureur Balland a demandé au tribunal de renoncer à la circonstance aggravante de bande organisée et a réclamé seulement six mois avec sursis pour cinq prévenus et 12 mois d'emprisonnement, dont 8 mois avec sursis pour les deux autres alors que la peine prévue par la loi est d'un emprisonnement de cinq ans et d'une amende de 30 000 Euros. Monsieur le procureur prenant prétexte que certains critères jurisprudentiels, telle l’existence d’une «forme de hiérarchisation et de pérennisation», ne sont pas démontrés. Ah bon, et l’association de gangsters d’ultra gauche Tous Migrants (bande organisée par excellence) c’est pas une forme de hiérarchisation et de pérennisation ? Malgré tout  monsieur le bon procureur Balland dira justement :                                    «Alors ce procès, dont certains ont voulu faire un symbole, ce n’est pas un procès sur l’aide aux migrants, pas du tout le procès de la solidarité. C’est un procès sur la frontière, le procès de ceux qui sont contre les frontières».

La présidente du tribunal, de son côté, s’en tiendra «aux faits». «On n’est pas l’Assemblée nationale, on ne fait pas les lois, on n’est pas saisis d’un problème sociétal, s’agace madame Isabelle Defarge. On n’est pas payés pour ça ! » .
Peut-être pas «payés» pour ça mais pour défendre les lois de la république oui !

Un bon coup de semonce aux gangsters d’ultra gauche et un exemple d’une justice qui protège les citoyens de ce pays ça n’aurait pas fait de mal !
En Italie on s’occupe aussi du phénomène. Sur Facebook, le squat «Chez Jesús», côté italien, assumait par exemple de «rompre ce dispositif de frontière qui tente de rendre la traversée impossible à ceux qui ne sont pas les bienvenus».
 
Mercredi 10 octobre 2018  a eu lieu l’expulsion des «migrants» de l’église catholique occupée à Clavière.
Ils ont aussi été expulsés de «Chez Jésus». 14 camionnettes, plusieurs voitures de police et de carabinieri, sont arrivés à 7h40 le mercredi matin [10.10.2018]. Ils ont défoncé la porte avec un bélier et un marteau, et ils sont entrés. Le prêtre de la paroisse, Don Angelo Bettoni, ne s’est pas montré. Le maire si, en revanche. Il était avec la police en train d’inspecter les locaux pendant qu’ils jetaient dehors les vêtements sales, les tables, les couvertures, les matelas restants. Pendant qu’une pelleteuse arrivait pour tout débarrasser, ils mettaient des grilles aux fenêtres. Mais la position du maire était connue, depuis le début il appelait à l’expulsion, parce que Chez jésus «menaçait les activités économiques du pays et faisait augmenter le flux de migrants (en le rendant plus visible) étant donné qu’il donnait de la nourriture et un endroit pour dormir». Ils ont tout de suite séparé, comme de juste d’après leur catégories, ceux qu’ils considéraient «migrants» et ceux qu’ils considéraient gangsters d’ultra gauche anarchistes. Les premiers ont été emmenés, pour un contrôle d’identité, probablement à la procure de Bardonnèche. Il paraît que deux d’entre eux ont été relâchés parce qu’ils étaient en demande d’asile. Le troisième, en revanche, a reçu un avis d’expulsion. Les autres ont tous été bloqués par les cordons policiers et ont été inculpés. Et nous sommes bien contents. L’Etat français et ses gardes, qui réussissent à mieux garder le contrôle du flux de personnes illégales dirigé vers la France. L’état italien, qui n’aime avec raison ni les lieux illégaux ni les espaces gauchiottes, fait respecter la loi et rend à la propriété régulière les locaux appartenant à l’église. L’Église, propriétaire des locaux. Les activités commerciales de Clavière, qui espèrent voir ainsi disparaître les migrants de passage dirigés en France qui détruisent le tourisme.
La chasse traque à ceux, des gangsters ultras gauchistes qui font passer les autres avant les nôtres dois commencer. Demandons la dissolution du Secours populaire communiste, du MRAP Stalinien qui distille de la haine des juifs, de la CIMADE, de la LDH,  dissolution immédiates pour toutes ces ligues de la haine rouge de toutes les associations dites caritatives qui sucent le sang des Français et des immigrés légaux pour abreuver nos potentiels ennemis, musulmans dans leur immense majorité, qui n’ont tant qu’à faire à aller vivre dans l’un des 57 pays musulmans richissimes. Leur problème ? Ce n’est pas notre problème. On a assez de soucis comme cela pour l’avenir de nos enfants.                                                 STOP aux enfoirés de collabos de gangs de gauchiottes traîtres à leur patrie, gavés par l’argent des contribuables.
Sachez m’sieurs dames et autres «camarades» qu’en France il y a des SDF, des familles françaises, des agriculteurs qui gagnent (?) moins de 400 € par mois, des gens qui meurent dans la rue, qui tentent d’y survivre, dans la violence et le mépris, des agriculteurs ou d’anciens ouvriers qui meurent ou sont à la rue dans l’indifférence générale.
Dans ma commune même, je connais un homme, jeune retraité et divorcé qui dort dans la rue après une vie de travail alors que le préfet du var a imposé une dizaine de «migrants» qui vivent aux frais des Français logé dans des HLM. Honte à lui !

Alors si vous vous emmerdez dans vos petites vies de gauchistes pitoyables souvent de glandus chaumistes au QI de mouches à merde, petits fonctionnaires, ou si vous en êtes en manque d’homme, battez-vous pour une bonne cause, battez-vous pour les Français, vos protégés sont et restent des barbaresques et des sauvages. Ils ne s’intégreront jamais en France, ils ne connaissent que la violence, la haine, l’agressivité, ils ne savent pas dire merci, la preuve, on les accueille, on les aide, on les assiste, ils nous remercient en allant déféquer dans nos églises, en saccageant tout sur leurs passages, en violant nos femmes et nos enfants, en les coupant en morceaux comme en Italie, je suis dégoûté totalement écœuré par ces associations de chiottes pro-migrants, qui détruisent notre France.
Un jour vos enfants payeront cher le prix de vos traîtrises, et ça sera trop tard, la France sera envahie d’étrangers, à cause des judas comme vous, nous devenons chaque jour de plus en plus minoritaires chez nous. Comment pouvez-vous encore vous regarder dans une glace, à chaque attentat terroriste, à chaque tuerie, à chaque carnage, les fautifs les complices c’est vous et vous seuls, en un mot les Collabos ! La France que vous haïssez vous vomit.

Soyons toutefois réalistes il existe deux sortes de «migrants» qui souhaitent obtenir l’asile en France. Les «réfugiés» et les «migrants économiques».
La distinction entre la notion de réfugiés et de migrants économiques au sens juridique donné par la Convention de Genève est simple : l’asile s’applique à toute personne  «craignant avec raison d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, se trouve hors du pays dont elle a la nationalité et qui ne peut ou, du fait de cette crainte, ne veut se réclamer de la protection de ce pays». Exit donc, dans cette définition, les «migrants économiques».
En février dernier l’ex ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a assuré être «obligé de faire» un tri parmi les migrants, entre réfugiés politiques et migrants économiques, la France ne pouvant continuer, selon ses mots, à les accueillir «de manière exponentielle».

Nous savons bien que les «migrants économiques» n’obtiendront pas l’asile. Seuls 24% des demandes d’asile obtiennent une réponse positive, après une procédure très longue et compliquée, pendant laquelle ils auront prouvé que leur vie était en danger s’ils retournaient dans leur pays. Une partie de ceux qui ne l’obtiendront pas resteront en France et deviendront des immigrés clandestins. Leur vie n’y sera pas confortable, et s’ils s’en contentent, c’est que leur vie s’ils retournent dans leur pays sera encore pire. Il y a une question légitime qu’il faut se poser est : est-ce que nous aurions fait la même chose à leur place ? Si le pays où vous vivez ne vous permettait une vie décente, et qu’un autre pays vous permettrait d’avoir un avenir un peu meilleur, vous ne partiriez pas ? Si vous admettez qu’à leur place vous feriez le même choix, sommes-nous légitimes pour les juger ? Non, pour les juger c’est non, mais si j’étais Béninois ou Sénégalais immigré par choix je dirais : J’ai joué, j’ai perdu… Inch Allah ! Et je tenterais d’aller ailleurs !
Encore une chose, s’il n’est pas plaisant de qualifier les migrants économiques d’envahisseurs, la plupart des sens du verbe dans la définition du Larousse semblent pourtant bien s’appliquer: Entrer en nombre et par la force dans un pays, une région, s’en emparer militairement.                                            Pénétrer quelque part en nombre, de manière abusive ou non autorisée ; occuper, faire irruption dans un lieu.                                                      Se rendre en très grand nombre dans un lieu.                                                        S’imposer, atteindre, concerner de nombreux points d’un lieu, de nombreux éléments d’un groupe, gagner un domaine.                                                              Seul le premier sens – celui d’une occupation militaire – ne correspond pas encore complètement à la réalité. Mais lorsque l’Europe aura finalement fermé ses frontières, pensez-vous que les migrants hésiteront à employer la force ? Tout ceci ne peut évidemment que se terminer très mal – et se terminera très mal. C’est pourquoi dès aujourd’hui je dis que la justice doit faire un exemple ! 

Michel Alain Labet de Bornay




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1 commentaire:

  1. La justice a rendu, jeudi, des décisions sévères contre les militants poursuivis à la suite d’une manifestation de soutien aux exilés à la frontière franco-italienne.

    La répression à l’égard des ­citoyens solidaires des exilés a franchi un nouveau cap, jeudi après-midi, à Gap (Hautes-Alpes). Le tribunal correctionnel y a rendu sa sentence concernant les sept de Briançon jugés le 8 novembre dernier. Tous ont écopé de peines de prison. Cinq d’entre eux, Benoît Ducos, Théo Buckmaster, Bastien Stauffer, Lisa Malapert et Eleonora Laterza ont été condamnés à six mois avec sursis « pour aide à l’entrée irrégulière d’un étranger en France », la circonstance aggravante de « en bande organisée » n’ayant heureusement pas été prise en compte. Deux autres, Jean-Luc Jalmain et Mathieu Burellier, sont condamnés à douze mois de prison dont quatre ferme. Le premier pour avoir relevé son tee-shirt face aux gaz lacrymogènes lors d’un rassemblement organisé au mois de septembre. Le second pour rébellion avec obligation de verser la somme de 4 000 euros d’indemnités aux policiers qui se sont portés partie civile.

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