jeudi 13 décembre 2018

Aujourd’hui une bonne claque aux petites mauvaises odeurs d’antisémitisme du gouvernement Macron.


La remise, par la France, du prix des droits de l'homme à deux soi-disant ONG israélienne et palestinienne qui appellent au boycott de l’état hébreu, a fait l'objet d'une vive polémique. La belle et très honnête Socialiste Nicole Belloubet Garde des Sceaux a finalement renoncé à s'y rendre. L’honnêteté de madame Belloubet est aujourd’hui proverbiale et le journal Le Canard Enchaîné a enquêté sur madame Belloubet qui aurait omis de déclarer entre autre dans son patrimoine trois propriétés (sa maison dans l'Aveyron estimée à 800 € le m² et ses deux appartements à Paris estimés entre 3 000 et 4 000 € le m²), pour un total de plus de 330 000 €. Honnête mais riche et sans mémoire !
«Devant les pressions, le gouvernement français a cédé», écrit bêtement l’organe Le Monde de la presse stipendiée et marxiste culturelle à la (Allah ?) botte du pouvoir Macroniste; la ministre de l’Ajustice Nicole Belloubet a finalement renoncé à présider, comme cela était prévu, la remise du prix des doigts de l’homme dans le Centre d’Union Libéral, ce 10 décembre à Paris.
Le Monde avait précisé : «Ce revirement de Mme Belloubet a coïncidé avec une campagne de pressions exercées en Israël par des responsables politique de l’état Juif, et en France, par les organisations juives. Jusqu'au dernier moment, elle a visé à empêcher la présence d’un représentant du gouvernement français. Cette absence à cette cérémonie est en soi exceptionnelle, seulement constatée deux fois en trente ans».                                                                                            Doté par le Premier ministre Édouard Philippe, (rassurez-vous pas avec sa cassette perso mais avec le bon argent des diverses taxes et impôts volés par la Macronie dans vos poches cher amis Français de France) le prix est décerné par la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH une organisation marxiste culturelle d’ultra Gauche antisémite). L'une des récompenses de la soirée a été remise aux prétendues ONG, l'une israélienne (B’Tselem) et l'autre palestinienne (Al-Haq), dénonçant la prétendue occupation israélienne dans les territoires dits palestiniens. C'est finalement François Croquette, ambassadeur français pour les droits de l’homme, qui a été envoyé pour remettre le prix.
Le Monde ment comme d’habitude, la Macronie n’as rien cédé du tout, au lieu d’une mocheté, c’est un sous fifre qui a été donné votre pognon aux soi-disant ONG, des organisations antisémites qui haïssent Israël. Devant les pressions, le gouvernement français n’a rien cédé du tout. Il est difficile de savoir les sommes données mais il s’agit bien sûr de plusieurs millions d’euros distribués par la France à des antisémites, les retraités à 300 Euros apprécierons !
L'ambassade d'Israël est «choquée» ! L'identité des deux lauréats avait en effet suscité la polémique, l'ambassade d'Israël en France se disant «choquée» que le fameux prix des doigts de l’homme dans le centre d’Union Libertarien décerné par les «autorités» françaises puisse être remis à l’organisation musulmane palestinienne Al Haq «qui est liée à l’organisation terroriste et marxiste FPLP, et qui prône ouvertement le boycott d’Israël». Plusieurs personnalités politiques en Israël avaient également fait entendre leur mécontentement. En ce qui concerne la France, Le Monde écrit que le député Meyer Habib (UDI), proche du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, aurait joué un rôle important dans le revirement de Nicole Belloubet. L'homme politique avait notamment accusé la France d'«attiser la haine et [d'encourager] la radicalisation antisioniste» avec la remise de ce prix.
Francis Kalifat, le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), a pour sa part écrit à madame Belloubet, estimant que son renoncement ne pouvait «absolument pas répondre au problème que cela pose quant au respect de notre législation face au boycott [d'Israël, qui est interdit en France]».
Il accuse les deux organisations lauréates d'appeler au boycott d'Israël. Si c'est effectivement le cas pour Al-Haq, qui qualifie le mouvement BDS (Boycott, désinvestissement, sanctions) d'«outil non violent le plus efficace à disposition des Palestiniens pour lutter contre l’occupation», B'Tselem n’a aucune position officielle sur ce mouvement, même si l'organisation israélienne dénonce fermement la colonisation menée par son gouvernement. 







 Michel Alain Labet de Bornay






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1 commentaire:


  1. Le 7 décembre 2018, en pleine tourmente politique, le Premier ministre Philippe signe avec des ministres palestiniens dix accords de coopération et demande la levée du blocus de Gaza

    Un gouvernement français contesté qui, pour la première fois depuis des décennies, sort des blindés de la gendarmerie dans les rues de Paris, reçoit, à la veille de nouvelles manifestations paralysant la France, portant notamment sur le pouvoir d’achat des Français, des ministres palestiniens d’un gouvernement non élu, pour leur accorder de nouveaux financements, ce que recouvre le terme d’accords de coopération. Le Premier ministre français leur apporte tout son soutien et va jusqu’à préconiser la levée du blocus – maritime- de Gaza, aux mains des terroristes du Hamas. Car, alors qu’on aurait pu penser que le gouvernement français consacrerait toutes ses énergies à trouver des réponses aux attentes d’une majorité de Français, celui-ci, qui s’est montré très généreux – 10 millions d’euros en huit ans pour soutenir deux secteurs palestiniens - avec un gouvernement palestinien non élu, connu pour sa corruption et son incitation au terrorisme, par le biais du financement des terroristes ou de leur famille, reçoit en plein tourmente des «ministres» palestiniens dans le cadre d’une rencontre d’un comité ministériel bipartie, pour leur accorder une rallonge financière, sous couvert d’accords de coopération .
    Une contribution financière de facto au terrorisme palestinien, grâce à l’argent des contribuables français qui ignorent sans doute cette utilisation de leurs impôts.

    Satisfaction bien sûr du ministre des Affaires étrangères palestinien qui a signé ces accords avec «son homologue Yves le Drian», rapporte l’agence de presse palestinienne officielle Wafa. Compte tenu de la conduite hostile de la France envers Israël, y compris depuis l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République, - voir les votes à l’UNESCO ou à l’ONU, entre autres- on doute qu’une telle intervention française soit entendue…
    Le Sénat recevait aussi le Premier ministre palestinien, appelant à soutenir la campagne BDS, qui semble avoir droit de cité en France, bien qu’y étant illégale….
    Une France qui finance nombre d’institutions palestiniennes au quotidien.
    Il existe d’ailleurs nombre d’instances françaises œuvrant pour des financements franco-palestiniens qui se traduisent par des allocations de fonds dont l’utilisation n’est le plus souvent pas contrôlée.

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