jeudi 30 avril 2020

Propos «racistes» ?



Le 27 avril 2020 des folliculaires à gages, lâches comme l’est tout merdiatiste faiseur de feuilles à se torcher les fesses, stipendiés et collabos de l’AFP (agence raciste et antisémite dite Agence France Palestine) titrent :
Didier Lallement fait suspendre les deux policiers mis en cause pour des propos racistes à L’Île-Saint-Denis.
Didier Lallement ? C’est le préfet de police de Paris. En 2017 Alain Juppé le maire de Bordeaux apprend la nomination de D. Lallement à la tête de la préfecture de la Gironde, celui-ci décroche aussitôt son téléphone. Allô Dominique Perben ? L’ex-Garde des Sceaux, proche de celui qui était jusqu’alors Conseiller maître à la Cour des Comptes, écoute les doléances d’un Juppé ragaillardi par la nouvelle : «Dis-donc, il parait qu’on m’envoie un nazi ?» rigole l’ancien Premier ministre. Perben s’esclaffe, mais n’en démord pas, s’évertuant à lui démontrer la qualité de son protégé.

Et ceux là, y nagent ?
Les piteux folliculaires à gages continuent : «Les choses n’ont pas traîné. Au lendemain de l’éclatement du scandale (fabriqué par une ultra gauche décomplexée) sur les réseaux sociaux, le préfet de police de Paris Didier Lallement a demandé la suspension de deux policiers mis en cause pour des propos (dits très abusivement) racistes proférés lors d’une interpellation (et le sauvetage par cette même police d’un étranger en situation irrégulière qui était en train de se noyer dans la Seine en fuyant les forces de l’ordre. Selon leparisien.fr, cet homme a déclaré être Égyptien et être né en 1993. Sans papier Français, il avait fait l’objet d’une décision administrative d’obligation de quitter le territoire français. Et c’est justement en raison de sa situation irrégulière que le parquet a décidé de classer la procédure pour ce motif et a levé la garde à vue dans la journée du 26 avril 2020) samedi soir en proche banlieue parisienne. Avec l’accord du ministre de l’Intérieur, le préfet de Police Didier Lallement a demandé au Directeur général de la police nationale la suspension des deux policiers mis en cause dans la tenue de propos (aux dire de l’ultra gauche antisémite et qualifiés de) racistes entendus dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux le 26 avril», déclare la préfecture de police dans un communiqué.
«Un bicot comme ça, ça nage pas», entend-on dans une vidéo diffusée par le journaliste Taha Bouhafs et visiblement filmée après que les fonctionnaires ont sorti (sauvé de la noyade) l’homme de la Seine. «Ahah ça coule, tu aurais dû lui accrocher un boulet au pied», est-il ajouté.

Au cirque ? Oui en France !
Là il y a un truc qui ne va pas ; ou l’AFP a-t-elle été inventer que monsieur Taha Bouhafs était un «journaliste». Monsieur Bouhafs est un militant d’ultra gauche de La France Insoumise un Franco-Algérien qui lorsqu’il était candidat pour les législative à Tolbiac insultait les policiers en les traitant de «Grosses merdes» !
Pour un «journaliste», le nombre de fautes d’orthographe que Taha Bouhafs commet par ailleurs devrait être rédhibitoire. Visiblement, ça ne l’est pas.
Selon le journal Marianne, Taha Bouhafs s'illustre régulièrement par des propos agressifs envers les «Blancs» et une «ligne communautariste» (autre nom du racisme antiblanc et de l’islam radical).
Le «journaliste» auto proclamé (il n’est pas titulaire de la carte de presse) est également accusé d’outrage à agent, en marge d’une manifestation de soutien à des étrangers «travailleurs» clandestins. Autoproclamé «journaliste des luttes», Sidi Bouhafs fait face à la justice, ce mardi 25 février 2020. Le militant autoproclamé «antiraciste» est accusé d’«outrage et rébellion sur personne dépositaire de l’autorité publique», rapportait pour une fois BFMTV sans toutefois préciser les fameux «outrages». Il avait été interpellé à Alfortville (Val-de-Marne) le 11 juin 2019, en marge d’une manifestation en soutien à des étrangers clandestins dit «travailleurs» en situation irrégulière. Ce jour-là, plusieurs organisations syndicales d’extrême gauche avaient appelé, dans un communiqué, à un «rassemblement pacifique» devant le centre Chronopost de la ville, pour exiger la régularisation d’une «trentaine de travailleurs sans-papiers» employés au «black» par Chronopost. Sidi Bouhafs s'était rendu sur place, et avait constaté un «déploiement de vigiles conséquent» sur le site, accompagnés de «chiens qui à son avis faisait régner une ambiance menaçante», un policier en civil lui a alors demandé de reculer et l'aurait poussé au sol «au seul motif qu’il filmait», explique l’avocat du militant (tiens, il n’est plus journaliste) au micro de BFMTV. Le fonctionnaire concerné affirme, lui, avoir été insulté. «Tu n’es qu’une racaille de flic», lui avait dit monsieur Bouhafs. Le sieur Bouhafs a ensuite été interpellé et placé en garde à vue. Durant l’arrestation, il a été blessé à l’épaule. Il a également porté plainte pour «violences par une personne dépositaire de l’autorité publique». Mais une autre polémique va naître lors de cette interpellation musclée. Le téléphone avec lequel le militant (et pas le journaliste) filmait a été confisqué sur le coup, et huit mois plus tard, il est toujours sous scellé, malgré une décision de justice de le restituer datant de novembre. Depuis, monsieur Bouhafs a de nouveau été interpellé, en janvier, après une manifestation qui a perturbé la sortie au théâtre des Bouffes du Nord d’Emmanuel Macron et de son épouse. Il est ici suspecté d’avoir alerté les manifestants de la présence du président de la République. Il est à cette occasion encore une fois mis en garde à vue. Dans des tweets postés après l’évacuation d’Emmanuel Macron, les députés et porte-parole de LREM, Aurore Bergé et Jean-Baptiste Moreau, ont qualifié Taha Bouhafs de «militant» et d’«islamiste». Au sein même de la profession, certains journalistes ont refusé de présenter Taha Bouhafs comme l’un des leurs. Ainsi, samedi matin, le journaliste encravaté de BFM TV François Gapihan s’est exceptionnellement adressé à l’AFP sur Twitter pour signifier : «Cette personne n’est pas journaliste. Cette personne est un militant politique». Alors là si c’est BFMTV qui le dit, il faut le croire !

Fin 2019 Sidi Bouhafs était convié sur le plateau de «Touche pas à mon poste» par Cyril Hanouna,  «Je n’ai pas le bac, je n’ai pas l’habitude de la télé, y a expliqué le «jeune homme», pas intimidé le moins du monde. Je viens de la banlieue et oui, je suis un «rebeu». (Vu l’orthographe du «rebeu» (c’est lui qui le dit) qui en aurait douté).
Faut-il rappeler que début 2019 monsieur Benoît Hamon avait écrit avec raison que «sale sioniste» était synonyme de «sale juif», sidi Bouhafs lui répond : «C’est bientôt le dîner du CRIF [Conseil représentatif des institutions juives de France, NDLR], et t’a pas envi d’être privé de petit fours». Rapprochant les «petits fours» des fours crématoires des camps d’extermination nazis, la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) avait réagi alors avec véhémence à l’antisémitisme de monsieur  Bouhafs sans que le ministre de l’intérieur ni le préfet de police ne s’en émeuvent.
Bravo monsieur le préfet Lallement pour accorder aujourd’hui du crédit à monsieur Bouhafs un vrai raciste antisémite. Quoique les antisémites ça doit vous plaire monsieur Jupé vous a bien qualifié de Social Nationaliste (Nazi en argot Berlinois).
Quand on se fait traiter de raalouf (porc), de kéfir (mécréant), nique ta race, grosses merdes, ta mère la pute ou de la pire insulte,  sale Français, il ne se passe rien. La politique pro racailles est claire aujourd'hui ; où est le problème d'appeler un Wesh-wesh un «bicot» ? C'est certes un mot péjoratif mais de langage courant et face à l'insulte, on ne peut pas demander aux policiers d'avoir des réactions d'académiciens. D’autant que le nom commun «bicot» vient par aphérèse du mot arbicot («arabe»), diminutif de «arbi» ou «larbi» pour arabe, ce qui n’a rien de «raciste».
Et quand on se fait traiter de grosse merde de sale Français ou de nique ta race par l’antisémite  Bouhafs, on n’est pas «raciste» ?

Et puis cerise sur le gâteau de la haine en février 2019, Sidi Bouhafs est au centre d’une grave polémique, qui éclate sur Twitter comme on vient de le voir succinctement. Après l’altercation de monsieur Alain Finkielkraut lors d’une manifestation de Gilets jaunes, où l’homme de lettres est accusé d’être un «sale sioniste», l’homme politique monsieur Benoît Hamon tweet que « «sale sioniste» voulait dire «sale juif»», ce à quoi Bouhafs répond : «C’est bientôt le dîner du CRIF [Conseil représentatif des institutions juives de France], et t’as pas envie d’être privé de petits fours». Le rapprochement entre «petits fours» et les fours crématoires des camps d’extermination nazis est fait par la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme, la Licra, qui accuse Bouhafs d’antisémitisme ! Ce type est l’exemple même de l’islamiste décomplexé, raciste, communautariste anti blanc et antisémite ! Ses boutades sont tirées du langage des islamo-Nazis !

Pas étonnant qu'il soit pris au sérieux par le bon préfet Lallement

Lallement ? C'est la Gestapo Française. La preuve: Ali Jupé le disait !

Michel Alain Labet de Bornay

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