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dimanche 13 janvier 2013

PAN PAN QQ AU PKK.





Le PKK est une organisation terroriste marxiste, léniniste, staliniste et communiste.


De nouveau mon pays la France est le siège d’une guerre qui n’est pas la mienne, ni celle des Français.

La guerre marxiste, communiste, celle de l’internationale socialiste, du PCF, du Front de Gauche d’EELV, du NPA de la LDH, du MRAP et autres groupuscules haineux à l’idéologie xénophobe.

Le pet c'est caca alors pan pan pan QQ
Triple élimination de 3 terroristes rouges le 9 Janvier dernier au 147 rue Lafayette, dans le Xe arrondissement, siège « discret » du Centre d'Information du Kurdistan, un bureau de liaison du mouvement marxiste PKK en France. Sa responsable, Fidan Dogan, 32 ans connue dans la « communauté » des « camarades » sous le nom de code de Rojbin, fait partie des trois personnes effacée. Elle avait et était membre du conseil national kurde (KNK) une instance représentative appartenant à la nébuleuse PKK.
Figure également Leyla Soylemez et Sakine Cansiz une « féministe », membre fondateur du PKK aux côtés du criminel terroriste Abdullah Öcalan (le PKK a été fondé près de Lice, en Turquie, en 1978 par Öcalan) Sous le nom de code « Sara », elle a joué un rôle actif dans la lutte armée terroriste et criminelle au cours des années 90. Vraisemblablement tombée en disgrâce auprès de la direction du mouvement, elle a ensuite obtenu l'asile politique en France qui c’est fait une spécialité d’accueillir toutes les plus belles ordures communistes ou Islamistes de la planète.


Sakine Cansiz avec öcalan
Dans son treillis kaki et munie de sa tolérante kalachnikov, l’humaniste progressiste Sakine Cansiz a tout de la nauséabonde "guérillera" marxiste, sur la photo qui la montre aux côtés du terroriste Abdullah Öcalan, chef de file de l’immonde Parti des « travailleurs » du Kurdistan (PKK).

Le net fourmille de commentaires sur cette « affaire » et posent des bonnes question qui n’ont pas l’air d’avoir eu des réponses: Quelques commentaires ici: MDR au PKK : parti des travailleurs kurdes = parti communiste = éloigné de Dieu. La Turquie est la Turquie, et ça le restera ! PKK = Communiste, terroriste. DEHORS. Qui finance et encourage le PKK ? Le PKK mouvement terroriste qui rackette les kurdes. Est il normal que des activistes étrangers soient toléré en France ?
Quasiment toute la « gauche » Française et particulièrement le Parti communiste « Français » soutiennent les terroristes rouges du PKK.

Monsieur Laurent, secrétaire national du PCF et sénateur de Paris, s’est rendu aux côtés de ses camarades terroristes communistes « Kurdes » pour exprimer, au nom du Parti communiste, son émotion et sa condamnation de l’élimination des trois militantes communistes. «Les Kurdes paient à nouveau un lourd tribut à la juste lutte ( ?) qu’ils mènent pour la reconnaissance de leurs droits politiques et culturels», a-t-il déclaré, réaffirmant la solidarité du PCF avec le peuple kurde. Monsieur Laurent se moque du monde le PKK communiste est un groupuscule de terroristes marxistes criminels et assassin qui ne représente pas le « peuple » Kurde.

Le groupuscule marxiste antiraciste MRAP partie de la nébuleuse de la haine rouge en rajoute une couche. Dans la droite ligne de la nauséabonde désinformation communiste il  rappellerait qu’il ne peut y avoir de solution à la « question kurde » qu’une solution politique et négociée entre le gouvernement turc et les représentants que s’est donnés le peuple kurde. Des représentants du « peuple » Kurde ? Mais de qui se moque le MRAP ? Le PPK n’a pas d’élus, dans aucun pays ou cette ethnie Kurde est représentée. Voir ICI

La réponse ci dessous répond à toutes les questions que les Français sont en droit de se poser sur le PKK  communiste :

« Mesdames, Messieurs,
Le 19 juillet dernier, vous avez publié un appel concernant la question kurde en Turquie, qui soulève d’importantes interrogations.
En effet, vous mettez en balance les relations entre la France et la Turquie, d’un côté un pays démocratique et de l’autre, Abdullah Öcalan, leader d’une organisation terroriste (le PKK) reconnue comme telle par l’Union Européenne, les Etats-Unis et l’Organisation des Nations Unies.

Cette organisation communiste est :
Totalitaire : le PKK n’hésite pas à procéder à la liquidation de ses opposants (tels que Kemal Burkay, Président du Parti Socialiste du Kurdistan), ainsi qu’à la destruction des organisations vues comme rivales et qui appellent à une approche démocratique du problème kurde (« Union Révolutionnaire du Peuple », « Libération Populaire » ou encore les « Foyers Révolutionnaires de la Culture Orientale »),

Criminelle : le PKK est responsable de la mort de plus de 40 000 personnes, et a, par ailleurs, dans sa stratégie du pire, assassiné plus de 5 500 civils. Dont 38 % de ses effectifs sont constitués par des enfants, le plus souvent enlevés à leur famille. Cette organisation n’hésite pas, par son travail de propagande, à pousser la population kurde à se sacrifier et à commettre des actions suicidaires afin de médiatiser son mouvement. En outre, elle se finance principalement par le trafic de drogue, dont la filière principale va de l’Asie Centrale à l’Europe. Les gains qu’elle en tire, sont estimés à 100 millions d’euros par an. Une autre de ses grandes sources de revenus est également constituée par le trafic d’être humains (immigration illégale et proxénétisme). Par ailleurs, ce groupement terroriste, qui se considère comme marxiste-léniniste, n’hésite pas à travailler pour l’armée américaine en Irak, contre l’Iran, et reçoit des financements de Fondations allemandes, ce qui est pour le moins contradictoire avec les positions que l’Humanité est censée défendre.
L’idée que vous présentiez cette organisation comme « démocratique » et de « paix » ne manquera pas de choquer et de décourager ceux qui œuvrent réellement pour l’humanisme.

- xénophobe : le PKK considère le peuple kurde comme le propriétaire exclusif de l’Anatolie. Elle diabolise les turcs comme étant responsables de tous les maux des peuples de la région, et comme étant un peuple asiatique qui serait illégitime sur ses terres. Les partisans du PKK se sont, au fil du temps, enfermés dans un discours de haine et de rejet qui constitue désormais la colonne vertébrale de l’idéologie de ce mouvement qui n’hésite pas à assassiner des Turcs pour le seul fait qu’ils soient Turcs (l’exemple le plus symptomatique étant celui de Serap Esser, brûlée vive dans un autobus en 1999 à Istanbul par les terroristes du PKK, organisation dont Abdullah Öcalan est le leader et l’idéologue).

Au vu de ces éléments il est peu compréhensible qu’un journal sérieux ( ?) comme l’Humanité puisse qualifier un tel leader, dont l’organisation fait fi des droits les plus élémentaires de la démocratie et qui n’a aucun respect de la vie humaine, d’ « interlocuteur indispensable pour engager des discussions de paix», « portant les revendications d’autonomie démocratique » ainsi que les « droits politiques et culturels » des kurdes.

Pour porter à votre connaissance quelques informations sur la personnalité et l’idéologie, ainsi que sur la stratégie d’affrontement mise en exergue par le leader du PKK, Abdullah Öcalan, voici quelques éléments qui vous permettront de mieux apprécier les qualités « démocratiques », de « droit » et de « paix » mises en avant dans votre appel.
Le leader historique du PKK, Abdullah Öcalan, a écrit en 2002 un livre ayant pour titre « dialogues avec l’existence libre ». Dans ce livre autobiographique, où il retrace son parcours, le «  leader » du PKK fait des confidences qui montrent, en creux, sa vision déformée du monde.
S’affirmant, dans sa jeunesse, en guerre contre Dieu, il déclare qu’il a gagné cette guerre et qu’il est devenu, lui aussi, de nature quasi-divine : « dans mes années de jeunesse, affirme Öcalan, j’ai mené une guerre contre Dieu. J’en suis sorti victorieux et suis devenu demi-Dieu.» Par ailleurs, dans ce même livre, Abdullah Öcalan, se décrit comme un être « asexué », il compare également son départ de la ville de Urfa à l’exil du prophète Ibrahim, et son arrestation en 1999 à la passion de Jésus.

Cette conception mégalomane de lui-même se retrouve dans ses rapports avec les autres. Ainsi, Abdullah Öcalan aimait qualifier les Kurdes qui n’étaient pas d’accord avec lui « d’arriérés » qui se laissaient « assimiler » et « manipuler » par les fils d’un état qu’il concevait comme maléfique. Il appelait également ses partisans à brûler les forêts turques et les Turcs eux-mêmes, ce qui a entraîné des attaques au cocktail Molotov qui feront nombre de blessés et de morts.

Par ailleurs, dans votre appel, vous affirmez que l’ancien président Nicolas Sarkozy a soutenu la politique de Recep Tayip Erdogan. Il n’y a rien de plus inexact. En effet, Nicolas Sarkozy a été en tous points un farouche opposant à la Turquie et à son gouvernement, pour ne pas dire à son peuple, allant jusqu’à vouloir inscrire dans la Constitution son opposition à l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne.

Cette dérive a été critiquée par le politologue Olivier Duhamel qui a qualifié cette politique antiturque de Nicolas Sarkozy et de son parti, de « Turcofolie ».

L’on voit ainsi mal comment, sur vos conseils, François Hollande et son Ministre des Affaires Etrangères, Laurent Fabius, pourraient « mieux faire » dans la dégradation des relations entre la France et la Turquie, que leurs prédécesseurs.
Enfin, le fait que vous évoquiez le cas de Sevli Sevimli, qui est une affaire différente de celle pour laquelle vous lancez un appel, montre la conception particulièrement déformée que vous avez de la Turquie où tout évènement est mis à charge et sert à alimenter l’image d’un pays considéré comme « malfaisant » et « anti démocratique ».

Est-il utile de vous rappeler que cette jeune fille était accusée de relations avec une organisation terroriste connue pour avoir perpétré des attentats en Turquie et en particulier à Istanbul, ayant fait de nombreuses victimes civiles dont votre journal n’a jamais relaté les faits et les a encore moins condamnés.

De telles accusations auraient reçu le même sort en France. Souvenons-nous de l’affaire de Tarnac dans laquelle, pour moins que cela, des étudiants ont été arrêtés et jugés par la Justice ainsi que le cas du scientifique Adlène Hicheur, emprisonné pendant 949 jours, pour un échange de mails qu’il aurait eu avec une organisation terroriste, avant d’être relâché le 4 mai 2012.
En conclusion, nous appelons le Parti Communiste français et le journal l’Humanité à faire preuve de plus d’objectivité et de lucidité dans l’information diffusée auprès des français;

En savoir plus :

jeudi 2 septembre 2010

Istanbul ça n’est plus l’Europe !


Article garanti censuré sur le Post.fr





Turquie dans l’Union Européenne : Nicolas Sarkozy respecterait ses engagements ?

Malgré le fait qu’ Obanania ait plaidé fermement pour l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne, les pays opposés tels que la France assumeraient toujours leur position de refus, et d’ailleurs Nicolas Sarkozy a répliqué ouvertement qu'il s'agissait là d'une affaire interne à l'Union, concernant ses 27 pays membres, affirmant « J'ai toujours été opposé à cette entrée et je le reste ».


Le Président a tout de même précisé « La Turquie, c’est un très grand pays allié de l’Europe et allié des Etats-Unis. Elle doit rester un partenaire privilégié, ma position n’a pas changé».

En agissant ainsi Nicolas Sarkozy respecte un engagement qu’il a solennellement pris devant les Français et qu’il a réaffirmé en 2009 avec conviction.

« La Turquie ne fait partie de l'Europe ni géographiquement, ni politiquement, ni culturellement », ont estimé plus de 80% des français sondés cette question, montrant ainsi leur désaccord pour une entrée dans l’union européenne.

Alors pas de Turquie dans l’Europe ?


Rien n’est moins sur : Au PS, sur la Turquie, "il y a des négociations engagées. Mais pour pouvoir avancer, ça suppose des conditions qui ne sont pas actuellement remplies", a dit récemment Monsieur Fabius. "Dans la perspective longue, nous concluons que l'issue finale ne peut pas être garantie à l'avance".

Dieu vous entende Monsieur… !