jeudi 28 janvier 2021

Darmanin, une démagogie pitoyable !

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Le maire de Béziers qualifie de «minable» le souhait de Darmanin de dissoudre Génération identitaire.
Interrogé sur cette volonté affichée de dissoudre Génération identitaire, le bon maire de Béziers Robert Ménard a qualifié ce voeu de "pitoyable (...), minable". Invité de BFMTV-RMC ce jeudi matin, l'édile de la droite patriote, élu avec le soutien du Rassemblement National en 2014, a jugé leur récente action "très bien". "Ce qu'ils ont fait, ils l'ont déjà fait il y a deux ans, dans les Alpes, ils ont été acquittés il y a trois semaines", a fait valoir le Biterrois, estimant qu'il s'agissait de "démagogie".
Les piteux petites sous merdes qui se proclament  "journalistes" en Rance  qui pue, aussi dite Francarabia, continuent à nous abreuver des Castagnettades et des Darmanismes d'ultra gauche.
Castaner évoque donc, “le plaisir” que cela aurait été pour lui de dissoudre Génération identitaire. Il estime très bêtement que les militants de GI “se protègent comme des lâches” derrière la loi française. Après la provoc; les insultes!
Darmanin annonce lui, qu'en dépit d'un dossier vide et de manque évident de preuves juridiques , une enquête préliminaire était toutefois ouverte pour “provocation publique à la haine raciale” mardi après une sorte d'opération anti-migrants dans les Pyrénées du groupe à ses dires d’extrême droite Génération identitaire, c'est en tout cas cas ce qu'aurait déclaré à l’AFP le procureur de Saint-Gaudens, en Haute-Garonne, un proc à la botte. Cette enquête serait justifiée par de soi-disant “propos tenus sur une banderole très clairement anti-immigration”.
Cette "banderole" que personne n'a jamais vue est surnommée : "l'Arlésienne de la haine"
C'est quand même fort léger; on peut dire pitoyable sur des fondements subjectifs, invisibles et aux ordres de la gauche radicale le collabo procureur de la République de St Gaudens a décidé sous les ordres de Darmanin d’ouvrir une enquête contre l’association pour provocation publique à la haine raciale, sur quels fondements juridiques ? En 2012, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls avait déjà déclaré que la dissolution de Génération Identitaire était "étudiée", mais prudent il ne l'a jamais présentée en Conseil des ministres, rappelle l'Agence France-Presse.
Un avocat du barreau de Paris s'exprime sur cette fameuse banderole bêtement dite anti immigration. “J’ai lu cela, commente l’avocat, mais je ne pense pas qu’en ce moment, en France, il soit illégal d’être anti immigration. Cela fait partie du débat public, de la liberté d’expression. Une telle ouverture d’enquête sur ce fondement me parait assez léger. Ensuite, cette haine est une bombe juridique : il n’existe pas de définition juridique de la haine, ce qui laisse une part d’arbitraire énorme au procureur et au juge. Dans ces cas-là, on se fait plus inquisiteur que juge.”
Seulement voilà,les Castaner, Darmanain et leurs sbires sont : "dans la merde Colonel Trautman" car la conformité au droit d’une telle dissolution est illégale et l’identité du groupe doivent êtres "étudiées". Sans compter que par le passé, c’est grâce à ce procédé que des militants ont pu contraindre leur milieu à accepter une modernisation.
Si les identitaires ont toujours existé sous la forme d’une sorte nébuleuse conforme au droit Français, leur nouvelle organisation de jeunesse, Génération identitaire, est progressivement devenue le vaisseau amiral du milieu. Elle a même su s’exporter et compte désormais des organisations dans une dizaine de pays européens et là est bien le problême pour cette gauchioterie ne pas ce laisser déborder .
Le succès évident de Génération identitaire s’explique par deux raisons. Tout d’abord, la demande sociale dite faussement "islamophobe": l’islamophobie est certe devenue un produit culturel important des sociétés européennes, mais son nom est impropre . Mais non, on est pas islamophobe, notre arabe on l'aime bien, chez nous le couscous c'est comme la-bas, mais on préférerait en savoir une grosse partie chez eux.
Reste donc l’idéologie. La partie est moins facile pour Gérald Darmanin, tant le rejet de la société multiethnique et de la soi-disant "islamophobie" se sont implantés dans l’opinion. Il peut y trouver un équilibre politique. En matière de dissolution, ce n’est pas le macronisme qui a inventé le «en même temps». En 1973, le gouvernement avait dissous conjointement la trotskiste Ligue communiste révolutionnaire et le mouvement nationaliste Ordre nouveau: dissoudre les radicaux des deux bords est un moyen de faire passer la chose comme équilibrée aux modérés de chaque parties.
D'abord, on ne dissout ni les hommes ni les idées et les personnes peuvent toujours investir des structures existantes ou en créer de nouvelles. Or, en la matière, le bilan des dissolutions n’est pas toujours fameux. Le politiste Xavier Crettiez l’a bien montré à propos du cas corse: après la dissolution du Front patriotique corse de libération et de Ghjustizia Paolina en 1974, la concurrence entre les nouveaux groupes a engendré quatre fois plus d’attentats nationalistes corses en 1974 et 1975 que lors de la décennie précédente. On l’a dit à propos d’Unité radicale: sa dissolution a mené ses anciens cadres à choisir de sublimer la violence par l’activisme publicitaire.Et tout ça sa plait pas bien au gauchiottes de Francarabia .
En somme, si, à la suite des dissolutions, certains militants reprennent une activité politique intégrée aux normes du débat, d’autres se radicalisent. Le milieu étant particulièrement agité par des thèses de passage à la violence interethnique et des fantasmes de guerre raciale, dissoudre l’organisation qui surfe sur ces thématiques pour les insérer dans des actions non-violentes revient à prendre le risque de voir certains militants se dire avec certaines raisons que l’action légale et pacifique ne sert à rien, donc préférer se convertir à la violence d'un nationalisme bien mal compris.
Eric Zemmour dira : “Si Darmanin dissout Génération identitaire, il devra assumer cette action tyrannique et anti-démocratique. Il faut qu’il le sache. En d’autres temps, ces jeunes-là auraient été vus comme des héros” . Il poursuit même en disant: Les jeunes de #GenerationIdentitaire ont mené une action, non violente, contre l'immigration clandestine dans les Pyrénées…. En 2018, ils ont fait la même chose dans les Alpes et ils ont été relaxés par la justice, car on n'a rien à leur reprocher " .
" On n'a rien à leur reprocher " Pas plus aujourd'hui qu'hier et certainement bien moins que demain!
Attaque, parade, riposte. Après les imbéciles sorties médiatiques gouvernementales du joyeux duo de comiques Castaner/Darmanin visant Génération Identitaire, après l’ouverture lunaire d’une enquête préliminaire contre Génération identitaire pour “provocation à la haine” justifiée par “des propos tenus très clairement anti-immigration” (déjà plus de banderole!Disparue la banderole!) selon le procureur, une pétition vient d’être lancée contre la dissolution de Génération Identitaire.
Voilà ce que l’on peut lire sur celle-ci :
Ce mardi 26 janvier, Gérald Darmanin a annoncé qu’il allait «étudier la dissolution de Génération Identitaire».
Cette déclaration fait suite à l’action menée dans les Pyrénées par les jeunes identitaires qui ont mis en place des équipes de surveillance pour aider les forces de l’ordre à sécuriser nos frontières.
Une opération parfaitement légale qui n’a fait l’objet d’aucune poursuite.
De quoi s’agit-il ?
Le 5 janvier 2021, les autorités avaient soi-disant fermé le Col du Portillon, à la frontière franco-espagnole, pour risque «migratoire et terroriste». Génération Identitaire a voulu s’en assurer… et a pu vérifier que ce n’était pas le cas. De toute évidence, le ministre de l’Intérieur ne supportait pas que sa pseudo-fermeté s’avère être une nouvelle fois de l’esbroufe.
Pendant que Gérald Darmanin manifeste sa volonté d’interdire Génération Identitaire, rappelons que sur les 132 mosquées islamistes recensées en France, son ministère n’en a fermé que 9.
Alors que la France est confrontée à un risque d’attentat djihadiste sans précédent, la priorité est de lutter contre l’islamisme, pas de persécuter ceux qui le combattent.
Dénonçons la mascarade politicienne de ce gouvernement qui veut dissoudre une association parfaitement légale pour dissimuler ses échecs dans tous les domaines. Soutenons Génération Identitaire en signant maintenant cette pétition ! Pour signer c'est là:
http://www.france-petitions.com/petition/664/petition-contre-la-dissolution-de-generation-identitaire

mercredi 27 janvier 2021

Laxisme de l'état ? Vive génération identitaire !



D'après monsieur Darmanin qui fantasme gravement, nous serions, nous les patriotes nationalistes qui aimons Génération Identitaire, des nationalistes blancs, islamophobes et néofascistes, oui oui, tout celà sans oublier un de ces groupuscules d’extrême droite violents et dangereux pour l'ensemble de la gauche (c'est lui qui le dit) .
Gérald a oublié les très méchants "néos-nazis", au baudrier de cuir, avec les groupes SS antisémites, la cravache à la main ? Monsieur Gérald Darmanin c'est pourtant dit : "scandalisé par le travail de sape de la République des militants de Génération identitaire". Il met alors à l’étude la dissolution de GI. De toute façon il n'a qu'a dissoudre on revivra sous un autre nom !
Pour monsieur David Rachline, Darmanin veut la dissolution de #GenerationIdentitaire ! Et la LDNA (Ligue de Défense Noire Africaine) qui qualifiait il y a peu les militaires Français morts au Mali de «terroristes», vous comptez la dissoudre ? Ou bien vous faites juste de la communication politique ?
Interrogé par Le Figaro, Clément Martin, porte-parole du beau mouvement visé, dénonce une menace «absurde». «Ce qui est assez étonnant, ce que le ministre semble considérer notre action dans les Pyrénées illégale, alors même que pour une opération similaire dans les Alpes (en 2018, ndlr), nous avions été attaqués en justice et avons obtenu la relaxe intégrale en décembre dernier» rappelle le militant. «Gérald Darmanin est soumis à une pression importante de la gauche, et doit être agacé que nous ayons mis en lumière le laxisme de l'État à la frontière» a-t-il par ailleurs noté.
Plusieurs gauchistes, élus d'Occitanie, dont la présidente camarade socialiste de la région, Carole Delga, avaient demandé la semaine dernière au ministère de l'Intérieur la dissolution de "ce groupuscule d'extrême droite" !
Celle qui crie le plus fort, dans ce florilège de crétins, c'est bien sur cette Carole Delga député socialiste en 2019, cette brave dame est condamnée à 8 000 € d'amende et dommages et intérêts pour « discrimination fondée sur des opinions politiques» et  "entrave à l’exercice d’une activité économique" par la cour d’appel de Nîmes. Son pourvoi en cassation est ensuite rejeté.
Il lui a également été reproché d'avoir discriminé le maire de Beaucaire, Julien Sanchez, en raison de son appartenance au Front national. Elle avait en effet refusé de signer un contrat de commune établi par la commune de Beaucaire alors même que la loi établit que la signature de ce document par le président du Conseil régional est de droit. La cour d'appel a ainsi établi que le refus d'accorder cette signature par Carole Delga s'inscrivait dans un projet d'ostracisation du maire de Beaucaire en raison de son appartenance au FN et a ainsi décidé de lui adresser «un simple avertissement afin d'éviter que ses convictions politiques ne viennent polluer des décisions dont dépendent le sort de nombreux citoyens».
Après un début de soi-disant polémique, vient le temps de la justice bidon (l'ajustice de d'pays des droits de l'homme connue de Dunkerque à Tamanraset). Le collabo de procureur de la République de Saint-Gaudens annonce ce mardi avoir ouvert une enquête à l'encontre du mouvement d'extrême droite Génération identitaire pour provocation publique à la haine ou à la violence. On se demande bien ou ce trouve la "haine et la violence" là ? Il faut dire que ces procureurs d'ultra-gauche ont des secrets pour débusquer le mouton Français, animal à poil haineux par excelence !
Mardi 19 janvier, «une trentaine de militants de GI dans des voitures sérigraphiées Défend Europe» se sont installés au Col du Portillon. Certains sont «partis en randonnée», utilisant «un drone» pour surveiller la frontière. Ce qui est tout à fait légal et ne regarde pas la justice. Selon un message de Génération identitaire posté sur les réseaux sociaux, cette campagne entendait lutter contre le «risque terroriste et migratoire dans les Pyrénées».
La dissolution est pourtant à l'étude par l'esbroufeur de service !
Auprès du Parisien (le libéré), le commandant en chef de la gendarmerie de Saint-Gaudens indiquait quelques jours plus tard n'avoir constaté «aucun trouble à l'ordre public» et «aucune opération de remise de migrants». Ah merde dira le procureur.
Ce mardi, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin s'est dit de nouveau scandalisé par des opérations qui n'avaient pas eu lieu , opérations anti-migrants soi-disant menées par Génération identitaire qui pourtant n'avait vu rien d'illégal «aucun trouble à l'ordre public» et «aucune opération de remise de migrants» n'ayant eu lieu. Lors de sa conférence de presse mensuelle sur l'activité des forces de l'ordre, il a indiqué avoir demandé à ses services de réunir les éléments qui pourraient permettre de dissoudre Génération identitaire. Le gros menteur de ministre ajoute vouloir agir «évidemment dans le cadre des lois et des règlements de la République en proposant notamment, une fois que ces éléments seront réunis, le contradictoire dû à chaque association».
En réaction, Génération identitaire a publié et diffusé ce mardi une pétition pour contester la dissolution souhaitée par le gouvernement. «Le 5 janvier 2021, les autorités avaient soi-disant fermé le Col du Portillon, à la frontière franco-espagnole, pour risque «migratoire et terroriste», peut-on lire. Génération Identitaire a voulu s'en assurer… et a pu vérifier que ce n'était pas le cas. De toute évidence, le ministre de l'Intérieur ne supporte pas que sa pseudo-fermeté s'avère être une nouvelle fois de "l'esbroufe".
«Ils sont plus malins que les autres» et ça géne le ministre.
«II y a déjà beaucoup d'études (payées avec l'argent de vos impôts) qui ont été lancées pour nous dissoudre mais on n'a rien à nous reprocher, la justice approuve toutes nos actions», réagit Clément Gandelin dit «Galant», le président de Génération identitaire. «Gérald Darmanin n'arrivera pas à nous dissoudre facilement. On n'a jamais été condamné». En décembre, Génération identitaire et trois de ses cadres avaient été relaxés par la cour d'appel de Grenoble pour des précédentes opérations anti-migrants menées en 2018 dans les Alpes, à la frontière franco-italienne.
La dissolution de Génération identitaire dite bêtement de droite radicale apparaît en effet difficile à matérialiser. «Ils sont plus malins que les autres, essaient autant que possible de ne pas franchir les lignes jaunes, mais poussent le bouchon à chaque fois un peu plus loin», souligne le ministère de l'Intérieur. Les actions du groupuscule pourraient relever mais ne relèvent pas de «provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine» ou «présentant, par leur forme et leur organisation militaires, le caractère de groupes de combat ou de milices privées». «La difficulté est juridique. Il faut matérialiser (ces) éléments. Génération Identitaire fait bien attention à ne pas tomber dedans dans toute sa production littéraire, sur le net ou ailleurs», explique une source sécuritaire qui aimerait bien avoir en face de lui des gros cons de fachos. Que le gauchiste Darmanin emploie des méthodes ,sordides et déloyales ça ne date pas d'aujourd'hui, mais que des journalopettes se fassent le porte parole de leurs fantasmes nauséabonds, ça c'est alarmant.
Quant à monsieur Castaner il dit : “J’aurais dissous avec plaisir GI quand j’étais ministre de l’intérieur pour ce qu’ils représentent et ce qu’ils font, (c'est à dire avec des méthodes de gestapiste) mais ce n’était pas possible car ils n’avaient pas commis de fautes juridiques”
Eh oui que s'en est désespérant, ils ne commettent pas de fautes ses petits salopards, alors que nous dans le camp de la justice, du bien et de la vérité de gauche on est beaucoup emmerdés !

mardi 27 octobre 2020

Un homme majeur.

 


Le 26/10/2020 la gazette Midi Libre nous informe qu'un "homme" a été arrêté pour avoir décapité deux statues de la Vierge Marie dans le Gard et l'Hérault à Pont d'Hérault et à Montaud.
Une statue représentant la Vierge Marie érigée à Pont d’Hérault, sur la commune de Sumène, avait subit d’importantes dégradations volontaires, décapitée par des jets de pierres.
L’enquête de voisinage s’est révélée négative, mais un peu plus tard, un nouveau fait se produit sur la commune de Montaud (Hérault). Une fois encore, une statue de la vierge est décapitée selon le même mode opératoire.
L’enquête minutieuse diligentée par les militaires de la communauté de brigades du Vigan appuyés par la brigade de recherche locale a permis  de confondre un homme majeur demeurant dans le département de l’Hérault. Il a été interpellé à son domicile de Castelnau-le-Lez, le 21 octobre. Et placé en garde à vue au Vigan.
Lors de son audition, il a reconnu les deux faits commis. Il a été convoqué devant le tribunal correctionnel d’Alès pour y être jugé.
Un "homme majeur" donc, un Témoins de Jéhovah ?  L'article ne nous le dit pas!  Mais bon, il ne faut pas être grand clerc pour deviner que cet "homme" est un musulman décérébré "allah con" ! Un suppot de Satan ! Vont ils arrêter de nous casser les couilles un jour ? Et d'autre part les piteux petits journaleux de merde qui ce pissent dessus de trouille et n'osent pas appeler un chat un chat et un musulman un musulman, vont ils retrpouver un jour leurs roubignolles?
Source FDS (François De Souiche).

vendredi 23 octobre 2020

Boycott des bics ?




De nombreux internautes issus du monde arabo-mauresque et nazislamiste appellent au boycott des produits français (dont"BIC" et AMORA) sur les réseaux sociaux depuis plusieurs jours pour protester contre la très juste “dérive autoritaire et répressive contre les musulmans” depuis l’immonde attentat commis par un de leur congénère mahométan contre Samuel Paty, un professeur d’histoire.
Les crétins mahométistes deviennent de plus en plus cons! Boycotter de la bonne harissa mon zami faut en tenir une couche!

Michel Alain Labet de Bornay

jeudi 22 octobre 2020

La terre est plate.



Le Cheik (sans provision?) 'Abdul-'Aziz Ibn Baaz, l'autorité religieuse suprême et grand savant en science islamique de l'Arabie Saoudite (c'est par là mec), croit que la terre est plate, comme le grand chercheur en astronomie musulman Fadhel Al-Sa'd, qui a déclaré dans un débat télévisé sur Iraqi Al-Fayhaa TV (le 31 octobre 2007) que la terre est plate comme cela est prouvé par les versets coraniques (ta mère?) et que le soleil est bien plus petit que la terre et tourne autour d'elle. En tant que bons musulmans dévots, ils ont de très bonnes raisons de conclure que la terre est plate; les versets coraniques 15:19, 20:53, 43:10, 50:7, 51:48, 71:19, 78:6, 79:30, 88:20 et 91:6 font clairement état de cela et il n'y a pas un seul verset dans le Coran qui pourrait faire penser à une terre sphérique. Bref, il n'y a aucune échappatoire au fait que, selon les coranneries, la terre est plate comme une crêpe.
Certes il est naturel que les croyants en de telles imbécilités (et ils sont nombreux) ne soient pas très heureux et qu'ils se sentent plus ou moins blessés dans leur amour-propre, lorsqu'on leur dit qu'ils croient à des stupidités ridicules. Certes l'incroyant aux corranneries musulmanes qui leur dit cela n'entend pas rendre ainsi hommage à leur intelligence. Certes devant l'absurdité des croyances coraniques (ta soeur ?), la première réaction de l'incroyant ou du mécréant est nécessairement de se poser des questions sur le quotient intellectuel des croyants. Mais il ne pense pas pour autant que tous les croyants sont nécessairement des gros cons (un petit peu cons sur les bords quand même!), ni non plus d'ailleurs que tous les incroyants sont nécessairement très intelligents. Bon, ce n'est pas tout, il faut que j'aille voir si la marmotte elle a fini avec le papier d'alu !


Michel Alain Labet de Bornay

 

mardi 1 septembre 2020

Le fléau de Dieu !

Le 14 Aout 2020,les piteux petits journalopes de 20 Minutes.fr allah culture de mouche à merde recopiaient bêtement une dépêche (allah ligne ?) de l’agence Francarabia Presse dite AFP constitué de tristes journaleux collabos islamistounets et gauchistes aux connaissances théologiques de porcs ou de chiens bâtards, propageant sur l’islam ses pires imbécilités en faisant état d’une manifestation de soutien (à quoi ?) qui se tenait devant une salle de prières musulmane lyonnaise visée la veille par un incendie que ces drôles de journalistes disent avant toute enquête «vraisemblablement criminel» après un autre à Bron. Il n’est bien sûr pas question d’un éventuel «court-circuit» ou d’un mégot de cigarette mal éteint (pardon, j’oubliais que les mégots ou les courts-circuits c’est pour les églises chrétiennes ou éventuellement les synagogues).

Les crétins des iles s’affirmant journalistes font dans leur article état de «lieux de culte musulman» !

Seulement voilà, il n’existe pas de «lieux de culte» en Islam, pas plus de lieux de culte musulman que de lieu de culte de la Licorne Bleue !

 

Qui dit «culte» dit «clergé». Hors il est très important de savoir qu’il n'existe pas de clergé structuré dans la foi (Fides : confiance) musulmane comme c'est le cas dans les religions chrétiennes. Cette fonction est donc occupée par des simples fidèles (hommes de confiance) qui se distinguent uniquement par leur qualité de «croyants» en de graves stupidités. La mosquée ou la salle de prière est uniquement  le lieu de rassemblement des mahométans. L'appel du muezzin (employé de la mosquée) invite les fidèles dit aussi mahométistes à venir y prier cinq fois par jour. La prière collective se déroule sous la direction d'un musulman plus ou moins lettré selon les circonstances, l'imam, choisi pour son niveau de connaissances religieuses, le terme signifie simplement «celui qui est devant, celui qui montre la voie». En aucun cas il ne représente qui que ce soit et ne peut parler «au nom» des autres !


Il y a là un élément symbolique, qui n’est pas sans répercussions en France. Le soi-disant «culte musulman» est dans notre pays absent des cérémonies officielles; en particulier, il n’est pas représenté lors des vœux des «autorités» religieuses au Président de la République, où seuls sont présentes les autorités catholiques, protestantes et israélites les mahométanes n’existant pas.

D’ailleurs il serait bon de préciser d’abord ce qu'est un clergé, la une bonne définition étant celle-ci, c'est l'institution qui gère des hommes qui se sont séparés du commun des mortels pour se consacrer au service d’un «divin» et à l'enseignement de la religion au peuple profane, hors il n’y a pas de «profanes» en islam, le musulman est musulman à la naissance et l’apostasie est punie de mort. En général, la mission d’un clergé est double, tout d'abord, gérer le sacré, c'est-à-dire l'espace commun entre la divinité et l'humanité. Ensuite, pour les religions ayant reçu une ou plusieurs révélations et qui sont les plus nombreuses, le clergé s'emploie avant tout à préserver intact le message issu de cette révélation, à mieux le connaître et à mieux le comprendre, et à mieux l'enseigner aux profanes afin qu'il soit appliqué. L'islam n'a pas une perception très étendue du sacré tangible, en dehors de la Ka’ba à la Mecque, du tombeau de Mahomet à Médine, et de l'esplanade de Jérusalem, al-haram al-qudsî al-sharîf, le noble espace sacré de Jérusalem (La déclaration de la Mecque et de Taef comme «enceintes sacrées» remonte à la période antéislamique, en même temps que d'autres cités sacralisées et païennes (liées à des divinités locales, sorte de petits «dieux» de seconde zone). Concrètement cela consistait en certains tabous comme l'interdiction de faire la guerre dans ces régions, l'interdiction d'y chasser et d'en arracher des plantes, qui était donc l'usage avant l'islam et du temps d’un certain Mahomet). Le mot harâm que l'on utilise souvent pour traduire en arabe le terme français, sacré, a plusieurs significations, c'est un espace protégé par Dieu ici en l’occurrence Allah et dans lequel seul celui qui y a droit peut s'introduire, ainsi l'espace familial privé dans lequel un non-parent ne peut pénétrer sans l'autorisation du maître des lieux. La bonne musulmane qui sort, voilée, dans la rue transporte autour d'elle cet espace sacré qu'aucun non parent n'a le droit d'ignorer. Donc, le harâm c'est un dedans soi-disant protégé par Allah et dont la frontière ne doit être transgressé. Il vaudrait donc mieux traduire le mot par consacré au sens de rendue digne de respect. Ainsi la mosquée est un espace consacré, mais la mosquée n'abrite pas de lieux ou d'objets sacrés contrairement aux églises catholiques qui abritent le Saint-Sacrement. On pourrait comparer les mosquées à certains temples protestants, aux salles du royaume des témoins de Jéhovah, ce sont de simples lieux où les fidèles se rassemblent pour adorer collectivement leur Dieu.

Pour les musulmans, le sacré, strictement réservé à Allah, n'occupe qu'une place très réduite sur la terre. Aucun homme ne serait en droit de le gérer ; la notion de prêtres se consacrant à Dieu dans son Temple est donc complètement absente et serait tenue comme sacrilège car enfermant Allah dans un espace délimité.

Mas d’où vient alors cette invention stupide d’un «culte musulman» ?

Encore une fois des Français, eh oui, car ce n’est pas d’aujourd’hui que la France a de très graves problèmes avec l’islam !

A l’époque de la colonisation de l’Algérie qui deviendra pleinement Française, confronté à un absurde système dit «religieux», totalement différent de ceux établi en métropole, les agents de l’administration n’allaient pas tarder à le déclarer très justement totalement corrompu, opaque et inadapté à la modernité. Les archives regorgent de projets de réformes qui traduisent un flottement dans la gestion de l’islam entre 1835 et 1851. Contrairement aux rapports des agents de l’administration qui s’auto-félicitent de leur gestion, d’autres documents révèlent une situation sensiblement différente comme le démontre, entre autres, un rapport de 1842.

Ce document dénonce de nombreuses irrégularités dans la gestion de l’islam : la situation y est décrite comme catastrophique. Aucune directive n’a été suivie d’effet depuis 1835. Sur le papier tout à l’air de bien fonctionner car les instructions visent à tout mettre sous contrôle alors que, dans la pratique, il n’existe même pas de simples registres pour consigner les entrées et les sorties d’argent. Il y a manifestement manquement aux obligations de service de la part de certains agents de l’État.

Ce rapport est une dénonciation en règle de l’administration française et de ses dysfonctionnements, voire de la corruption de certains de ses agents. Pourtant, rien ne change et il faut attendre la circulaire du 17 mai 1851 pour réorganiser la gestion de l’islam.

À la fin des années 1840, la nécessité de disposer d’un cadre se fait plus pressante. Le contexte politique favorise ce besoin de clarification. En effet, Abd el-Kader a rendu les armes (1847) et la période des troubles, inhérents à la révolution de 1848, se termine avec l’arrivée du prince président au pouvoir. Le temps du passage de l’islam a un prétendu «culte musulman» semble alors être arrivé. C’est la convergence entre les données du terrain et la situation à Paris qui permet la mise en place du nouveau régime en Algérie avec la circulaire du gouverneur général du 17 mai 1851. Jusque-là, la gestion de l’islam sans clergé et sans culte est soit restée entre les mains des musulmans et a fonctionné «comme au temps des Turcs» ; soit a été confiée à des agents de l’administration française avec des résultats qui n’attestent pas d’une grande efficacité d’après le rapport de 1842 ; soit a relevé de la gestion au cas par cas : c’est la tonalité d’ensemble qui ressort des documents du Centre des Archives d’Outre-Mer. Dans tous les cas, aucun texte n’envisage une gestion uniforme de l’islam avant cette circulaire.

Cette dernière entend fixer un cadre a un «culte musulman» fantasmé : il doit se dérouler dans des établissements dit «religieux» répertoriés comme tels, avec du «personnel afférent à chaque circonscription et à chaque classe d’établissement» subdivisé en personnel supérieur et personnel inférieur. Lieux spécifiques et desservants institutionnels vont former les bases d’un soi-disant culte musulman qui est une pure création du système colonial Français et une pure stupidité.

En effet, nulle part dans le monde arabo-musulman n’existe de classification officielle des mosquées et de desservants nommés par les autorités politiques. En revanche, telle est la situation inaugurée en Algérie. L’analyse des rapports et les correspondances des agents de l’administration attestent de leur désarroi face à un système qu’ils ne comprennent pas, mais dont ils ne cessent de dénoncer la corruption. Le recours à des méthodes administratives françaises est sans cesse mis en avant dans les sources. Elles constituent les seules méthodes connues des administrateurs qui les considèrent comme supérieures à celles des Ottomans (les Turcs). C’est pourquoi une organisation de l’islam dans laquelle les desservants sont nommés, rétribués par l’État, donc sont sous son contrôle, ainsi qu’un classement des mosquées apparaît comme la solution.

Cet aberrant système n’est pas sans rappeler le Concordat imposé à l’Église catholique et dont le principe a, par la suite, été appliqué aux cultes protestants et israélite. Le Concordat signé en 1801 entre le Saint-Siège et la France permet à l’État français le contrôle des nominations du clergé séculier ; en contrepartie, il s’engage à le rémunérer, à entretenir et à édifier les lieux de culte. Cet accord est à replacer dans le contexte de la France postrévolutionnaire qui doit trouver un modus vivendi avec les catholiques en tenant compte de l’héritage révolutionnaire et des contingences politiques. Le résultat est conforme à une certaine conception de l’État moderne qui repose sur l’encadrement de la société dont la religion ne pourrait pas être exclue et sur la nécessité de mettre en place le régime des cultes reconnus dans une situation pluriconfessionnelle. Dans ce contexte, le «culte» est un simple terme de droit administratif qui renvoie à la partie de la religion prise en charge par l’État et non pas à l’ensemble de la religion et nous verrons tout à l’heure que non contant de ne pas avoir de clergé et de temples l’islam n’est même pas une «religion». Pour le catholicisme, le culte catholique ne concerne pas le clergé régulier qui est indépendant de l’État. Le Concordat permet ainsi la prise en charge et le contrôle par l’État de certains aspects du catholicisme participant ainsi au processus de sécularisation, entamé depuis plusieurs siècles, par le mode législatif. Cette mise sous tutelle de certains aspects du catholicisme a été jugée suffisamment concluante pour être étendue aux protestantismes et au judaïsme. C’est en ce sens qu’il est possible de parler de modèle concordataire. Il impose un cadre juridique identique à toutes les religions reconnues par l’État et consiste à «cultualiser» une religion c’est-à-dire mettre sous le contrôle de l’État une partie de ses attributions. Le terme de «culte» est dans ce contexte à entendre dans un sens juridique et administratif qui place certaines pratiques que l’état juge religieuses sous le contrôle de cet État tout en permettant un pluralisme religieux à travers la reconnaissance de plusieurs «cultes».

Telle est, le sens de la circulaire du 17 mai 1851 : elle est un premier pas en direction du modèle concordataire que les fonctionnaires français connaissent.

En effet, le modèle concordataire suppose aussi la mise en place d’interlocuteurs officiels reconnus par l’État comme le nonce apostolique et le haut clergé catholique ainsi que les consistoires protestant et israélite. Rappelons que c’est seulement au XIXe siècle que les protestants comme les juifs français sont amenés par les autorités à s’organiser en consistoire : il n’existait jusqu’alors aucune autorité instituée, donc reconnue par l’État, habilitée à se prononcer pour l’ensemble des juifs et des protestants avant que l’État ne l’impose. Pour l’islam, la situation est presque similaire : le culte musulman est inventé dans la mesure où le personnel desservant qui n’existe pas en Islam et qu’il faut aussi inventer et les édifices du culte qui n’existe pas lui non plus sont financés par l’État, mais sans que soit réglée la question de l’interlocuteur officiel reconnu par l’État et comme l’islam ne possède pas de clergé trouver un «interlocuteur» n’est pas facile !

Pour combler ce vide sidéral, des projets de «consistoire musulman» (sans rire) sont rédigés dans la seconde moitié des années 1860, mais ils ne se concrétisent évidemment pas. Quant à la circulaire de 1851, les archives indiquent qu’elle n’est pas appliquée dans les territoires militaires qui couvrent jusque dans les années 1870 l’essentiel de l’Algérie. Par ailleurs, jusqu’à la loi de Séparation, elle est régulièrement invoquée à propos de l’extension des territoires civils pour ne pas augmenter le nombre de desservants ou encore pour bloquer leurs salaires.

Une organisation du culte musulman, qui ne prévoit pas d’interlocuteurs officiels, voit néanmoins le jour au début des années 1870 : la commission d’administration et de surveillance des mosquées de la ville et du département d’Alger. Il existe une structure similaire pour le département de Constantine ; quant à la gestion du prétendu «culte» dans le département d’Oran, elle est confiée aux ponts et chaussées (toujours sans rire, ce doit être de cette époque que date la fameuse expression : «dans le culte la balayette»).

Un absurde bricolage préside donc aux destinées d’un «culte musulman» nouveau-né.

La commission d’administration et de surveillance des mosquées de la ville et du département d’Alger est constituée par le secrétaire général pour les affaires indigènes et la police générale, président et membre de droit, les deux muftis (Interprètes officiels de la loi musulmane. Jurisconsulte, il rend des sentences, les fatwas. Survivance de l’empire ottoman), également membres de droit et six, puis huit membres «laïcs». Les attributions de la commission, initialement prévue pour être temporaire, ne seront jamais fixées par un texte : l’empirisme préside à son fonctionnement. C’est seulement au fil de procès-verbaux et d’autres documents que l’on parvient à retracer ses prérogatives. Mais, en l’absence de tout texte officiel, il est impossible d’établir avec certitude que ce qu’on l’autorise à faire à un moment donné fasse autorité dans d’autres situations.

La gestion d’un soi-disant «culte» musulman est donc assurée à partir de 1870 par un organisme identifiable dont les attributions sont limitées aux contingences du quotidien : nomination du petit personnel, achat de matériel, entretien des mosquées, distributions d’aumônes etc. Son fonctionnement en fait une courroie de transmission, un organe administratif et non pas une institution autonome : elle gère les aspects pratiques mais ne joue pas le rôle attribué aux consistoires. C’est pourquoi, il est possible d’affirmer que le prétendu «culte musulman» apparaît comme incomplet en comparaison des cultes reconnus en France à partir de 1801. Si l’État contrôle les nominations de certains Imams, rétribue les balayeurs et s’occupe des édifices, il ne s’est pas doté d’interlocuteurs officiels qui ne peuvent pas exister, l’Islam et il faut le répéter, n’ayant pas de clergé. Malgré cela, ce système régit très imparfaitement à l’islam dit officiel en Algérie durant toute la période coloniale. Cependant il connaît quelques adaptations avec le vote de la loi de Séparation des Églises et de l’État qui s’applique aux cinq cultes reconnus en Algérie – catholicisme, judaïsme, luthérianisme, calvinisme et islam – selon un régime dérogatoire.

Le discours colonial est alors devenu unanime pour justifier le maintien sous tutelle des musulmans, quitte à entretenir un étonnant paradoxe. Alors que le discours laïc affirme la nécessité de sortir de l’emprise du religieux en France, il le place et entend le maintenir au cœur des sociétés islamiques. Il contribue ainsi à renforcer un des discours musulmans aux dépens des efforts tentés par d’autres musulmans pour repenser les rapports de l’islam à la société. Cette position était appelée à durer et à commander les politiques en direction des pays musulmans. Plus remarquable encore, elle conditionne les attitudes vis-à-vis des musulmans, quand bien même ils sont devenus français ou ne se considèrent plus comme musulmans.

Néanmoins, dans le même temps, la fiction républicaine doit être maintenue : l’État est supposé appliquer la même loi à tous les cultes (même ceux qui n’existent pas) sur l’ensemble du territoire national. C’est ainsi que le prétendu culte musulman se retrouve, d’après la loi, séparé de l’État sans y avoir été rattaché légalement et certains de ses ministres, à l’instar de ceux des quatre anciens cultes reconnus, perçoivent des indemnités temporaires de fonction. Paradoxalement, c’est une législation venue de métropole, destinée à ne plus reconnaître ni subventionner aucun culte, qui organise officiellement le fameux «culte musulman» et lui donne le cadre légal qu’il n’avait pas jusque-là. En effet, jusqu’au décret du 27 septembre 1907, aucun texte officiel n’a donné corps au «culte» musulman, même si l’administration coloniale l’a créé et l’a géré.

Comme en France métropolitaine, les cultes reconnus avant la loi de Séparation de 1905 ont la possibilité de se constituer en association cultuelle dont la finalité est d’organiser le culte dans le nouveau cadre. Il revient notamment aux associations cultuelles de dresser les inventaires avant le transfert des édifices du culte du Domaine à l’association. Par ailleurs, en Algérie, il est prévu que les associations cultuelles ont l’obligation de désigner aux agents de l’administration les desservants qui doivent percevoir les indemnités temporaires. Ces indemnités représentent un outil pour continuer à contrôler les cultes. Les associations cultuelles prévues par la loi et le décret complètent ainsi le dispositif de surveillance de l’islam par l’État.

C’est sous l’égide des muftis, qui ne sont en aucun cas des «religieux», mais les juristes des écoles islamiques sunnites de droit musulman et de jurisprudence malékite et hanéfite que s’organise à Alger la première association soi-disant cultuelle. Son noyau fondateur est pris parmi les personnalités proches des autorités Françaises comme Ali Chérif ben Sidi Mohamed Zohar, Mohamed Ben Siam, Mustapha oulid La Rahal, Brahim oulid Saïd, les deux muftis malékite et hanéfite, les imams des mosquées et les professeurs qui y sont attachés, se chargent d’organiser l’association cultuelle.

L’association cultuelle musulmane continue donc à gérer le «culte» sans pour autant – comme par le passé la commission d’administration et de surveillance des mosquées – contrôler l’argent. De ce fait, le statut du «culte musulman», dans le cadre de la loi de Séparation, s’apparente à celui d’un mineur sous tutelle. Si, selon les textes de loi, la cultuelle musulmane dispose d’une grande marge de manœuvre, dans les faits elle est soumise à un double contrôle. D’une part, elle ne dispose pas de l’argent et n’a pas le droit d’en collecter ; d’autre part, et c’est là que réside, selon moi, la clé de l’explication, elle accepte le principe de la soumission du religieux au pouvoir politique, quand bien même ce dernier n’est pas musulman. En effet, ses membres sont en grande partie issus de la commission d’administration et de surveillance des mosquées dont les positions traduisent l’acceptation du nouvel ordre imposé par la France. Ils donnent à leur position des justifications théologico-juridiques exposées dans de nombreux documents disponibles aux archives. Elles s’inscrivent dans un des courants du fiqh, celui qui prône la soumission au pouvoir politique dans des conditions précises.

In fine, la loi de Séparation a donné un cadre légal dans lequel le prétendu culte musulman est censé s’organiser, même si, dans les faits rien ne change. De la sorte, l’idiote logique républicaine continue à s’opérer sur le papier : le «culte» musulman et les musulmans d’Algérie se sont vus appliquer la même loi que les autres cultes même s’ils ont bénéficié d’un statut dérogatoire dont on ne cesse de rappeler qu’il ne dénature en rien la loi.

Il en résulte deux attitudes opposées parmi les musulmans. Beaucoup acceptent de s’inscrire dans le cadre de la colonisation comme le prouve une lettre adressée au gouverneur général, le 25 septembre 1923, par des notables indigènes lèches bottes : «Nous serons gré à Monsieur le Gouverneur Général de bien vouloir nommer à son gré les membres qui lui plaisent, c’est-à-dire sans vote de la Cultuelle, comme ce qui se passe à Constantine, tous les membres sont nommés par la Préfecture, indépendamment de la Société Cultuelle».

Mais d’autres musulmans envisagent de se servir de la loi du 9 décembre 1905 pour rendre la Séparation effective et rompre avec la dépendance à l’égard de l’État colonial. Toutefois, le régime de «Séparation à l’algérienne» se maintient durant toute la période coloniale, et même au-delà.

Aujourd’hui en Algérie, c’est le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs (Le Wakf est, dans le droit islamique, une donation faite à perpétuité par un particulier à une œuvre d'utilité publique, pieuse ou charitable, ou à un ou plusieurs individus) qui gère tout ce qui est relié à ce qu’il appelle la religion (calendrier musulman, les horaires de prières, les jours de fête mahométanes, l'annonce du ramadan, le pèlerinage à La Mecque, l'entretien des mosquées). Le Haut conseil islamique s'occupe des affaires religieuses dans le pays et il est formé d'un président et de membres. Son rôle est dicté par la constitution algérienne.

La constitution garantit à tous les citoyens une liberté du culte, et l'État en assure la protection. Les imams, les prêtres et les rabbins dépendent du ministère des Cultes et sont rémunérés par l’État. Le gouvernement contribue au financement des mosquées, des imams et de l'étude de l'islam dans les établissements scolaires. L’enseignement de la charia (les lois de l’Islam) est devenu depuis septembre 2005 obligatoire dans toutes les filières du secondaire. En outre, le gouvernement a intensifié le contrôle de l'enseignement religieux scolaire, des prêches dans les établissements religieux et l'interdiction de la distribution d'ouvrages religieux faisant la promotion de la violence.

En France monsieur J.-P. Chevènement a exprimé le vœu pieu  qu’il convient que l’islam puisse «prendre place à la table de la République», à l’égal des autres cultes. Il importe, bien sûr, que les responsables musulmans, de leur côté, s’engagent à respecter les lois de la République ; c’est ce que certains ont fait, en prenant part à la Consultation du prétendu «culte musulman». Et allez youp la boum, c’est reparti pour un tour avec le fameux «culte» musulman ! Pour qu’il il est un «culte» il faudrait que l’Islam ai d’abord des lieux de «culte», vous allez me dire oui d’accord, mais quid alors des Mosquées ?

Le masjid (la mosquée; pluriel: masajid) représente un des symboles les plus évidents et les plus marquant de la présence musulmane et on peut le trouver dans presque toutes les régions du monde. Ce n’est qu’un simple «lieu de prosternation», sens littéral de masjid, espace institutionnel formellement établi pour l'exécution collective de la prière et pour satisfaire les besoins sociaux de la Ummah naissante (la communauté).

La plupart des historiens sérieux conviennent qu'à l’aube de l'Islam (c'est-à-dire dans la Mecque du 7ème siècle) la communauté musulmane à l’origine n'avait aucun lieu spécifique ou particulier pour la prière et les arrangements pour les prières en congrégation étaient informels.

Selon un célèbre dire (hadith) du prétendu Prophète, «le monde entier est un masjid» (ce qui est très juste). Ce n’est qu’après le hijra (l’hégire) à Médine, qu’un espace spécifique émergea et évolua, pour permettre aux musulmans d’effectuer ensemble les prières en congrégation et surtout de gérer les affaires de l'Etat.                                                                Alors ? L’Islam ce n’est, pas de clergé, pas de lieux de «culte», pas de liturgie et de plus avec ce qui va suivre, pas plus de «prophète» que de petit Jésus soviétique !

En effet monsieur Jean-Jacques Walter docteur d’État en islamologie affirmera : «L'Islam n'est pas une religion dans le monde occidental». De plus le résultat de ses recherches affirme que : le Coran a été écrit par une cinquantaine d’auteurs sur une période de 200 ans. Alors, pas un prophète mais cinquante ! Comment s’y retrouver ?

Il affirme aussi que le Coran déclare que : «l’ensemble de l’islam c’est une religion, une société, un Etat, les trois à la fois». Et de conclure : «l’islam n’est pas une religion dans le sens occidental. C’est un mixte de religion et d’idéologie, avec 90% d’idéologie. Et cette idéologie est ultra violente».

Sa thèse dérange car il casse une croyance. «Ils (les musulmans) disent que ça a été fait (le Coran) uniquement par Mahomet et qu’il était le seul inspiré. Alors dire qu’il y a 50 inspirés, c’est gênant», indique Jean-Jacques Walter.

Et il rappelle : «Pour les musulmans, le projet de répandre l’islam par la force reste toujours l’objectif à atteindre. Il ne s’agit nullement d’une déformation de l’islam par les extrémistes» CQFD.

Le mot «religion» lui-même n’existe pas en arabe. Il existe bien le mot «Din» sans équivalent en Français qui pourrait désigner la nature de l'Islam non comme une religion, mais plus comme un système tout à la fois politique, plus ou moins religieux, militaire, économique, social, juridique, tout autant qu'un mode de vie tourné vers la soumission de l'individu à une divinité. Dans le Coran l'islam est souvent appelé la «croyance» d'Abraham (arabe : milla ibrāhīm, croyance d'Abraham) et pas la religion d’Abraham, le mot utilisé est milla et non dîn (Le Coran, «La Vache», II, 130 et sept autres fois).

Mustafa Kemal Atatürk, Ali Rıza oğlu Mustafa selon l'état civil, fondateur et premier président de la République turque qui disait lui: «Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux Sheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies».

En résumé, l’islam n’est pas une religion c’est un fléau !