dimanche 27 mars 2011

Lettre d’un « Souchien » à une Socialiste.




Je souhaite attirer votre attention sur ces propos surréalistes de Sandrine Mazetier, une obscure députée socialiste du 12e arrondissement de Paris, tenus en milieu de semaine : 

  « Pour devenir Français, faut souffrir un petit peu… Hein, donc faut passer des examens, écrire une lettre manuscrite, voilà… (…) Mais pourquoi faudrait souffrir absolument pour devenir Français quand on n’est pas né Français ? Pourquoi, même quand on naît Français et qu’on a oublié de le demander à 16 ans, faudrait écrire une lettre manuscrite (…) ? Mais pourquoi certains Français devraient-ils souffrir, devraient-il faire plus d’efforts, devraient-ils le mériter davantage que d’autres qui le sont tout simplement parce qu’ils sont nés de parents Français en France et disposant effectivement patrimonialement de leur nationalité ? »

 
Je vous invite à demander à Sandrine Mazetier d'arrêter de se moquer de la France et des Français... en deux clics



Cette grande « démocrate » commence son engagement politique nauséabond en 1986 comme sympathisante de l’infect Parti socialiste, elle y adhère en 1988 pour la campagne présidentielle du décoré de la Francisque du Maréchal Pétain François Mitterrand. Son premier « engagement » socialiste et « démocratique » est la « lutte » contre le Front National et ses possibles alliances avec la droite. Elle milite dès sa création au Manifeste contre le Front national. Qu’elle belle leçon de démocratie !

 En 2007 elle est de nouveau candidate aux élections législatives dans la 8e circonscription de Paris, investie par le Parti socialiste et soutenue par le MRC et le PRG. Face à elle l'UMP présente Arno Klarsfeld un ami proche du président Sarkozy.
Des gauchistes proches de la candidate comme Bertrand Delanoë et Dominique Strauss-Kahn viennent la soutenir pendant la campagne, tout comme Ségolène Royal. Elle bat malheureusement Arno Klarsfeld avec 55,85% des suffrages exprimés. La 8e circonscription de Paris bascule à gauche pour la première fois depuis 1958.

Sandrine Mazetier est considérée comme politiquement proche de Dominique Strauss-Kahn et de Martine Aubry.


Son site : http://www.sandrinemazetier.fr/
Vu sur son site : ICI

Dans une interview réalisée mardi dernier, salle des pas perdus au Palais Bourbon, peu après le débat sur l’opération en Libye, M. Vanneste évoquant « l’attachement à la France, le patriotisme », a déclaré: « Si vous parlez de l’attachement à la France, du patriotisme, la plupart des électeurs du FN sont plus proches des électeurs de l’UMP que de ceux du PS. Vous savez, quand vous entendez des gens comme Sandrine Mazetier, vous croyez vous rappeler la notion du parti de l’étranger ».

« Je ne laisserai pas, les socialistes ne laisseront pas passer ce type de propos », a déclaré à la presse Mme Mazetier qui a annoncé son intention de porter plainte.


 Il y a toujours eu dans notre pays un "parti de l’étranger", qui réserve ses admirations à quelque grande puissance extérieure parée de toutes les vertus. Ce fut jadis la tribu des Eduens, grande amie des Romains et de Jules César, qui ne se rallia à Vercingétorix que dans le but de saboter sa guerre de résistance, et qui y parvint. Ce furent plus tard les Bourguignons, qui s’allièrent aux Anglais contre Jeanne d’Arc et le Roi de France. (Comme par hasard, la Bourgogne coïncide approximativement à l’ancien territoire des Eduens.) Plus près de nous, il y eut les fidèles (à 98% des socialos communistes) du Maréchal de France Philippe Pétain, qui collaborèrent avec l’occupant Socialiste National. Au même moment un "parti de l’étranger" était composé des communistes inféodés à Moscou, qui n’entrèrent dans la Résistance qu'en 1941 après la rupture du pacte germano-soviétique et sur ordre de Staline. Après la guerre, ces mêmes communistes et autres socialistes ne cessèrent de soutenir aveuglément l’impérialisme et les crimes contre l’humanité de l’URSS.

Plus tard, en décembre 1978, Jacques Chirac,le président du "Bruit et des odeurs" lance par communiqué ce qui restera sous le nom d'«appel de Cochin». En préparation des élections européennes de 1979, il dénonce le «parti de l'étranger», visant sans le nommer le président de la République Valéry Giscard d'Estaing. «Comme toujours quand il s'agit de l'abaissement de la France, le parti de l'étranger est à l'oeuvre avec sa voix paisible et rassurante. Français, ne l'écoutez pas. C'est l'engourdissement qui précède la paix de la mort».

Oui, les partis de gauche en France du NPA au PS en passant par les « verts » et le PCF  sont des partis de l’étranger !

Les socialistes qui votèrent les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain ont été, restent et seront toujours le parti de l’étranger, des ennemis de la France !

Je me demande même s’ils ne sont pas responsables d’une certaine défaveur subie par le mot "patriote" dans la France moderne, défaveur illustrant assez bien ce constat de, Friedrich Nietzsche, qui disait excellemment : "Ce qui vous retient parfois de dire la vérité, c’est qu’elle ressemble trop au mensonge des autres." Oui, je crois que si beaucoup de Français hésitent à se dire patriotes, alors qu’ils le sont réellement, c’est que le pseudo patriotisme déclamatoire et fallacieux des socialistes et autres marxistes partisans de l’étranger les en dégoûtent.

L'article puant des islamos marxistes du Post.fr

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