lundi 29 juillet 2013

Aline Parmentier fâchée avec l’histoire ?






Lieber Herrgot, mach' mich taub
Dass ich alle Lügen glaub'!



Madame Parmentier l‘inénarrable secrétaire Départementale du Parti Communiste d’Alsace membre du Bureau national du dit Parti de la haine rouge vient de prononcer un discours :Des citoyens Allemands guillotinés en Allemagne par un tribunal du "Peuple". Je rappelle ici que cette dame est toujours prévenue d’incitation à la haine raciale antisémite (Jugement en cours d’appel à Colmar en Octobre prochain).

Ce discours était proféré en commémoration du 70ème « anniversaire » des socialistes internationalistes dit « guillotinés » de Stuttgart en Allemagne socialiste nationale.
J’y relève nombre des contres vérités consubstantielles à l’idéologie marxiste nauséabonde d’ultra gauche communiste qui anime cette charmante dame.

Le 29 juin 2013 sur la tombe de Marcel Stoessel  au cimetière de Mulhouse-Dornach madame Parmentier vient nous parler de ce communiste de Mulhouse bien sur et de trois de ses « camarades » Edouard Schwartz de Lutterbach,  René  Stern ou Kern de Niedermorschwihr et  Alphonse  Kunz de Mulhouse, tous syndicalistes et communistes de nationalité allemande qui nous sont présenté comme des « résistants » de la première heure.



Dés 1939 les communistes Alsaciens comme les communistes Français étaient, du fait de la signature du pacte germano soviétique ou pacte  Hitler Staline, d’ardents collaborateurs de l’Allemagne nazie. L'Alsace qui sera annexée de facto au troisième Reich le 27 novembre 1940 intégrera l’Alsace, ceci fera que les trois communistes seront devenu des citoyens allemands, toujours autant collaborateurs des nazis. 

En France Albert Sarraut, ministre de l’Intérieur, (et pas du Maréchal) s’écriait  en séance du Sénat, le 19 mars 1940 :
“La propagande communiste et hitlérienne - elles ne font qu’une - la propagande ennemie. J’ai eu l’occasion de m’en expliquer devant votre commission de législation criminelle et civile. Le chef de cette propagande est le chancelier Hitler, dont le bolchevik est le “lieutenant” s’il était besoin de faire la preuve de cette affirmation, il suffirait d’indiquer avec le fait que ce sont les avions allemands qui éparpillent les tracts communistes, cet autre fait que les postes de radio et de propagande communiste, “La Voix de la Paix”, “Radio Humanité” qui sont répétées, lancent leurs émissions du territoire allemand.” (Journal Officiel du 20 mars 1940, page 266).


Tract 1939 PCF.
L’organe de la haine rouge l’Humanité du 13 juillet 1940 publiera un article intéressant sous le titre « Fraternité franco-allemande » : « Les conversations amicales entre travailleurs parisiens et soldats allemands se multiplient. Apprenons à nous connaître. Et quand on dit aux soldats allemands que les communistes ont été jetés en prison pour avoir défendu la paix, quand on leur dit qu’en 1923 les communistes se dressaient contre l’occupation de la Ruhr, on travaille pour la fraternité franco-allemande ».
Tract collaborationniste communiste 1940
Début 1941, les communistes tentent de remettre sur pied en Alsace le parti communiste avec la bénédiction des alliés nazis de l’URSS « L'Humanité » écrit en allemand reparaît et est répandu surtout parmi les mineurs des environs de Mulhouse et de Rouffach. Il eut 18 numéros.
Le 22 juin 1941 le pacte germano soviétique est rompu, nos citoyens allemands Marcel Stoessel, Edouard Schwartz, René  Stern et  Alphonse  Kunz deviennent alors des ennemis déclarés de l’Allemagne Socialiste Nationale
L'acte d'accusation des communistes précisait qu’ils avaient, en temps de guerre, favorisé l'ennemi du Reich en l’occurrence les communistes staliniens, en se rendant coupables de haute trahison contre leur pays et en faisant de l'agitation communiste. Il n’est pas question ici de « résistance » !

Le 29 juin 1943,  Marcel Stoessel, René Kern, Alphonse Kuntz et Édouard Schwartz, furent donc exécutés après leur condamnation par un tribunal du peuple (sic). Seul Marcel Stoessel put être enterré à Dornach. Personne ne savait ce qu’il était advenu des autres corps. C’est le VVN qui bien plus tard a indiqué qu’ils avaient été transférés à la faculté de médecine de Heidelberg, où ils ont servit de sujet d’expérience, pour l’anatomie. Ils furent ensuite enterrés dans une fosse commune au cimetière de montagne de Heidelberg ou un mausolée leur rend hommage.



PCF la Haine!
Madame Parmentier prévenue d’incitation à la haine raciale antisémite (Jugement à Colmar Octobre 2013),vient ensuite nous faire le panégyrique de Clément Méric, nouveau martyr de la gauche française, mort en essayant d’attaquer un homme par derrière, à trois contre un. Quel courage !

Clément Méric était un pauvre gamin décédé par ce que quelques idéologues gauchistes, communistes aux idées nauséabondes et criminelles qui ont fait plusieurs dizaines de millions de morts sur la terre ; du genre qui demande à ce que les militants soit formés suivant l’idéologie marxiste (Suivez mon regard !) avaient réussi à le lobotomiser.
Clément Méric était embrigadé depuis quelques temps par les Antifas, des groupuscules haineux dont le seul objectif, comme son nom l’indique, est la traque et la destruction des fantasmés « fascistes » (mot qui n’a plus de sens depuis la chute de l’instituteur de gauche, le socialiste italien Benito Mussolini et que chaque camp attribue à l’adversaire). En gros, les Antifas sont des Don Quichotte qui ont remplacé leurs moulins à vents par quelques malheureux nationalistes tout aussi manipulés qu’eux (mais qui au moins croient se battre pour leur pays et non pas contre une idéologie chimérique et mortifère). Voir ici un article intéressant . A la lecture du dit, vous verrez que comble de la destruction de toute valeur et de la victoire de la société de consommation marxiste culturelle, nos « rebelles » de droite comme de gauche sont en fait des petits parisiens branchés qui n’aiment que la mode, les jolies fringues et leurs coupes de cheveux.


PCF? La haine!
Accident déplorable certes, d’autant qu’Esteban Morillo fils d’immigrés espagnols n’était mis en examen que pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans l'intention de la donner ».
Mais pourquoi alors le Front de Gauche et sa représentante émérite madame Parmentier instrumentent ils ce cas dramatique et tentent de faire de ce pauvre gamin un martyr ?
Tout simplement, les dirigeants socialistes, communistes et autres marxistes culturels étaient trop heureux de pouvoir encore faire diversion et diviser un peu plus la France, de pouvoir faire croire à quelques gogos que la « menace brune » (oui oui, de vrais éditorialistes et pas des « guignols » marxistes ont vraiment repris cette expression) était encore présente, afin de remobiliser les quelques gauchus abrutiles qui existent encore dans notre pays.
Autrement dit, François Flamby, Jean Marc Paladin et madame Gâchis Parmentier ont instrumentalisé un banal fait divers (ce qu’ils reprochaient tellement à Sarkozy) à des fins politiques. Sur le dos d’un enfant, c’est répugnant, surtout quand on imagine le nombre de petits bourgeois fils de profs qui vont vouloir imiter Méric…

Affiche communiste antisémite!
Mais en plus, car avec les cocos il y a toujours ce petit plus bien distinctif, bien gras, bien salace, bien haineux, les antifasollasido et par conséquent le malheureux Méric partageaient avec nombres de militants du PCF et du MRAP une haine bien particulière, l’antisémitisme ! Maurice Winnykamen militant du MRAP dans « Grandeur et misère de l’antiracisme : Le MRAP est-il dépassé ? » (Page 203) Aux Editions Tribord nous affirme que le délicat mouvement « antiraciste » annexe du PCF : « distille de la haine des juifs en général » !


Les groupuscules de petit gauchus abrutiles dans le cadre de la campagne antisémite immonde dite BDS distille de la même haine des juifs. Voir ici un article probant.

Et puis bon, madame Parmentier secrétaire départementale du PCF est toujours prévenue d’incitation à la haine raciale antisémite (Jugement à Colmar Octobre 2013) dans le cadre d’actes et de propos en rapport direct avec la campagne BDS, qualifiés de provocation publique à la discrimination, à la haine ou à la violence nationale, raciale ! Et c’est loin d’être un « cas isolé », plus de 80 gauchistes, communistes, du PCF de sa filiale l’AFPS, du NPA, d’EELV,du PIR, dont de nombreuses déjà condamnées pour leurs actes et propos antisémites sévissent en France. Pas étonnant le  Front Fion de Gauche et leurs groupes armés les antifas, c’est le refuge des junkies de la haine rouge, des alcooliques, des fumeurs de pétards, des sniffeurs de coke, des avorteuses, des sidaïques, des pédophiles, des branleurs, des homosexuels, des zoophiles, des violeurs, des djihadistes, des polygames, des nudistes, des fisteurs, des paumés de la vie, des punks à chiens, des antichrétiens, des suceurs de babouches, des pyromanes, des pollueurs, des illettrés, des analphabètes, des cassos et des psychopathes.



Communisme = nazisme
A propos de jeunes Alsaciens qu’elle ne fut pas ma surprise de lire l’année dernière sur Mediapart (encore un site de gauche !) une tribune de Christian Delarue, un bon marxiste membre du Bureau exécutif et du Conseil d’administration du Mrap, à propos d’un jeune Alsacien qui avait osé brûler le Saint Coran et uriner dessus, et qui a diffusé la vidéo de son immonde blasphème sur internet.

Le marxiste Christian Delarue avait dit : « La montée du racisme en Alsace mérite d’être combattue fermement mais sans y mêler un pseudo délit de blasphème qui n’existe pas – Dieu soit loué – en France ! Un homme a incendié le Coran, et a uriné dessus. C’est un fait divers. Ce n’est qu’un blasphème qui désacralise ce livre. Rien de plus mais c’est quand même un acte qui a du sens. »


Voilà donc que non content de distiller de la haine des juifs, le Mrap annexe du PCF, exprime le fait par la bouche d’un des membre du Bureau exécutif et du Conseil d’administration du Mrap, que le sacrilège commis contre le Saint Coran n’aurait aucun rapport avec le racisme et l’appel à la haine et à la violence. Il contredit ainsi totalement le communiqué du Mrap qui évoquait à l’époque cette  affaire, et où les mrapistofurieux demandaient une sanction contre l’auteur de ce méfait : « Les alertes solennelles n’ont pas empêché octobre de s’entacher de nouvelles manifestations de haine, telle une vidéo, publiée sur internet, mettant en scène la destruction volontaire par le feu d’un Coran, devant une caméra. Les coupables de la plupart de ces actes odieux n’ayant pu être identifiés à ce jour, il est du devoir de la police et de la justice de les débusquer et de les faire sanctionner. »

Christian Delarue ajoutait même sans aucune gêne : « Si les femmes pouvaient pisser aussi aisément que les hommes je dirais pissons allègrement sur tous les livres sacrés : Coran, Bible, Thora, etc… Il faut ajouter que certains passages du Coran appellent ouvertement à la haine et à la violence contre les athées, les homosexuels, les juifs et les femmes. ». Ces propos de l’islamophobe Christian Delarue du Mrap annexe du PCF n’ont rien à envier à ceux qui ont été reprochés à Louis Chagnon et à Rober Redeker si ce n’est à madame Lepen. Ils font clairement écho au film « Fitna » de l’hollandais Geert Wilders.


Ceci étant dit, revenons à nos moutons (de l’aïd).
L’axolotl de la menuaille (Va avoir du mal avec son dico Dédé) Aline Parmentier va conclure sa philippique antipatriotique d’empomeuse marxiste culturelle par une référence à un autre martyr et victime du communisme le jeune Guy Moquet.
Guy Môquet, comme son père, était sans aucun doute un militant communiste loyal, sincère et convaincu. Il y en avait, il y en a, et il y en aura toujours. Pauvre gens ! Des bandes d’énergumènes asthéniques au comportement exalté et inquiétant ou des  pétoncles végétatifs sans culture, des boutes feu de la haine rouge, des abrutiles prenant pour argent comptant la propagande immonde marxiste !
Mais la véritable histoire de ce malheureux adolescent, qui ne fut jamais un résistant mais un collabo et tombé à dix-sept ans sous les balles allemandes, est beaucoup plus tragique que la légende imposée aujourd’hui comme doctrine officielle, avec lectures obligatoires, par les pouilleux thuriféraires marxistes culturels.
L’exécution de Guy Môquet en effet – qu’on le veuille ou non – n’est pas la conséquence de ses prétendues actions de résistance à l’Occupant. Elle est le prix suprême dont il a dû payer sa propre ferveur militante, au sein d’un Parti communiste sans aucune conviction patriotique ni aucun sens des valeurs nationales : un Parti qui a objectivement soutenu l’offensive allemande avant de se retourner contre elle… au lendemain de la rupture du Pacte germano-soviétique en fin 1941.

Tract communiste distribué par Guy Moquet

Tel sont les faits, abondamment confirmés par tous les historiens non communistes de la Seconde guerre mondiale, dans la chronologie implacable de leur terrible vérité :
23 août 1939 : Pacte de non-agression entre l’Allemagne nazie et l’URSS. Hitler a les mains libres pour envahir l’Europe centrale, puis occidentale. En échange du partage militaire de la Pologne entre l’Allemagne et l’Union Soviétique, Staline consentira aussi au Reich des livraisons massives de blé, de pétrole et de matières premières.

Fin août 1939 : La Section Française de l'Internationale communiste qui deviendra plus tard le Parti Communiste Français (PCF) choisit officiellement la voie du « pacifisme » et de la propagande contre la « guerre impérialiste » de la France et de l’Angleterre pour emboîter le pas à l’alliance décrétée par Staline, sans entrer dans une position trop ouvertement collaborationniste avec les Allemands.

26 septembre 1939 : dissolution de le SFIC qui n’était pas encore le PC-F, soupçonné à juste titre « d’intelligences avec l’ennemi », par le gouvernement socialiste Daladier. Le quotidien L’Humanité est interdit de parution. De nombreux responsables et militants communistes, traqués par la police française, partent en « cavale ». 

Octobre 1939 : arrestation de Prosper Môquet (le père de Guy), syndicaliste cheminot et député communiste du XVIIe arrondissement de Paris, qui sera condamné en avril 1940 à cinq ans de prison.
8 novembre 1939 : Maurice Thorez, secrétaire général du PCF, déserte, il a quitté nuitamment sa garnison d’Arras et s’installe à Moscou. Il sera condamné comme déserteur le 28 novembre 1939 par le tribunal militaire d’Amiens.

Avril-mai 1940 : condamnation de militants communistes pour faits de sabotage dans les usines d’armement, juste avant l’invasion de la Belgique et de la France par l’armée allemande.

13 octobre 1940 : arrestation de Guy Môquet, gare de l’Est à Paris, par la police française du gouvernement de Vichy. Il a alors seize ans, et milite au sein des jeunesses communistes en distribuant des tracts collaborationnistes conformes à la ligne officielle du Parti, dictée par Moscou.
22 juin 1941 : rupture du Pacte germano-soviétique. Hitler envahit l’URSS. Staline rejoint le camp des Alliés. Les communistes français entrent alors – et alors seulement – en résistance contre l’Occupant nazi. Ils s’y montrent d’autant plus efficaces qu’ils ont déjà près de deux ans d’expérience – au service de la cause « pacifiste » ordonnée par Staline – en matière de clandestinité.

20 octobre 1941 : assassinat de Karl Hotz, commandant des troupes d’occupation de la Loire inférieure, par trois militants communistes. En représailles, l’Occupant décide de fusiller 50 otages.
22 octobre 1941, conclusion logique de tous les faits précédents : Guy Môquet est fusillé avec tous les autres internés communistes du camp de Châteaubriant, à l’âge de dix-sept ans. Parallèlement, vingt-et-une autres personnes sont fusillées à Nantes et à Paris.

Guy Môquet a donc eu le malheur d’être arrêté par la police française en octobre 40, huit mois avant la rupture du Pacte germano-soviétique, quand nos jeunes militants communistes servaient les plans de Staline en distribuant des tracts « pacifistes », objectivement pro allemands dans une France occupée, tandis que les moins jeunes avaient déjà déserté l’Armée française ou saboté ses chars et ses avions…! 

Son histoire est celle des milliers de jeunes que le Parti Communiste français a trompé pendant près de deux ans, d’août 1939 à juin 1941 inclus, en détournant leur ferveur patriotique au service d’une obscure alliance entre Hitler et Staline, les deux plus grands monstres totalitaires que le XXe siècle ait compté.

Elle est celle de ces jeunes que le Parti Communiste français a sacrifié alors sur l’autel de la « révolution mondiale » et de son inféodation aux thèses immondes marxistes propagées par madame Parmentier et auxquelles croyait le jeune Moquet et aujourd’hui une nouvelle victime de cette idéologie nauséabonde et criminelle le jeune Méric.
Elle est celle de ces petits et gros mensonges mille fois répétés, récités, imprimés, romancés, cinématographiés et télédiffusés, comme celui du site du PCF 68 du Fion de Gauche qui permettent de naviguer toujours dans l’émotif, le subjectif, le « politiquement correct » et l’image d’Epinal, pour éviter d’avoir à se casser la tête sur les vraies leçons de choses historiques, la complexité des motivations humaines et l’obstacle des réalités. 

Il reste qu’une grande injustice est faite aujourd’hui à la mémoire de Guy Môquet, tombé à dix-sept ans sous les mensonges et les manipulations criminelles du Parti Communiste français, seul véritable assassin de sa jeunesse, de sa générosité et de son idéal. Fusiller la vérité de l’histoire d’un homme, et plus encore de celle de sa mort, c’est l’assassiner deux fois.

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