jeudi 19 septembre 2013

Mon pote le gitan ?


Anthony Asli délinquant multirécidiviste qui avait été condamné à quatorze reprises par des tribunaux pour mineurs et par un tribunal correctionnel pour des affaires de vols de scooter et de voiture, supportait mal aux dires de ses proches d’être devenu « le Gitan » une racaille très défavorablement connu de la police, qui demandait régulièrement à sa famille s'il était revenu en ville


Asli «  le gitan » inadapté à la vie sociale a grandi dans la ville de Carros le neuf, 11 700 habitants, cité dortoir et populaire construite à la fin des années 1970 au pied d’un vieux village et ou se sont trouvé logé outres des ouvriers déplacés de la région parisienne pour travailler sur la zone industrielle crée au bord du Var, toute une population de « cas sociaux », d’immigrés et de « gens du voyage » que l’on a tenté de sédentariser.
Asli l’asocial avait toutefois vu un peu de pays aux frais du contribuable : Vence à 10 Kms de Carros, où il avait été placé dans un institut de rééducation ( ancienne maison de correction) à 12 ans en milieu de sixième, après une très violente bagarre ; Antibes, où il a un temps été apprenti en horticulture ; Val des Préss (Hautes-Alpes), dont il s'est facilement échappé après deux mois dans un second centre de rééducation ; Grasse, où il a séjourné deux fois en maison d'arrêt pour mineurs ; et Tarascon (Bouches-du-Rhône), où il a passé sa dernière peine « deux ans et demi » en centre de détention dans une vraie prison pour adulte. Encore une fois le vrai coupable dans cette affaire, c’est le juge qui a remis en circuit un asocial irrécupérable, un danger pour la société. A qui les médias et la justice veulent ils faire croire qu’aujourd’hui on est condamné à deux ans et demi de prison ferme pour un vol de scooter ?
Le jeune truand Anthony Asli a été tué accidentellement, mercredi 11 septembre, dans le centre-ville de Nice, d'une balle tirée par le bijoutier Stephan Turk, 67 ans, alors qu'il prenait la fuite en 2 roues, derrière un complice après son attaque à main armée. Il venait de menacer d'une arme, battre avec une extrême violence une personne âgée et dévaliser l’honnête commerçant.
D’après ces proches, Asli « le gitan », aurait été « incapable d'imaginer » qu'un bijoutier pourrait un jour, se servir de son arme contre lui. Ben tien, violent, voleur et con, la totale, il est des morts qu’on ne regrette pas

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