jeudi 21 novembre 2013

Révélations sur Abdelhakim Dekhar.



Abdelhakim Dekhar « l’Antifa » du Front de gauche. Une fois de plus après Méric, les mots de Mélenchon et de ces amis marxistes culturels du NPA d’EELV de l’AFPS et du PIR tuent.


Abdelhakim Dekhar un Antifa.



C’est confirmé par les analyses ADN, Abdelhakim Dekhar (Un nom bien de chez nous) est bien le tireur soi disant « fou ». Après soixante-douze heures de traque par toutes les polices de France, les policiers du Quai des Orfèvres mettaient un terme définitif à la cavale du tireur soi disant « fou » qui avait plongé Paris dans la psychose en déclenchant lundi deux fusillades dont une a blessé très grièvement un assistant photographe de Libération, suivies d'une prise d'otage.  D’origine Algérienne Dekhar 52 ans est un « antifa » ancien membre de la Section Carrément Anti-Le Pen (SCALP) appelée aussi No Pasaran, réseau antifasciste ( ?) et libertaire, positionné à l'extrême gauche et issu de la mouvance autonome.


Dans les années 90 les éléments du SCALP Paris qui animaient en parallèle la revue REFLEX Cliquez ici. Et ICI. (Pour la plupart d'anciens étudiants qui s'étaient connus à la faculté de Nanterre) donnaient vie au SCALP, en utilisant le sigle et son aura pour essayer d'attirer des « jeunes » intéressés.

C’est ainsi qu’en mai 1994, Audry Maupin, étudiant en « philosophie » à Nanterre membre du SCALP, recrute le « jeune » Abdelhakim Dekhar, surnommé Toumi. Quelques mois plus tard, Toumi / Dekhar propose à Maupin d'attaquer la préfourrière de Pantin (Seine-Saint-Denis) afin de voler les armes qui s'y trouvent dans l'optique de dévaliser plus tard des banques. C’est ce qu’ils nommaient la réappropriation pour désigner une modalité de « lutte » d'action directe qui se traduisait par la reprise par les salariés eux-mêmes des biens qu'ils avaient eux-mêmes produits, en l’occurrence l’argent des banques (et dont ils s'estiment dans ce cas les détenteurs légitimes).
C’est ainsi que débuta l’affaire Rey-Maupin une sale affaire comme celle des terroristes d’extrême gauche des brigades rouges ou de l’affaire des assassins communistes Battisti Voir ici: Cesare Battisti, Petrella Voir ICI: Marina Petrella. Ou Action directe.
Abdelhakim Dekhar dit Toumi était bien le troisième homme de l'affaire Rey-Maupin, une affaire de terrorisme marxiste, fusillade au cours de laquelle cinq personnes dont trois policiers ont été sauvagement massacrés en 1994, condamné à quatre ans de prison pour «association de malfaiteurs».Il sera libéré immédiatement après le procès, en octobre 1998, alors qu'il était âgé de 33 ans.
Lors du procès au cours duquel Florence Rey (Maupin était mort dans l fusillade) a été condamnée à 20 ans de réclusion (elle a été libérée en 2009 après 15 ans de détention « exemplaire»), Abdelhakim Dekhar avait vainement tenté de persuader la cour qu'il était en fait un espion, un agent en mission de la Sûreté militaire algérienne, chargé d'infiltrer les milieux « autonomes » pour en débusquer d'éventuels intégristes.
Vous allez voir comme les médias à la botte du « politiquement correct » vont occulter les idées politiques marxistes nauséabondes de « l’antifa » Abdelhakim Dekhar.
En gros ils vont vous dire : « Vu que Dekhar n’a proféré aucune revendication ni explication à ces gestes », c’est juste un tireur fou, un acte isolé.
Mais cette vision est aussi mensongère que fausse et il ne faut pas sortir de Polytechnique pour bien comprendre ce qu’il c’est passé.
La chronologie des faits est assez simple. Abdelhakim commence son action chez BFM TV où il ne tire pas mais actionne deux fois la pompe de son fusil ce qui éjecte et fait tomber deux cartouches. Il indique que « la prochaine fois, il ne les loupera pas ». C’est évidemment à la fois un avertissement et presque un compliment adressé à la chaîne BFM TV qui n’est pas, ces derniers temps, dans les petits papiers du gouvernement.
Puis il attaque le journal Libération qui est, comme chacun sait, l’organe de « propagande » quasi officiel du gouvernement socialiste (ce qui explique sans doute l’effondrement des ventes du journal qui diminuent au même rythme que la cote de popularité dudit gouvernement).
L’antifa « Toumi » doit se souvenir du 23 octobre 1977 : 150 « autonomes » aujourd’hui on dit « antifas »  occupent les locaux parisiens de Libération, leur reprochant une Une titrée « RFA - RAF : la guerre des monstres », comprise comme une désolidarisation totale avec le groupe de lutte armée ouest-allemand Fraction armée rouge, de la part d'un journal qui jusque-là était la voix des autonomes (il publiait certaines analyses et leurs communiqués). Des inscriptions telles que « Tout journaliste est un flic » et « July, bientôt ton heure » sont relevées. L'édition du lendemain est annulée. 

L’antifa du Front de gauche est dans le hall de « Libé » là, il ouvre le feu et tire pour tuer. L’attaque de Libération est très symbolique. Il aurait pu ne pas aller plus loin ou attaquer un autre média, d’ailleurs c’est chez Radio France que la panique sera la plus grande, puisque les vigiles mettront même les gilets pare-balles pour le coup… C’est donc la presse « gouvernementale » qui est attaquée au sens premier du terme, ce qui est à l’évidence comme en 1974 une forme de revendication.

Enfin, il attaque le siège de la Société Générale, grande banque française qui a défrayé la chronique avec l’affaire Kerviel et a nécessité l’intervention en catastrophe de l’État.
C’est donc le système politique et économique (ou ses représentations) qui étaient visé par l’antifa marxiste Dekhar et ses actes valent évidemment explication et revendication.

Cet homme n’est pas fou au sens psychiatrique du terme c’est un fanatique comme les assassins de Georges Besse, jean Marc Rouillan, Nathalie Ménigon, Georges Cipriani, sans oublier les Italiens Battisti ou Petrella. Merah n’était pas fou, Breivik non plus, et vraisemblablement pas non plus Abdelhakim Dekhar. Il s’agit d’individus qui poussent leur logique de contestation politique marxiste et de révolte révolutionnaire au bout… et le bout, c’est la violence la haine communiste ou socialiste de l’autre. Il y a dans leurs actes terroristes une logique absolue et terriblement jusqu’au-boutiste. 

Je suis juste étonné que dans sa logique marxiste culturelle « antifa » d’extrême gauche, Abdelhakim Dekhar ne se soit pas attaqué à des intérêts juifs ou pire comme Mohamed Merah, il n’est pas commis de crimes antisémites. En effet les antifas, les membres du Front de Gauche et du Scalp Reflex qui en sont l’émanation sont vivement engagés contre le « sionisme », en prenant position pour le boycott illégal de l'État d'Israël. Ils combattent les positions d'organisations telles que le CRIF, le service de protection de la communauté juive (SPCJ) ou encore la Ligue de défense juive qui sont désignées dans leurs blogs sous les vocables de « fascistes sionistes ».

1 commentaire:

  1. Natio Presse titre : Le tireur SOLITAIRE ? Ah bon c'est Lucky Luke maintenant:" I am a poor lonesome bougnoule marxiste" Voir ici: Le nouveau nom de Lucky Luke ? Abdelhakim Dekhar !

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