mercredi 25 juin 2014

Projet de loi antiterroriste : le gouvernement veut bloquer les sites Internet « djihadistes » !





Le projet de loi contre le « terrorisme » se précise. Au fait de quel terrorisme nous parlent on ? En dehors des musulmans pratiquants un bel et bon Islam dont le jihad est le sixième pilier, je ne vois de terroristes nul part, alors pourquoi pas dire la vérité et lutter contre l'Islam ? Lundi 23 juin, le ministère de l'intérieur a fait parvenir à la Commission européenne l'article 6 du projet de loi, qui vise à permettre le blocage administratif, sans passage par un juge, des sites Internet dit « djihadistes » nous "raconte" la « presse » politiquement correcte, hors rien n’est plus faux.

Le texte prévoit de mettre à jour ( ?) la loi pour la confiance dans l'économie numérique de 2004 en y insérant la possibilité pour « l'autorité administrative » de demander aux fournisseurs d'accès à Internet de bloquer « sans délai » l'accès à des sites incitant au terrorisme sans préciser de quel « terrorisme » il s’agit. Une idée reprise à une proposition de loi UMP, pourtant rejetée par l'Assemblée nationale le 12 juin.

Amis patriotes ATTENTION : Le texte prévoit la possibilité pour « l'autorité administrative » (Dont on ne sait rien) de demander aux fournisseurs d'accès à Internet de bloquer « sans délai » l'accès à des sites « incitant au terrorisme ». Il n’est absolument pas question pour le gouvernement de bloquer les sites Internet dit « djihadistes ». Comme par exemple le site de RADIO ISLAM. Un site raciste djihadiste ET antisémite ! Ou Ouma.com ou le site carrément musulman bien haineux : ICI et  Lire ici Les autres sites haineux : ICI,  comme ICI  et encore le site d’humbles activistes musulmans ( Oh comme ils disent) ayant pris internet comme outil de propagation pour alerter, informer, mettre en garde et surtout combattre cette élite sataniste de notre époque (…).

Si le mot terrorisme détermine l'emploi de la terreur à des fins politiques le terme est souvent jugé subjectif et comme servant à retirer toute légitimité et tout aspect politique aux groupes ou aux actes auxquels il est appliqué.

Les multiples définitions varient sur : l'usage de la violence (certaines comprennent des groupes n'utilisant pas la violence mais ayant un discours radical). Un grand nombre d'organisations politiques ont recouru au « terrorisme » pour faire avancer leur cause. Des partis de gauche comme de droite, des groupes nationalistes, religieux ou révolutionnaires, voire des états, ont commis des actes de terrorisme. Une constante du terrorisme est l'usage indiscriminé de la violence à l'égard de civils dans le but de promouvoir un groupe, une cause ou un individu.

Jean-Pierre Michel, un ancien magistrat, membre du Syndicat de la magistrature (SM) que je ne porte pas dans mon cœur et dont il est le premier secrétaire a dit en Juin 2014 à propos des « djihadistes » : « Les terroristes d'un jour sont des héros le lendemain ».

Les dits « djihadistes » ont récemment exigé des mahométans en résidence dans notre pays qu’ils « retracent le chemin de Mohamed Merah et déclenchent la guerre en France ». N’écoutant que son bon cœur, Esther Benbassa, une bonne marxiste culturelle que des mauvaises langues ont baptisé la « méduse urticante » et dont André Bercoff a estimé qu’elle était « à l’écologie et à la politique ce que la danse des canards est aux ballets Bolchoï », a déclaré que le djihad ne serait que l’expression d’un malaise social, ajoutant que « chaque groupe répond à son désespoir à sa façon, les uns votent extrême droite, les autres deviennent djihadistes ».

Attention l’amalgame « extrême droite » et « Jihad » n’est ici pas anodin et augure bien mal de la suite de l’histoire !

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