Le projet de loi contre le
« terrorisme » se précise. Au fait de quel terrorisme nous parlent on ? En dehors des musulmans pratiquants un bel et bon Islam dont le jihad est le sixième pilier, je ne vois de terroristes nul part, alors pourquoi pas dire la vérité et lutter contre l'Islam ? Lundi 23 juin, le
ministère de l'intérieur a fait parvenir à la Commission européenne
l'article 6 du projet de loi, qui vise à permettre le blocage
administratif, sans passage par un juge, des sites Internet dit « djihadistes »
nous "raconte" la « presse » politiquement correcte, hors rien n’est plus
faux.
Le texte prévoit de mettre
à jour ( ?) la loi pour la confiance dans l'économie numérique de 2004 en
y insérant la possibilité pour « l'autorité administrative » de
demander aux fournisseurs d'accès à Internet de bloquer « sans
délai » l'accès à des sites incitant au terrorisme sans préciser de
quel « terrorisme » il s’agit. Une idée reprise à une proposition de
loi UMP, pourtant rejetée par l'Assemblée nationale le 12 juin.
Amis patriotes
ATTENTION : Le texte prévoit la possibilité pour « l'autorité administrative » (Dont
on ne sait rien) de demander aux fournisseurs d'accès à Internet de bloquer « sans délai » l'accès à des
sites « incitant au terrorisme ». Il n’est
absolument pas question pour le gouvernement de bloquer les sites Internet dit
« djihadistes ». Comme par exemple le site de RADIO ISLAM.
Un site raciste djihadiste ET antisémite ! Ou Ouma.com ou le site carrément
musulman bien haineux : ICI et Lire ici Les autres sites
haineux : ICI, comme ICI et encore Là le site d’humbles
activistes musulmans ( Oh comme ils disent) ayant pris internet comme outil de
propagation pour alerter, informer, mettre en garde et surtout combattre cette
élite sataniste de notre époque (…).
Si le mot terrorisme
détermine l'emploi de la terreur à des fins politiques le terme est souvent
jugé subjectif et comme servant à retirer toute légitimité et tout aspect
politique aux groupes ou aux actes auxquels il est appliqué.
Les multiples définitions
varient sur : l'usage de la violence (certaines comprennent des groupes
n'utilisant pas la violence mais ayant un discours radical). Un grand nombre
d'organisations politiques ont recouru au « terrorisme » pour faire
avancer leur cause. Des partis de gauche comme de droite, des groupes
nationalistes, religieux ou révolutionnaires, voire des états, ont commis des
actes de terrorisme. Une constante du terrorisme est l'usage indiscriminé de la
violence à l'égard de civils dans le but de promouvoir un groupe, une cause ou
un individu.
Jean-Pierre Michel, un ancien magistrat, membre du Syndicat de la magistrature (SM) que je ne porte pas dans mon cœur et dont il est le premier secrétaire a dit en Juin 2014 à propos des « djihadistes » : « Les terroristes d'un jour sont des héros le lendemain ».
Les dits « djihadistes »
ont récemment exigé des mahométans en résidence dans notre pays qu’ils « retracent
le chemin de Mohamed Merah et déclenchent la guerre en France ». N’écoutant
que son bon cœur, Esther Benbassa, une bonne marxiste culturelle que des
mauvaises langues ont baptisé la « méduse urticante » et dont André
Bercoff a estimé qu’elle était « à l’écologie et à la politique ce que
la danse des canards est aux ballets Bolchoï », a déclaré que le djihad ne
serait que l’expression d’un malaise social, ajoutant que « chaque groupe
répond à son désespoir à sa façon, les uns votent extrême droite, les
autres deviennent djihadistes ».
Attention l’amalgame « extrême droite » et
« Jihad » n’est ici pas anodin et augure bien mal de la suite de
l’histoire !
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