jeudi 7 décembre 2017

Un ami est tombé.





Ah que oui, notre ami Johnny Hallyday, emporté cette nuit par la maladie, était un vrai Français, un patriote ! C’est à Offenburg, en Allemagne, qu’à 22 ans il avait servi comme sergent du 43e régiment blindé d’infanterie de marine lors de son service militaire, en 1965.
Oui la France lui rend hommage et certains ne comprendrons pas pourquoi c’est le chant des partisans qui illustre cet hommage. Premièrement parce qu’il l’a chanté avec son cœur et ses tripes et deuxièmement parce que les cris sourds du pays qu’on enchaine il ne faut pas les oublier, les corbeaux noirs sont revenus ! Le patriotisme est un sentiment partagé d'appartenance à un même pays, la patrie, sentiment qui en renforce l'unité sur la base de valeurs communes. Il conduit à ressentir de l'amour et de la fierté pour sa patrie. Le patriote est prêt à se dévouer ou à se battre pour elle afin d'en défendre les intérêts. Le patriotisme est le sens moral qui pousse à combattre pour défendre son pays, plutôt qu'à céder aux attaques de l'ennemi. Le Chant des partisans lui, n’est que l'hymne de la Résistance Française durant une partie de l'occupation allemande, (de 1943 à1945) pendant la Seconde Guerre Mondiale. De 1939 à 1941 les communistes racistes, antisémites et homophobes Français, collaborateurs des nazis éructaient un autre chant des partisans (Cliquez ICI pour voir le chant des "partisans" des collectivistes criminels). L'idée et l'ébauche de la mélodie du Chant des Partisans sont de la chanteuse et compositrice Anna Marly qui le créa au début de l'année 1943. Joseph Kessel et son neveu, Maurice Druon, tous deux hommes de droite et tous deux futurs académiciens, en remanièrent les paroles.
Et des hommages vous en voulez des hommages ?
Jacques Guillemain de Riposte Laïque dira: La disparition de Johnny, c’est une page de l’histoire de France qui se tourne, cette France millénaire que nous aimons tant. Johnny, c’est nous, c’est le peuple français, c’est la France. Pendant 57 ans de carrière il a accompagné les jeunes et les moins jeunes dans leur vie quotidienne, avec sa voix unique et ses plus de 1000 chansons.
Marine Le Pen: Le taulier de la chanson française n’est plus. Un chanteur venu du peuple et que le peuple aimait. Hommage à Johnny Hallyday pour sa carrière. Une pensée pour sa femme et ses enfants, car si les Français perdent un monument de la chanson, ils perdent un mari et un père.
Et même le vieux Jean Marie Le Pen qui aura aussi une pensée pour monsieur d’Ormesson dira : D'Ormesson, Johnny : la grande égalité des hommes, qu’ils soient inconnus ou célèbres, c’est la mort. Adieu à ces vedettes nationales. Ils n’iront plus aux bois, les lauriers sont coupés.
L’église catholique organise deux veillées de prière qui auront lieu à la paroisse Saint-Roch, rue Saint-Honoré, dans le 1er arrondissement de Paris, ce jeudi soir 7 Décembre et dimanche soir, en hommage à l’artiste décédé dans la nuit de mardi à mercredi. Tous les fans du chanteur sont conviés à cet événement organisé par le père Luc Reydel, aumônier du spectacle, "pour Johnny, pour Laeticia et ses proches".
Et puis comme d’habitude  il y a ceux de gauche qui crachent dans la soupe, il y a la crapule d’ultra gauche, le marxiste culturel allah mord moi le nœud, le «camarade» stalinien et Pol Potiste Mechantcon (pardon je voulais dire Jean Cul (ah que zut, c’est Luc bien sûr) Mélenchon qui bavera en éructant : «Sur Johnny, qu'est-ce que vous voulez que je dise? [...] Je n'ai rien à dire ». C’est ça mon con ferme ta gueule ! «Johnny n'a pas besoin de moi pour être connu et aimé», a ajouté l’abruti marxiste stalinien.
Alexis Corbière autre soumis au marxisme le plus nidoreux avait tweeté (Tweet vite retiré) que «la triste mort de Johnny Halliday ne devait pas "faire oublier le nouveau mauvais coup" que préparerait l'exécutif sur le Smic». Décidément chez les gauchiottes Léninistes ça merde grave!
De son côté, la conne-seillère (madame LE conseiller) en communication du Méchant-con  Mélenchon, Sophia Chikirou, a férocement critiqué le traitement journalistique de la mort de l'artiste en évoquant «l'injonction de s'émouvoir plus en chœur». C’est vrai qu’il y a des gens qui ont plus de «cœur» que d’autres, peut-être parce qu’ils sont plus Français et depuis plus longtemps que d’autre ?


Michel Alain Labet de Bornay.
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1 commentaire:

  1. J'ai reçu ça par maïl:

    Bonsoir à tous,

    Je vous jure que je me suis posé la question en regardant les images à la télé, hier samedi, et en lisant les journaux ce matin : un million de personnes sur les Champs-Élysées et pas une seule vitrine brisée, pas une seule bagnole ou une poubelle brûlée, même pas un flic caillassé ? Comment est-ce possible ? Tous les ans pour la nuit de la St-Sylvestre, ou à chaque manif plus ou moins autorisée entre Bastille et République, on y a droit. Alors pourquoi pas cette fois-ci ?
    > > >
    > > > La réponse, je l’ai trouvée dans un article de Boulevard Voltaire joliment intitulé « La France moisie aux obsèques de Johnny » et dont je vous livre ici les extraits les plus savoureux :
    > > >
    > > > « Formidable ! Inoubliable ! Exceptionnel ! Historique ! Une journée à la démesure du chanteur. Du jamais vu que l’on ne reverra jamais. Il y a eu Victor Hugo. Il y aura désormais Johnny Hallyday. Les médias ont rivalisé en superlatifs pour rendre compte de la mobilisation populaire lors des obsèques de l’idole des jeunes. Un million de personnes. Des Champs-Élysées à la rue Royale. Les caméras filment. Les images défilent. Et le constat s’impose. Brutal. Incroyable. Invraisemblable. Effrayant. La France de Johnny, celle qui suscite soudainement l’admiration des journalistes et de la classe politique, est celle qu’ils abhorrent habituellement. Ce 9 décembre 2017, Paris a rendez-vous avec la France des années 1960 et 1970. La France d’avant. La France moisie. La France du passé. La France repliée sur elle-même. Frileuse. Égoïste. La France des beaufs et des Dupont Lajoie. Celle de la Renault 12 et de la R 8 Gordini. Celle du paquet de Gauloises bleu et du vin qui rend heureux. La France qui s’est figée. La France qui doit disparaître. Le spectacle est saisissant. Pas de voiles. Pas de racailles. Pas de diversité. Pas de bandes qui cassent et qui pillent.
    > > >
    > > > Il n’y a que la France de l’entre-soi. Celle du vivre ensemble est restée à la porte. Quoi, ma gueule, qu’est-ce qu’elle a, ma gueule ? Les micros se tendent. Et les témoignages se succèdent. René. Marc. Laurence. Jean-Paul. Lucienne. Éric. Chacun raconte son anecdote. Souvent tendre. Parfois naïve. Toujours rafraîchissante. Mais le constat reste le même. Aux abonnés absents les prénoms venus d’ailleurs… La richesse du 9-3 n’est pas là. La jeunesse issue des quartiers, qui doit revivifier un pays à bout de souffle, ne vibre pas aux charmes de Gabrielle. »
    > > >
    > > > Intéressant, non, comme constat ? Un million de "faces de craie" dans la rue et pas une merde. Les autres, les "chances pour la France", dès qu'il y en a une vingtaine sur un trottoir, c'est le bordel ! Comme quoi il y a deux civilisations inconciliables.

    Au fait! la merde est-elle Hallal?

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