vendredi 25 mai 2018

Un homme tué à Pau.



Le folliculaire stipendié Sud-Ouest publie le 19/05/2018 un article au titre racoleur.
Pau : un homme frappé à mort par une bande d’ados. (Un homme ? Un palois ?)
Non semble-t-il pas un Palois mais un Burkinabé (Ce mot est un gentilé : il désigne les habitants d’un lieu, les personnes qui en sont originaires en l’occurrence du Burkina Fasso, c’est quand même grave qu’un honnête touriste Africain francophone vienne se faire assassiner à Pau) de 32 ans a succombé ce vendredi soir, à la plaine de jeux du quartier Saragosse, à Pau.
Le parquet de Pau a confirmé ce samedi matin l’information de Pyrénées Presse et de France Bleu Béarn : un homme de 32 ans, semble-t-il domicilié dans le quartier Saragosse, à Pau, est mort vendredi soir suite à une agression collective, à la plaine de jeux du même quartier Saragosse, à Pau. Selon deux mères de famille témoins de la scène, et qui ont été entendues à ce titre par la police paloise jusqu’à tard (1h30 environ) dans la nuit de vendredi à samedi, ainsi que plusieurs autres personnes adultes,  la victime a été assaillie et rouée de coups, à l’aide d’une chaise et de barres de plexiglas notamment, par une douzaine de mineurs du quartier (4). Alors qu’il était tombé au sol, au pied du mur de la caserne des pompiers de Pau, quatre des auteurs auraient continué à lui porter des coups, puis un seul aurait administré le dernier, selon les mêmes témoignages. Les secours alertés, vers 19 heures, ils ont tenté durant une heure et demie de ranimer le «jeune homme», en vain. Le lynchage accompli, les «jeunes» (1) agresseurs se seraient dispersés dans toutes les directions. 
Curieusement sur le site de Sud-Ouest les réactions à cet article ont été suspendues.
La même presse subventionnée publie le lendemain 20/05/2018.
Au lendemain de la mort d’un homme de 32 ans, le maire de Pau (la ville du tricot) justifie la mise en place de la police de sécurité du quotidien, dans les quartiers palois de Saragosse et de l’Ousse-des-Bois.                           
                                                                                                                  
La mort, sous les coups redoublés d’une bande d’adolescents, d’un homme de 32 ans dans la soirée de vendredi à la plaine de jeux du quartier Saragosse, à Pau, conforte François Bayrou dans sa récente décision de créer une Police de Sécurité du Quotidien. «Il y a, dit le maire de Pau, des comportements qui se sont peu à peu installés, qui vont jusqu’à être criminels, qui sont d’une violence insupportable même si on ne la voit pas ; ce n’est pas par hasard si j’ai demandé et obtenu la police de sécurité du quotidien pour ces quartiers. Et les imbéciles qui s’en offusquaient en prétendant que tout aller bien ignoraient simplement ces dérives».
Monsieur le maire Bayrou pointe clairement du doigt «de petites bandes violentes, souvent avec des adolescents, prêtes à toutes les exactions et probablement en liaison avec des réseaux criminels, notamment de drogue».
A mon avis monsieur Bayrou n’est pas si «clair» que ça, mais enfin il emploie le mot «adolescent» qui décrypté ici en (1) nous éclaire bien.
Le 21/05/2018 la feuille de chou Sud-Ouest titre : Nouvel incident à Pau après le lynchage mortel de vendredi.
Au lynchage à mort par une bande de jeunes (1) d’un homme de 32 ans, vendredi, s’est ajouté un grave incident, dimanche. On n’est pas passé loin d’une seconde tragédie, dimanche, vers 13 heures, au quartier Saragosse de Pau, resté dans la stupeur suite au meurtre, vendredi soir, d’un homme de 32 ans, Béli N., né en 1985 au Burkina Faso, de nationalité française (Ah là on est rassuré, il ne s’agit pas d’un touriste Burkinabé égaré, mais d’un honnête citoyen de la république). Le conducteur d’une voiture a sciemment foncé sur un jeune (1) du quartier.
Le jeune (1) piéton a évité la voiture. Suite à quoi, un groupe de jeunes (1) s’en est pris à l’automobiliste. Il a dû être «exfiltré» par les pompiers, qui l’ont mis à l’abri de la vindicte du groupe.  Le conducteur a été placé en garde à vue.  Aucun élément ne permet pour l’heure de mettre en lien cet incident et le drame qui s’est déroulé vendredi soir. 
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Toujours dans la gazette locale subventionnée Sud-Ouest au sujet de l’affaire de l’homme battu à mort à Pau, trois mineurs sont placés en garde à vue. Les arrestations ont eu lieu lundi à l’aube dans le quartier Saragosse, où les faits se sont produits vendredi.
Trois personnes ont été arrêtées ce lundi matin tôt dans le quartier (4) Saragosse à Pau et placées en garde à vue, annonce la procureure madame LE procureur de la République, (à l’attention des petits journalopes merdiatocrasseux de la presse pourrie, le mot procureur et encore en Français de France et pas en charabia marxiste culturel un nom masculin) Cécile Gensac. Ces arrestations font suite à l’ouverture d’une enquête après la mort d’un homme de 32 ans battu à mort vendredi soir dans le quartier (4) .

Béli N. (Béli Nébié), français originaire du Burkina, arrivé à Pau début 2018, avait été roué de coups par une dizaine de personnes ( Vous aurez remarqué qu’il s’agit maintenant de «personnes» et plus de «jeunes» le mot ne trompant plus personne) au milieu de la plaine de jeux du quartier Saragosse, l’un des deux secteurs défavorisés (2) de la ville. 

                                                                          Si son casier est chargé de condamnations dans le Val d’Oise, entre 2010 et 2015, pour des faits de vol aggravés et trafic de stupéfiants, il (Béli Nébié), n’avait pas (encore) fait parler de lui depuis son arrivée en Béarn il y a quelques semaines. Les enquêteurs se concentrent sur l’environnement de la victime pour comprendre l’origine du différend et finalement du lynchage dont a été victime le Burkinabé. L’enquête est pilotée par la Police judiciaire de Pau avec le soutien de la sûreté départementale.
Si j’osais… Allez; j’ose émettre quelques hypothèses. L’ancien «jeune» de 32 ans Béli Nébié un homme de couleur, ancien émigré du Burkina Fasso est tricard dans le val d’Oise ou il exerce sa «profession» de trafiquant de drogue et de gangster a la p’tite semaine et est pour cela très défavorablement connu des services de police et de la justice de s’pays des doigts de l’homme. Peut-être même connu pour une balance ? Quoi qu’il en soit Nébié doit partir se mettre au vert. Il a de la famille à Pau (la ville du tricot et pas du tarpé). Connu pour trafic de stupéfiants Nébié est peut-être bien aussi un consommateur (hypothèse toujours bien sur), depuis 3 mois à Pau, il deal et empiète sur des territoires déjà bien établi par d’honnêtes commerçants locaux pour certains d’origine tchétchènes. Il faut dire que les Tchétchènes ont quelques particularités intéressantes, par exemple ils n'aiment pas les gays, ces braves gens ne sont pas plus racistes que nos habituels maghrébins qui n’apprécie pas plus les Babtous (les blancs de souche) que les karlouches (De l'arabe kahlouch «homme noir». Peut-être dit aussi Kréle (même étymologie). Béli Nébié n’avait pas compris ou il avait mis les pieds, à Pau comme ailleurs les gangs installés ne partagent pas leurs territoires surtout avec des «Karlouches». Pas plus bêtes qu’ailleurs les chefs de gang ont fait exécuter Nébié par des mineurs qui risquent beaucoup moins que des adultes.
Mais ce n’est pas fini, toujours dans la gazette locale subventionnée Sud-Ouest
Trois mineurs ont été placés en garde à vue lundi au sujet de l’affaire susdite.
Après le lynchage d’un homme de 32 ans, d’origine burkinabé, battu à mort par un «groupe d’adolescents» (remplace avantageusement le mot «jeunes») à Pau, vendredi soir, trois mineurs, dont deux d’origine tchétchène, ont été interpellés et placées en garde à vue. Les interpellations ont eu lieu «tôt ce matin», a indiqué la procureure (en Français on dit madame LE procureur) de Pau, C. Gensac, sans préciser l’âge des mineurs placés en garde à vue. Les résultats de l’autopsie du corps de la victime attendus. 
Plusieurs témoins, qui avaient alerté les secours, ont été entendus par la police. Selon eux, la victime aurait été rouée de coups par une douzaine de mineurs. Les secours arrivés sur place rapidement n’avaient pu la ranimer. Les circonstances n’étaient pour l’heure pas clairement établies. Selon Cécile (madame le procureur) Gensac, «la victime n’était pas inconnue des services de police en région parisienne», mais «navait pas fait parler delle depuis début 2018» (arrivé en Mars il n’avait pas eu le temps), époque de son arrivée à Pau. Selon le quotidien Sud-Ouest, l’homme avait déjà été condamné pour «vol aggravé» et «trafic de stupéfiants» entre 2010 et 2015.
«Aucun lien nest en l’état établi entre son passé et les faits survenus vendredi soir à Pau», a toutefois précisé la procureure (madame le procureur).
Selon le père de la victime, interrogé par France3 Aquitaine, le trentenaire était arrivé il y a deux mois à Pau où il travaillait dans un cinéma. Placé sous contrôle judiciaire, il était sorti «faire du sport» au moment des faits.                                                               Le maire de Pau et président du Modem, monsieur Bayrou a dénoncé des «faits gravissimes», de «très graves événements, dramatiques et criminels». Il a évoqué des jeunes «souvent dorigine étrangère» et des «comportements délictueux […] sur fond de trafics […] ayant trait à la drogue».
Monsieur Bayrou un homme certainement à droite de l’extrême droite se lâche ; évoquer des «jeunes souvent d’origine étrangère» (pléonasme) aux comportements délictueux sur fond de trafics de drogue me semble être un comportement absolument inqualifiable, Allah limite du racisme et stigmatisant (5) pour ces adolescents certainement innocents et bouc émissaires de la mairie (5).  «Tout est mis en œuvre pour identifier et interpeller toutes les personnes impliquées», a par ailleurs déclaré dans un tweet le ministre de lIntérieur, Gérard Collomb. «Le quartier de Saragosse disposera de 10 policiers supplémentaires en septembre: il avait été fléché dès le lancement de la PoliceSécuritéQuotidien», a-t-il ajouté, en référence au nouveau dispositif de police de proximité (3).                                                                                                                                                              Invité à l'antenne de RTL, monsieur  Bayrou explique que «ce que l'on sait c'est que ce sont des adolescents, d'après ce que les témoins ont dit. Ils formaient probablement une bande, un gang qui depuis des semaines et des semaines étaient présents dans le quartier. On les soupçonnait de se livrer à divers trafics avec comme mot d'ordre la violence». Une bande, un gang, des adolescents qui se livraient depuis plusieurs semaines à des trafics ? Mais que fait la police en France ? Le maire de Pau rappelle que «c'est l'une des raisons pour lesquelles j'avais obtenu que soit créé une unité de police de sécurité du quotidien, non pas à cause d'une dangerosité particulière de ville mais parce que dans ces quartiers, on sentait bien depuis des mois que quelque chose était en train de se tramer. Et c'était difficile de faire la lumière».
Ce n'est pas une question de bâtiment mais de la manière dont se comportent ceux qui sont dans les cités.
Il faut dire qu’il était temps de disposer de 10 policiers supplémentaires en septembreà Pau !
Car la ville de Pau qui compte 54 % d’agents en plus sur la période comprise entre 2014 et fin 2015, a une moyenne de 0,39 policier pour 1000 habitants. Selon la Gazette des communes, la ville employait 31 policiers municipaux, un chiffre qui lui permet de pointer au 109e rang national. François Bayrou rappelait alors, lors de la présentation des nouvelles recrues, son souhait que les effectifs atteignent un jour «50 à 60 personnes». À noter que malgré cette évolution, Pau reste loin si l’on prend en compte le nombre de policiers municipaux par habitant. La ville compte 0,39 policier pour 1000 habitants soit très loin par exemple de Saint-Tropez et ses 8,18 policiers municipaux pour 1000 habitants.
Quant à la Police judiciaire à Pau (environ 34 hommes) ils déclaraient en 2016 «On n’a plus moyen de faire correctement notre métier» dénonçait Régis Dubois, délégué du syndicat Unité SGP police (FO) à la Sûreté départementale. Dans les Pyrénées-Atlantiques, les policiers officiers de police judiciaire éraient «au comble de l’exaspération» relatait le syndicat: «Manque de moyens matériels et humains, locaux non adaptés, exigus et parfois insalubre".
Et puis bon, en 2017 le quartier (4) d’Ousse-des-Bois s’est encore embrasé. Les syndicats policiers dénonçaient ces «provocations».
Réglé comme un coucou, le quartier d’Ousse-des-Bois, à Pau, s’est enflammé au début des vacances scolaires de la Toussaint et, avec un peu de chance devrait se calmer dès ce lundi grâce à la rentrée. Les précédents ont montré que ces tensions sont souvent le fruit de jeunes (1) Palois (?), mineurs pour la plupart. Ce week-end encore, des poubelles et autres containers ont été brûlés dans le quartier. En fin de semaine dernière, l’unité SGP Police FO 64 a dénoncé ces actes qu’elle qualifie de «provocations». «Les événements consécutifs de ces derniers jours dans les cités d’Ousse-des-Bois et de Saragosse, montrent bien que le phénomène de caillassage de l’autorité publique est toujours d’actualité à Pau, et devient de plus en plus violent et récurrent, tout en se banalisant». Plusieurs fois la semaine dernière, les forces de l’ordre ont été la cible de divers projectiles, comme les sapeurs-pompiers venus maîtriser les incendies. «C’est un comportement inqualifiable qui, une nouvelle fois, illustre les conditions de travail des policiers palois», ajoute le syndicat.
Ceux qui dénoncent des «prises à partie» trop fréquentes rappellent que cela peut «occasionner de très graves blessures». Ces tensions deviendraient telles que les policiers seraient victimes de «guet-apens» et «provocations à l’affrontement». L’unité SGP Police 64 condamne ces agissements, et «le sentiment d’impunité de certains délinquants qui ont décidé que le quartier leur appartenait et contestent toute présence de l’État».
Mais oh miracle ; une dizaine de policiers supplémentaires viendra renforcer les effectifs dans les beaux quartiers (4) de Saragosse et Ousse des Bois à Pau en principe en Septembre 2018. La création d'une PSQ (Police de sécurité du quotidien) dans ces deux quartiers palois était «une proposition du maire de Pau», a rappelé le préfet Gilbert Payet qui a annoncée l'arrivée «d'une grosse dizaine d'effectifs supplémentaires» pour mener à bien ces missions. Ces nouveaux personnels viendront renforcer les effectifs du commissariat de la rue Ronsard, déjà une dizaine de policiers, et permettront la création d'une brigade de police à VTT. Elle n’est pas poubelle la vie ?  Des flics à vélo comme en 1930… des hirondelles ! La police des rois de la pédale ! Un renforcement de la coopération avec la Ville de Pau et sa police municipale est également engagé. Pas de patrouille mixte a priori mais des patrouilles «coordonnées» afin de mieux couvrir le terrain. Autre nouveauté, les images des caméras de vidéosurveillance de la Ville de Pau arriveront également directement au commissariat de la police nationale.
En juillet 2015  les motards de Pau étaient pourtant à l’honneur, touchant la prime de 600 Euros attribuée aux fonctionnaires de police verbalisant le plus les honnêtes citoyens.
Auto Plus publiait à l’époque un classement des policiers qui verbalisaient le plus sur les routes. Le classement, reproduit dans l'édition du 17 juillet du magazine, concerne les neuf compagnies autoroutières CRS et les 22 unités de motards chargés d'assurer la police de la route. D'après Auto Plus, qui dénonçait une «politique de quotas de PV», un nombre de points est accordé à chaque unité en fonction du nombre de PV qu'elle a distribués au cours des 12 derniers mois. «Le cumul des points sert à déterminer les deux unités et les deux compagnies les plus efficaces en vue de leur accorder une prime annuelle», dont le montant est « équitablement partagé entre les agents du service (600 euros chacun) », dénonçait l'hebdomadaire. «Cette prime de motivation est malsaine à plusieurs titres. D'abord, parce qu'elle prouve que la politique du chiffre perdure. Ensuite, parce qu'elle pousse les policiers à subir des pressions de leur hiérarchie (et de leurs collègues?), ce qui remet en cause leur capacité de discernement, l'élément fondamental pour l'acceptabilité de la sanction», poursuit Auto Plus. «Enfin, cela montre que les automobilistes ne sont pas traités de la même manière partout en France. Choquant !», conclut le journal, qui évoque «un risque d'être verbalisé allant du simple au double» à travers la France. A Pau les truands sont rois, l’honnête citoyen lui perd des points sur son permis. «C'est toujours la politique du chiffre qui prime, avec les méfaits que ça engendre: la répression est privilégiée sur la prévention (…) Le PV est ainsi devenu l'un des critères importants de notation et d'évolution de carrière du fonctionnaire. Tout est fait pour faciliter la verbalisation rapide avec le PV à la volée et la généralisation du PV électronique. L'automobiliste ne sait plus pourquoi il est verbalisé, il ne peut pas bien se défendre. Les contentieux augmentent fortement. Cette méthode n'améliore évidemment pas les relations avec la population, elle modifie le comportement des usagers, les pousse à se soustraire au contrôle».
Et pendant ce temps-là ? Le trafic de drogue des gangs de Pau perdure !
Pourtant de quoi se plaignent les policiers Palois ? Grâce à des smartphones et des tablettes, ils peuvent consulter les fichiers directement sur le terrain. Un gain de temps considérable. Depuis son smartphone, le sous-brigadier de police de la brigade motorisée de Pau un des joyeux gagnant de la prime de 600 Euros peut accéder à toutes les informations sur le véhicule et son conducteur lors d'un contrôle sur le terrain et pendant ce temps-là les «jeunes» (1) des «quartiers» (4) sont bien tranquilles. Depuis deux mois, la police nationale est dotée de 120 smartphones et tablettes «NEO» (pour Nouveaux Equipements Opérationnels dit aussi Nouveaux Emmmerdements Organisés) permettant aux fonctionnaires de consulter directement, sur le terrain, les fichiers de police. Fichiers des immatriculations, permis de conduire, véhicules volés, personnes recherchées : pour accéder à ces informations, plus besoin de contacter la «radio» du commissariat de police. Le système «Néo» permet un accès rapide et direct. Un gain de temps considérable qui permet aux équipages de police d'être plus performant pour verbaliser encore plus les honnêtes gens, plus mobiles et plus autonomes.
La gendarmerie des Pyrénées-Atlantiques est également équipée d'un dispositif similaire. En termes d'infractions routières, plus rien n'échappera aux forces de l'ordre, du nombre de points sur le permis à la validité du contrôle technique ou de l'adresse du propriétaire de la carte grise. Une nouvelle ère numérique.
Bon finissons-en avec cette affaire et son traitement par le merdiatocrassie qui démontre une fois de plus la perversion du traitement «politiquement correct» de l'information par les journalopes marxistes culturels..... A vous de décrypter: Titre 1: «Un africain battu à mort à Pau» = Ouais chouette ; on tient le crime raciste d’extrême daroite, qui va tenir la Une de tous les médias !!! Titre 2: «Un burkinabé battu à mort par des adolescents à Pau»: Zut!!! Y a de grandes chances que les assassins n'aient aucun lien ni avec la police fasciste ni avec l'extrême droite !!! Au contraire, ce sont peut-être des jeunes issus d'une certaine communauté .... Titre 3: «Un homme battu à mort à Pau» = Circulez !!! Il n’y a définitivement plus rien à voir !!
D’ailleurs un article du Point nous le confirme : «Aucun lien n'est établi entre le passé de la victime et les faits survenus» vendredi soir, a précisé le parquet de Pau. Plusieurs témoins, entendus par la police judiciaire, ont indiqué que l'agression mortelle a eu lieu vendredi vers 19 heures (17 heures GMT), en présence notamment de familles venues pique-niquer. Une altercation entre la victime et un mineur âgé de 16 ans serait à l'origine du lynchage, selon Sud-Ouest. Des jeunes du quartier seraient venus à la rescousse de leur ami et c'est à ce moment-là que la rixe, «d'une extrême violence», aurait éclaté».
Ben voilà circulez il n’y a rien à voir !

(1)       JEUNES, JEUNES MAJEURS : Mot trompeur ; personnes de nationalité française ou non, issues de l’immigration africaine (et/ou maghrébine) ; s’emploie en général quand elles commettent des violences en groupes (trad. : d’origine immigrée). Voir aussi «Jeune homme» et «Préadolescent».

(2)       DEFAVORISÉ. Mot trompeur, issu de l’immigration (cf. «quartier défavorisé») bénéficiant en général d’aides et de prestations publiques préférentielles dans le cadre de la «politique de la ville» (trad. : étranger, subventionné).

(3)       PROXIMITÉ (cf. «juge de proximité», «police de proximité»). Elle est réputée curieusement tout résoudre pour ceux qui font profession de foi mondialiste ou marxiste culturelle.

(4)       QUARTIER. Doit être «sensible» sinon n’intéresse pas ; voir «Banlieue».

(5)       BOUC ÉMISSAIRE. Concept sidérant par lequel l’élite dirigeante s’efforce de masquer l’identité des personnes qui commettent le plus souvent des crimes et des délits, à la condition bien sûr que celles-ci ne soient pas d’origine européenne et de religion catholique : lorsqu’un délit est commis par ces personnes, l’élite dirigeante s’empresse d’affirmer qu’il ne faut pas traiter telle ou telle catégorie de la population en «bouc émissaire» ; voir aussi «Stigmatiser».

Michel Alain Labet de Bornay.

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