Le folliculaire stipendié Sud-Ouest publie le
19/05/2018 un article au titre racoleur.
Pau : un homme frappé à mort par une bande d’ados. (Un
homme ? Un palois ?)
Non semble-t-il pas un Palois mais un Burkinabé (Ce mot
est un gentilé :
il désigne les habitants d’un lieu, les personnes qui en sont originaires en
l’occurrence du Burkina Fasso, c’est quand même grave qu’un honnête touriste
Africain francophone vienne se faire assassiner à Pau) de 32 ans a succombé ce
vendredi soir, à la plaine de jeux du quartier Saragosse, à Pau.
Le parquet de Pau a confirmé ce samedi matin
l’information de Pyrénées Presse et de France Bleu Béarn : un homme de 32 ans,
semble-t-il domicilié dans le quartier Saragosse, à Pau, est mort vendredi soir
suite à une agression collective, à la plaine de jeux du même quartier
Saragosse, à Pau. Selon deux mères de famille témoins de la scène, et qui ont
été entendues à ce titre par la police paloise jusqu’à tard (1h30 environ) dans
la nuit de vendredi à samedi, ainsi que plusieurs autres personnes
adultes, la victime a été assaillie et
rouée de coups, à l’aide d’une chaise et de barres de plexiglas notamment, par
une douzaine de mineurs du quartier (4).
Alors qu’il était tombé au sol, au pied du mur de la caserne des pompiers de
Pau, quatre des auteurs auraient continué à lui porter des coups, puis un seul
aurait administré le dernier, selon les mêmes témoignages. Les secours alertés,
vers 19 heures, ils ont tenté durant une heure et demie de ranimer le «jeune homme», en vain. Le lynchage
accompli, les «jeunes» (1) agresseurs
se seraient dispersés dans toutes les directions.
Curieusement sur le site de Sud-Ouest les réactions à
cet article ont été suspendues.
La même presse subventionnée publie le lendemain 20/05/2018.
Au lendemain de la mort d’un homme de 32 ans, le maire
de Pau (la ville du tricot) justifie la mise en place de la police de sécurité
du quotidien, dans les quartiers palois de Saragosse et de
l’Ousse-des-Bois.
La mort, sous les coups redoublés d’une bande d’adolescents, d’un homme de 32 ans dans la soirée de vendredi à la plaine de jeux du quartier Saragosse, à Pau, conforte François Bayrou dans sa récente décision de créer une Police de Sécurité du Quotidien. «Il y a, dit le maire de Pau, des comportements qui se sont peu à peu installés, qui vont jusqu’à être criminels, qui sont d’une violence insupportable même si on ne la voit pas ; ce n’est pas par hasard si j’ai demandé et obtenu la police de sécurité du quotidien pour ces quartiers. Et les imbéciles qui s’en offusquaient en prétendant que tout aller bien ignoraient simplement ces dérives».
La mort, sous les coups redoublés d’une bande d’adolescents, d’un homme de 32 ans dans la soirée de vendredi à la plaine de jeux du quartier Saragosse, à Pau, conforte François Bayrou dans sa récente décision de créer une Police de Sécurité du Quotidien. «Il y a, dit le maire de Pau, des comportements qui se sont peu à peu installés, qui vont jusqu’à être criminels, qui sont d’une violence insupportable même si on ne la voit pas ; ce n’est pas par hasard si j’ai demandé et obtenu la police de sécurité du quotidien pour ces quartiers. Et les imbéciles qui s’en offusquaient en prétendant que tout aller bien ignoraient simplement ces dérives».
Monsieur le maire Bayrou pointe clairement du doigt «de petites bandes violentes, souvent avec
des adolescents, prêtes à toutes les exactions et probablement en liaison avec
des réseaux criminels, notamment de drogue».
A mon avis monsieur Bayrou n’est pas si «clair» que ça, mais enfin il emploie le
mot «adolescent» qui décrypté ici en (1) nous
éclaire bien.
Le 21/05/2018 la feuille de chou Sud-Ouest titre :
Nouvel incident à Pau après le lynchage mortel de vendredi.
Au lynchage à mort par une bande de jeunes (1) d’un homme de 32 ans, vendredi, s’est ajouté un grave
incident, dimanche. On n’est pas passé loin d’une seconde tragédie, dimanche,
vers 13 heures, au quartier Saragosse de Pau, resté dans la stupeur suite au
meurtre, vendredi soir, d’un homme de 32 ans, Béli N., né en 1985 au Burkina
Faso, de nationalité française (Ah là on est rassuré, il ne s’agit pas d’un
touriste Burkinabé égaré, mais d’un honnête citoyen de la république). Le
conducteur d’une voiture a sciemment foncé sur un jeune (1) du
quartier.
Le jeune (1) piéton a évité
la voiture. Suite à quoi, un groupe de jeunes (1) s’en
est pris à l’automobiliste. Il a dû être «exfiltré»
par les pompiers, qui l’ont mis à l’abri de la vindicte du groupe. Le conducteur a été placé en garde à
vue. Aucun élément ne permet
pour l’heure de mettre en lien cet incident et le drame qui s’est déroulé
vendredi soir.
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Toujours dans la gazette locale subventionnée Sud-Ouest
au sujet de l’affaire de l’homme battu à mort à Pau, trois mineurs sont placés
en garde à vue. Les arrestations ont eu lieu lundi à l’aube dans le quartier
Saragosse, où les faits se sont produits vendredi.
Trois personnes ont été arrêtées ce lundi matin tôt
dans le quartier (4) Saragosse à Pau et placées
en garde à vue, annonce la procureure madame LE procureur de la
République, (à l’attention des petits journalopes merdiatocrasseux de la presse
pourrie, le mot procureur et encore en Français de France et pas en charabia
marxiste culturel un nom masculin) Cécile Gensac. Ces arrestations font suite à
l’ouverture d’une enquête après la mort d’un homme de 32 ans battu à mort vendredi
soir dans le quartier (4) .
Béli N. (Béli Nébié), français originaire du Burkina,
arrivé à Pau début 2018, avait été roué de coups par une dizaine de personnes (
Vous aurez remarqué qu’il s’agit maintenant de «personnes» et plus de «jeunes»
le mot ne trompant plus personne) au milieu de la plaine de jeux du quartier
Saragosse, l’un des deux secteurs défavorisés (2) de
la ville.
Si son casier est chargé de condamnations dans le Val d’Oise, entre 2010 et 2015, pour des faits de vol aggravés et trafic de stupéfiants, il (Béli Nébié), n’avait pas (encore) fait parler de lui depuis son arrivée en Béarn il y a quelques semaines. Les enquêteurs se concentrent sur l’environnement de la victime pour comprendre l’origine du différend et finalement du lynchage dont a été victime le Burkinabé. L’enquête est pilotée par la Police judiciaire de Pau avec le soutien de la sûreté départementale.
Si son casier est chargé de condamnations dans le Val d’Oise, entre 2010 et 2015, pour des faits de vol aggravés et trafic de stupéfiants, il (Béli Nébié), n’avait pas (encore) fait parler de lui depuis son arrivée en Béarn il y a quelques semaines. Les enquêteurs se concentrent sur l’environnement de la victime pour comprendre l’origine du différend et finalement du lynchage dont a été victime le Burkinabé. L’enquête est pilotée par la Police judiciaire de Pau avec le soutien de la sûreté départementale.
Si j’osais… Allez; j’ose émettre quelques hypothèses. L’ancien
«jeune» de 32 ans Béli Nébié un homme
de couleur, ancien émigré du Burkina Fasso est tricard dans le val d’Oise ou il
exerce sa «profession» de trafiquant
de drogue et de gangster a la p’tite semaine et est pour cela très défavorablement
connu des services de police et de la justice de s’pays des doigts de l’homme.
Peut-être même connu pour une balance ? Quoi qu’il en soit Nébié doit
partir se mettre au vert. Il a de la famille à Pau (la ville du tricot et pas du tarpé). Connu
pour trafic de stupéfiants Nébié est peut-être bien aussi un consommateur (hypothèse toujours bien sur),
depuis 3 mois à Pau, il deal et empiète sur des territoires déjà bien établi
par d’honnêtes commerçants locaux pour certains d’origine tchétchènes. Il faut
dire que les Tchétchènes ont quelques particularités intéressantes, par
exemple ils n'aiment pas les gays, ces braves gens ne sont pas plus
racistes que nos habituels maghrébins qui n’apprécie pas plus les Babtous (les
blancs de souche) que les karlouches (De l'arabe kahlouch «homme noir». Peut-être dit aussi Kréle (même étymologie). Béli
Nébié n’avait pas compris ou il avait mis les pieds, à Pau comme ailleurs les gangs
installés ne partagent pas leurs territoires surtout avec des «Karlouches». Pas plus bêtes qu’ailleurs
les chefs de gang ont fait exécuter Nébié par des mineurs qui risquent beaucoup
moins que des adultes.
Mais ce n’est pas fini, toujours dans la gazette locale
subventionnée Sud-Ouest
Trois mineurs ont été placés en garde à vue lundi au
sujet de l’affaire susdite.
Après le lynchage d’un homme de 32 ans, d’origine
burkinabé, battu à mort par un «groupe
d’adolescents» (remplace avantageusement le mot «jeunes») à Pau, vendredi
soir, trois mineurs, dont deux d’origine tchétchène, ont été interpellés et
placées en garde à vue. Les interpellations ont eu lieu «tôt
ce matin», a
indiqué la procureure (en Français on
dit madame LE procureur) de Pau, C.
Gensac, sans préciser
l’âge des mineurs placés en garde à vue. Les résultats de l’autopsie du
corps de la victime attendus.
Plusieurs témoins, qui avaient alerté les secours, ont été entendus par la police. Selon eux, la victime aurait été rouée de coups par une douzaine de mineurs. Les secours arrivés sur place rapidement n’avaient pu la ranimer. Les circonstances n’étaient pour l’heure pas clairement établies. SelonCécile (madame le
procureur) Gensac, «la victime n’était pas inconnue des services de
police en région
parisienne », mais « n’avait pas fait parler d’elle depuis début 2018» (arrivé en Mars il n’avait pas eu le temps), époque de son arrivée à
Pau. Selon le quotidien Sud-Ouest, l’homme avait déjà été condamné pour «vol aggravé»
et «trafic de stupéfiants» entre 2010 et 2015.
Plusieurs témoins, qui avaient alerté les secours, ont été entendus par la police. Selon eux, la victime aurait été rouée de coups par une douzaine de mineurs. Les secours arrivés sur place rapidement n’avaient pu la ranimer. Les circonstances n’étaient pour l’heure pas clairement établies. Selon
«Aucun
lien n’est
en l’état
établi entre son passé et les faits survenus vendredi soir à Pau», a
toutefois précisé la procureure (madame le
procureur).
Selon le père de la victime, interrogé par France3
Aquitaine, le trentenaire était arrivé il y a deux mois à Pau où il travaillait
dans un cinéma. Placé sous contrôle judiciaire, il était sorti «faire du sport» au moment des
faits. Le
maire de Pau et président du Modem, monsieur Bayrou a dénoncé des «faits gravissimes», de «très
graves événements, dramatiques et criminels». Il a évoqué des jeunes «souvent
d’origine étrangère» et des «comportements délictueux
[…] sur fond de trafics […] ayant trait à
la drogue».
Monsieur Bayrou un homme certainement à droite de
l’extrême droite se lâche ; évoquer des
«jeunes souvent d’origine étrangère» (pléonasme) aux comportements délictueux
sur fond de trafics de drogue me semble être un comportement absolument
inqualifiable, Allah limite du racisme et stigmatisant (5) pour
ces adolescents certainement innocents et bouc émissaires de la mairie (5).
«Tout est mis en œuvre pour identifier et interpeller
toutes les personnes impliquées», a par ailleurs déclaré dans un tweet le ministre de l’Intérieur,
Gérard Collomb. «Le quartier de Saragosse disposera de 10 policiers supplémentaires en septembre :
il avait été fléché dès
le lancement de la PoliceSécuritéQuotidien», a-t-il ajouté, en référence
au nouveau dispositif de police de proximité (3). Invité à
l'antenne de RTL, monsieur Bayrou
explique que «ce que l'on sait c'est que
ce sont des adolescents, d'après ce que les témoins ont dit. Ils formaient
probablement une bande, un gang qui depuis des semaines et des semaines étaient
présents dans le quartier. On les soupçonnait de se livrer à divers trafics
avec comme mot d'ordre la violence». Une bande, un gang, des adolescents
qui se livraient depuis plusieurs semaines à des trafics ? Mais que fait
la police en France ? Le maire de Pau rappelle que «c'est l'une des raisons pour lesquelles j'avais obtenu que soit créé
une unité de police de sécurité du quotidien, non pas à cause d'une dangerosité
particulière de ville mais parce que dans ces quartiers, on sentait bien depuis
des mois que quelque chose était en train de se tramer. Et c'était difficile de
faire la lumière».
Ce n'est pas une question de bâtiment mais de la
manière dont se comportent ceux qui sont dans les cités.
Il faut dire qu’il était temps de disposer de 10
policiers supplémentaires en septembre à
Pau !
Car la ville de Pau qui compte 54 % d’agents en plus
sur la période comprise entre 2014 et fin 2015, a une moyenne de 0,39 policier
pour 1000 habitants. Selon la Gazette des communes, la ville employait 31
policiers municipaux, un chiffre qui lui permet de pointer au 109e rang
national. François Bayrou rappelait alors, lors de la présentation des
nouvelles recrues, son souhait que les effectifs atteignent un jour «50 à 60 personnes». À noter que malgré
cette évolution, Pau reste loin si l’on prend en compte le nombre de policiers
municipaux par habitant. La ville compte 0,39 policier pour 1000 habitants soit
très loin par exemple de Saint-Tropez et ses 8,18 policiers municipaux pour
1000 habitants.
Quant à la Police judiciaire à Pau (environ 34 hommes) ils
déclaraient en 2016 «On n’a plus moyen de
faire correctement notre métier» dénonçait Régis Dubois, délégué du
syndicat Unité SGP police (FO) à la Sûreté départementale. Dans les
Pyrénées-Atlantiques, les policiers officiers de police judiciaire éraient «au comble de l’exaspération» relatait
le syndicat: «Manque de moyens matériels
et humains, locaux non adaptés, exigus et parfois insalubre".
Et puis bon, en 2017 le quartier (4) d’Ousse-des-Bois
s’est encore embrasé. Les syndicats policiers dénonçaient ces «provocations».
Réglé comme un coucou, le quartier d’Ousse-des-Bois, à
Pau, s’est enflammé au début des vacances scolaires de la Toussaint et, avec un
peu de chance devrait se calmer dès ce lundi grâce à la rentrée. Les précédents
ont montré que ces tensions sont souvent le fruit de jeunes (1) Palois (?), mineurs pour la plupart. Ce week-end
encore, des poubelles et autres containers ont été brûlés dans le quartier. En
fin de semaine dernière, l’unité SGP Police FO 64 a dénoncé ces actes qu’elle
qualifie de «provocations». «Les événements consécutifs de ces derniers
jours dans les cités d’Ousse-des-Bois et de Saragosse, montrent bien que le
phénomène de caillassage de l’autorité publique est toujours d’actualité à Pau,
et devient de plus en plus violent et récurrent, tout en se banalisant».
Plusieurs fois la semaine dernière, les forces de l’ordre ont été la cible de
divers projectiles, comme les sapeurs-pompiers venus maîtriser les incendies. «C’est un comportement inqualifiable qui,
une nouvelle fois, illustre les conditions de travail des policiers palois»,
ajoute le syndicat.
Ceux qui dénoncent des «prises à partie» trop fréquentes rappellent que cela peut «occasionner de très graves blessures». Ces
tensions deviendraient telles que les policiers seraient victimes de «guet-apens» et «provocations à l’affrontement». L’unité SGP Police 64 condamne ces
agissements, et «le sentiment d’impunité
de certains délinquants qui ont décidé que le quartier leur appartenait et contestent
toute présence de l’État».
Mais oh miracle ; une dizaine de policiers
supplémentaires viendra renforcer les effectifs dans les beaux quartiers (4) de Saragosse et Ousse des Bois à Pau en principe en
Septembre 2018. La création d'une PSQ (Police de sécurité du quotidien) dans ces
deux quartiers palois était «une
proposition du maire de Pau», a rappelé le préfet Gilbert Payet qui a
annoncée l'arrivée «d'une grosse dizaine
d'effectifs supplémentaires» pour mener à bien ces missions. Ces nouveaux
personnels viendront renforcer les effectifs du commissariat de la rue Ronsard,
déjà une dizaine de policiers, et permettront la création d'une brigade de
police à VTT. Elle n’est pas poubelle la vie ? Des flics à vélo comme en 1930… des
hirondelles ! La police des rois de la pédale ! Un renforcement de la
coopération avec la Ville de Pau et sa police municipale est également engagé.
Pas de patrouille mixte a priori mais des patrouilles «coordonnées» afin de mieux couvrir le terrain. Autre nouveauté,
les images des caméras de vidéosurveillance de la Ville de Pau arriveront également
directement au commissariat de la police nationale.
En juillet 2015
les
motards de Pau étaient pourtant à l’honneur, touchant la prime de 600 Euros
attribuée aux fonctionnaires de police verbalisant le plus les honnêtes
citoyens.
Auto Plus publiait à l’époque un classement des
policiers qui verbalisaient le plus sur les routes. Le classement, reproduit
dans l'édition du 17 juillet du magazine, concerne les neuf compagnies
autoroutières CRS et les 22 unités de motards chargés d'assurer la police de la
route. D'après Auto Plus, qui dénonçait une «politique
de quotas de PV», un nombre de points est accordé à chaque unité en
fonction du nombre de PV qu'elle a distribués au cours des 12 derniers mois. «Le cumul des points sert à déterminer les
deux unités et les deux compagnies les plus efficaces en vue de leur accorder
une prime annuelle», dont le montant est « équitablement partagé entre les
agents du service (600 euros chacun) », dénonçait l'hebdomadaire. «Cette prime
de motivation est malsaine à plusieurs titres. D'abord, parce qu'elle prouve
que la politique du chiffre perdure. Ensuite, parce qu'elle pousse les
policiers à subir des pressions de leur hiérarchie (et de leurs collègues?), ce
qui remet en cause leur capacité de discernement, l'élément fondamental pour
l'acceptabilité de la sanction», poursuit Auto Plus. «Enfin, cela montre que les automobilistes ne sont pas traités de la
même manière partout en France. Choquant !», conclut le journal, qui évoque
«un risque d'être verbalisé allant du
simple au double» à travers la France. A Pau les truands sont rois,
l’honnête citoyen lui perd des points sur son permis. «C'est toujours la politique du chiffre qui
prime, avec les méfaits que ça engendre: la répression est privilégiée sur la
prévention (…) Le PV est ainsi devenu
l'un des critères importants de notation et d'évolution de carrière du
fonctionnaire. Tout est fait pour faciliter la verbalisation rapide avec le PV
à la volée et la généralisation du PV électronique. L'automobiliste ne sait plus
pourquoi il est verbalisé, il ne peut pas bien se défendre. Les contentieux
augmentent fortement. Cette méthode n'améliore évidemment pas les relations
avec la population, elle modifie le comportement des usagers, les pousse à se
soustraire au contrôle».
Et pendant ce temps-là ? Le trafic de drogue des
gangs de Pau perdure !
Pourtant de quoi se plaignent les policiers
Palois ? Grâce à des smartphones et des tablettes, ils peuvent consulter
les fichiers directement sur le terrain. Un gain de temps considérable. Depuis
son smartphone, le sous-brigadier de police de la brigade motorisée de Pau un
des joyeux gagnant de la prime de 600 Euros peut accéder à toutes les
informations sur le véhicule et son conducteur lors d'un contrôle sur le
terrain et pendant ce temps-là les «jeunes»
(1) des «quartiers»
(4) sont bien tranquilles. Depuis deux mois, la police
nationale est dotée de 120 smartphones et tablettes «NEO» (pour Nouveaux Equipements Opérationnels dit aussi Nouveaux
Emmmerdements Organisés) permettant aux fonctionnaires de consulter
directement, sur le terrain, les fichiers de police. Fichiers des
immatriculations, permis de conduire, véhicules volés, personnes recherchées :
pour accéder à ces informations, plus besoin de contacter la «radio» du commissariat de police. Le
système «Néo» permet un accès rapide
et direct. Un gain de temps considérable qui permet aux équipages de police
d'être plus performant pour verbaliser encore plus les honnêtes gens, plus mobiles
et plus autonomes.
La gendarmerie des Pyrénées-Atlantiques est également
équipée d'un dispositif similaire. En termes d'infractions routières, plus rien
n'échappera aux forces de l'ordre, du nombre de points sur le permis à la
validité du contrôle technique ou de l'adresse du propriétaire de la carte
grise. Une nouvelle ère numérique.
Bon finissons-en avec cette affaire et son traitement
par le merdiatocrassie qui démontre une fois de plus la perversion du
traitement «politiquement correct» de
l'information par les journalopes marxistes culturels..... A vous de décrypter:
Titre 1: «Un africain battu à mort à Pau»
= Ouais chouette ; on tient le crime raciste d’extrême daroite, qui va
tenir la Une de tous les médias !!! Titre 2: «Un burkinabé battu à mort par des adolescents à Pau»: Zut!!! Y a
de grandes chances que les assassins n'aient aucun lien ni avec la police fasciste
ni avec l'extrême droite !!! Au contraire, ce sont peut-être des jeunes issus
d'une certaine communauté .... Titre 3: «Un
homme battu à mort à Pau» = Circulez !!! Il n’y a définitivement plus rien
à voir !!
D’ailleurs un article du Point
nous le confirme : «Aucun lien n'est
établi entre le passé de la victime et les faits survenus» vendredi soir, a précisé le parquet de Pau.
Plusieurs témoins, entendus par la police judiciaire, ont indiqué que l'agression
mortelle a eu lieu vendredi vers 19 heures (17 heures GMT), en
présence notamment de familles venues pique-niquer. Une altercation entre la
victime et un mineur âgé de 16 ans serait à l'origine du lynchage,
selon Sud-Ouest. Des jeunes
du quartier seraient venus à la rescousse de leur ami et c'est à ce moment-là
que la rixe, «d'une extrême violence», aurait éclaté».
Ben voilà circulez il n’y a rien à voir !
(1) JEUNES,
JEUNES MAJEURS : Mot trompeur ; personnes de nationalité française ou non,
issues de l’immigration africaine (et/ou maghrébine) ; s’emploie en général
quand elles commettent des violences en groupes (trad. : d’origine immigrée).
Voir aussi «Jeune homme» et «Préadolescent».
(2) DEFAVORISÉ.
Mot trompeur, issu de l’immigration (cf. «quartier
défavorisé») bénéficiant en général d’aides et de prestations publiques
préférentielles dans le cadre de la «politique
de la ville» (trad. : étranger, subventionné).
(3) PROXIMITÉ
(cf. «juge de proximité», «police de
proximité»). Elle est réputée curieusement tout résoudre pour ceux qui font
profession de foi mondialiste ou marxiste culturelle.
(4) QUARTIER.
Doit être «sensible» sinon n’intéresse
pas ; voir «Banlieue».
(5) BOUC ÉMISSAIRE. Concept sidérant par lequel l’élite dirigeante s’efforce de masquer
l’identité des personnes qui commettent le plus souvent des crimes et des
délits, à la condition bien sûr que celles-ci ne soient pas d’origine
européenne et de religion catholique : lorsqu’un délit est commis par ces
personnes, l’élite dirigeante s’empresse d’affirmer qu’il ne faut pas traiter
telle ou telle catégorie de la population en «bouc émissaire» ; voir aussi «Stigmatiser».
Michel Alain Labet de Bornay.
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