dimanche 25 novembre 2018

Je ne céderai rien aux fainéants !



Réponse à notre président qui a dit : "Je ne céderai rien aux fainéants" : Emmanuel Macron en rajoutant une louche ne regrette "absolument pas" !
Je suis un gilet Jaune et un retraité qui a travaillé de 14 ans à 60 ans espèce de pauvre petit C. (Chou ?) et grand génie des Alpages ! J'ai donné 7 ans de ma vie à l'armée et je vous signale présidentissime et pauvre petit C. (Chéri ?) que l'année de service militaire à l'école des apprentis mécaniciens de la Marine; armée que vous n'avez pas faite pauvre petit C. (camarade ?), ne compte pas pour ma retraite que vous amputez chaque jour pour abreuver vos «amis» gauchiottes (Rendez ou faites rendre l'argent) et autres «migrants» économiques de merde. 46 ans de travail pour me faire traiter de "fainéant" par un embrayage (pédale de gauche), j'ai créé ma société à 40 ans et eu une vingtaine d'emplois payant plus de charges «sociales» que je ne toucherai jamais de retraite, alors dégage vite il y en a qui en ont vraiment marre de ta chetron de petit C. ( Coco ?) marxiste culturel.
L’idéologie marxiste culturelle qui vous anime monsieur repose tout entier sur une mystification: elle serait apolitique. Dans cette époque complexe et troublée, il faudrait abandonner toute idéologie, perçue comme une vieille querelle futile et absurde. Le choix politique ne serait plus un choix moral. Seuls l'efficacité, le pragmatisme et le bon sens auraient droit de cité.
Dire cela, c'est prétendre qu'il n'est qu'une seule route possible, qu'en somme ceux qui gouvernent connaissent la vérité et qu'y opposer une pensée contraire relève par principe de l'erreur. Si la recherche de la vérité est louable, tout dirigeant qui prétendrait détenir la vérité et agir en son nom méconnaîtrait nos plus élémentaires principes démocratiques. Seuls les régimes totalitaires ne doutent jamais d'eux-mêmes et c'est pourquoi toute prétention à gouverner avec la vérité masque le début d'une dérive autoritaire. La démocratie est par essence et par vocation le régime du doute. De là vient sa faiblesse et sa grandeur.



Hors votre minisculissime chose, vous êtes toujours le président (plus pour longtemps) de la 5éme république ou tout a commencé en fin 1958 avec sa constitution ou à l’article premier on peut lire : «La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale»… c’est beau non ? C’est grand, c’est généreux ! C’est de la valeur avec un grand V ça, oui ou non ? Mais non, me direz-vous, c’est le genre de «truc» dont tout le monde se fout comme de sa première masturbation intellectuelle. Ben non ; car le dernier mot, le mot «social» de cette petite phrase va tout conditionner ! Social ; un terme fourretout, sans signification mais qui sert à empêcher toute réflexion. Ainsi, l'économiste autrichien Friedrich Hayek écrivait-il en 1957 dans ses Essais de philosophie, de science politique et d'économie, que «l'adjectif social est devenu un mot qui ôte à toutes les expressions tout sens clair».

L’utilisation à outrance du terme «social» induit une déresponsabilisation des individus au détriment des hommes libres.
                                               
Lorsque vous votez amis, vous avez l’impression de choisir entre la gauche ou la droite. Hors c’est faux ! Vous votez pour plus ou moins de «social» point barre ! Vous n’avez pas le choix, en fait vous êtes en démocratie «populaire» pléonasme étymologique si il en est, mais tellement symptomatique du lavage de cerveau Marxiste Culturel. Ainsi j’exige avec mes amis gilets jaune retraités la suppression immédiate de la C (Contrition) S (SOCIALE) G (Généralisée) sur nos modestes retraites.

Votre «ami» pour toujours.



Michel Alain Labet de Bornay
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