mercredi 18 décembre 2019

La LISTE. (Partie 2)




Avertissement: Cet article comporte plusieurs parties à suivre, pour voir la suite, cliquer en bas de page sur Articles plus anciens.

Le marxisme culturel c’est longtemps cantonnée de l’autre côté de l’Atlantique avec les «sociologues» gauchistes et marxistes culturels convaincus, les échappés d’Allemagne et de l’école de Francfort (en allemand Frankfurter Schule, avec Theodor W. Adorno (d’origine juive), Walter Benjamin (Walter Bendix Schönflies Benjamin était un juif Erev Rav (Voir ici le Erev est parmi nous et surtout regarder et méditer la vidéo ci-dessus, car je n'invente rien), Franz Borkenau (d’origine juive, Franck Borkenau-Pollack, étudiant marxiste en psychanalyse rejoint dès 1921 le Parti communiste d'Allemagne (KPD) et agit comme agent du Komintern), Ernst Bloch un pur «penseur» du marxisme culturel d'origine juive et caricature de juif Erev Rav. Il est dit par les marxistes culturels de Wikipédia: «philosophe allemand» qui s'inscrit dans la lignée des marxistes «non-orthodoxes» (Tiens encore un nouveau nom pour les marxistes culturels) tels Georg Lukács (durant les années 1920), Antonio Gramsci, Karl Korsch ou encore les «penseurs» de l'École de Francfort (ce qui est pour une fois très vrai, seulement Wikipédia oublie de nous avertir que Lukács, Gramsci, Korsch et les Penseurs de École de Francfort ne sont que des marxistes culturels. De plus je laisse à votre appréciation ce court texte de monsieur Bloch : Symbole : les Juifs, un chapitre «oublié» de l’Utopie, dans une traduction de Raphaël Lellouche, L’Eclat, Paris-Tel-Aviv, 2009 : «à côté d’un grand Juif, les grands hommes de tous les autres peuples ne font quasiment figure que de génies bourgeois, car ils ne peuvent parler pratiquement que pour eux-mêmes, quand bien même c’est l’âme de leur peuple qui retentirait dans leurs paroles, car aucune race ne possède la même force d’intensité permanente et débordante, et, surtout, l’histoire d’aucun peuple n’a, à l’égal de la sienne, eu simplement besoin d’être rédigée pour apparaître comme histoire sacrée, comme anthropogénie canonique-mystique». Je sais que beaucoup doute très justement d’une théorie du complot juif et que 22 % des Français croient qu'il existe un complot "'sioniste" (juif?) mondial. Il semblerait au vu du texte ci-dessus, que Wikipédia à l’article "Marxisme culturel" qui nous dit : «la notion de marxisme culturel décrit une théorie du complot» n’ai peut-être pas aussi tort que cela ? D’autant que quasiment tous les théoriciens du marxisme culturel était quasiment tous d’origine juive !                                                                                                Poursuivons avec Erich Fromm (Encore un juif Erev Rav décidément c’est plus un «institut» mais une «synagogue» marxiste, Fromm est né à Francfort en mars 1900 dans une famille juive orthodoxe. Fromm est connu comme un «sociologue» marxiste ayant fait la conjonction de Karl Marx à Sigmund Freud (voir sans rire SVP à Freudo-marxisme et sans se rouler par terre à Humanisme-marxisme),  Henryk Grossmann, (Et allez encore un juif Erev Rav, qui fut un des fondateurs en 1905 du Parti social-démocrate juif de Galicie (JSDP). C’était un «économiste» et un historien marxiste germano-polonais. Entre 1922 et 1925, il fut professeur d'économie à l'université libre de Varsovie. En 1925, fuyant des persécutions politiques (?), il entra à l'Institut de recherche sociale de Francfort sur invitation de son ancien professeur Carl Grünberg. Il quitta l'Allemagne dans les années 1930 puis y retourna en 1949 pour occuper le poste de professeur d'économie à l'université de Leipzig, en RDA ou régnait un merveilleux socialisme stalinien, prémices de  lendemains qui chantent. Tiens au fait savez-vous qu’elle était à l’époque la différence entre un Allemand de l’Est et un terroriste? Un terroriste avait parfois des sympathisants !). 

Vous en voulez encore du juif Erev Rav, alors allons y avec Carl Grünberg dont on vient de voir qu’il était le professeur d’Henryk Grossmann, qui était sans contestation possible un juif Erev Rav qui fonda et dirigea, de 1911 à 1930, la revue d'histoire du socialisme Archivs für die Geschichte des Sozialismus und der Arbeiterbewegung, qui publie notamment Georg Lukács et Marxisme et philosophie de Karl Korsch. En 1923, Felix Weil, le mécène qui finança la création de l'Institut de Recherche sociale, prédécesseur de l'École de Francfort, lui demanda d'en devenir le premier directeur, ce qu'il accepta. Il renonça à cette «charge» en 1929 après une attaque cardiaque, étant alors remplacé par Max Horkheimer (Félix José Weil (1898/1975) était un marxiste germano-argentin juif Erev Rav, qui a fourni les fonds nécessaires à la fondation de l’Institut de recherche sociale à Francfort-sur-le-Main, en Allemagne. Weil est né à Buenos Aires, en Argentine et était le fils du riche négociant en grains Hermann Weil et de sa femme Rosa Weil. À l'âge de 9 ans, il est envoyé en Allemagne au Goethe-Gymnasium de Francfort pour aller à l'école. Il a fréquenté l' Université de Tübingen et l'Université de Francfort , où il a obtenu un doctorat en sciences politiques. Dans ces universités, il s'intéresse de plus en plus au socialisme et au marxisme . Son sujet de thèse était «La socialisation : tentative de fondements conceptuels, avec une critique des projets de socialisation». En 1923, avec les sales milliards capitalistes de papa il finance la Erste Marxistische Arbeitswoche (Première semaine du travail marxiste), conférence organisée à Ilmenau, en Allemagne. Plusieurs «personnalités» gauchistes et marxistes telles que Georg Lukács, Karl Korsch, Richard Sorge, Friedrich Pollock et Karl August Wittfogel ont assisté à l'événement. Le succès de cet «événement» auprès des crétins marxistes et pour certains criminels contre l’humanité ou complices l’a amené, avec son ami Friedrich Pollock, à fonder l’ Institut de recherche sociale en 1924 avec l’aide d’un énorme fonds de dotation de son père un immonde capitaliste juif (NB : Notez que c’est le capitaliste qui est immonde, le juif ne l’est absolument pas). Félix José Weil était donc un marxiste, un juif Erev Rav parmi les Erev Rav, bien sûr s’il est faux de dire que Marx est responsable des dizaines de millions de morts des dictatures communistes, il est tout aussi naïf et factuellement erroné d’affirmer que ses écrits n’ont eu aucune influence sur ces massacres de masse. Toutefois ces aspects sont bien connus, sans doute beaucoup plus qu’un autre aspect peu reluisant de l’œuvre de Karl Marx : son antisémitisme sans bornes. lors, un juif finançant le marxisme est bien un Erev Rav !  Marx plus antisémite qu’Hitler disait : «Il y a un Juif derrière chaque tyran, tout comme il y a un Jésuite derrière chaque Pape. En réalité, les espoirs des oppresseurs seraient vains et la guerre pratiquement impossible s’il ne se trouvait quelque Jésuite pour endormir les consciences et quelque Juif pour faire les poches.(…) Hope inspirant le respect des plus éminents marchands de son époque, et Stieglitz faisant partie de la franc-maçonnerie juive, qui a toujours existé, ces deux pouvoirs combinés pour influencer tout à la fois les marchands les plus haut placés et les plus petits travailleurs, ont été mis au plus grand profit de la Russie (la théorie du fameux «complot» judéo-maçonnique c’était de Marx ? Bizarre vous avez dit bizarre, comme c’est curieux) (…) Mais les Hope ne fournissent que le prestige de leur nom : le vrai travail est fait par les Juifs, et ne peut l’être que par eux, puisqu’ils monopolisent et maîtrisent tout l’appareil de prêt à intérêt. Ils concentrent en effet leurs énergies sur le commerce de titres financiers, ce qui fait qu’ils manipulent de grandes quantités de monnaies et de factures. Prenez Amsterdam par exemple, une cité qui abrite beaucoup des pires descendants des Juifs, (…) et où ils ne sont pas moins de 35.000, dont beaucoup sont impliqués dans les jeux d’argent ou la finance. Ici et là, dès qu’une somme d’argent cherche preneur, l’un de ces petits Juifs est là pour lui faire une suggestion et le placer. Le plus habile bandit de grand chemin des Abruzzes n’est pas mieux renseigné sur le contenu de la valise d’un voyageur que le Juif ne l’est sur le moindre capital disponible. Ainsi ces emprunts qui sont une malédiction pour le peuple, une ruine pour leurs détenteurs, et un danger pour les gouvernements, sont une bénédiction pour les enfants de Judée. Cette organisation de financiers juifs (Marx désigne ici les juifs hollandais) est aussi dangereuse que les organisations aristocratiques de propriétaires terriens. (…) Ne nous croyons pas trop sévères envers cette gent de financiers. Le fait qu’il y a 1855 ans le Christ a chassé les marchands du Temple, et que les marchands contemporains engagés du côté de la tyrannie se trouvent être ces mêmes Juifs n’est peut-être rien de plus qu’une coïncidence historique. Les financiers juifs font seulement à une échelle plus large et plus insupportable ce que d’autres font à un niveau moins significatif. Mais c’est seulement parce que les Juifs sont si puissants qu’il est plus que temps de mettre à jour et de dénoncer leur organisation».  

On pourrait objecter que Marx s’attaque ici aux Juifs non pas pour ce qu’ils sont mais pour ce qu’ils font. Cependant pour le lecteur attentif il est impossible d’ignorer que nulle part la distinction n’est établie, l’article étant comme d’habitude à l’image de la pensée marxiste une suite de généralisations grossières et d’amalgames douteux. Au détour d’une phrase on devine que Marx tient particulièrement en horreur la religion (juive, en l’occurrence) qu’il reproche à certains financiers de pratiquer de manière très ostensible. Mais au total c’est bien à l’activité économique supposée de toute une catégorie de population qu’il s’en prend, sans jamais envisager l’idée que tous les Juifs de son époque ne sont pas des financiers, petits ou grands. Dans Max Stirner, Diederick Dettmeijer s'interroge sur la conception qu'a Marx du judaïsme et pose la question : «comment peut-on définir l'essence du judaïsme en usant de qualifications qui peuvent sans autre être appliquées à la société bourgeoise tout entière, où le nombre de Juifs dépasse à peine un centième de la population ?». Pour Dettmeijer, Marx prévoit cette question et « met en avant une théorie encore plus primaire: la théorie fameuse de la «conspiration»: la société bourgeoise, dite chrétienne, est en vérité «enjuivée». Le père, de Karl Heinrich Mordechai Marx était Heinrich Marx (1777-1838), né Herschel Marx Levi Mordechai, un avocat issu d'une famille de rabbins juifs ashkénazes — le grand-père d'Heinrich, Meier Halevi Marx, était devenu rabbin à Trèves en 1723 et ses fils et petit-fils furent les premiers à recevoir une éducation séculière — et de marchands propriétaires de vignobles dans la vallée de la Moselle. Pour exercer sa profession d'avocat, il se convertit au protestantisme en 1816 ou 1817, et changea son prénom de Herschel en Heinrich. Sa mère, Henriette Pressburg (20 juillet 1788-30 novembre 1863), est issue d'une famille juive hollandaise. Restée attachée à la religion juive, elle ne se convertira au luthérianisme qu'en 1825, après la mort de son père, qui était rabbin. Elle est la grand-tante des frères Gérard Philips et Anton Philips, fondateurs de la société Philips. Karl Marx est baptisé dans le luthéranisme en 1824 et confirmé à l'église de la Trinité de Trèves en 1834. Bien que son père respecte la tradition juive en donnant à son fils le prénom de son grand-père, Karl Heinrich Mordechai, il n'est pas élevé de façon religieuse et il n'y a aucune preuve que la famille Marx ait pratiqué la religion luthérienne ou juive. On peut relire Marx, en débattre, mais cela n’autorise pas à le glorifier en dépit de ses positions antisémites et de l’influence mortifère de sa pensée sur des régimes politiques les plus dictatoriaux et meurtriers du siècle passé. Félix José Weil était marxiste donc forcément un juif Erev Rav. Grünberg eut parmi ses élèves de nombreux représentants de l'austromarxisme, dont Hilferding, Otto Bauer (Otto Bauer, né en 1881 à Vienne en Autriche et mort en 1938 à Paris, est un homme politique socialiste autrichien et un théoricien de l'austromarxisme, Voir ici une sorte de marxisme culturel) et Max Adler. Karl August Wittfogel, l'auteur du Despotisme oriental (1956), ainsi que Henryk Grossmann furent aussi ses étudiants.
Venons-en à Jürgen Habermas, pour une fois nous n’avons pas affaire à un Erev Rav, mais à un ex membre des Jeunesses hitlériennes, envoyé à la Ligne Siegfried comme auxiliaire de front du parti nazi. Habermas est né en 1929 à Düsseldorf dans une famille protestante et fut le collaborateur d’autres «philosophes», dont les marxistes culturels et juifs Erev Rav Adorno, Horkheimer et Marcuse, de l’École de Francfort, qui, à cause de leur origine, avaient connu l’exil sous le social nationalisme, malheur auquel il avait échappé (jeunesse Hitlérienne oblige). Dans son autobiographie publiée à titre posthume, Joachim Fest qualifiera Habermas de «dirigeant des Jeunesses Hitlériennes lié au régime jusqu’à la moelle». Cela n’a rien d’étonnant quand on sait qu’Hitler était socialiste. Je mettrais à part Jürgen Habermas théoricien allemand en philosophie qui est avec Axel Honneth l'un des représentants de la deuxième génération de l'École de Francfort, qui développe une pensée qui combine une certaine forme du matérialisme historique de Marx avec le pragmatisme américain, la théorie du développement de Piaget et Kohlberg, et la psychanalyse de Freud (Il n’est pas étonnant qu’une partie des théories marxistes culturelles puisent leurs sources aux absurdes théories de la psychanalyse, la plus vaste des supercheries intellectuelles des temps modernes. La psychanalyse relève comme le communisme ou le marxisme culturel de la croyance, de la foi, (ce qui explique la dimension théologique, ecclésiale et pour tout dire sectaire de son organisation) tout comme le marxisme que Raymond Aron, voyait comme une religion séculière. Bien sûr avec raison puisque le marxisme culturel consiste à modifier la société de manière subtile, en faveur du collectivisme, des absurdes thèses du Freudo-marxisme et du communisme, pour faciliter une éventuelle prise de pouvoir ultérieure (En 1955, Herbert Marcuse membre de l'École de Francfort, qui fut d'abord marxiste puis théoricien du marxisme culturel avant de s'intéresser au freudisme, publie dans une optique de néomarxisme ou même Marxien (Deux quasi synonymes de marxisme culturel), Éros et civilisation, dans lequel il désigne le principe de plaisir comme force permettant de lutter contre l'ordre établi (l’ordre forcément capitaliste). Il s'agit d'un renversement de la perspective freudienne, Marcuse souhaite donner à l’imposture psychanalytique un statut subversif (la psychanalyse est aussi structurée comme une religion sans dieu, dont Sigmund Freud serait le prophète) Le socialisme et d’autant plus le marxisme culturel étant absurde aussi bien philosophiquement qu’économiquement, plus le socialiste ou le marxiste culturel sera intelligent et informé, moins il sera un idiot utile, et plus il sera un hypocrite et un manipulateur. Les arguments en faveur du socialisme ne sont dès lors pas conceptuellement valables, ni même sincères : ce ne sont que des instruments rhétoriques, ce que François Guillaumat a appelé «faire du bruit avec la bouche» par opposition à un discours rationnel et honnête.
Axel Honneth un vrai marxiste culturel est né le 18 juillet 1949 à Essen, c’est un «philosophe» et sociologue allemand (prendre ici le mot sociologue comme marxiste culturel, nom qu’il gardera jusqu’à aujourd’hui). Il est depuis 2001 directeur de l'Institut de recherche sociale — connu pour avoir hébergé l'École de Francfort — à Francfort-sur-le-Main en Allemagne. Depuis 2011, il est professeur à l'université Columbia à New York. Dans le champ de la philosophie sociale et pratique c’est-à-dire de l’application du marxisme culturel mondialiste, Axel Honneth est aujourd’hui associé au projet de relancer la fameuse théorie critique amorcée par l’École de Francfort au moyen d’une théorie de la reconnaissance réciproque, dont il a formulé le programme dans La Lutte pour la reconnaissance (1992 pour l’édition originale allemande, 2000 pour la traduction française).
Avec Max Horkheimer nous renouons avec le juif Erev Rav dans sa plénitude. Né le 14 février 1895 et mort le 7 juillet 1973, c’était encore un petit piteux «philosophe» et un «sociologue» allemand auto proclamé (En pratique, la sociologie contemporaine, représentée par les chercheurs subventionnés par l'État, loin de se borner à une étude «objective» ou scientifique de la société, a des visées interventionnistes et constructivistes très marxistes), connu pour être le directeur de l'Institut de Recherche sociale (Institut für Sozialforschung), à l'origine de la célèbre École de Francfort marxiste culturelle de 1930 à 1969, et un des fondateurs de la théorie critique (Kritische Theorie). Après l'arrivée des sociaux nationalistes au pouvoir et la fermeture de son institut, Horkheimer part à Genève, Paris puis New York où il refonde l'Institut pour la recherche sociale à l'université Columbia, ce qui explique qu’Axel Honneth y soit professeur. Son élève et successeur à la chaire de Francfort est Alfred Schmidt. Horkheimer est citoyen d'honneur de Francfort-sur-le-Main et est malgré son statut d’Erev Rav enterré au cimetière juif de Berne.                                                                                  C’est sans souci qu’on continue avec un autre Erev Rav Otto Kirchheimer qui est dit pour une fois sur Wikipédia.org : Juif et socialiste, occultant bien sur la dimension marxiste des idées de ce membre militant de l’école de francfort qui est contraint de fuir l’immonde socialisme du sieur Hitler (Je ne vous ai pas dit qu’Adolph était socialiste ? De plus c’est lui qui disait dans un discours prononcé au parti National Social Nationaliste en août 1920, à Munich: «Si nous sommes socialistes, alors nous devons forcément être antisémite». Joseph Goebbels expliquera pourquoi les sociaux nationalistes devaient être Socialistes en 1932 avec Mjölnir, dans Die verfluchten Hakenkreuzler, une brochure sociale-nationaliste dont plusieurs centaines de milliers d’exemplaires furent imprimés et largement distribués à partir de 1928-1929. Extrait : «Nous sommes contre la bourgeoisie politique, et pour un authentique nationalisme ! Nous sommes contre le marxisme, mais pour un vrai socialisme ! Nous sommes pour le premier État national allemand de nature socialiste ! Nous sommes pour le Parti socialiste-national des travailleurs allemands ou NSDAP véritable non du parti dit nazi, mauvaise traduction dérivée de l’argot Berlinois). Kirchheimer, né le 11 novembre 1905 à Heilbronn et mort le 22 novembre 1965 à New York, était un juriste marxiste allemand dont les travaux théoriques ont porté essentiellement sur l'État et la Constitution. Après sa fuite d’Allemagne il devient professeur de droit public à Columbia University à New York le haut lieu du marxisme culturel aux états Unis. Il était parti à Paris en 1933 où il enseignera auprès de l'Institut de Recherche Sociale (Institut für Sozialforschung) de Francfort-sur-le-Main qui est alors et pour un temps très court en exil à Paris. L'Institut s'installant rapidement aux États-Unis à l’université Columbia, Kirchheimer le suivra outre-Atlantique en 1937. Il est considéré comme l'un des principaux théoriciens allemands de l'État.                                                                                                C’est Otto Kirchheimer qui utilisant en maître la panoplie marxiste culturelle de la haine fasciste rouge et particulièrement sa règle N° 1: L’infiltration des partis existants (plutôt que création de nouveaux partis), créera la notion de «parti attrape-tout» (catch-all party) type de parti nettement marxiste culturel qui se définit par «sa capacité d’attirer des individus ayant des points de vue différents les uns des autres, des électeurs venant d’horizons divers, des hommes et des femmes qui peuvent venir de la gauche comme de la droite». Vous en avez en France aujourd’hui l’exemple le plus clair avec La Ripoublique En Marche, le qualificatif «attrape-tout» a bien été utilisé pour définir La République en marche, notamment sur Wikipédia. Ce concept marxiste culturel utilisé en «sciences politiques» a été introduit par un article intitulé : The transformation of the Western party systems, (La transformation des systèmes de partis occidentaux) publié en 1966. Dans son écrit, le théoricien marxiste culturel allemand constate l'émergence d'un type nouveau de parti, étant faiblement bureaucratique, faiblement organisé, pouvant être aussi caractérisé par une centralisation du pouvoir dans les mains du leader et de son entourage immédiat exactement comme en Macronie. En se concentrant autour d'une figure, seul capable de tenir la structure du fait d'une bureaucratie insuffisante, un parti attrape-tout peut alors se transformer en parti dit «charismatique», selon l'expression d’Angelo Pannebianco.
Pour ne pas changer, venons-en encore à un autre juif Erev Rav Siegfried Kracauer, journaliste et «sociologue», écrivain et théoricien qui n’était qu’un proche de l'école de Francfort, ami de la nébuleuse des Erev Rav de la haine rouge de cette «école» avec Walter Benjamin, Theodor W. Adorno, Ernst Bloch était une figure marquante de la gauche «intellectuelle» sous l'Allemagne de Weimar. En 1927, il publie Ornament der Masse (L'Ornement de la masse). Son intérêt pour le marxisme le conduit à rejeter la plupart des aspects du fameux capitalisme. En 1933, Kracauer s'exile à Paris, puis aux états unis, plus précisément à New York en 1941. C'est en 1947 qu'il publie De Caligari à Hitler, une histoire psychologique du film allemand. Cet ouvrage typiquement marxiste culturel ouvre une ligne de fuite entre l'esthétisme cinématographique et les états psychologiques qui secouent la société allemande et constitue un texte extrêmement critiqué de la sociologie du cinéma.
Avec comme toujours un juif Erev Rav Léo Lowenthal né à Francfort, dit fils de «juifs assimilés» (mais si, ça existe bel et bien le "juif assimilé" devient alors une sorte d'Erev Rav moderne, comme le père de Léo qui était médecin) on atteint des sommets. Löwenthal a atteint sa majorité au cours des premières années tumultueuses de la République de Weimar. Il rejoignit l'Institut de recherche sociale (l’école privée marxiste culturelle à Francfort maintenant bien connue) récemment fondé en 1926 et devint rapidement son principal «expert en sociologie» de la littérature et de la culture de masse, soit de la théorie marxiste culturelle et de sa règle N°4 : Destruction des valeurs de solidarité telles la famille ou la nation et sa règle N° 5 : Destruction des repères culturels et moraux fondateurs sabotant le judéo-christianisme. Löwenthal devient aussi le rédacteur en chef de la revue créée en 1932, la Zeitschrift für Sozialforschung », s’affirmant comme marxistes hétérodoxes et indépendants, ouverts à de prétendus nouveaux courants intellectuels tels que la psychanalyse et à majorité juive Erev Rav (La psychanalyse est une pseudo médecine : Peter Medawar dans The limits of science, chez Oxford University Press, dira déjà en 1985 : «L'opinion gagne du terrain, selon laquelle la doctrine psychanalytique est la plus prodigieuse escroquerie intellectuelle du vingtième siècle et un produit condamné avec ça, une voie sans issue, quelque chose de l'ordre du dinosaure ou du zeppelin dans l'histoire des idées, une vaste structure d'une conception radicalement inadaptée et vouée à rester sans postérité», bien sûr Freud était un marxiste). Löwenthal avec les membres de l'Institut marxiste culturel fuirent rapidement l'Allemagne lorsque Hitler arriva plus ou moins démocratiquement au pouvoir en 1933 (Il fut nommé Chancelier du 3ème Reich -1er ministre) par Hindenburg  Après une année à Genève (certains disent à Paris), ils s'installèrent à New York, où l'université de Columbia abrita une néo école de Francfort marxiste culturelle. Löwenthal entretenait des relations étroites avec ses collègues, même pendant la guerre, plusieurs d'entre eux s'étant installés en Californie et commençant à travailler pour l'Office of War Information à Washington. Bien que Horkheimer , Adorno et Friedrich Pollock soient revenus à Francfort pour rétablir l’Institut après la guerre, Löwenthal, comme les anciens membres Herbert Marcuse , Franz Neumann , Otto Kirchheimer et Erich Fromm , décida de rester aux États-Unis. Après sept ans en tant que directeur de recherche de Voice of America et une autre année au Centre de recherche avancée sur les sciences du comportement de Stanford , il a rejoint le département discours de Berkeley en 1956, puis peu après le département de sociologie. Bien que prenant officiellement sa retraite en 1968, Löwenthal demeura vigoureusement actif dans les affaires des départements et des universités jusqu'à la fin de sa vie.
Kurt Mandelbaum est donné comme membre de l’école de Francfort (1904/1995) c’était un soi-disant économiste connu pour son apport dans le domaine de l'économie du développement. Mandelbaum juif Erev Rav marxiste vivait sous les pseudonymes d’Erich Baumann ou Kurt Baumann et Kurt Martin depuis 1947, caractéristique notoire du marxiste et du juif Erev Rav honteux. Sous la médiation de Karl Korsch, Mandelbaum s'était présenté à l'Institut de recherches sociales de Francfort, dont le directeur de l’époque, Carl Grünberg, avait supervisé sa thèse sur le débat sur le problème de l'impérialisme dans la social-démocratie allemande au cours des décennies précédant la Première Guerre mondiale. Après la montée en puissance du social-nationalisme et la fermeture de l'Institut de recherche sociale, Mandelbaum se rendit d'abord à Genève, où il travailla très brièvement à la branche locale du fameux Institut. Il est ensuite allé à Vienne et plus tard à Paris. Il y rejoint le groupe d'émigrés Neu Beginnen, au sein duquel il joue un rôle important dans les discussions programmatiques (Neu Beginnen ou New Beginning (NB ou Nouveau commencement), ainsi que l'organisation léniniste (ORG ou LO) ou le groupe Miles, était une organisation marxiste de résistance contre le socialisme-nationaliste. Vers 1929, des critiques fondamentales sont adressées aux partis dit ouvriers et marxistes dont le Parti communiste allemand ou KPD et le SPD ou Parti social-démocrate d'Allemagne. Le noyau fondateur de l'organisation est Walter Loewenheim (juif Erev Rav lui aussi, né le 18 avril 1896 à Berlin, décédé en 1977 à Londres), dit Walter Lowe, aussi connu sous les pseudonymes de Miles, Kurt Berger et Kurt Menz était un juif Erev Rav marxiste, fondateur et théoricien du groupe New Beginning et des combattants de la résistance contre le social-nationalisme). Le frère de Walter Loewenheim était Ernst Loewenheim qui avec  plusieurs autres anciens marxistes étaient responsables du parti communiste Allemand le KPD; Pour l'organisation léniniste, ce parti était considérés comme sectaire et bourgeois. Se référant à l'écriture de Lénine Que faire? (Que faire ?, sous-titré Questions brûlantes de notre mouvement est un traité politique écrit par le marxiste russe Vladimir Ilitch Oulianov dit Lénine (du nom d'un fleuve sibérien, la Léna) en 1901 et publié en 1902. Déjà agité par le doute, le grand futur criminel contre l’humanité Oulianov dans Que Faire? (sous-titré Questions brûlantes de notre mouvement. En 1904, Léon Trotski, qui s'alliera par la suite à Lénine, en parlera avec une clairvoyance certaine dans Nos tâches politiques, comme d'une «pitoyable caricature du jacobinisme» qui aboutirait à la domination d'un dictateur), fait valoir que la prétendue classe ouvrière ne deviendra pas spontanément révolutionnaire par des luttes économiques pour les salaires ou pour la réduction du temps de travail. Pour convertir la classe ouvrière au marxisme (ce qu’il n’arrivera jamais à faire, hormis une très courte période par la terreur), insiste le camarade Vladimir Ilitch Oulianov, les marxistes doivent former un parti politique ou une «avant-garde», des révolutionnaires dévoués à diffuser les idées marxistes parmi les travailleurs qui pour la plupart sont analphabètes, ce qui va considérablement compliquer le problème. La brochure précipite la scission du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR) entre les bolcheviks et les mencheviks), Mandelbaum a planifié la construction d’un réseau de cadres révolutionnaires clandestins, hiérarchisés, libérés des influences culturelles bourgeoises). C'est pourquoi, plus particulièrement à Berlin, mais également dans d'autres villes universitaires, il a recruté des membres intellectuels plus critiques du SPD, du KPD et du KPO , notamment Karl Franck dit Paul Hagen, Ossip K. Flechtheim d’origine juive, Flechtheim établit en 1939 des contacts avec l'Institute for Social Research de Genève, puis émigra aux États-Unis après avoir accepté la bourse offerte par Max Horkheimer, directeur de l'institut, lors de son déménagement à l'université Columbia de New York. Il y rencontra Erich Fromm, Herbert Marcuse et fit également la connaissance d'Isaac Asimov. C’est en 1943 que Flechtheim a inventé le terme «futurologie» en tant que traitement systématique et critique de la problématique liée aux études futures. Comme membres de Neu Beginnen on trouve aussi Richard Löwenthal (pseudonyme : Paul Sering, né 1908 à Charlottenburg , décédé en 1991 à Berlin), c’était un Allemand d’origine juive «politologue» et marxiste culturel affirmé. De 1961 à 1974 il a été professeur à l'Université libre de Berlin. Il a abordé les problèmes de la politique mondiale, la démocratie, le communisme et la politique universitaire) et Georg Eliasberg (John (George) Eliasberg (né en 1906 à Wiesbaden , décédé en 1972 à Berlin) était un journaliste marxiste allemand. En 1926, il intègre le groupe d'étudiants rouges et le KPD. Avec Richard Löwenthal et Franz Borkenau, il appartenait à la direction du groupe étudiant communiste (Kostufra) dans le Reich. Tous les trois ont été expulsés du KPD à la fin de 1929 en tant que «dissidents» parce qu'ils avaient critiqué la ligne communiste de lutte contre la social- démocratie en tant que «social-fascistes». Ils ont alors contacté l'Organisation léniniste. Lorsque le groupe a commencé Neu Beginnen après la prise du pouvoir par les sociaux-nationalistes, ils rentrent dans l'illégalité, Eliasberg a pris à partir de 1935 la direction nationale du groupe. Au cours d'une vague d'arrestations, il fut arrêté à l'été 1935 et accusé de préparation de haute trahison. Le 8 septembre 1936, il fut condamné à quatre ans et six mois de prison, qu'il purgea au pénitencier de Brandenburg-Görden et à Waldheim. Après sa libération en 1940, il a été expulsé en tant qu’étranger ennemi et a finalement émigré en 1941 via Gênes et la République dominicaine aux États-Unis. Il y travailla jusqu'à la guerre pour Karl Frank, pour le service de presse américain OSS et sous le pseudonyme de Stefan Weyl en tant que commentateur pour les émissions allemandes de la station «Voice of America». À l'automne 1931, l'organisation qui comptait alors 40 membres réussit à gagner une partie de la direction du SAJ (Jeunesse Ouvrière Socialiste) de Berlin avec Fritz Erler , Erich Schmidt et Kurt Schmidt pour l'ORG et ainsi influencer les structures du SPD de Berlin. En outre, des membres individuels du KPD, du KPO et du SAPD ont été recrutés, de sorte que le groupe comptait environ 100 membres au début de 1933).
Revenons à Mandelbaum qui en 1935, s'installe en Grande-Bretagne. Là, il a continué à écrire des articles pour le Journal of Social Research. Il était également responsable de la gestion de certains actifs du Social Research Institute de New York. En 1940, Mandelbaum a finalement trouvé un emploi à l'Institut de statistique de l'Université d'Oxford, où il a effectué des «recherches» jusqu'en 1950, parfois en tant qu'assistant de William Beveridge. En 1945, Mandelbaum publia son ouvrage principal, consacré à l'industrialisation des zones arriérées. Avec ce travail, il est devenu l'un des fondateurs de l'économie du développement. Mandelbaum a été classé comme ennemi de l'État par les autorités de la police sociale-nationaliste et a été officiellement expatrié vers 1937. Au printemps 1940, le bureau principal de la sécurité du Reich à Berlin le plaça sur la liste des enquêtes spéciales GB, liste de personnes que l'appareil de surveillance social-nationaliste considérait comme particulièrement dangereuses. C'est pourquoi elles succèdent aux forces d'occupation en cas d'invasion et d'occupation réussies des îles britanniques par la Wehrmacht. En 1950, Mandelbaum - qui avait pris le pseudonyme de Martin en 1947 - s’installa à l’Université de Manchester, où il resta actif jusqu’en 1969. Pendant ce temps, il a contribué à la création du département d'économie de cette université. En outre, il était depuis 1964 coéditeur de la revue cofondée Journal of Development Studies. Les recherches et l'enseignement de Martin à Manchester ont été interrompus par deux congés d'un an au cours desquels il a enseigné à l'université de Princeton et au service de conseil international de Harvard en Indonésie. En 1969, Mandelbaum dit Martin devient professeur d'études sur le développement à l'Institut d'études sociales de La Haye. Il y a enseigné à des étudiants de troisième cycle de pays en développement dans le domaine de la planification économique. Il a également publié le magazine de l'institut Development and Change. En 1986, il prend sa retraite. Dans sa jeunesse, Mandelbaum était impliqué dans la politique de gauche marxiste culturelle et avait passé plusieurs années à la Frankfurt School for Social Research. Il a aussi fréquenté l’Institut international d’études sociales (ISS) de l’Université Erasmus de Rotterdam, une école supérieure indépendante et internationale de sciences sociales critiques de pur marxisme culturel axées sur les politiques. L’ ISS a été créée en 1952 par des universités néerlandaises et le ministère de l'Éducation des Pays-Bas. L'institution est située aux Pays-Bas, à La Haye, également connue sous le nom de «capitale juridique du monde». Entre 300 et 400 étudiants sont inscrits aux programmes de l'ISS, principalement au programme de maîtrise et de doctorat en études du développement. En plus de son enseignement et de sa recherche, ISS est actif dans les domaines du travail de conseil et des projets de renforcement des capacités institutionnelles. Les anciens de l’ISS proviennent de plus de 150 pays différents.
Certainement un des plus connu conceptualiste des nidoreuses thèses marxiste culturelles de l’«école» de Francfort Herbert Marcuse, sinistre caricature du juif Erev Rav est né en 1898 à Berlin et mort en 1979 à Starnberg (Bavière), il était présenté comme un sociologue marxiste, américain d'origine allemande, membre de l'École de Francfort . Marcuse est le fils aîné d'une famille juive très aisée et «assimilée» de Berlin (L'assimilation pour un Juif serait pour Wikipédia un processus au cours duquel il abandonne tout ou partie de son identité juive au profit des pratiques de sa société d'adoption. Oubliant sciemment la formulation de juif Erev Rav. La littérature tannaïtique (rédigée au début du troisième siècle de notre ère en Palestine cette littérature est la base d’une religion nationale, juive), les Talmuds et le Midrash se montrent très explicites, et sévères, avec l’Erev Rav ou juif «assimilé» : il ne s’agit plus seulement de convertis insincères ou d’esclaves mais aussi, d’artisans habiles et de gens instruits (la plupart des Erev Rav marxistes étaient des gens instruits); leur nombre est, quoi qu'il en soit, bien supérieur à celui des Hébreux. Le Gaon de Vilna explique que les érèv rav sont ceux dans le peuple juif qui au lieu de contrer «ceux qui parmi les Nations causent du tort au peuple juif» choisissent la polémique et s’en prennent à lui utilisant les «fausses vertus des hypocrites et des trompeurs» ce qui caractérisent bien les gens de gauche, marxistes, socialistes, communistes ou assimilés d’aujourd’hui. Important durant l'Antiquité quand se développe le judaïsme hellénistique, le phénomène devient marginal jusqu’à l’ère moderne car des mesures sont prises pour ségréguer les Juifs des sociétés ambiantes et l’accès à celles-ci implique le plus souvent d’abandonner le judaïsme. Dès le XVIIIe siècle en revanche, les Lumières et leurs épigones juifs de la Haskala établissent un programme d’acculturation destiné à obtenir ou faciliter l’émancipation des Juifs dans les sociétés occidentales — ce programme s’accompagne d’un abandon massif des pratiques juives voire souvent de la société juive. L’assimilation, activement recherchée par ceux qui visent à une plus grande mobilité sociale, est donc rapidement considérée de manière péjorative par les tenants d'une définition sociale ou religieuse du fait juif qui considèrent très justement qu’elle mène à la disparition du peuple juif). Herbert Marcuse est appelé sous les drapeaux dans la Reichswehr après son Abitur (équivalent du baccalauréat français). Lors de la guerre de 1914-18, où il fut enrôlé dans des unités de l'arrière, il adhère en 1917 au Parti social-démocrate d'Allemagne (SPD) et participe à un stupide conseil de soldats. Cependant il quitte le SPD après l'assassinat de Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg en 1919, écœuré de voir que le parti social-démocrate «travaillait en collaboration avec des forces réactionnaires, destructrices et répressives» lors de l'écrasement inéluctable de la piteuse «révolution» communiste des spartakistes, et milite au sein du mouvement spartakiste qui formera ensuite en décembre 1918 l’immonde Parti communiste d'Allemagne (KPD). C'est bien plus tard en 1932 que Marcuse entrera en contact avec le fameux Institut de Recherche sociale de Francfort dite aussi on vous l’a assez répété : «Ecole de Francfort» où il côtoie les fameux et désormais bien connus Max Horkheimer et Theodor Adorno. Dès la prise de pouvoir par les sociaux-nationalistes en 1933, il émigre avec sa famille, d'abord en Suisse, puis aux États-Unis, après un bref passage à Paris. Il est engagé par l'Institut de Recherche sociale, qui s'est déjà installé à New York. En raison de la très mauvaise situation financière de l'Institut, Marcuse doit accepter un poste à l’Office of Strategic Services (OSS), où il travaille sur un programme de dénazification.                                                                                                                                                En 1955, il adopte, en bon marxiste culturel dans Éros et civilisation, une lecture dite marxienne ou imprégnée d'un Freudo-marxisme de bon aloi toute entière marxiste culturelle et freudo-marxiste  et critique le révisionnisme néo-freudien. Il forge le concept idiot de «désublimation répressive, ce qu’on appelle souvent à tort, la contre-culture au lieu de marxisme culturel conduit à mettre en cause les catégories de la pratique sociale, la frontière du normal et du pathologique, du légal et de l'interdit. L’ensemble des courants de pensée, des mouvements et même des associations volontaires qui forment la contre-culture de l'époque contemporaine, dans les sociétés industrielles capitalistes, n'aurait pas d'unité propre. Il serait évidemment beaucoup plus exact de parler d'oppositions culturelles. C'est aux États-Unis que le marxisme culturel appelé «contre-culture» est né, (Cette «contreculture» a eu les néfastes effets les plus étendus dès qu'elle a trouvé ses héros comme Marcuse et ses analyses. L'influence américaine s'est étendue surtout à l'Europe occidentale, où cependant elle a été limitée par la force des mouvements marxistes ou communistes militants en France et en Italie. Partout le marxisme culturel ou contre-culture s'est mêlée aux nouveaux mouvements contestataires, en particulier parmi les étudiants (Infiltration classique marxiste culturelle). Mais sans jamais se confondre avec eux et parfois en marquant nettement la distance entre le changement culturel et le conflit politique. Il faudrait suivant certains auteurs, plus ou moins contaminés par le politiquement correct, distinguer à l'intérieur de la contre-culture des tendances diverses, en particulier celles qu'on pourrait nommer la nouvelle culture, le refus, la recherche de l'équilibre, la rupture culturelle, la contestation culturelle, alors qu’elle ne forme qu’une seule idéologie celle marxiste culturelle).                                                                                                                                                                           En 1964, il écrit L'Homme unidimensionnel (One Dimensional Man qui a pour sous-titre : Essai sur l'idéologie de la société industrielle avancée) qui paraît en France en 1968 et devient un peu l’incarnation théorique de la «révolte étudiante». En 1968, il voyage en Europe, et tient de multiples conférences et discussions avec les étudiants. Il devient alors une sorte d'interprète théorique de la formation des mouvements étudiants en Europe et aux États-Unis. Son engagement au sein des mouvements politiques des années 1960-1970 en fait l'un des plus célèbres «intellectuels» de l'époque. Affabulations, paranoïa, théorie de la conspiration, que tout cela me direz-vous. Et vous aurez raison ! Herbert Marcuse se trahira en écrivant: «C’est le peuple qui n’a pas rempli le rôle que lui avait réservé la théorie révolutionnaire … mis devant la possibilité de la révolution, le peuple aura préféré s’en détourner en adhérant profondément aux institutions principales définissant la civilisation occidentale… Une conscience non révolutionnaire – ou plutôt antirévolutionnaire – prévaut dans la majorité de la classe ouvrière, cela saute aux yeux (…) Il faut préférer la dictature des intellectuels au pouvoir d’un peuple encore imparfait, (…) Il est nécessaire, pour une société civilisée, que des éduqués aient des prérogatives politiques pour combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées». Voilà en résumé la doctrine appelée «Marxisme Culturel», ou déconstructivisme. Plus connue sous le nom de Politiquement Correct : Mort au Populisme, Mort au Peuple !
Paul Massing : Paul Wilhelm Massing né en 1902 décédé en 1979 à Tübingen) était encore un «sociologue» germano-américain et espion soviétique. Fils d'un inspecteur du cadastre il fréquenta le gymnase de Bad Kreuznach , puis il étudia l'économie et la sociologie à partir de 1923 à l'université de Francfort , en plus de la Cologne Business School et obtint son diplôme en commerce en 1926. En 1927, il étudie à la Sorbonne, à Paris, pendant un semestre. En 1928, il rentre à Francfort et termine son doctorat avec Wilhelm Gerloff sur les conditions agricoles en France au 19ème siècle et le programme agricole des socialistes français. Il a ensuite «travaillé» l’activisme révolutionnaire marxiste jusqu'en 1931 à Moscou à l'Institut international d'agriculture et à l’école Internationale Lénine. Après son retour en Allemagne en 1931, il était jusqu'en 1933 membre actif de l'appareil illégal du parti communiste d’Allemagne le KPD à Berlin et employé du Comité central en tant qu’agent du Komintern. Il a été arrêté par les sociaux nationalistes et détenu dans une cellule d'isolement au camp de Sachsenhausen pendant cinq mois. Après sa libération en 1935, il écrivit sous le pseudonyme de Karl Billinger le roman autobiographique Schutzhäftling 880, qu'il dédia à tous les anciens détenus. Après son premier voyage via Paris aux États-Unis, il est parfois rentré illégalement en Allemagne et a participé activement aux actions illégales du parti communiste le KPD. Il s'est détaché du KPD en interne au cours des procès de Moscou . En 1939, il émigre aux États-Unis, où il dirige pendant quelque temps une ferme avec son épouse Hede à Quakertown. Paul Massing a épousé la chercheuse en sciences sociales et en communication Herta Herzog. C’est grâce à sa première femme juive Erev Rav Hede Tune (Hedwig Massing, née Tune (1900-1981), une actrice autrichienne et espion communiste et soviétique aux États-Unis), fille d'un rabbin qu’il deviendra un espion rouge. Hede serait plus tard recrutée par le NKVD soviétique et, à son tour, recrutera son mari, Paul en 1954. Après le début de la Seconde Guerre mondiale , Massing a écrit le livre Hitler n’est pas un idiot dans lequel il a évoqué les plans d’extermination dangereux du dictateur socialiste. En 1942, il a enseigné à la nouvelle école de Francfort la Social Research Institute de la Columbia University à New York . À partir de 1948, il a enseigné la fameuse sociologie politique à la Rutgers University du New Jersey . Son œuvre importante parut en 1949: Répétition pour la destruction: étude de l'antisémitisme politique en Allemagne impériale. Il a été publié en allemand en 1959, traduit et édité par Felix Weil comme une histoire d' antisémitisme politique , avec une préface de Max Horkheimer et Theodor W. Adorno . L'antisémitisme politique de 1871 à 1914 est pour Massing le préalable spirituel à la destruction par l'industrie des Juifs par les autorités allemandes. En 1977, Massing et Herta Herzog-Massing rentrent à Grumbach. En 1978, il s'installe dans une maison de retraite à Tübingen, où il décède l'année suivante.
Ne perdons pas de vue les membres de l’école de Francfort comme Gerhard Meyer : Gerhard Emil Otto Meyer (né le 16 janvier 1903 à Altenbruch, † le 30 décembre 1973 à Chicago) était un économiste marxiste culturel allemand. Meyer était fils de pasteur protestant ce qui nous change des juifs Erev Rav, mais pas sur le fond. Après ses études, il a étudié l'économie de 1921 à 1925 à Halle, Tübingen, Rostock et Kiel. En 1925, il réussit l'examen pour devenir économiste diplômé à Rostock. Au cours du semestre d'été de 1925, il enseigne l'économie au Volkshochschulheim Habertshof. Il a ensuite poursuivi ses études à Kiel. Dans les années 1920, Meyer était employé du futur lauréat du prix Nobel Wassily Leontief à l'Institute for World Economics à Kiel. Meyer a obtenu son doctorat en 1930 avec un travail supervisé par Adolph Lowe sur le cycle agricole à l'Université de Kiel. Auparavant, il avait supervisé les études sur l'élasticité de l'étude de Leontief intitulée Analyse statistique de l'offre et de la demande. En 1932, Meyer suivit le professeur Lowe en tant que chercheur à l'Institut de recherche sociale de Francfort-sur-le-Main. Il y travailla en étroite collaboration avec Friedrich Pollock et Kurt Mandelbaum. Au printemps 1933, l'Institut de recherches sociales fut fermé avec l »arrivée au pouvoir des sociaux-nationalistes. Meyer a alors émigré en France, où il a travaillé de 1934 à 1935 à la section parisienne de l'Institut de recherche sociale. Cela a été suivi par un petit travail à la branche genevoise de l'institut. Au cours de ces années, il a écrit plusieurs articles sur la théorie et la politique de l'économie planifiée dans le Journal of Social Research. En 1935, Meyer se rendit au Royaume-Uni. Là, il a travaillé comme assistant de recherche à l'université de Manchester. A cette époque, il travaillait sur la théorie du chômage technologique. En 1937, Meyer s'installe aux États-Unis où il occupe un poste à la Faculté des sciences sociales de l'Université de Chicago. En 1965, il y reçut le rang de professeur de «sciences sociales». Après son émigration, Meyer fut classé en Allemagne comme ennemi de l’État: au printemps 1940, le bureau principal de la sécurité du Reich à Berlin le plaça sur la liste des enquêtes spéciales GB, liste de personnes que l’appareil de surveillance social-nationaliste considérait comme particulièrement dangereuses. 
Oskar Negt : Né le 1er août 1934 en Prusse-Orientale près de l'actuelle Kaliningrad, est un prétendu «philosophe» allemand, figure majeure de la théorie marxiste culturelle moderne dite théorie critique de l'École de Francfort. Certains lobotomisés  le qualifient de sociologue bien sûr et de pédagogue. Issu d'une famille socialiste, il est l'un des disciples du théoricien marxiste culturel Theodor W. Adorno et devient assistant «scientifique» (?) de Jürgen Habermas. Sur le plan théorique, il formule des objections au libéralisme politique de Habermas (L'Espace public, 1962, trad. par Marc B. de Launay, Payot, 1978) à travers un retour aux sources de la pensée critique ou marxistes culturels dans L'Espace public oppositionnel (Payot, 2007, textes choisis, introduits et traduits par Alexander Neumann). La pensée de Negt se nourrit d'expériences pratiques nombreuses et significatives. Fondateur du département de formation ouvrière du syndicat IG Metall, cofondateur d'une École alternative à Hanovre (Glocksee-Schule) qui dispense aujourd'hui l'équivalent du diplôme national du brevet, Negt a inspiré de nombreuses enquêtes au sujet des «cultures populaires», de l'éducation, de l'action collective ou encore du changement des traditions politiques. Entre 1972 et 2003, il dirige l'Institut für Soziologie de l'Université de Hanovre, en tant que professeur de la fameuse sociologie. Il est l'auteur d'une quarantaine de livres, sociologiques ou politiques (traduits dans une dizaine de langues étrangères), jusqu'alors peu connus en France. Son ouvrage majeur, rédigé «à quatre mains» avec le cinéaste et essayiste Alexander Kluge, intitulé Geschichte und Eigensinn (Histoire et subjectivité rebelle), comprend près de mille pages. Il s'agit d'une triple réplique à Histoire et conscience de classe de Georg Lukács, à la Théorie de l'agir communicationnel de Habermas et à L'Anti-Œdipe de Félix Guattari et Gilles Deleuze. Comme l'ouvrage annonce l'effondrement inévitable du communisme de caserne (le marxisme classique remplacé par le marxisme culturel) est-européen, il est largement diffusé après la chute du Mur de Berlin (dernière édition en 2001, ed. Zweitausendeins, Francfort). Après un passage à Paris en mai 68 (tu m’étonne), Negt s'est référé à Jean-Marie Vincent (théoricien du marxisme culturel Français qui réinterprète de manière communiste trotskiste et marxiste culturelle la théorie critique du capitalisme chez Marx), André Gorz (Né à Vienne (Autriche) en 1923 sous le nom de Gerhart Hirsch, André Gorz est à l’origine ingénieur chimiste, il est en 1955, recruté comme journaliste économique à L'Express. Il obtient la nationalité française en 1957. Parallèlement, il côtoie le groupe des sartriens et adopte une interprétation existentialiste du marxisme qui l’amène à accorder une place centrale aux questions d’aliénation et de libération, le tout dans le cadre d’une réflexion marxiste culturelle dont le fil conducteur est l’attachement à l’expérience existentielle et à l’analyse des systèmes sociaux du point de vue du vécu individuel), Pierre Bourdieu (Bourdieu ou la substantifique moelle du marxisme culturel) et Michel Foucault (Paul-Michel (dit Michel) Foucault, un homosexuel mort du SIDA était une des voies marxistes culturelles Françaises, Foucault demandera l'abrogation de certains des articles de la loi sur la majorité sexuelle afin de dépénaliser les relations consenties entre adultes et mineurs de moins de quinze ans. Cà c’est pour comme quasiment tous les pédérastes, pouvoir enfiler des petits garçons avec impunité ! Monsieur le ministre Français Frédéric Mitterrand dans «Mauvaise vie», publié en 2005 écrira : «De même que «la solution Maghreb», dépannage de fortune sur lequel il n'y a pas d'illusions à se faire: «On sert de femme de remplacement et de livret de caisse d'épargne; les beaux gosses arrivent comme au sport et pour financer l'électroménager de leur futur mariage avec la cousine choisie par leur mère».(…) «L'argent et le sexe, je suis au cœur de mon système». Avec Gustave Flaubert on en apprend un peu plus dans : Le côté homosexuel de Flaubert, par Harry Redman, Éditions A l’ écart, 1991, pp.39 à 42 : «On retient le bain pour soi et on enfile son gamin (pour Mitterrand c’est un «gosse») dans une des salles. Tu sauras du reste que tous les garçons de bain sont bardaches. Les derniers masseurs, ceux qui viennent vous frotter quand tout est fini sont ordinairement de jeunes garçons assez gentils». Et André Gide donc, qui a Hammamet ne se serait pas permis d’exercer son abominable vice sur des enfants de 10 ans, non !14 ans, c’était déjà bien trop vieux pour lui : «On m’avait promis un jeune garçon expliquait Gide, dans une ville où il cherchait des mousses et j’ai vu arriver un vieux chameau de quatorze ans». (Cité par Roger Peyrefitte ; Le regard des autres)). Oskar Negt est notamment intervenu au sein du débat français à travers ses articles pour Variations, revue internationale de théorie critique

Michel Alain Labet de Bornay

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire