Sylvain Afoua dit aujourd’hui Egountchi Behanzin un
vrai nom à coucher dehors avec un billet de logement aura tout essayé, rappeur
raté au nom de scène à chier de Gucci-ID, il choisit pour pseudo ridicule comme
on vient de le voir le nom d’un prétendu «roi»
du Dahomey, Egountchi Behanzin de son vrai nom Gbèhin azi bô ayidjlè Ahossou
Gbowelé dit «prince» Kondo, dont le
couronnement sera notamment marqué par des merveilleux et traditionnels sacrifices
humains et s’auto proclame en 2017 le chefaillon en France de la «Ligue de défense noire africaine» un «mouvement pour la défense des droits des
Afrodescendants et des Africains aux sacrifices humains et au traditionnel cannibalisme».
Afoua se définit comme un «activiste
politique, anti-négrophobie, panafricain (et) révolutionnaire». En un mot ce «jeune
homme» est un sale raciste! Les journalopes de la presse allah botte des
marxistes culturels disent eux «racialiste». Il est ici sur tweeter .
Jean
Messiha a estimé que l’homme est «un
suprémaciste et un identitaire noir, une espèce de nazi noir».
Plein de haine il éructe : «La France, c'est-à-dire l'Etat français est un Etat totalitaire,
terroriste, esclavagiste, colonialiste. L'Etat français exploite son propre
peuple, alors vous imaginez ce qu'ils font en Afrique», s'est-il exclamé
dernièrement dans une manifestation interdite, mais anormalement tolérée par
l’état marxiste culturel Français.
Afoua alias Egountchi Behanzin 31 ans leader auto
proclamé de la Ligue de Défense Noire Africaine (LDNA), groupuscule communautariste
et raciste antiblancs, a été condamné en novembre 2019, avec un complice un certain Romuald B.,
pour «acte d’intimidation» envers
monsieur Patrick Balkany, maire de Levallois-Perret, absent à
l’audience puisque incarcéré depuis le 13 septembre dernier après sa
condamnation pour fraude fiscale. L’escroc Balkany qu’il avait pris à partie
début septembre dans la rue à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Le
tribunal a condamné les deux activistes racistes, qui avaient chacun un casier
judiciaire chargé, à six mois de prison, un euro de dommages et intérêts (sans
rigoler !) à verser à monsieur Balkany ce qui va bien l’arranger pour
régler ces dettes et amende de 100 000 euros pour fraude fiscale.
On apprend, lors de ce procès, que l’individu noir et haineux
Afoua, dit Egountchi Behanzin ne travaille pas, vit évidemment des aides
sociales, mais surtout, a, entre autres, été condamné en 2014 à sept ans de
prison pour viol sur personne vulnérable.
Voilà donc qui est ce charmant personnage noir qui se
permet de cracher régulièrement sa haine des Français et des blancs en, par
exemple, profanant la statue de Jeanne d’Arc à Paris, ou en organisant des
manifestations racistes anti-blanches ou incitant à tuer les Blancs…
Toutes choses qui ne lui ont valu aucun ennuis avec la
police et cette magnifique ajustice de s’pays des doigts de l’homme.
En
mai 2018, le magazine en ligne «Nous sommes partout» par l’intermédiaire d’Ivan Lévy, un
grand journaliste de NSP s’interrogeais pour savoir si le leader de la LDNA,
Gucci-IG était sexiste, raciste, primitif ? Ou tout simplement primaire ?
Monsieur Lévy écrivais : «Les pages Facebook Génération
Identitaire viennent d’être fermées après l’intervention de l’inénarrable LDNA (Ligue
de Défense Noire Africaine) et de son
«führer» Gucci-IG. L’énergumène prête à rire tant il est la quintessence du
gongoïde de banlieue aux muscles stéroïdés et à l’orthographe douteuse.
Ajoutons à cela une incapacité pitoyable à s’exprimer correctement et autrement
qu’avec force répétitions dans ses vidéos de propagande (Il est vrai que
monsieur Lévy n’est pas forcément au courant que le QI des noirs
est inférieur à celui des blancs et ce n’est pas moi qui le dit :«C’est un fait connu et incontestable que,
soumis à des tests destinés à mesurer leur Q.I., les Noirs des Etats-Unis
obtiennent une moyenne inférieure de quinze points à la moyenne des Blancs»
(Source Le
Monde Diplomatique Juin 1975). Source
confirmée par monsieur de Lesquen : «Le QI des noirs est inférieur à celui des
blancs».
«A croire que son public a besoin qu’on lui
répète les choses soixante-douze fois pour les comprendre. Le sommet du
ridicule est atteint lors de la présentation filmée de la «Section LDNA Bondy»
d’une durée de 3 minutes et dans laquelle le sémillant Gucci-IG nous assène pas
moins de seize «à Bondy» et peine à laisser parler sa présidente de section à
laquelle il coupe la parole sans vergogne non sans avoir précisé que «maman»
faisait «aussi» à manger. Visiblement, pour ce grand militant de la cause
africaine, il n’y a que deux sortes de femmes : les mamans et les putains. Il
suffit pour cela de regarder un de ses clips, en particulier le gracieux Sans
Forcer dans lequel le melliflu musicien nous gratifie de paroles d’un immense
raffinement telles que (je cite et m’en excuse par
avance) « Que des gros bras dans mon
équipe et ma bite dans vos gros culs».
Nous ne doutons pas que Gucci-IG puisse être
bien pourvu par la nature mais il n’est pas obligé de le crier sur les toits,
d’autant plus qu’il sombre ici dans un des pires stéréotypes racistes sur les
noirs, celui qui consiste à imaginer «qu’ils en ont une grosse».
Personnellement, n’en ayant jamais vu et n’en ayant nullement l’intention, le
doute m’habite. (D’autant que si j’osais… allez j’ose : Il parait que
la bi… de Lévy c’est quelque chose).
Les paroles nous laissent pantois
par leur poésie et leur fraîcheur : «je m’entraîne pour les baiser», «AK 47 Négro, tu veux tester ?», «on attaque au rocket comme au Hamas», j’en passe et
des meilleures, le tout sur fond d’images d’un raffinement inattendu et dans
lesquelles n’évoluent que des femmes blanches dénudées, dans des positions que
la pudeur nous permettra d’identifier comme avantageuses évoquant à s’y méprendre
le canidé femelle. «Toujours chargé» de poudre blanche, notre ami s’en donne à
cœur joie et se tripote les parties intimes pendant les 3 minutes 49 que dure
le clip, évoquant à s’y méprendre le bonobo en rut. Heureusement pour lui, le caudillo de la LDNA s’est allié aux
intellectuels de la Brigade Anti Négrophobie qui, si elle maîtrise un peu mieux
la langue du colonisateur, n’en voit pas moins des racistes partout. A ce
niveau-là, on frôle le trouble mental. Les
deux collectifs se sont illustrés en demandant l’interdiction de «la nuit des
noirs» au carnaval de Dunkerque et le retrait d’un livre pour enfants de Blaise
Cendras intitulé «Petits contes nègres pour les enfants des blancs» avec un
argumentaire délirant accusant les princesses Disney d’être toujours blondes
aux yeux bleus et de véhiculer des clichés racistes. Personne n’oblige ces
messieurs à assister au carnaval.
En résumé
la LDNA qui a manifesté devant l'ambassade d'Afrique du sud à Paris le 6
septembre dernier, dans le contexte des violences soi-disant «racistes» qui s’y déroulent opposant
locaux et étrangers, tous africains de race noire. Cette LDNA donnera comme
réponse à «la xénophobie» dans ce
pays, par l’intermédiaire de l'un des intervenants, un noir,qui a appelé aux
meurtres des «Blancs», des «Chinois» et des «Indiens» : «La xénophobie doit s'arrêter. Si vous
voulez être xénophobe, d'accord. Commencez par tuer les Blancs, commencez par
tuer les Chinois, commencez par tuer les Indiens. Ne tuez pas vos frères […]
nous avons la même couleur [de peau]». Voilà qui nous aurait immédiatement
mieux éclairé sur cette organisation qui prône la xénophobie, la haine raciale
jusqu’à l’appel au meurtre.On aurait aussi pu rappeler que la LDNA avec le Conseil représentatif des Associations Noires de France (CRAN), soutenus par Rokhaya Diallo qui tient les blancs de façon fantaisiste pour héritiers d’un colonialisme faisant sommeiller en chacun d'eux un raciste qui s’ignore, ont empêché la tenue de la pièce d’Eschyle «Les suppliantes» à la Sorbonne, prétextant que les comédiens se grimaient en noir, simplement pourtant comme dans l’antiquité, pour assimiler cela à un "Blackface" (maquillage noir pratiqué lors de spectacles par des blancs aux États-Unis pouvant s’apparenter à une forme de racisme). Ce n’était qu’un prétexte pour faire publicité à leur discours de victimisation outrancier justifiant leur intolérance, et leur volonté d’imposer à notre République égalitaire où les individus se mélangent, leur projet politique d’une société divisée selon l’origine, la couleur, la religion, séparant les individus dans un face à face fratricide. Le ressentiment ne peut être à l’origine d’aucun projet d’avenir, d’aucun idéal. La pièce a pu plus tard heureusement être joué, dans le Grand amphi de la Sorbonne, faisant un pied de nez à ceux-là. C'est en regardant devant, tous ensemble, que nous serons toujours plus et mieux égaux.
Michel Alain Labet de Bornay
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