lundi 18 mai 2009

L’affaire Fofana à votre avis ?



Madame, Monsieur,

Que faut-il faire, selon vous, des criminels comme Youssouf Fofana ?

Merci de donner votre avis en cliquant ici: http://spreadsheets.google.com/embeddedform?key=rmWSI9MfnJOV9ihKpnOJ1wg

Comment notre système judiciaire devrait-il réagir, selon vous, quand un individu :
- commet des dizaines de vols et agressions, puis ;
- enlève et torture à mort un jeune homme innocent, puis ;
- envoie sur le téléphone portable des parents de sa victime des photos du supplice de leur enfant.

Et ce n'est pas tout.

Arrêté par la Police et traîné devant les tribunaux, cet individu :
- envoie des lettres d'injures à ses propres juges ;
- se vante de ce qu'il a fait et se réjouit publiquement de « gagner beaucoup d'argent » en vendant son histoire à une maison d'édition ;
- insulte les parents de sa victime pendant le procès, déclare aux jurés qu'il va les faire prendre en photo par ses complices et que « l'on verra bien », répond exprès n'importe quoi quand le juge lui pose des questions, et ricane à chaque instant des souffrances qu'il a imposées à sa victime.
Sur le questionnaire, je vous demande de cocher la réponse qui vous semble la plus juste pour de tels individus.

Si l'Institut pour la Justice organise cette campagne, c'est parce que la loi ne permet plus, aujourd’hui, de garantir que des personnes comme Fofana passeront leur vie derrière les barreaux.

Le pire qu'il risque est de passer, au maximum, 22 ans en prison, ce qui veut dire qu'il sera libre à l'âge de 50 ans au plus tard. (c'est ce qu'on appelle la réclusion à perpétuité).

Vu la gravité des faits, et le danger que ce type de personne fait peser sur l'ensemble de la société, nous sommes tous concernés par ce procès.
Il est indispensable que tous les citoyens responsables donnent leur avis : est-il normal que des individus comme Fofana ne puissent pas être condamnés à une peine de perpétuité réelle ?
C'est pourquoi je m'adresse à vous, pour donner votre avis sur cette affaire ; les résultats de cette campagne seront transmis aux médias, aux parlementaires, au ministère de la Justice et au Président de la République.

Cette enquête ne sera représentative de l'opinion de l'ensemble des Français, et donc susceptible d'avoir un impact sur les autorités, que si nous dépassons les 100 000 réponses.
C'est pourquoi je vous demande, après avoir répondu, de bien vouloir transmettre cet appel à un maximum de personnes autour de vous.

Pour participer, cliquer ici.

Un grand merci.
Marie-Laure Jacquemond
Présidente
www.institutpourlajustice.com

PS : Voici ci dessous un rappel des faits plus complet. Nous vous recommandons également la lecture de l'article de Wikipédia concernant cette affaire :

La suite ici :
Ilan Halimi a été kidnappé le 21 janvier 2006 en région parisienne et torturé pendant les trois semaines suivantes.
Découvert agonisant le 13 février 2006 le long d'une voie ferrée, Ilan est décédé peu après lors de son transfert à l'hôpital. L'autopsie a mis en évidence des marques de lacérations, « une plaie à la joue » faite au cutter et « deux plaies à l’arme blanche sous la gorge » ainsi que des brûlures couvrant 80% de son corps.
La « bande » qui a organisé son enlèvement était dirigée par Youssef Fofana, un jeune homme de 26 ans.
Depuis l’âge de seize ans, Youssef Fofana a accumulé les petits délits (13 sur sa fiche de police) et a été condamné cinq fois entre 2000 et 2003 pour vols, violences volontaires, deux braquages et agression d’un policier. Il aurait déjà passé quatre années en prison.
Il a été arrêté dans la nuit du 22–23 février 2006 à Abidjan par les gendarmes ivoiriens. Il a reconnu avoir prémédité l'enlèvement d'Ilan depuis décembre 2005, lors d'un séjour en prison, l'avoir séquestré, lui avoir porté plusieurs coups de poignard, et donné l'ordre de le « saigner » car ne pouvant plus le garder. Il se serait ravisé et aurait ordonné qu'on le « lave » (à l'acide, afin d'effacer toute trace d'ADN), cependant il nie l'avoir tué et charge ses complices sur ce point.
Trois jours après la mort d'Ilan Halimi, alors qu'il se trouvait encore à Abidjan, il appelle le père de la victime pour lui demander s'il était content. Il appellera également la petite amie d'Ilan Halimi, pour la menacer et demander une rançon.
Dans le procès-verbal du 18 février 2006 de son interrogatoire par la Brigade criminelle de Paris, Samir Aït Abdelmalek, un des complices, a déclaré : « J'ai sorti la lame de cutter et après qu'il a mangé et bu, j'ai cherché un endroit où lui mettre un coup de cutter pour que ça saigne sans lui faire trop mal. Je ne voulais pas toucher à l'adhésif qui l'empêchait de hurler. Sans prévenir Ilan pour qu'il ne stresse pas, je lui ai mis un coup de cutter sur cinq ou six centimètres sur la joue gauche. Malgré le sparadrap, cela a saigné vite dans sa barbe qui n'avait pas été rasée. » Le policier qui interroge le jeune homme poursuit : « A ce moment, m'a-t-il expliqué, Ilan avait réussi à relever son bandage sur les yeux. Du coup, Youssouf avec un couteau lui a mis un coup dans la gorge vers la carotide puis un coup de l'autre côté de la gorge. Ensuite il a essayé de lui couper le bas de la nuque. Puis il lui a mis un coup de couteau dans le flanc. Il avait sûrement dû revenir avec un bidon d'essence car il m'a dit qu'il avait utilisé un bidon pour asperger Ilan avec ce combustible et l'a incendié sur place. À ce moment il m'a dit: "Cela a fait une grande flamme et je suis parti." »
Le procès s'est ouvert le 29 avril 2009 ; dès la première audience, Youssouf Fofana arrive tout sourire et lève triomphalement le poing au ciel en lançant « Allah Akbar !». Lorsqu'on lui demande son identité et sa date de naissance lors de l'audience, il répond « arabe africain islamiste salafiste » et donne le 13 Février 2006 à Sainte-Geneviève des Bois, date et lieu de la mort de sa victime, Ilan Halimi.
Il aurait de plus envoyé des courriers injurieux à ses juges, et menacé la mère de sa victime au cours de la première séance.

Il y a là une excellente analyse sur le sujet :

http://posteurscoleriques.blogspot.com/2009/04/proces-du-musulman-antisemite-youssouf.html


Tante Itou la bannie.

Ça ce confirme :

http://www.lepost.fr/article/2009/04/29/1515449_tribune-ou-tribunal.html

Youssouf Fofana est un musulman antisémite !!!!!!!

Sur le post.fr le bisounours André sans frapper reprend un article de Elle :

http://fr.news.yahoo.com/77/20090429/tfr-procs-du-gang-des-barbares-fofana-jo-37c756d.html


On peut donc lire dans la presse bien pensante :

Le début du procès du gang des barbares a été marqué par plusieurs provocations de Youssouf Fofana. Le cerveau présumé ( que de précautions) de l'enlèvement d'Ilan Halimi est arrivé souriant dans le box des accusés et s'est écrié " Allah vaincra "( Non faut, il a éructé Allah ou Akbar !! Dans la langue des barbares musulmans c’est un cri de haine antisémite et antiblanc !) en levant le poing ( Comme un marxiste rouge). Interrogé sur sa date de naissance, il répond " le 13 février 2006, à Sainte-Geneviève-des-Bois ", c'est à dire la date et le lieu de la mort d'Ilan. Lorsqu'on lui demande son nom, il choisit " Arabs : Africaine barbare armée révolte salafiste ".( C’ est bien un odieux musulman salafiste terroriste et anti sémite) L'homme ( un bien grand mot pour une odieuse saloperie criminelle antisémite, véritable nazislamiste !) ne semble montrer aucun remords, même face à la famille d'Ilan présente dans le tribunal. L'avocate ( rouge et femme du terroriste cvommuniste Carlos ) de Youssouf avait pourtant déclaré à la presse que son "client" n'était pas " le diable " et qu'il avait été " maltraité par une campagne de marketing politique et religieux".

Déjà en 2007 cette monstrueuse crapule musulmane avait été condamné à un an de prison

LEXPRESS.fr

Le chef du "gang des barbares" a été condamné pour outrage. Il avait envoyé des lettres de menace et d'insulte aux deux magistrats chargés de l'affaire Ilan Halimi.

Youssouf Fofana, meurtrier présumé de Ilan Halimi, un jeune Français juif retrouvé agonisant après avoir été torturé en janvier 2006, a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel de Paris à un an d'emprisonnement pour avoir commis plusieurs outrages à magistrat.

La 16e chambre correctionnelle du tribunal de Paris, qui a rendu son jugement dans la foulée de l'audience, a ainsi suivi les réquisitions du parquet.

C'était la première fois que le chef présumé du "Gang des barbares", âgé de 27 ans, comparaissait devant un tribunal.

La justice lui reprochait notamment d'avoir envoyé un courrier insultant à la juge d'instruction Corinne Goetzmann le 1er décembre 2006. Dans cette lettre, il avait joint deux articles portant sur l'exécution de diplomates russes par des musulmans Tchétchènes, articles annotés de la mention "Je vous emmerde", ainsi que la photo d'un kamikaze palestinien qui s'était fait exploser dans une discothèque de Tel-Aviv en mars 2002.

A cet outrage s'ajoutaient une demi-douzaine d'autres, à l'encontre de Mme Goetzmann ou d'un autre juge d'instruction, Baudoin Thouvenot.

Crâne rasé, barbe noire, jean et chemise grise, le prévenu était pour cette première apparition, escorté d'une douzaine de gendarmes. En arrivant dans la salle d'audience, il a d'abord jaugé l'assistance, avant de, silencieusement, pointer le ciel du doigt, faisant signe qu'il s'adressait à Allah . Après avoir épuisé les services de 37 avocats, qu'il a récusés, ou qui ont renoncé à le défendre, Youssouf Fofana s'est présenté mercredi sans conseil et a refusé celui qui lui était proposé.

Totalement mutique, il a ensuite refusé de répondre aux questions, de même qu'il a refusé de se lever devant le tribunal. "Je vous ai tendu la perche. Vous ne la saisissez pas, c'est votre droit", a commenté le président du tribunal, Jean-Claude Kross, à l'issue de cet interrogatoire à sens unique.

C'est seulement alors, que Youssouf Fofana a décidé in extremis de prendre la parole. Se levant, il a saisi dans sa poche un bonnet blanc de musulman et s'en est coiffé avant de se lancer dans une diatribe anti-sioniste. "Le tribunal n'est pas une tribune", a tenté un moment de lui glisser le président. En vain. "Au nom des musulmans et des Africains qui sont victimes des terroristes sionistes, des barbus à kippas, in cha' Allah, il y aura un commando qui viendra me libérer" car "je suis un symbolique trophée de guerre du sionisme", a lancé le prévenu, après avoir rendu hommage à un kamikaze palestinien.

Conscient de ce suicide judiciaire, Youssouf Fofana a gardé tout le long de l'audience le sourire aux lèvres et pas un moment n'a abordé les faits qui lui étaient reprochés. Au prononcé du jugement, il a crié "Allah Akhbar!", avant de quitter la salle et de retourner vers la maison d'arrêt de Lille-Sequedin, où il est incarcéré depuis plus d'un an et demi.



Bornay

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