L’ultra gauche terroriste syndicaliste CGT et marxiste s’attaque aux foyers Français

Alerte Rouge !

Source : http://www.timesonline.co.uk/tol/news/world/europe/article6150447.ece

Traduit de l’anglais par Alain de Bornay :

Dans un poste transformateur d électricité sur une zone industrielle au nord de Paris, un terroriste syndicaliste de la CGT (Bras armé du Parti Communiste Français) masqué se prépare à commettre un sabotage et à priver un quartier d’honnêtes citoyens Français d’électricité.

Son collègue militant de la CGT est à l'extérieur, en déplaçant nerveusement une cigarette entre ces doigts, tout en faisant le guet sur une éventuelle arrivée de la police ou des gardes de sécurité. : « Aller de l'avant,» dit-il. "Et puis nous allons sortir d'ici."

Un commutateur est tiré vers le bas, la porte du transformateur saboté est verrouillée, et les deux militants communistes de la CGT salariés d'EDF, société de l'Etat français, fournisseur d'électricité, se sauvent comme des lâches, après un attentat terroriste.

Dans leur sillage des centaines de maisons et d'une poignée d'entreprises de Montigny-lès-Cormeilles sont retrouvés sans électricité pendant une bonne partie de la matinée.( Cet acte est un acte terroriste et criminel , en effet de nombreuses personnes en France sont à leur domicile sous assistance respiratoire ou dialyse, c’ est un miracle qu’ il n’ y ai pas eu de victimes, mais on a encore une fois frôlé la catastrophe, par la faute de ces saboteurs terroristes rouge de la CGT, véritables criminels en puissance).

C'était la deuxième fois en une semaine que des pannes de gaz et d’électricité, suite à un sabotage criminel et terroriste ont frappé la région parisienne. Cette tactique radicale a été adoptée à l'appui de l’appel en faveur d’une augmentation de salaire de 10% à la fin de l'externalisation des emplois (Ces enfoirés d’EDF qui ont une retraite de privilégiés à 55 ans et la sécurité de l’emploi ce foutent de notre gueule).

Ils sont « dénoncés » comme saboteurs industriels par le gouvernement et font l'objet de mesures disciplinaires et de poursuites, mais se disent déterminés à « aller de l'avant » avec ce qu'ils décrivent comme une lutte contre le libre marché. (1) (Sémantique communiste cégétiste, puante de haine contre la France)

Après avoir échoué à empêcher la privatisation partielle d'EDF et de GDF, le fournisseur de gaz, les organisations syndicales d’ultra gauche estiment que les choses ont tourné en leur faveur à cause de la récession.

Les plans de licenciement ont provoqué de violentes protestations dans les sociétés du secteur privé, des étudiants de gauche, ont bloqué les universités et les syndicats envisagent une démonstration de force lors la fête du Travail. Dominique de Villepin, l'ancien premier ministre, a dit : « Il y a un risque de révolution»,











Pour Stéphane Miliadis, (2) un représentant de la Confédération Générale du Travail à l'union EDF de Saint-Ouen-l'Aumône, près de Montigny-lès-Cormeilles, elle offre une occasion en or. «Le gouvernement est en train de perdre le contrôle», alors, c'est maintenant le moment de faire reculer la logique capitaliste (3) qui s'est insinuée dans la société."

Le mouvement a pris un départ lent. “ «Nous avons été en grève pendant trois semaines, mais personne n’a prêté attention à nous", a t-il dit. "C'est seulement quand certains des camarades ont commencé à réduire l'électricité et le gaz que les choses se sont déplacées, des militants communistes des forces de progrès armés d'une carte indiquant les postes transformateurs clés ont pu couper le courant à des milliers de maisons en quelques minutes. »

Jeudi dernier, 66.500 clients EDF ont perdu leur approvisionnement en électricité, certains pendant plusieurs heures. On a frolé la catastrophe à Douai, dans le nord de la France, deux des patients en soins intensifs a dû être déplacé lors de l'hôpital qui aviat perdu son alimentation électrique pendant 40 minutes.

Dans la région parisienne, le GrandVal centre commercial a subi le même sort. Félix Crespo, un directeur technique, au centre, a dit. «Nous avons dû détourner des clients de l'ensemble des 48 magasins ».

Une employée de boulangerie a dit qu’elle avait été en retard au travail ", parce que j'ai un réveil électrique ".

Cette semaine, les activistes terroristes rouges cherchent à gagner l'appui du public en passant de 350.000 clients à la pointe des tarifs heures creuses - 50 pour cent de l'épargne. Ils ont également rétabli le pouvoir à des centaines de ménages qui ont été coupées par EDF parce qu'ils avaient omis de payer leurs factures. ( C’est toujours pareil dans la logique marxiste des nidoreux bolchos,c’ est toujours l’ honnête citoyen qui paye ces factures qui trinque)

Les coupures d'électricité ont continué. In Montigny-lès-Cormeilles les saboteurs d’EDF ont pris des mesures contre des bureaux et plusieurs centaines de maisons ont été touchées. Un assistant d’aide à domicile, a déclaré: «Je m’ occupe de personnes agées dont une femme de 92 ans et ce genre de chose signifie qu'elle n'a pas eu un bon repas, car étant tout électrique je n’a vait pas la possibilité de faire cuire ses repas sans compter le froid, ces syndicalistes terroristes sont des irresponsables."
Fin de l’article du Times.

Commentaires.

La mouvance de l’ultra Gauche marxiste autonome et terroriste serait sois disant un petit monde épars, se structurant sur la base de petits groupes locaux et d’opuscules à parutions irrégulières dont beaucoup sont visibles sur le site http://infokiosques.net/ Internet est d’ailleurs devenu un vecteur important de cette mouvance marxiste anarcho terroriste, en particulier via Indy media, où sont postés nombre de messages avertissant qui d’une mobilisation, qui d’un rassemblement, en quasi temps réel, permettant de maintenir en permanence sur le grill quelques centaines d’activistes communistes et autres idiots utiles.

D’ailleurs cela ne fait maintenant plus aucun doute pour le média Le Figaro que le site Internet Bellaciao (http://bellaciao.org/fr/) est unnidoreux média fédérateur de "la mouvance terroriste anarcho-autonome" ou Gauche ultra ou extrême gauche terroriste.

Extrait : « La Direction centrale est aussi allée chercher des informations sur l’ultra gauche terroriste sur certains sites Internet connus pour recueillir les propos rageurs des autonomes tels que Bellaciao »

Les policiers ont lu, aussi, le trimestriel Cette semaine publié en Lorraine depuis maintenant seize ans. Ce journal d’information politique circule dans le milieu des squats anarcho marxistes et s’enflammait dans son dernier numéro : « Que crève le meilleur des mondes »... Et avec lui ses trains, peut-être, puisque dans ce même numéro du printemps 2008, le journal recense les actes de sabotage commis contre la SNCF depuis novembre 2007... Ceux connus de tous et beaucoup d’autres passés totalement inaperçus, depuis des pierres glissées dans les systèmes d’aiguillages jusqu’à de l’huile déversée sur les rails.

Il ne faut pas d’ailleurs pas perdre de vue que désormais les officines marxistes de la haine s’organisent en véritables milices privées, allez voir : http://www.desobeir.net/ ou ils insultent le président de la république Française et ou ils trouvent leurs bonnes idées terroristes.

Ci après un extrait de leur prose :
« Nous sommes des faucheurs d’ O G M …, des dégonfleurs de 4x4 de ville…, des hébergeurs de sans papiers…(4) , etc. Nous pensons que nos luttes (mot emblématique du communisme) et nos méthodes relèvent d’une dynamique alter mondialiste (entendez marxiste) plus indispensable que jamais, et que c’est… dans l’action directe non violente (sic), que nous rendrons possible la transformation radicale de notre société, et de ce fait notre survie à tous dans un monde redevenu vivable. (Entendez un horrible monde totalitaire communiste ).Dans un premier temps, nous avons décidé de nous former à l’action directe (Tiens, action directe ça ne vous rappelle rien ?) non violente (Si je comprend bien c’est dans un premier temps seulement la « non violence », in limine, d’ailleurs la liste des prétendues actions non violentes constituent la plupart du temps des incitations à commettre des délits de droit commun , il conviendrais donc de demander a Madame la ministre de l’intérieur de faire fermer ce site et les sites de cette nébuleuse communiste d’antisociaux incitant à commettre des délits ) et aussi de faire émerger parmi nous des formateurs d’activistes,(Elle est belle celle là aussi, pourquoi pas les former en Libye ou en Palestine) afin de démultiplier les formations et d’élargir ainsi nos rangs, tout en diffusant la « culture » de l’action directe non violente.(Ces asociaux marxistes considèrent qu’il existe une CULTURE de la délinquance.) »

Je suis littéralement horrifié, les auteurs et les complices de ce site doivent être retrouvés et condamnés. Cette convergence de fait, dans une même sémantique de l'intolérance communiste et du rejet des lois de la république n'est pas sans rappeler certaines heures sombres de l'histoire marxiste et la fameuse et criminelle « Lutte des classes ».

Ces groupuscules et autres « travailleurs sociaux » marxiste culturels, totos, bolchos ultra gauche etc. etc., sont soutenus et instrumentalisés par des ligues factieuses marxistes comme Salam, La Belle Etoile, secours catholique, ATTAC, AC, FSU , Emmaüs, Faut qu’on s’active,(t’as raison ma poule :faux cons) CNSP, CSP59, GISTI, FASTI, SUD Education, Mrap, CGT, FCPE, Attac, Confédération paysanne, Syndicat de la Magistrature,L C R. Les Verts, groupe des élus écologistes, coordination communiste, etc, etc qui donnent bien l’impression d’une foule de personnes, alors qu’ils ne sont à tout casser que deux à trois cent permanents avec de deux à trois mille sympathisants maxcul dans toute la France avec plusieurs centaines d’activistes terroristes instrumentalisés.


Faute de réponse ferme de la société, je m’interroge, car comment justifier la totale impunité dont bénéficient ces gens et des centaines de sites similaires ou de blogs marxistes qui distillent une prose digne des années sombres des régimes marxistes criminels de Cuba ou de l’ex URSS déclarés maintenant criminels contre l’humanité.

Les journaux, libraires, radios, télévisions sont soumis aux exigences de la loi, dont celle contre la délinquance en bande organisée. Comment tolérer que sur Internet soit diffusée en toute impunité, dans des centaines de sites ou de blogs, une campagne de haine et des incitations à commettre des délits sans poursuite juridique, sans condamnation ?

De plus ces rouges ordures ont avec leur fameuse dialectique appelée « désobéissance civile » commis de très graves actes de délinquance à la limite du terrorisme.

Le nouveau concept marxiste de « désobéissance civile » gagne aujourd'hui de nouveaux partisans en France. Ainsi peut-on citer le « mouvement » marxiste culturel d’une poignée d’ intellocrates écrivains et auteurs contre le projet de la loi Debré : le « Manifeste des délinquants de la solidarité » écrit le 27 mai 2003, en soutien à des immondes marxistes arrêtés pour avoir aidé des immigrés clandestins, qui été signé par plus de 12 000 connards idiots utiles lobotomisés par la propagande marxiste et 300 organisations de la nébuleuse communiste. Ce « manifeste » s'oppose ainsi à l'application de l'article 21 de la juste ordonnance du 2 novembre 1945 qui dispose que : « Toute personne qui (...) aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l'entrée, la circulation ou le séjour irrégulier, d'un étranger en France ou dans l'espace international précité sera punie d'un emprisonnement de cinq ans et d'une amende de 30 000 €. »

De même les procès médiatisés par le presse marxiste culturelle du malfrat bolcho José Bové pour la destruction d’une propriété privée en l’occurrence un restaurant Mac Donald en construction ou la destruction de plants transgéniques avec l ‘association de malfaiteurs bolchos des « Faucheurs volontaires » ont suscité des élans importants de « solidarité » et une amorce de débat sur la légitimité de ce type de pratiques, passant par la destruction de biens matériels privés. De la à poser des plaques de béton pour faire dérailler les trains, il n’y a qu’un pas, que certains maintenant n’ont pas hésité à faire.

Récemment, des dispositifs biométriques ont été détruits à Gif-sur-Yvette (91) par un « collectif » (groupuscule marxiste d’ultra gauche) anti-biométrie pour dénoncer la numérisation généralisée du contrôle social, et les volontés des industriels d'habituer les enfants dès leur plus jeune âge à la biométrie. Trois « personnes » (des terroristes d’ultra gauche) sont poursuivies, elles sont en appel de jugement (3mois avec sursis, 10 000 euros de dommages et intérêts, 1500 euros d'amendes).

De nombreuses associations pratiquent des actions de désobéissance comme moyen ponctuel ou permanent : ainsi des associations comme Greenpeace « luttent » contre les transports de déchets nucléaires ; les « militants » s'enchaînant sur les voies ferrées, d'autres comme l'association marxiste Droit au logement occupent de façon illégale des logements vides pour alerter l'opinion et modifier la politique du gouvernement en matière de logement, le Planning familial abrite au su de tous des pratiques discrètes en contradiction avec la loi, comme la distribution d'adresses de centres IVG étrangers pour les femmes ayant dépassé le délai d'avortement légal en France... Act Up Paris vise à alerter l'opinion. « Hormis les manifestations, qui sont déposées auprès de la préfecture de police, les actions, dans la majorité des cas, sont illégales. Pénétrer dans un ministère, dans un bureau, dans un lycée, investir un monument public sont des actions non tolérées par la loi », rappelle un membre d'Act Up.
La désobéissance civile a été utilisée à plusieurs reprises par bolchos soixante-huitards « paysans » du Larzac dans leur lutte contre l'extension du camp militaire entre 1971 et 1981.
Cependant la plupart de ces associations marxistes à l’extrême limite du terrorisme rouge ne veulent pas être considérées comme des désobéissants civils de peur les lâches d'être accusées lors d'un procès et de perdre celui-ci, ce qui serait néfaste à leurs images et pour leurs actions futures, et le risque de se voir dissoute comme une vulgaire association de malfaiteurs n'est pas négligeable. La désobéissance est donc une arme efficace mais à manier quand on est vraiment sûr de son fait, car dangereuse pour ceux qui l'utilisent et la revendiquent.
Les actions de résistance « pacifique » du mouvement marxiste communiste dit alter mondialiste lors de ses « contre sommets », ou des ateliers de formation à la désobéissance civile et au terrorisme sont suivis par les militants de cette mouvance communiste (afin d'apprendre des techniques illégales sois disant non-violentes et les attitudes à tenir en cas d'arrestation) démontre que la « désobéissance civile » est une « arme » à part entière des alter mondialistes marxistes.

Les anarchistes rouges les autonomes et l’ultra gauche prônent la « désobéissance civile » comme moyen d'échapper à l'État, sous la forme de squats politiques, appropriations, actions de délinquance...

Sur ce site marxiste ils appellent à la grève, au blocage et au sabotage !!!!!
http://assr38.wordpress.com/2007/11/20/manif-du-20-novembre-2007-a-grenoble-greve-blocage-sabotage-action-directe-contre-l%E2%80%99etat-et-le-patronat/
Sur celui-ci c’est encore pire :
http://juralibertaire.over-blog.com/
Suivre les liens…

Un rapport récent alerte le gouvernement sur une menace sérieuse de résurgence de la violence de l’ultra gauche marxiste des faucheurs volontaires et autres délinquants de la solidarité "anarcho autonome".

Selon ce document, près de 2 000 personnes sur l’ensemble du territoire national sont susceptibles de faire partie de cette mouvance radicale et terroriste comme les faucheurs volontaires, les syndicalistes CGT de l’EDF et autres délinquants de la « solidarité ».

C’est l’accumulation de plusieurs « signes » qui a alerté les enquêteurs, dès mars 2006,

A cette époque, la Sorbonne, le Collège de France et l’Ecole des hautes études en sciences sociales de Paris sont occupés par des individus se réclamant des « Totos », surnom que se donnent eux-mêmes les sympathisants des « milieux autonomes »d’ultra gauche. Plusieurs personnes sont placées en garde à vue.

Parmi les « présumés » saboteurs de caténaires. Daphnée C., 22 ans et Randal V., 21 ans habitant respectivement Nantes et Saint-Nazaire étaient bien connus des services de police.
Daphnée C. et Randal V. étaient déjà fichés. Ils avaient été interpellés, ensemble, en novembre 2007, à Toulouse, après avoir fait sauter un engin explosif en plein champ. A l'époque, accompagné d'un Rennais (Grégoire M., 23 ans), tous deux circulaient à bord d'une BMW, qui contenait une vraie bombe artisanale en kit (triacétone triperoxyde) (TATP), placé dans le couvercle d’une boîte en fer avec un détonateur de type "détaupeur" Ce dispositif était relié à deux fils soudés à une pile de 9 volts, le tout étant raccordé à un minuteur électrique. Les trois apprentis artificiers terroristes, étaient déjà décrits comme étant « des militants de l'ultra-gauche issue de la mouvance autonome », et avaient été placés en garde à vue. La jeune femme avait ensuite été placée sous contrôle judiciaire et les deux hommes, également soupçonnés d'avoir commis de petits braquages dans la région rennaise, avaient été incarcérés.
Des rapprochements avaient alors été faits. Daphnée C. avait déjà organisé, avec une vingtaine de camarades marxistes de l’ultra gauche, une opération visant le consulat du Danemark, à Saint-Herblain. C'était en mars 2007 la nuit du 3 au 4 mars plus exactement. En soutien à des militants anarchos communistes les fenêtres du bâtiment avaient été cassées, et "Solidarité avec Ungdomshuset et les arrêtéEs" bombé sur la façade.
Et le Mercredi 21 mars 2007, une vingtaine de « personnes » ont occupé illégalement le consulat du Danemark de Nantes, pour envoyer des fax vers les autorités danoises.
Le consul a dû appeler la police qui a fait serrer nos « totos » à la sortie. Ils ont bien sur, sur les conseils judicieux des sites Internet refusés de donner leurs identités. 8 « personnes » ont refusé le fichage ADN et ont du êtres déférés au tribunal.
Randal V., lui, avait également déjà été repéré lors des événements anti-CPE, à Saint-Nazaire, en mai 2006. Il logeait alors dans un squat politique.
Quant à Grégoire M., 23 ans, une « petite frappe » de Rennes, il est plus connu pour des délits de droit commun que pour son engagement politique anarchiste ( comme jules Bonnot de la célèbre bande de criminels anarchistes dit illégaliste )..

Selon la police, ces trois personnes revendiquent leur appartenance à un groupe anarchiste.

Le 24 janvier 2008, les douaniers intervenant sur l’autoroute à hauteur de Vierzon, dans le Cher, découvrent dans le coffre d’une voiture deux sachets de un kilo de chlorate de soude. Les occupants du véhicule, un homme de 26 ans et une femme de 24 ans, soupçonnés d’appartenir à la mouvance de l’ultra-gauche, sont mis en examen quelques jours plus tard pour « détention et transport d’un produit incendiaire ou explosif destiné à entrer dans la composition d’un engin explosif » et « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ». Soumise au Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG), l’ADN de la jeune femme « matche ». C’est celui d’une empreinte relevée à Paris, le 2 mai 2007, sur un engin explosif artisanal trouvé sous une voiture de police aux abords du commissariat central du XVIIIe arrondissement de Paris, à quelques jours du second tour de l’élection présidentielle.
Et en 12/ 2007 quelques totos bolchos Lyonnais avaient décidé d’organiser une opération «supermarché libre»» entendre cambriolage. Il s’agissait d’organiser une bouffe en utilisant des produits «réquisitionnés» entendre « volés » dans un Leader Price voisin. Une cinquantaine de malfaiteurs y sont allées, cinq chariots ont été remplis, puis la troupe est passée en force aux caisses, bousculant gérant et caissière.

On voit bien qu’il s’agit là d’une résurgence d’un terrorisme d’extrémistes socialistes et marxistes.
En juin dernier, le très communiste Syndicat de la magistrature s’était ému d’une note du ministère de la Justice alertant les parquets sur « une résurgence de faits en lien avec la mouvance anarcho autonome ». C’est l’hôpital qui ce fout de la charité, en effet ce « syndicat » d’obédience communiste comme la CGT est très proche des idées marxistes de ces groupuscules allant jusqu'à manifester pour soutenir des délinquants notoires, il est vrai que ces malfrats communistes ce nomme délinquants de la « solidarité ». En date du 13 juin, cette note attribue à ces terroristes, pêle-mêle, des « inscriptions », des « actions violentes (…) au préjudice de l’Etat et de ses institutions (préfectures, douanes, administration pénitentiaire…) », la saisie « d’explosifs » ou bien encore des « jets d’engins incendiaires ».
Cela aurait pu être le cas, à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne), le 19 janvier. Ce jour-là, Damien B., Yvan H. et Bruno L. sont arrêtés en possession d'un pochon avec des clous tordus, des rouleaux de Scotch, un sachet de poudre blanche, un produit allume-feu, ainsi qu'un bocal contenant 2,28 kg de poudre blanche.

Envoyée au laboratoire de la préfecture de police de Paris, il s'avère que cette poudre est un mélange hautement explosif de sucre et de chlorate de soude. Pour les experts, l'association de ces éléments peut conduire à la confection d'un "engin explosif à fragmentation et à potentialité létale".

Comme à Toulouse, les enquêteurs saisissent en perquisition de la documentation "anarchiste". Déférés et mis en examen, deux des jeunes sont écroués. Là encore, les services stigmatisent "la montée en puissance d'une nouvelle génération d'agitateurs, en phase de radicalisation".
L’affaire détaillée c’est ici :
http://www.luttes-etudiantes.com/forum/viewtopic.php?t=4481
Quelques jours plus tard, à Bourges, le 23 janvier, un autre militant, Franck F., est retrouvé porteur de deux sacs d'un kilogramme de chlorate de soude et de plusieurs documents, dont l'un, rédigé en italien, détaille la fabrication d'une bombe. Il était en compagnie d'une jeune femme dont le profil ADN correspond aux traces retrouvées, en mai 2007, à Paris, sur un engin explosif placé sous une dépanneuse de la préfecture de police. Les douaniers ont retrouvé dans leurs affaires trois plans de l'établissement pénitentiaire pour mineurs de Porcheville (Yvelines).

Plus récemment, au mois de juin 2008, la section antiterroriste du parquet de Paris est saisie d’une enquête sur des appels téléphoniques anonymes revendiquant la pose de bombes dans des TGV et le long de lignes SNCF en Savoie. Aucune bombe n’est retrouvée, mais les enquêteurs découvrent, dans l’une des cabines d’où ont été passés les appels anonymes, une lettre de revendication rédigée en italien « en souvenir des Brigades rouges ».


Mais soyons rassuré car le beau temps de la délation est de retour comme au temps du gouvernement de Vichy et les internautes vont bientôt pouvoir collaborer avec le ministère de l’Intérieur. Chic alors ! Le bon temps des collabos est de retour !
La plate-forme de signalement des infractions, crimes et délits devrait être inaugurée avant la mi-décembre par cette bonne et merveilleuse ministre de l’intérieur madame Michèle Alliot-Marie.

Pour l’heure, son nom de code est Pharos (pour « plate-forme d’harmonisation, d’analyse, de recoupement et d’orientation des signalements »). Avant la fin de l’année, cet outil de signalement ouvert au grand public prendra ses quartiers à l’adresse suivante : www.internet-signalement.gouv.fr.

Pour les pouvoirs publics il s’agit d’élargir à l’ensemble des infractions, crimes et délits (escroqueries, incitation à la haine raciale, propagande du terrorisme) commis sur Internet, ce qui n’est aujourd’hui qu’un site de signalement des sites à caractère pédopornographique, dépendant de l’OCLCTIC (Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication). http://www.01net.com/editorial/396405/les-internautes-vont-bientot-pouvoir-collaborer-avec-le-ministere-de-l-interieur/

Bornay

(1) MARCHÉ. Mot désormais sidérant : mode de régulation de l’économie considéré comme intrinsèquement supérieur à tout autre dans tous les domaines et censé avoir « triomphé » de tous les autres modes de régulation ; s’écrit en général au pluriel pour faire plus rassurant. Ex. : on ne dit plus « économie de crise » mais « tourmente des marchés » (trad. : gouvernement des choses). Les marchés sont aussi dotés par les médias d’une existence propre : on dit par exemple que les marchés « saluent » telle initiative ou qu’ils « retiennent leur souffle ».

(2) Stéphane Miliadis, Memnbre de La Commission Exécutive de la CGT du Val d’ Oise, qui ce dit sans rire et je cite : « Engagée dans la construction et le rayonnement d'un syndicalisme de proximité, lieu de solidarité et de fraternité. » Eh bé, bonjour la fraternité avec les coupures de courant.

(3) CAPITALISME. Mot tabou à « gauche » comme à « droite ».

(4) SANS PAPIERS. Néologisme trompeur désignant un étranger ayant franchi irrégulièrement les frontières de l’Union européenne et obtenant de ce fait même le droit aux prestations sociales et à un titre de séjour par le pays d’accueil à l’issue de quelques manifestations médiatisées et de durée variable (trad. : parasite). Note : On ne dit pas encore « Sans argent » pour désigner un voleur.