lundi 11 mai 2009

Troy Davis comme Youssouf Fofana est un assassin qui mérite la mort !


Chanson de Sardou pour Troy Davis, Fofana, Dutrou, Fourniret, Haulme, Georges, Bodein, etc. etc.

Avertissement: Cet article a déjà été posté ici:http://www.lepost.fr/article/2009/05/08/1527749_troy-davis-comme-youssouf-fofana-est-un-assassin-qui-merite-la-mort_0_1880734.html?#reaction_1880734

A la suite de menaces d' un posteur anonyme dit Mourrtii :
qui semble particulièrement attaché à la liberté d' expression.
Et d' un autre que je connais sous le surnom amical de Bernie dit Docteur Folamour :http://www.lepost.fr/perso/docteur-folamour/
Cet article a été retiré par moi.
Et je leur ai posté ce commentaire:

Monsieur, X
A la demande de BBP, j’ai retiré de moi même et à sa demande le post qui semblait vous poser problème, au sujet du condamné à mort Troy Davis pour l’assassinat d’un policier et d’une autre personne, il y a 20 ans et sachez bien que ce ne sont pas vos menaces qui m'on fait agir, c’est juste le respect que j’éprouve pour Bernie et ces convictions.
Sachez que dorénavant vous resterez dans mes bonnes pensées comme un homme attaché à la liberté d’expression et à la vraie démocratie et surtout au dialogue, ce que je n' oublierez pas.
Je vous salue monsieur et reste votre très humble et très obéissant serviteur.
Bornay.

Je remet donc cet article en ligne ici pour le respect de ma liberté d'expression et surtout pour le grand respect que j' ai des victimes et de leur famille plutôt que de leurs assassins!

Mark Allen MacPhail assassiné par Davis laissait un fils, une femme et une mère déterminés à ce que justice soit rendue.
Troy Anthony Davis a été condamné à mort pour le meurtre à Savannah d’un policier Mark Allen MacPhail en 1989. Le 19 août 1989, Troy Anthony Davis est au « restaurant », un Burger King avec des amis dont un nommé Red Coles (1) et des sans-abri et a heurté un homme du nom de Larry Young à la tête avec un pistolet lorsque Young a refusé de donner une bière à l'un de ses amis. L’agent MacPhail, qui avait quitté son travail et qui était hors service se trouvait à la gare routière Greyhound à côté,il a entendu des « jeunes » crier et a répondu à la perturbation comme l’ exigeait son devoir. Davis a fui et, l’agent MacPhail, portant son uniforme complet de policier, lui a ordonné de s'arrêter, Davis s'est tourné et il tira sur l'agent à la cuisse droite et la poitrine. Bien que Mark MacPhail portait un gilet pare-balles, ses côtés n’étaient pas protégés et la balle a pénétré le côté gauche de sa poitrine, son poumon gauche et son aorte, à l'arrière de sa cage thoracique avec arrêt cardiaque. Davis, tout sourire, à marché jusqu'à l'agent et lui a tiré dans le visage, comme il était en train de mourir dans le parc de stationnement. L'arme de l’agent était encore sanglée dans son étui et son bâton est toujours à la ceinture. Davis a fui à Atlanta et une grande chasse à l'homme s'en est suivie. Le lendemain après-midi, Davis a déclaré à un ami qu'il avait été impliqué dans une dispute au restaurant le soir précédent et a tiré sur quelqu'un avec une arme à feu. Il a dit à sont ami que quand l’agent de police a couru, Davis a tiré sur lui et qu'il s'est rendu à côté de l’agent et "fini le travail» car il savait que l'agent a du regarder son visage quand il a tiré sur lui la première fois.


Après son arrestation, Davis a déclaré dans sa cellule une histoire similaire. Il a été arrêté quelques jours après le meurtre. Son procès a commencé exactement deux ans jour pour jour depuis le meurtre de l'agent MacPhail. Il en est résulté pour Davis une condamnation pour meurtre, après moins de deux heures de délibération du jury, et à l'imposition d'une peine de mort au bout de sept heures de délibérations. Il a également été reconnu coupable d'obstruction à un agent des services répressifs, de voies de fait a abattu dans une voiture qui a quitté un parking une heure avant le meurtre de l'agent MacPhail. Michael Cooper a été frappé à la tête par une balle, gravement blessé, et en lui laissant la balle introduite dans la mâchoire. Les tests balistiques pratiqués sur les balles ayant servi à l'assassinat de l'agent de police correspondaient aux douilles trouvées lors d'une fête plus tôt dans la soirée où Michael Cooper avait été abattu. Cooper Davis est identifié comme le tireur. Même si la Cour suprême américaine a rejeté son appel final à l'unanimité en Juin 2007, Davis a reçu un délai de 90 jours à partir de l'état de grâce et de libération conditionnelle jusque au 17 Juillet 2007 date prévue d'exécution. Le délai a été accordé grâce à des recours déposés par les témoins qui auraient donné des témoignages erronés et ne sont plus certains de leur identification de Davis. Mark MacPhail, le fils de 18 ans de Mark, Allen MacPhail Jr. s'est prononcé contre ce délai accordé par des membres du Comité des grâces et des libérations conditionnelles. «Je leur ai dit comment j’ai estimé mon père m’avait été arraché à un âge précoce. Anneliese MacPhail, la mère de l'officier assassiné, a déclaré à un journaliste après avoir appris que la demande d'un nouveau procès a été refusée en Mars 2008. "Je me demande, de quoi les témoins peuvent se souvenir, après 18 ans? Il n'y a pas de nouveaux éléments de preuve. Aucune mère ne dois plus passer par ce que j'ai subi." L’épouse de Marc Joan MacPhail, a dit qu'elle a perdu son meilleur ami, le père de ses deux enfants et maintenant sa tranquillité d'esprit et que les appels de Davis ont été réalisés sur près de deux décennies. «C'est comme un coup de poing dans l'estomac», dit-elle. «Vous avez l’ impression de revivre cette nuit à plusieurs reprises. Cà fait tellement mal. Pourquoi ne ferions-nous pas la paix dans nos vies?" A propos de l'évolution des témoins, la Cour suprême de Géorgie a déclaré que la plupart des témoins qui se sont rétracté "ont simplement déclaré qu'ils ne se sentent pas en mesure d'identifier le tireur. La majorité ne pouvait pas ignorer le témoignage au procès." Le fils de l'US Army Ranger, Mark MacPhail a été diplômé de la High School de Columbus en Géorgie. Sa mère, Anne, vit toujours à Columbus.



(1)Trente minutes après la tuerie, Red Coles apparait à la maison de sa sœur à quelques rues de la station de bus. Mr Coles demande à sa sœur une autre chemise. Très peu de temps après, Davis apparaît et demande à Mr. Coles le T-shirt jaune que Coles portait. Après avoir changé de chemise, Davis partit. Davis s'enfuit à Atlanta le lendemain et se rendit aux autorités le 23 août 1989.
Plus tôt dans la même nuit, on a tiré sur un homme nommé Michael Cooper avec une balle de calibre .38, alors qu'il quittait une fête dans la localité voisine de Cloverdale. Il fut suggéré pendant le procès que l'arme ayant blessé Cooper était celle utilisée pour tuer MacPhail et que Davis était à l'origine du tir. Fait reconnu par Sylvester "Red" Coles et pas noté dans le rapport de police : Mr Coles était aussi présent sur les lieux où Michael Cooper a été blessé par une arme à feu.

Voir pour les autres crapules : http://www.prodeathpenalty.com/Pending/08/sep08.htm

9 commentaires:

  1. monsieur Labet de Bornay

    vous étiez donc présent cette soirée du 19 aout sur les lieux du crime en Georgie ?

    Vous écrivez "Mark Allen MacPhail assassiné par Davis",

    Je vous accuse d'informations diffamatoires et dangereuses et j'ai alerté la rédaction du post.fr sur votre post.

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  2. Détails intéressants sur Troy Davis ... pas tellement de communications sur ce sujet.
    La question qui me dérange est que les faits remontent à VINGT ans... et je ne sais plus que penser. Vingt ans, c'est presque pire que la mort comme châtiment.

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  3. en fait, Michel Sardou a sorti cette chanson après l'assassinat du petit Philippe Bertrand par Patrick Henry;crime particulièrement odieux, il connaissait sa petite victime, l'a enlevé, tué, gardé son corps 8 jours sous son lit et pavanait devant les caméras; mais ceux qui ont vu le téléfilm connaissent;
    le procès de Patrick Henri a été sur-médiatisé; défendu par maître Badinter qui a fait plutôt le procès de la peine de mort que la défense de son client, il a obtenu, contre tte attente à cette époque (1977) la perpétuité de PHenry...
    Patrick Henry est sorti de prison en 2003 (je crois), repenti, soi-disant et n'a pas fait mieux en sortant de prison que de dealer et vendre de la drogue destinée....à des enfants!!

    donc, il est retourné d'où il venait et éspèrons qu'il y pourrira...........

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  4. Merci de ce rappel Michel Alain Labet de Bornay;

    Quoi qu'ai fait ce pourri, aucune société ne peut autoriser le meurtre légal qu'est la peine de mort.
    Combattre la peine de mort ne revient pas non plus à angéliser les coupables. C'est un piège à éviter pour les abolitionnistes, effectivement.
    Badinter avait raison de dénoncer la peine de mort plutot que de chercher à défendre un coupable indéfendable.

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  5. Votre Post est une infection tirée du site de la famille du policier, entre autres... Le titre de votre Post est un amalgame que je m'empresse de signaler à nos amis marxistes léninistes du MRAP et de la LDH afin qu'ils fassent pression sur la direction du post.fr pour retirer ce scandale.

    Le Post.fr s'est honoré depuis un an et plus en relayant la cause de Troy...

    Honteux !

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  6. Le fameux docteur Folamour embrasse toutes les causes pourries marxistes et gauchiottes abolitionnistes, il était déjà le coordinateur pour la France et la Belgique de la « Cause » de Gregory Wright qui a été exécuté par l'Etat du Texas le 30 octobre 2008. Dans les milieux abolitionnistes on l’appelle porta scoumouna. Pour cette « cause » il avait récolté plus de 10 000 Dollars pour payez les avocats de cet assassin, les ricains qui ont encaissé vous disent merci les bisounours frogy’s!

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  7. Cher Docteur,

    Moi qui vous prenais pour quelqu’un d’intelligent ; comme quoi hein, lorsqu’ on ne dispose que de la menace de censure comme argument ou est l’intelligence et la démocratie ?

    D’autre part, j’ai mon opinion qui est partagée, ne vous en déplaise, par une majorité de Français. Vous avez les vôtres, fort sélectives, quid des peines capitales dans les pays communistes et musulmans ? Depuis 20 ans que le sieur Davis est condamné combien de centaines de milliers d’exécutions dans ces pays ?

    De plus, il me semble que le post.fr n’a pas pour vocation l’ingérence dans les affaires intérieures d’un état souverain, et surtout pas à défendre des « causes », ce n’est pas le travail d’un journaliste ça, c’est le travail des politiques ou des militants et vous devez savoir comme je suis méfiant au sujet de ces fameux militants aux « causes » et aux « luttes » souvent bien troubles et sélectives?

    Maintenant revenons à nos moutons (nos condamnés plutôt) Dans le cas Davis, que pouvez vous dire au sujet de mon post, avez-vous des faits nouveaux que la justice Américaine devrait connaître ? Ou avez-vous seulement le sentiment que la peine de mort est injuste et inhumaine, dans ce cas je suis d’ accord avec vous la peine de mort est injuste et inhumaine. Mais que proposez vous à la place pour les Fourniret, Fofana, Dutrou, Haulme, la liste est longue…. avez-vous quelque bonnes idées à nous faire partager ?

    Pour finir juste une dernière question : Si la peine de mort existait encore en France que diriez vous pour quelle ne soit pas appliquée à Fofana ?

    Bien à vous.

    Michel Labet de Bornay

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  8. Mon gros Bernie,( Docteur de mes deux)
    Arrrrêêêêêêêête le pastis Nanaaaaaaaard tu te fais du mal !
    Tu ne t’es pas arrangé Lady Dong depuis la téquila du Vénézuela, toujours à Sète ? Oui je sais, il y a peut de zincs à Sète alors à vaincre sans barils on triomphe sans boire et puis la Géorgie c’ est loin, mais pas plus loin que la Chine. Comment tu ne connais pas la Chine populaire et démocratique ? Ben ça alors ! Pourtant la peine de mort dans la grande et belle République populaire de Chine est pratiquée, faisant de ce pays communiste le premier au monde en nombre d'exécution de condamnés à mort. Ignobles ces cocos !
    Les condamnés à mort sont fréquemment fièrement exhibés pendant des heures, avant d'être promenés dans les rues sur des plates-formes de camions découverts, précédés par les sirènes et les gyrophares des voitures de police, pour l’édification des masses populaires et laborieuses. Les exécutions sont toujours publiques, généralement organisées dans des stades, comme à Pékin, avec une tribune d'honneur réservées aux officiels.
    Le rituel judiciaire est réglé de façon théâtrale : les condamnés à mort sont présentés à la foule entre deux policiers, tête basse, chacun d'eux porte une pancarte au cou, sur laquelle leur nom a été barré d'une croix pour signifier qu'ils n'appartiennent plus au monde des vivants. La nature et le nombre de crimes commis y sont également inscrits (et de surcroît, énumérés par haut-parleurs).
    Les suppliciés mis à genoux sont fusillés d'une balle de fusil ou de revolver tirée à bout portant dans la nuque. C’ est économique, propre et rapide. Vive les camarades communistes !
    Seul exception à la règle : les quelques insurgés de la Place Tiananmen (en 1989), qui furent condamnés à mort, ont été exécutés d'une rafale de mitraillette dans le dos, à hauteur du cœur.
    Sympa hein Nanard ; alors à quand le départ pour la chine ?
    Bien à toi.
    Ginette

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  9. j'étais malade une semaine, reviens tout juste sur le Net pour trouver CA!!Cet incitation à la haine!
    j'ai alerté le coach du post.fr pour virer ce post, de notre magnifique post.fr attaché à la liberté d' expression et qui est un mensonge même pas vrai et un scandale au niveau national et même international car aucun des condamnés à mort aux état unis ne sont coupables de qui que ce soit c' est acause des racistes et des fachos que tous ces innocents sont injustement condamnés Labet de Bornay doit être un immonde nazi, un facho de la pire espèce pour honorer ainsi la mémoire de cet enculé de policier blanc qui n' arrêtais pas d' embêter ces pauvres dealeurs de drogues innocents.Et puis sa femme, ses enfants, sa mère qui pleurent on sans fout bien pas mal ce sont des blancs fachos, des sous chiens qui puent le blanc et la savonnette cadum.
    Et vive la liberté d' expression!
    B.K.

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