lundi 1 juin 2009

Petit cours de libertarianisme . Deuxième leçon.




Le libertarianisme c’est le seul contrepoison, le seul antidote, le seul remède, la seule alternative à la société d’exploitation socialo marxiste ou capitalisme sociale démocrate qui n’ont jamais eu le visage humain.

Le Sarkosisme ? Une manifestation de nazisme social ! Un socialisme méchant !
On n'est jamais socialiste que pour voler les autres, mais comme il y a deux raison de vouloir voler les autres, on distingue les socialistes cupides comme les Fabius, Strauss Kahn et autres Delanoë, Aubry ou Segogol qui veulent voler les autres pour dépenser le butin à leur place, et les socialistes méchants comme Sarkosy et autres ripoublicains sociaux démocrates qui veulent voler les autres pour leur faire du mal.
"Ils ne cherchent pas à posséder votre argent ; ce qu'ils veulent, c'est vous en priver" (Ayn Rand).
La suite ici : http://fr.liberpedia.org/Imp%C3%B4ts_de_la_haine


Comme il n'est pas moins injuste d'agresser des innocents au prétexte de la classe que d'agresser des innocents au prétexte de la race, il est bon de parler des impôts de la haine comme d'une forme de nazisme social. Le nazisme social a d'ailleurs fait bien plus de victimes, et commis bien plus d'assassinats, que le nazisme racial.
Attention ces gens là qualifient les Libertariens leur pires ennemis d’Ultra-libéraux ne pouvant pas les disqualifier avec les désormais fameux qualificatifs de fachos ou d’extrémistes de droite ; ils ont inventé l’ultra libéralisme qui aurait un sens comme terme de typologie idéologique si on l'employait bien sur pour désigner quelqu'un de très libéral. Or, dès l'origine, l'expression "ultra-libéral" ne sert qu'aux socialo communistes les plus nidoreux pour désigner quiconque serait moins socialiste qu'eux-mêmes. Ainsi, pour un communiste ou un attacant (membre d’Attac) ou militant du MRAP, un membre du PS est déjà ultra-libéral, alors que pour un membre du PS, l'UMP sera ultra-libérale (pour leur part, les libertariens, vrais libéraux considèrent tous ces partis comme plus ou moins socialistes, et donc même pas libéraux, et encore moins ultra-libéraux !).
Les libertariens vrais libéraux rejettent évidemment l'étiquette d'"ultralibéral", laquelle pourrait avoir un sens si elle désignait les "libéraux purs et durs", mais dont on ne se sert que pour disqualifier comme libéraux des gens qui ne le sont même pas.
Remarquons, pour quiconque douterait que l'expression est sophistique et polémique, que l'expression "ultra-libéral" devrait aussi impliquer celle d'"infra libéral", dont nul ne se sert jamais...

En fait, le mot vise à disqualifier le libéralisme en l'associant, sans avoir l'honnêteté de porter ouvertement l'accusation, à une idée d'"extrémisme". Parler d'"extrémisme" ne signifie rien en soi -quel mal y a-t-il à être, par exemple, "extrêmement" bon ou intelligent ? Mais l'extrémisme fait contre lui l'unanimité des politiciens dans une pseudo démocratie socialiste, pour les raisons décrites par Ayn Rand dans "Le Nouveau Fascisme" (http://lemennicier.bwm-mediasoft.com/article.php?ID=217&limba=fr) :
Une économie mixte est le règne des groupes de pression. C’est une guerre civile institutionnelle et amorale entre lobbies et intérêts sectoriels, qui tous se battent pour s’emparer quelque temps de la machine législative, pour extorquer quelque privilège particulier aux dépens de quelqu’un d’autre au moyen d’une intervention de l’Etat — c’est-à-dire par la force.
En l’absence de droits personnels, en l’absence de tout principe moral ou juridique, le seul espoir qu’a une économie mixte de préserver sa ressemblance précaire avec un ordre social, de tenir en laisse les groupes de sauvages désespérément rapaces que lui-même a créés et d’empêcher la spoliation légalisée de dégénérer en un pur et simple pillage de tous par tous en-dehors de la loi — est le compromis : compromis sur tout et dans tous les domaines, compromis matériel, intellectuel et spirituel pour que personne ne franchisse la ligne en en demandant trop, faisant s’effondrer toute la pourriture de cette construction.
Si le jeu doit continuer, on ne peut rien autoriser à demeurer ferme, solide, absolu, incorruptible ; absolument tout (et tout le monde) doit être fluide, approximatif, flexible, indéterminé.
Le terme "ultra-libéral" a été inventé par des sophistes du social étatisme à la française – notamment Jean-François Kahn et Philippe Séguin –, au moment où le socialisme réel s'effondrait à l'Est, pour faire croire que si celui-ci avait causé toutes ces catastrophes – dont on commençait seulement à mesurer l'ampleur – ce n'aurait pas été parce qu'il était socialiste, mais parce qu'il était "extrémiste".
Ainsi, on pouvait sauver le socialisme pseudo démocratique et nauséabond, moins avancé dans sa destruction de la société civile et de la démocratie que le socialisme réel, en détournant l'attention vers une fausse explication, par un faux concept, de ses effarantes destructions ; fausse explication et faux concept qui allaient permettre de disqualifier les solutions libérales qui auraient dû s'imposer, en les chargeant sournoisement à leur tour, par l'insinuation que comporte le mot "ultra", de la même accusation insensée et infamante.

Employer le terme "ultra-libéral" c’est suggérer la peur et faire ensuite entrevoir la possibilité d’atteindre la sécurité par les actions suggérées, de façon à mettre les nouvelles idées en relation avec des idées qui leur sont coutumière pour les faire accepter par les masses et ainsi avoir un nombre relativement restreint de formules tranchantes et concises afin qu’ils deviennent des symboles, - sans cesse exposer la population à la propagande, - appuyer la force à la propagande pour empêcher les autres idées de s’exprimer, employer l’exagération et adapter la propagande en fonction de l’auditoire auquel ont s’adresse.

La technique de l'amalgame par les socialos communistes et autre mrapistofurieux est une manipulation classique destinée à discréditer un courant de pensée, un mouvement ou des individus par association avec des concepts ou des actions inacceptables. L'histoire montre que de telles actions "répulsives" ont souvent été crées ou suscitées pour être associées puis "labellisées" par le pouvoir marxiste et les médias à la botte de l'étiquette de ce que l'on voulait marginaliser ou discréditer, comme par exemple les fameux « Skin Head » introduits à dessein dans des manifestations. Il convient donc de ne pas confondre la pensée libertaire et la pensée anarchiste, la pensée anarchiste et l'activisme violent visant un pouvoir, tout comme il n'y a aucun lien cohérent entre le terrorisme visant des innocents et une quelconque lutte de libération. Le libertarianisme visant à la dissolution de tous les pouvoirs

Le libertarianisme c’est le seul contrepoison, le seul antidote, le seul remède, la seule alternative à la société d’exploitation socialo marxiste ou capitalisme sociale démocrate qui n’ont jamais eu le visage humain.

Michel Alain de Bornay

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire