Sur le puant média islamo marxiste Le Post.fr, un « posteur » d’ultra gauche, au pseudo ridicule de Bière 2011 dans sa haine obsessionnelle de Madame Marine Le Pen, une admirable femme politique de la droite populaire, s’empresse de mettre en ligne la copie d’un article du journal « La Croix » relatant un autre article émanant d’un membre influent de l’UMP, mettant en évidence encore une fois l’alliance UMP et socialistes marxistes dans le but ignoble de discréditer les forces populaires et démocratiques Françaises du Front National !
Décryptage de ces vils manœuvres marxistes culturelles.
Étienne Pinte Voir Ici . Publiera le 19 Janvier prochain un pamphlet politique au titre évocateur de : « Extrême droite, pourquoi les chrétiens ne peuvent pas se taire ».
Se posant comme catholique fervent et impliqué, Étienne Pinte tire de cette conviction des positions qu'il veut mettre en accord avec une prétendue « doctrine sociale » de l'Église. En fait c’est un homme de gauche, membre de la secte de droite de l’UMP un membre naïf de ce qu’il pense être une théocratie, (1) système politique dans lequel les prêtres exercent le pouvoir au nom de Dieu.
Les évangiles sont incompatibles avec tout parti politique, du fait même que tout parti est fait pour conquérir et garder le Pouvoir de l'État, de ses droits régaliens et de sa puissance armée ! Les Évangiles résistent à toute théologie, explicite ou sous-jacente, qui justifie la coopération des chrétiens à l'assassinat légal et " légitime". Les Évangiles résistent aussi bien à la doctrine « politique » protestante du journal " Réforme" qu'à la doctrine « politique » catholique du journal" La Croix". Deux cousins germains issus du vieux système politique " constantinien" né dès les premiers siècles de l'Église.
La vieille tradition séculaire de la chrétienté dit que le chrétien doit servir à la fois Dieu et César ("rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu".
"César", est ici la puissance publique disposant de la force armée pour le service du " droit du plus fort".
Dans Matthieu 6. 24 il est dit : " Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon" Monsieur Pinte est un simple serviteur de Mammon.Petit décryptage du discours politique de monsieur Pinte.
La Croix: Estimez-vous que la tentation de l’extrême droite progresse dans l’électorat catholique ? Étienne Pinte : Oui, les chrétiens sont de plus en plus tentés de voter pour le Front national. Depuis que Jean-Marie Le Pen n’est plus à la tête du FN, l’image de ce parti s’est polie. Marine Le Pen incarne une femme « moderne » et, en s’emparant des sujets économiques et sociaux, elle veut se montrer plus fréquentable. La tentation du vote FN s’explique aussi par un rejet de Nicolas Sarkozy chez certains chrétiens de droite. Cette tendance n’est certes pas plus forte qu’au sein de la population française mais elle m’a décidé à réagir car les valeurs de l’Évangile et la doctrine sociale de l’Église sont incompatibles avec l’extrême droite.
La Croix: Sur le fond, la question de la place de l’étranger occupe-t-elle toujours le cœur du problème Front National ?
In limine on note que le « journaliste » de la Croix demande à un membre de l’UMP d’expliquer une position politique attribuée au Front National.
Tiens ; Monsieur Pinte ne nous parle plus là des valeurs des évangiles, mais de « l’Eglise » mais qu’elle église monsieur Pinte ? C’est l’église catholique ? Protestante ? Les témoins qui n’ont pas vus l’accident ? Qui condamnerais le FN et au nom de quoi ou de qui monsieur Pinte ?
Tenons nous en au fameux « message » des évangiles en particulier sur la pratique de l’esclavage qui était courante dans ces temps là, comme elle l’était dans les temps bibliques : « Les serviteurs et servantes (lire esclaves) que tu auras viendront des nations qui vous entourent […] ils seront votre propriété et vous les laisserez en héritage à vos fils après vous pour qu'ils les possèdent à titre de propriété perpétuelle. Vous les aurez pour esclaves, mais sur vos frères, les Israélites, nul n'exercera un pouvoir de contrainte. ».
Le Temple de Jérusalem possédait des esclaves, de même que les Grands Prêtres, les riches juifs et la classe moyenne. Pourtant, Jésus n’a jamais directement attaqué cette pratique. S’il l’avait fait, il aurait sûrement attiré de nombreux esclaves dans se rangs, et on l’aurait su. Rien dans les Évangiles ne mentionne la possibilité de libération des esclaves, qui étaient nombreux et formaient sûrement la classe la plus défavorisée. Omission stratégique peut-être, mais indigne de sagesse divine.On pourrait même avancer que Jésus acceptait la réalité de l’esclavage et le rôle de soumission de l’esclave à la volonté du maître : « Le serviteur qui, connaissant la volonté de son maître, n’aura rien préparé ou fait selon sa volonté, recevra un grand nombre de coups. Quant à celui qui, sans la connaître, aura par sa conduite mérité des coups, il n’en recevra qu’un petit nombre » Même ignorant des désirs de son maître, le serviteur (ou l’esclave) mérite, selon Jésus, d’être battu.Tu parle d’un message d’amour !
Une épître de Paul à Timothée dans le Nouveau Testament fait de l’obéissance de l’esclave au maître un devoir religieux : « Tous ceux qui sont sous le joug de l’esclavage doivent considérer leurs maîtres comme dignes d’un entier respect. […] qu’au contraire ils les servent d’autant mieux que ce sont des croyants et des amis de Dieu qui bénéficient de leurs services»
Rappelons que l’esclavage ne fut aboli ( Que très partiellement puisqu'il perdure sur une grande partie de l'Asie et de l'Afrique en particulier au sein des dictatures Islamiques!) qu’en 1865 dans la très chrétienne nation américaine. Dans son livre Mémoires d’un esclave, Frederick Douglass témoigne de l’usage de certains passages de la Bible pour justifier l’esclavage : « J’affirme sans hésitation que la religion, dans le Sud, n’est qu’une couverture pour masquer les plus horribles crimes, une manière de justifier la plus épouvantable barbarie, une façon de sanctifier les messages les plus haineux et, enfin, un sombre abri derrière lequel les actes les plus noirs, les plus immondes et les plus ignobles des propriétaires d’esclaves trouvent leur protection la plus sûre. » (pp. 92-93)Je crois qu’il n’est pas nécessaire de continuer, le pamphlet de monsieur Pinte doit être pris pour ce qu’il est, une basse manœuvre politique.
Maintenant je voudrais poser une question à monsieur Pinte. Pensez vous monsieur Pinte que la pétition ouverte depuis plusieurs jours par des habitants du 16ème arrondissement de Paris pour empêcher la municipalité de transformer le square de l’Amiral-Bruix et une partie du vaste square Parodi en une zone d’accueil pour caravanes, tout près de la richissime avenue Foch est bien en accord avec les évangiles. Or, en dépit de vos efforts pour donner une autre image, vos électeurs de L’UMP ne change pas sur leurs fondamentaux. Ils continuent de prôner l’exclusion de l’étranger. L’antisémitisme d’hier a cédé la place à la romanophobie. Les thèses de l’UMP reposent toujours sur le rejet de l’autre, de la différence, en contradiction avec la conception chrétienne de l’homme.
Car c’est là, à quelques mètres, que les montgolfières décollaient à la fin du XIXème siècle et que, de nos jours, le très sélect club Saint-James ouvre ses portes à la haute bourgeoise et aux politiques de l’UMP. Avenue Foch, à l’est de l’Arc de Triomphe, en direction du Bois de Boulogne, se dressent les grandes villas des Rothschild et de Leïla Trabelsi, l’épouse du membre de l’Internationale socialiste le tunisien Ben Ali. Aux alentours du square de l’Amiral-Bruix, les hôtels particuliers hébergent des riches Français, souvent ultra conservateurs et électeurs de l’UMPS, heureux de vivre dans un des quartiers les plus sûrs d’Europe.
A cent jours des élections présidentielles, les caravanes des gens du voyage à l‘Arc de Triomphe promettent de lancer un beau défi à tout les candidats.
(1) "La Théocratie", dit le dictionnaire " est le mode de gouvernement dans lequel l'autorité est censée émaner directement de la divinité et est exercée par une caste sacerdotale ou par un souverain considéré comme le représentant de Dieu sur la terre". ( Petit Robert ). C'était le cas en Israël: c'est au Temple du Seigneur, à Jérusalem, que Dieu régnait sur son peuple. Il le faisait par l'autorité des prêtres qui exerçaient en son nom un pouvoir religieux et politique. Ce pouvoir établi s'exprimait, par exemple à travers le prélèvement de l'impôt pour le Temple, la didrachme que tout juif devait payer. Jésus et ses apôtres payaient cette redevance, en loyaux ressortissants de la cité de Dieu et de son Temple.
Michel Alain Labet de Bornay.
Secrétariat technique de l’Association de défense des identités Françaises.
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