dimanche 24 juin 2012

Les malfaiteurs antisémites.








Dans le cadre de la lutte contre les groupuscules de malfaiteurs antisémites des diverses “associations », partis politiques de « gauche » et autres collectifs nauséabonds qui appellent au boycott d’Israël une étude est réalisée par le CTECNA : http://antisemite non merci.blogspot.fr/ en plusieurs volets.

Secrétaire départementale du Parti communiste d’Alsace, Madame Parmentier est une remarquable femme politique, membre du conseil national du Parti Communiste Français et du collectif Boycott68 émanation de l’AFPS, du Parti Communiste Français, du NPA ( Nouveau Parti Antisémite) du PIR (Les « indigènes » de la république) d’Europe Ecologie les Verts et autres exquises associations humanistes d’ultra gauche et musulmanes intégristes vivant de prébendes et de racket.

Prévenue certainement à tord d’incitation à la haine raciale et à la violence avec les 12 de Mulhouse cette admirable « antisioniste » affirme sur ses blogs communistes non racistes et non antisémites juste légèrement, « antisioniste » du Collectif Boycott68 que les membres de ce « collectif » ne seraient pas antisémites au vu de la personnalité des membres du collectif issus de mouvements associatifs ou politiques non connus pour leurs prises de position racistes ou antisémites.

De tous temps, le Parti Communiste s’efforcera de se donner une image de pureté politique et d’infaillibilité.

Seulement voilà ; Madame Parmentier est une COMMUNISTE encartée ! Membre d’un parti déclaré CRIMINEL CONTRE L’HUMANITE. (1) Et cela pour l’Holodomor en Ukraine qui fit 9 millions de morts.

Mais laissons cela, 9 millions de morts chrétiens de la part d’un parti communiste non connu pour ses positions racistes ou antisémites ce doit être un « détail » de l’histoire peut être ?

Toutefois c’est un gros détail, l’Europe ne connaît pas de crimes pareils. L’extermination totale de neuf millions de paysans ukrainiens par une faim artificielle est un acte terroriste communiste conscient du système politique marxiste désiré par madame Parmentier (2). L’ Holodomor a détruit les bases sociales de la nation ukrainienne, ses traditions séculaires, sa culture spirituelle et son identité ethnique. Comment après ça peut-on ce dire communiste ?

Car il y a plus grave ! Bien plus grave !

On sait maintenant que de 1939 à 1941 le Parti Communiste Français fut collaborateur de l’Allemagne Nazie (3).

Ce qu’on sait moins, c’est que les communistes entre 1933 et 1945 publieront 28 listes noires regroupant 2.300 noms de « provocateurs, voleurs, escrocs, Trotskystes, mouchards et traîtres chassés des organisations révolutionnaires de France.(4) Initiative prise par  Maurice Tréand Voir Ici., responsable de la puissante Commission des Cadres du Parti communiste, sous la houlette des collabos, déserteurs et traîtres à la France Maurice Thorez et Eugen Fried.  Tout ceux que les listes prohibaient rappelaient en creux les « valeurs » cardinales et nauséabondes souvent antisémites développées dans le Parti communiste. Parmi celles-ci, l’infaillibilité du Parti, la justesse perpétuelle de sa ligne politique, la volonté d’unicité et celle d’être non connus pour leurs prises de position racistes et antisémites.

Les « militants » devaient fournir des signalements anthropologiques et ethniques  suivant en cela les conseils du communiste Suisse Georges Montandon.


Le 15 décembre 1926, le camarade Montandon fait paraître sous pseudonyme dans l’organe officiel du Parti Communiste Français L'Humanité un article intitulé « L'origine des types juifs ». Il publie dans le numéro d'avril 1939 de Contre-révolution, un article intitulé « La Solution ethno raciale du problème juif » où il affirme : « cette farouche intégrité du sang sémite fait des juifs les premiers ethno racistes en date ».

Là ou le bât blesse, c’est que le parti communiste était alors en pleine « chasse aux juifs » et usait de manières carrément antisémites pour dénoncer ses « ennemis » :

 « C… Renée, dite Tania, dite Thérèse, du XIV ème arr. Juive bessarabienne ».

« De B…, juif étranger. Renégat, dénigre le parti communiste  et URSS ».

R. Juif (Ce n’est pas son vrai nom) Travaille avec un groupe juif ennemi ».


Etc. etc.


Les preuves en photographies de documents d'époque.


Avant "d'épurer" la France  en 1944 et d'assassiner environ 50 000 Français entre 1939 et 1945 les collectivistes rouges étaient des dénonciateurs de juifs, de Francs Maçons et d'homosexuels. Pour preuve ce document du PCF de Janvier 1943

Le Parti  communiste dresse une longue liste de Français qui ont ouvert les yeux sur la réalité nauséabonde et criminelle du communisme. Ce qui est intéressant de retenir, ce sont les descriptions faites par les communistes de leurs anciens 'camarades' voués, dorénavant, à être assassinés ou déporté en Allemagne nazie. Certaines de ces descriptions sont notoirement ANTISÉMITES. Il est par exemple possible d'y lire « Carasso Samy, Nogent, né en 1899 à Rhodes, juif naturalisé en 1932. Secrétaire de loge maçonnique à Smyrne, rédacteur à la Défense. Renégat, se livre au marché noir ».

Sur cette liste communiste du 1/11/1943 figure : Wladimir Le Fèvre d'Ormesson écrivain, journaliste et diplomate français. Sa carrière diplomatique commence en mai 1940 quand Paul Reynaud le nomme ambassadeur auprès du Saint Siège, il est rappelé en octobre par le gouvernement de Vichy. Il collabore au Figaro replié à Lyon avant d'entrer dans la clandestinité et la résistance.
Et Gilles Dregy ( Gilles Dreyfus) Juif. Et surtout,  Georges Villiers (15 juin 1899 - 13 avril 1982) chef d'entreprise, homme politique, grand résistant et syndicaliste français.
De 1939-1945, il est dirigeant d'une entreprise de métallurgie, il fut le Président de la Métallurgie du Rhône. En mai 1941, Georges Villiers, membre de la Délégation spéciale de la municipalité de Lyon, alors en zone libre, se rend à Vichy pour défendre l'indépendance de la ville. Il obtient de Darlan le maintien d'un conseil municipal à Lyon et ce dernier lui propose même le fauteuil de maire. Après avoir consulté Édouard Herriot, Georges Villiers accepte cette responsabilité et devient maire de Lyon.
En 1943, après la disparition de la zone libre, Vichy procède à une épuration du Conseil municipal de Lyon. 18 révocations sont prononcées, dont celles de Georges Villiers, soupçonné à juste titre d'aider la Résistance. Plus tard, il est à cause de cette "liste noire communiste, arrêté et déporté au camp de concentration de Dachau. Merci les communistes, devenus "Front de gauche ".

Les communistes Français en rajoutent sur leurs "listes" de la haine raciste : Bresson Marcel, 50 ans environ, 1m70, figure osseuse, lorgnons. Représentant à la toile d'avion. Exclu en 1934 pour relations et moeurs spéciales. Habite le XVe. Rouge Jeanne, polonaise, 40 ans, 1m60 environ, figure ronde, cheveux noirs, genre femme orientale grasse. Mari et elle-même liés à Ferrat. (...) Chasseing  Renée "juive besarrabienneDavet Yvonne, 1 place du général Beuret, 30 ans environ, 1m54, cheveux noirs, teint olivâtre, maladive. Trostkyste, avait été en liaison avec le Poum. ».


La police de Vichy et la Gestapo  mirent la main sur ces listes et c’est ainsi que plusieurs milliers de juifs furent déportés vers les camps d’extermination par la faute des communistes Français !

Comment après cela affirmer que madame Aline Parmentier qui fait partie et est dirigeante du Parti Communiste Français parti qui a participé de 1939 à 1945 à la déportation de milliers de juifs par les nazis ferait partie d’un mouvement politique non connu pour ses prises de position racistes ou antisémites ?

D’autant qu’à la même époque dans les prisons de Vichy, les sinistres communistes exécutaient les trotskistes (cas de Gérard Bloch le mathématicien trotskiste qui déclarait en 1943: "Je suis communiste bien qu’appartenant à la IV Internationale" et qui, lui en réchappa).

Dans les maquis, même chose, quelques victimes trotskistes: Tresso, Pierre Salini, Jean Reboul, Abraham Sadek, qui, accusés d'avoir empoisonné l'eau du camp (accusation à connotation historiquement très antisémite) furent photographiés et durent écrire leur biographie avant d'être massacrés par leurs frères d'armes communistes staliniens.

Même dans les camps d’extermination nazi, l'épuration entre codétenus communistes français se poursuivait (ex: Marcel Hic, trotskiste ignominieusement assassiné par ces « camarades » à Dora)

Le Parti Communiste Français, antisémite, traître à la Patrie, valet du totalitarisme soviétique et en 1940, de l’occupant nazi, participant à la déportation massive de juifs Français entre 1939 et 1945 dont madame Aline Parmentier est secrétaire départementale pour la section Alsace et membre du secrétariat national, reste aujourd’hui en soutenant la campagne BDS, puissamment antisémite. 

(1) Communiqué de presse du Parlement européen, 23 octobre 2008.

DANS une résolution sur la commémoration de l’Holodomor, la famine artificielle et provoquée volontairement en Ukraine en 1932-1933 est décrite par les députés [européens] comme "un crime effroyable perpétré contre le peuple ukrainien et contre l’humanité".

La résolution "condamne fermement ces actes commis contre la population rurale d’Ukraine, caractérisés par une extermination et des violations massives des droits de l’homme et des libertés".

L’intention d’extermination de la population paysanne ukrainienne, est aujourd’hui attribuée aux autorités communistes soviétiques. Depuis le 28 novembre 2006, l’Ukraine avait officiellement qualifié l’Holodomor de "génocide", prévoyant des peines pour négationnisme à l’encontre des personnes qui en discuteraient la nature.
D’après la résolution adoptée par le Parlement européen, l’Holodomor de 1932-1933, qui a fait plus de 9 millions de morts en Ukraine, "a été planifiée de manière cynique et cruelle par un régime communiste pour imposer la politique marxiste de collectivisation de l’agriculture contre la volonté de la population rurale d’Ukraine".

(2) Secrétaire départementale du Parti communiste d’Alsace, Madame Parmentier 56 ans Mulhousienne de Zillisheim est une merveilleuse et excellente femme politique, membre du conseil national du Parti Communiste Français et du collectif Boycott68 émanation de l’AFPS et du PCF. Le 23 juin 2007 dans une  intervention non prononcée (Mais publiée sur le net)  la « camarade » Parmentier déclarait : « Dans la période de résistance à la droite et de reconstruction du Parti, il est nécessaire que les militants (es) soient bien formés (ées) et ancrés dans la vie sur de solides assises idéologiques marxistes. »

(3) Un exemple : Guy Môquet fut arrêté en octobre 1940 par la police française pour distribution de tracts communistes (Note : L’Humanité était interdit depuis août 1939 et avait entrepris des négociations avec les nazis depuis l’armistice pour sa republication). Dans sa déposition, il revendique la succession politique de son père, Prosper Môquet, condamné par la IIIe République pour son refus de désavouer le pacte germano-soviétique. Les tracts communistes de 1940 ne visaient pas l’Allemagne, mais "l’impérialisme britannique" et la "ploutocratie juive"... rien à voir avec un engagement résistant.


Extrait : « Quand les communistes russes et les nazis signent le pacte germano-soviétique, le PCF obéit à la décision de Staline. Dès lors, le Parti se réjouit de la défaite de juin 40 : selon eux, elle signe l’échec de la démocratie parlementaire, du capitalisme juif, de la bourgeoisie d’affaire. De plus, elle prépare la France à la révolution bolchevique ardemment souhaitée.

Le Parti Communiste Français qui a demandé la reparution de L’Humanité le 20 juin 1940 à l’occupant nazi sous prétexte qu’ils avaient des ennemis communs, (les juifs, les capitalistes, les anglais, la ploutocratie, le parlementarisme, lire le détail dans Juin 40. La négociation secrète de Jean-Pierre Besse et Claude Pennetier)

Cet ouvrage rend compte de la découverte d'un document d'un exceptionnel intérêt, historique pour l'histoire du communisme criminel et antisémite en France. Retrouvé sous scellés aux Archives de Paris, un carnet de notes révèle l'argumentaire qui servit de base à la négociation entre Maurice Tréand, représentant du Parti Communiste Français, et Otto Abetz, représentant de l'occupant nazi en France, pour obtenir la reparution de l'Humanité et la légalisation de l'activité communiste en juin 1940. Le texte de ce carnet de notes, reproduit intégralement dans ce livre, éclaire sous un jour nouveau la nature des tractations entre les responsables communistes et les autorités allemandes. L'opposition du Parti communiste français à la guerre" impérialiste ", la défense du Pacte germano-soviétique, la condamnation des " gouvernements bourgeois " où figure " le juif Mandel " et l'implantation ouvrière du Parti sont les arguments présentés aux Allemands par la direction communiste pour conclure une alliance devant garantir la paix sociale dans la France occupée.

Quelques citations: « Vous avez laissé paraître journaux communistes dans d’autres pays : Danemark, Norvège, Belgique. Sommes venus normalement demander autorisation… Sommes communistes, avons appliqué ligne Parti Communiste. Sous Daladier, Reynaud, juif Mandel. Juif Mandel nous a emprisonnés et [a] fusillé des ouvriers qui sabotaient Défense Nationale… Pas cédé face dictature juif Mandel et du défenseur des intérêts capitalistes anglais Reynaud… Notre défense du pacte (germano-soviétique) vous a avantagé. Pour l’URSS nous avons bien travaillé, par conséquent par ricochet pour vous. » 

(4) Voir : Liquider les traîtres. La face cachée du PCF, 1941-1943 de J.-M. Berlière et F. Liaigre, Robert Laffont, 2007

Publié avec l’aimable autorisation de CTECNA : http://antisemite non merci.blogspot.fr/

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6 commentaires:

  1. La mode des « listes » racistes de gauche ne cesse pas.
    Le jeudi 22 mai 2008 parait sur le Net une liste des noirs néo sionistes français et traîtres aux racines et tragédies noires, voir et cliquez sur le lien : La gauche marxiste culturelle RACISTE !

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    1. Il faudra bien un jour arriver à faire le procès du communisme, cette idéologie de haine rouge sang, antisémite, raciste, homophobe qui a terrorisé une partie de la planète pendant bien trop de temps. Dire qu’il y a encore de ces gens là en France et en 2012 qui professent et conseillent l’idéologie marxiste aux 150 millions de morts, c’est proprement incroyable, scandaleux et honteux.

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  2. En Janvier 2007 dans le Choc du mois Gabriel Giauque écrit :

    « Après la Libération encore, le Parti communiste français faisait de l'adhésion pleine et entière au pacte germano-soviétique antisémite un élément d'appréciation majeur de bonne conduite des militants du Parti. Jusque dans les années cinquante, racontent Besse et Pennetier, (Juin 40, La Négociation secrète, par Jean-Pierre Besse et Claude Pennetier, Les éditions de l'Atelier, 208 pages, 14,90 euros.) « on demande aux militants : « Quelle a été votre position au moment de Munich » et « au moment du traité germano-soviétique» et on double la question « Quels sont les arguments que vous développez en face d'adversaires sur ces deux problèmes ? » »
    « Certes, pourra-t-on lire dans le rapport du Xe congrès du PCF tenu à Paris en juin 1945, le travail réalisé par un camarade avant septembre 1939 ou après août 1944 doit être considéré comme très important. Toutefois, la fidélité envers la ligne politique se vérifiant plus particulièrement dans les moments dangereux, les éléments suivants sont déterminants : position d'août 1939 [... ] à juin 1940. » Ne manquait qu'un bilan politico-ethnique de l'action du « juif Mandel ». »

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  3. Vous avez raison monsieur Labet l'histoire de France a été falsifiée par les communistes.
    Cependant, petit à petit, la chape de mensonges qui a trompé les Français durant tant de générations, se fissure. Les mythes s'écroulent.
    Aujourd'hui, certains historiens sérieux découvrent enfin, ou finissent par admettre, ce que beaucoup de Français savaient, avaient toujours su et n'avaient jamais oublié. Parmi ces évolutions, le livre déjà signalé : Liquider les traîtres : La face cachée du PCF, 1941-1943.
    Plus tard les communistes allaient commettre des horreurs inouïes au moment de la "Libération" tel le « camarade » Samuel dit Aubrac à Marseille. Ce sera l'Epuration. Un ancien ministre de l'intérieur reconnaîtra qu'il y a eu en 1944-1945, en France, quelques 44.000 assassinats commis par les seuls communistes.

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  4. A quand une repentance des communistes Français pour les criminels sabotages meurtriers ?

    Paru à l’automne 2006, lire l’ouvrage de Jean-Pierre Besse et Claude Pennetier ("Juin 40, la négociation secrète. Les communistes français et les autorités allemandes" Les éditions de l'Atelier, 208 pages, 14,90 euros.)

    Le livre de Besse et Pennetier tout juste paru, le Parti communiste français a publié une mise au point, que Marie-George Buffet s'est empressée de faire porter au Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif). Cette fois, pas question d'arguer d'un quelconque faux. Les deux historiens, qui sont proches de la gauche communiste, sont « reconnus pour le sérieux de leurs travaux scientifiques ». Aussi le PCF dénonce-t-il des « propos antisémites tout à fait odieux » qui s'inscrivaient alors dans une « stratégie injustifiable » menée toutefois « sous la pression de l'Internationale ». Et d'accabler prioritairement les « cadres dirigeants de l'URSS et de l'Internationale communiste », initiateurs d'une stratégie « heureusement abandonnée à partir d'août 1940 ».
    Le Parti Communiste Français veut se dédouaner.Mais comme d’habitude il s'enfonce et reconnaît explicitement - pour la première fois ! - que les dirigeants français étaient totalement, absolument aux ordres de Moscou, quitte à trahir la France et à assassiner des Français ainsi que l'indique le passage sur les saboteurs qui ont été fusillés. En mai 1940 par exemple, plusieurs aviateurs français trouvèrent la mort à bord d'avions sortis des usines Farman qui avaient explosé en plein vol pour l'unique raison que des ouvriers communistes avaient sectionné une pièce de l'appareil. A quand une « repentance » du Parti communiste ?

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  5. Rémi Kauffer, dans le Figaro Magazine du 14 novembre 2008 écrit : «Deux mille trois cents noms et 22 listes noires de supposés « traîtres » ou « provocateurs », jetés en pâture par le Parti Communiste Français entre 1933 et 1945. Le but, parfaite application des dogmes léninistes : mettre au pilori les « ennemis de classe » au sein du « mouvement ouvrier ». Une terreur quotidienne, qui trouvera son aboutissement pendant la Seconde Guerre mondiale, avec les « liquidations physiques » de dissidents mis dans le même sac que les collaborateurs. »

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