Jean
Luc Mélenchon et les communistes antisémites allemands de Die Linke.
Jean-Luc
Mélenchon et Oskar
Lafontaine (président de Die Linke (le parti
Communiste allemand. (Photo ci- contre)
Cliquez ici pour voir les anciens de la STASI )
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«Des antisémites comme
partenaires de coalition?»: c’est le titre d’une étude rédigée par le sociologue Samuel Salzborn
et l’expert en antisémitisme Sebastian Voigt.
Derrière
ce titre, les deux universitaires se sont attaqués au Parti communiste allemand, Die
Linke, et à sa « tolérance » plus qu’accrue vis-à-vis des
positions antisémites et/ou anti-israéliennes dans
ses rangs. Si leur travail n’est pas encore publié, la Frankfurter Rundschau
vient d’en permettre, en exclusivité, le téléchargement.
L'étude
en document PDF : Cliquez
ici pour télécharger.
Selon les
auteurs, la tendance émane surtout des fédérations communistes de l’Allemagne
de l’Ouest. Salzborn explique au quotidien Die Welt que «derrière
cela, il y a une tradition anti-impérialiste qui trouve son origine dans la
rhétorique des groupuscules communistes très influents de
l’Allemagne de l’ouest des années 70».
Mélenchon ? La haine marxiste ! |
«Un
flyer de contenu antisémite accompagné d’un logo mêlant
une étoile de David à une croix gammée avait
fait surface sur le site de la fédération de cette ville de la Ruhr. Un lien
conduisait vers un appel au boycott des produits israéliens. Le
parquet avait procédé à une mise en examen du parti».
Image d'origine communiste contrôlée. |
«Stefan
Liebich est l’ancien chef de la fédération berlinoise du Parti Communiste
Allemand Die Linke. Entre temps, il s’est mis à siéger à l’Assemblée. Lui n’en
peut plus. Il y a quelques jours, Inge Höger, sa collègue de groupe
parlementaire, s’est produite dans une conférence de sympathisants du Hamas.
Lors de son discours, elle a tendu une carte du Moyen-Orient sans Israël.
"J’ai perdu patience. Aujourd’hui, les membres qui veulent combattre les
sorties antisémites au sein du Parti doivent élever la
voix", a-t-il confié au quotidien.»
Mélenchon ? C'est Staline ! |
La très
communiste et criminelle RDA, sous l’impulsion d’un parti d’Etat, le SED, n’a
jamais vraiment poussé sa population à travailler le passé nazi de
l'Allemagne.
La
Frankfurter Rundschau rappelle:
«À
l’époque, le national-socialisme a été représenté comme la machination d’un
groupe de quelques capitalistes. Dans cette perspective, l’antifascisme est-allemand
est devenue une évidence érigée au rang d’idéologie étatique, qui a ensuite
servi le combat anti-impérialiste, et par là, l’hostilité à l’égard d’Israël et
le soutien aux dictatures arabes.»
Et à
l’Ouest de l’Allemagne, le Parti Communiste Allemand s’est
rangée derrière cette ligne antisémite funeste, explique un des auteurs de
l’étude:
«La
question juive, devenue taboue après le génocide, a été relayée par
la question des relations avec l’état israélien.»
Jean
Luc Mélenchon chez l’antisémite Chavez au Venezuela
Mélenchon et Chavez ? C'est l'amour ! |
Ainsi il
tire son concept de « révolution citoyenne » de l’Equateur ou
encore sa volonté de mettre en place une nouvelle constitution du Venezuela. La
presse marxiste d’Amérique latine n’avait d’ailleurs pas tari d’éloge sur lui
durant la campagne présidentielle, saluant la « révélation de
l’élection présidentielle français », alors même que le président
équatorien lui avait adressé une lettre de soutien.
Le
« camarade » Mélenchon est critiqué par le PS pour l’attirance
qu’aurait l’ancien candidat à la présidentielle pour Hugo Chavez, le président
vénézuélien dont les amitiés pour le dictateur iranien et les saillies
populistes antisémites ne le rendent guère populaire en occident.
De plus les
responsables de la droite molle prennent un malin plaisir à rappeler que pour
Jean-Luc Mélenchon, Cuba n’est pas une dictature. On se souvient en effet du
clash qui avait eu lieu entre l’ancien sénateur et des journalistes sur ce
sujet, car en effet, pour Jean-Luc Mélenchon, Cuba n’est ni une dictature, ni
une démocratie, étant donné l’embargo américain qui pèse sur le pays depuis de
nombreuses années Cuba reste figé dans une sorte de « révolution » en
devenir qui ne demanderait qu’à s’accomplir.
Jean-Luc
Mélenchon confesse « beaucoup de sympathie et d’admiration pour la Révolution
cubaine contre l’empire américain » (1)
Jean-Luc
Mélenchon est-il aussi admiratif de l’antisémite Hugo Chavez ? Lui-même
disait que non, en avril dernier sur BFMTV où il expliquait que « Chavez
n’est pas un modèle mais une source d’inspiration, c’est le volontarisme d’un
Chavez, d’un Correa, d’un Lula, d’une Kirchner (…) qui me sert de source
d’inspiration ». Et il a plusieurs fois répété qu’il n’admirait pas
Chavez mais plutôt Correa chef d’un état « connu pour ses violations
continues de la liberté de la presse » (Le Figaro), comme « malmenant
la liberté d’expression chez lui » (Le Monde), comme quand il n’est pas
carrément traité de « dictateur » (dans les médias latino-américains)
ou Lula. Ah Lula le bon président brésilien Luis
Inacio «Lula» Da Silvia un très bon ami lui aussi du dictateur islamiste
antisémite iranien Ahmadinejad et de ses boss les Ayatollahs.
"Lula" Da Sivia sert la main d'un antisémite. La poignée de main de Montoire ? |
Néanmoins,
l’enthousiasme manifeste qu’il exprime concernant son déplacement au Venezuela
sert abondamment à servir les critiques, outre la défense qu'il a pu apporter
au président du Venezuela en expliquant qu'il n'était pas un dictateur ayant
été élu 12 fois sur 13. Mais si l’on peut avoir des doutes sur ses positions
personnelles concernant Cuba ou le Venezuela, le comparer tout de suite à
Chavez ou Castro est sans doute très exagéré et ne permet pas de parler du fond,
à savoir, la politique française…
(1) Quelle belle « révolution » raciste ! En mettant l'accent sur le problème social, la révolution communiste a laissé l'épineux problème racial sous le tapis. «Le communisme a gardé le silence sur la question, constate l'anthropologue métis Rafael Robaina. On a cru qu'en disant qu'on était tous égaux et en offrant les mêmes chances à tous, le racisme n'existerait plus. La société cubaine demeure raciste. On ne peut effacer l'histoire du jour au lendemain.»
Le
communisme prétend que la seule différence entre les hommes c'est la classe
sociale, les questions ethniques et raciales ont toujours été négligés que ce
soit dans l'ex URSS ou à Cuba. Il n'y eut pas une politique de
"discrimination positive" aux premiers années de la révolution et
l'égalité entre noirs et métisses majoritairement modestes et blancs n'eut pas
lieu. La méfiance de Fidel Castro et son entourage par rapport au véritables
valeurs populaires cubains, très marqués dans la population noire et métisse
alimenta cette manque d'initiative dans l'intégration d'une partie importante
de la population cubaine. Des débats il y a eu, mais ils ont toujours été
superficiels. Aujourd'hui, comme il est signalé dans le reportage, les
difficultés économiques et la crise sociale mettent en évidence cette reforme
manquée de la société cubaine.
Alors que
les Noirs forment 62 % de la population cubaine – chiffres de l’université de
Miami –, comment se fait-il que lors du recensement de 2002, 11 % des Cubains
seulement se sont déclarés Noirs ? Pour l’opposant Manuel Cuesta Morua, la
raison en est simple : à Cuba, les “Blancs” entretiennent
un “racisme cordial” envers les“Noirs”, et l’une des
bases idéologiques du régime castriste reste le système dit de l’“avancement”,
par lequel les “Blancs” obtiennent les meilleurs logements,
les meilleurs emplois, les meilleurs soins, etc.
Si le
système était binaire, “Blanc” – “Noir”, près des deux tiers de la
population subirait de plein fouet un système d’apartheid. Fort
heureusement, le législateur marxiste a établi un riche nuancier qui permet à
tout un chacun de se sentir plus ou moins “Blanc”, à l’exception de
ceux qui ne le sont pas du tout. La couleur de peau, va ainsi du “negro
azul” (noir bleu) au “jabao” (clair de peau) en
passant par le “blanconazo” (blanchâtre), le “prieto” (noirâtre),
le “moreno” (brun), le “mulatro” (mulâtre),
le“trigueño” (brun clair). Un “moreno” pourra
faire valoir qu’il est plus proche d’un “jabao” que d’un“negro
azul” pour obtenir un meilleur job, dans une économie où
les emplois sont à la discrétion du Parti. Malgré l’égalitarisme prôné par le
système, les “Noirs-Noirs” restent largement au bas de
l’échelle sociale. 85 % des prisonniers de droit commun à Cuba sont des
« noirs-noirs »
Les
partisans du régime marxiste associent encore la “manipulation du thème
racial” à la “subversion contre-révolutionnaire” et
ont toujours faussement estimé que l’« égalité des chances » suffirait
à surmonter le « racisme ». Parler du « sujet » revient
donc à “diviser la Révolution”, à promouvoir un “racisme à
l’envers” ou la“subversion raciale”. Bref, pour un vrai
marxiste et communiste Castriste, ceux qui évoquent l’existence de racisme sur
l’Île ne peuvent être que d’affreux contre-révolutionnaires à la solde des
Etats-Unis.
De fait,
selon un récent sondage, 80 % des Cubains pensent qu’il n’y a aucune
possibilité pour qu’un non Blanc préside un jour le pays. Un comble si l’on
pense que Fulgencio Batista, renversé par Castro en 1956, était
lui-même un “trigueño”. Au bout d’un demi-siècle de
révolution, le régime peine à aligner ses Noirs : en haut de la pyramide du
pouvoir, le Conseil d’Etat ne compte qu’un tiers de non-Blancs, le Politburo un
cinquième et le Parlement cubain également un cinquième d’élus non-Blancs.
Juan
Esteban Lazo Hernandez est certes vice-président de Cuba, mais c’est le seul
non-Blanc situé en haut de la pyramide du régime. « La société cubaine
vit depuis des années un processus de métissage qui ne se reflète pas en
matière de représentation sociale et politique », estime M. Cuesta Morua.
45% des
sondés disent avoir déjà été “victimes de discrimination” et
40%, les mêmes pour la plupart, admettent avoir “fait preuve de
discrimination”. Pour 82% du panel, il est « très courant » qu’un
Cubain soit victime ou fasse preuve de discrimination. Les discriminations
étant évidemment d’autant plus vives entre communautés de couleur que la nuance
tire vers le noir foncé : lorsqu’il s’agit d’obtenir un emploi, la lutte
pour la vie peut parfois se faire féroce entre un “mulatro” et
un “negro azul”. Dans le même ordre d’idée, Marx écrivait fort
pertinemment : “il y a pire que d’être
prolétaire, c’est d’être la femme du prolétaire”. Et dans la Traite transatlantique, ce ne sont
pas les Blancs qui allaient razzier les Noirs à l’intérieur des terres
africaines : ils se contentaient d’attendre sur les côtes que d’autres Noirs
leur ramènent leurs lots de frères de couleur.
« Il faut débattre publiquement du sujet, alerter, dire aux racistes
conscients et inconscients que nous avons la capacité de les rééduquer ou de
les faire taire » :
c’est dans cette veine typiquement marxiste-léniniste digne du MRAP chez nous que
l’universitaire (blanc) Esteban Morales propose de mettre un terme au racisme
sur l’île. Le problème est que les racistes sont loin d’être parfaitement
localisés sur le nuancier en vigueur dans l’Île puisqu’on en trouve un peu
partout dans l’ensemble des communautés. On imagine la difficulté de gérer des
camps de rééducation « multiraciaux ».
A moins
naturellement que le pouvoir n’installe des camps séparés « jabao », «
mulatro », « negro azul », etc. Pédagogiquement, le but semblerait alors un
peu raté. Et puis « traiter » efficacement plus de 40% de la population peut
sembler un défi économique majeur dans une société marxiste totalement
paupérisée par un demi-siècle de nauséabond communisme.
Avec
l’élection de M. Obama à la présidence des Etats-Unis, le régime marxiste castriste
a perdu un argument-massue de sa propagande antiyankee. Les médias de l’Île
présentaient en effet traditionnellement les Etats-Unis comme la société de la
ségrégation raciale par excellence. “Alors que les Etats-Unis ont élu
un Noir [en fait un Métis, ndlr] à la présidence, quarante ans après
l’assassinat de Martin Luther King, qu’a fait Cuba en cinquante ans de
révolution ?” demande fort justement M. Cuesta Morua, pour lequel“la
propagande officielle n’a pas préparé les Cubains à l’élection d’Obama”
Incapable
de produire suffisamment de richesses pour satisfaire les besoins de sa
population, le régime paléocommuniste de Raul Castro doit, sous peine
d’explosion, impérativement trouver une solution à la montée des conflits
intercommunautaires. Une tâche qui ne devrait pas se résoudre qu’avec des camps
de rééducation…
(2) Source
: Le
Monde Lorsque le président vénézuélien Hugo Chavez briguait un troisième
mandat. L’opposition avait choisi comme candidat Henrique Capriles Radonski,
ancien gouverneur de l’Etat de Miranda (à l’est de Caracas).
Tous ceux qui ont assisté à ses discours le savent, Chavez comme Mélenchon a le verbe facile et l’insulte raciste et antisémite constamment sur le bout de la langue.
Il a
rejeté un débat télévisé avec le candidat de l’opposition avec un simple
argument : ce dernier serait un « nul ».
La
disqualification est une ressource commode pour ceux qui refusent la
contradiction et le dialogue.
Le
Marxiste de type Mélenchon, Chavez, Castro et autres crapules communistes ont
une pensée intellectuelle faible et généralement un QI de moule qu’ils compensent
en disqualifiant par des mots a fort impacts psychologiques tout les
contradicteurs un peu trop convaincants. Le Marxiste est sans scrupule, sa
bonne conscience l'autorisant a user de la pire mauvaise fois. Il est inutile
de voir en celui-ci un être Humain doué de conscience, il est plus proche
psychologiquement du psychopathe, n'ayant aucun scrupule à violer tout principe
éthique.
Chavez
traite son adversaire de « jalabola » (lèche cul) de l’impérialisme
ou de l’Empire et de candidat « majunche » (falot,
médiocre). Mélenchon
pendant la dernière campagne électorale avait lui traité madame Lepen, de "bête
malfaisante".
Chavez se
présente lui-même comme « candidat de la patrie ». Il a donc
désigné son opposant comme le « candidat de l’anti-patrie ». C’est
un classique du répertoire nationaliste : ainsi, « l’anti-France » désignait
pêle-mêle les juifs, les maçons, les communistes…
Mais
Chavez ne s’est pas contenté de pointer du doigt Capriles comme «
candidat de l’étranger » : il est passé de « candidat
anti-patrie » à « candidat apatride ».
Ce glissement
est lourd de sens. Dans le premier cas, on est dans le système binaire, pour ou
contre, ami ou ennemi. Dans le second cas, on désigne un candidat qui n’a pas
de patrie, qui n’a pas sa place dans le concert des nations. Appliqué à
Capriles Radonski, catholique d’origine juive, le sous-texte implicite renvoie
à la figure du juif dépourvu de patrie, le juif de la diaspora, le juif errant.
Une autre
limite est franchie lorsque Chavez traite Capriles de « porc ». La
bestialisation et la déshumanisation de l’ennemi sont courantes dans la
rhétorique des nationalismes. Le péronisme appelait ses opposants des «
gorilles », le castrisme désignait les exilés comme des« gusanos » (vermine).
Le bestiaire n’est pas indifférent : « porc », « vermine » ou «
rat » n’ont pas le même sens qu’« âne ».
Le
discours de Chavez libère la parole de ses militants. Le site chaviste Martillo
Rojo écrit ainsi le nom de l’opposant : CAPrile$ Raton$ki. CAP
évoque l’ancien président social-démocrate Carlos Andrés Pérez, dit CAP,
destitué pour corruption. Le changement d’une simple lettre pour écrire Rat-onski se
passe d’explications. Le signe du dollar incrusté dans le nom en renforce la
connotation antisémite.
Pour
d’autres partisans de l’amalgame, l’antisémitisme est une invention du
sionisme, « propriétaire de la plupart des institutions financières de
la planète, qui contrôle presque 80 % de l’économie mondiale et l’industrie de
la communication dans sa presque totalité » (Adal Hernandez, Radio
Nationale du Venezuela).
Voilà
donc Capriles présenté comme le candidat du « sionisme international » :
jadis, on disait la juiverie internationale ; maintenant on préfère l’amalgame
entre Israël et les juifs.
Sur les
réseaux sociaux, les chavistes se lâchent : « Radonsky se moque du
peuple et de sa foi, ce sioniste est étranger même s’il a une carte d’identité
et un acte de naissance vénézuéliens » (@BasemTajeldine; l’utilisation
de l’Y plutôt que l’I rend le nom plus exotique).
Alors que
Chavez invoque sa foi catholique à tout moment, « Radonsky est un
hypocrite. Il se déguise en chrétien et prie la Vierge pour chercher le vote.
En réalité il est sioniste. Il hait Jésus et la Vierge » (@BasemTajeldine).
Le
négationnisme trouve des suiveurs au Venezuela : « Je ne crois pas à la
théorie de l’Holocauste inventée par l’Empire [américain] et
ses collaborateurs ». (@RemlawiEnrique[N33] @N33DOS).
En 2011,
une journaliste avait fait la promotion des Protocoles des sages de
Sion, le faux fabriqué en Russie tsariste pour justifier les pogroms, sur
l’antenne de Radio Nationale du Venezuela, propriété de l’Etat. Le texte
des Protocoles est disponible sur le site Chaviste.
Secrétariat
technique de l’Association de défense des identités Françaises.
Tous
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