Vidéo: Submission:
le court métrage de Theo van Gogh.
De nombreux
lecteurs de ce blog m’ont demandé une bonne foi pour toute, mon opinion sur le
mahométisme et les mahométans, certains étaient même sales et lafistes d’autres,
Catholicistes très propres sur eux, Thomistes de Savoie, Catharsistes de
Toulouse ou Nestorianistes (oui, je sais, les Cathares et les Nestoriens, ça ne
ce fait plus tellement) des marxistes (mais oui) des frangins du GO et de la GLNF et même 2 ou 3 animistes
m’écrivant d’Afrique noire avec les trois Druides du grand Collège des Gaules.
Sans oubliez les gomorrhéennes et autres sodomites qui mouillent leur petites
culottes, redoutant la colère des mahométans, car en terre d’Islam, brouter des minous et bouffer de la tarte au
poil comme le gigot à l’ail d'une Simone de Beauvoir pédophile et la culture de la « rondelle défoncée »
chère à Jean Genet, c’est rigoureusement harâm (Verboten… strictement
interdit, c’est puni de mort !!!)
Pour éviter
toute ambiguïté et vous éviter le gay pied de ce dîner à Sainte adresse, mettons
carrément nos pieds de cochon dans la couscoussière.
Il y a pas
longtemps encore, je confondais rassoul avec raalouf, normal, les consonances
barbaresques arabiques n’étaient pas encore bien rentrées dans mes oreilles
d’infidèle et de mécréant (et fier de l’être) et j’avais toujours pris ces deux
mots pour des synonymes ou des synagogues (Je n’ai jamais bien fais la
différence).
A mon sens,
coiffant les aspirations les plus viles, flattant les pulsions les plus
archaïques, encourageant la paresse intellectuelle, l'intolérance,
l’hypocrisie, la violence, prêchant un virilisme pathologique, justifiant les
pires ignominies antiféministes et antisémite, l'islam n'est ni une sagesse ,
ni une civilisation, ni un mode de vie, c'est un fléau."
La réalité
de l’islam, c’est que ce n’est pas une « religion », mais un projet
politico-religieux totalitaire. Islam veux dire soumission.
Ceci étant
dit et comme ça ça sera dit… rose ! Retournons à nos agneaux égorgés au
pris de grandes souffrances c'est-à-dire l’islam : (A vos souhaits) M’enfin,
au début j’avais écrit : L’islam c’est sale et ça colle des boutons
verts ! La témérité a des limites ! Je m’étais arrêté là ! Il y a
bien une fois ou j’avais trouvé quelques synonymes douteux mais drôles: coraniquetasoeur,
islamiquetamère,
islamitérrant,
mahométan,
sarrasinophile,
abrutislamiste,
corraniste, busarrasin,
maure, barbaresque, chimpacrouille,etc. etc.
Mais bon, c’était un peu court, d’autant que beaucoup de
lecteurs et de lectrices (Bonjour Anne Marie), me posent des questions sur mon
opinion sur l’islam, alors allons y.
L’ennemi de
la république et surtout de la liberté, n’est pas seulement l’islam ou son
corollaire politiquement correct « l’islamisme ». Mais c’est surtout le marxisme
culturel ou « politiquement correct » Vien ici que je t’explique.
Ah les
mots, que ne leur fais-t-on pas dire. La forgerie du mot
« Islamisme » pour qualifier l’islam dit « politique »
à été faite par les occidentaux, incapables intellectuellement de concevoir
l’islam en sa globalité archaïque, qui est tout à la fois une
« religion » au sens occidental, mais aussi une politique et un mode
de vie (je me refuse quant à moi à qualifier cette pseudo « religion »
autrement que par son nom : « l’Islam »). L’islam et seulement
l’islam, qui est faussement assimilé à une « religion » est une arme
de destruction massive, une théocratie digne du nom de totalitarisme immonde et
sanguinaire.
La forgerie
« islamisme » en France serait « modéré » viennent nous
faire croire les marxistes culturels. Est-il nécessaire de redéfinir
l’islamisme ? Le Robert dit : “Mouvement politique ou religieux (Notez
le OU !) Prônant l’expansion ou le respect de l’islam (Que de OU !) ”.
Autrement dit, mouvement qui agit pour le prosélytisme (“expansion”) ou la
charia (“respect de l’islam”). Alors il est temps de rétablir une vérité.
Non, il n’existe pas d’islamisme modéré, pas plus qu’il n’existe d’islamistes
modérés.
Si l’on
entend par modération le bannissement de traditions archaïques qui peinent à
trouver leur justification dans les textes sacrés à moins de les déformer comme
l’excision ou la polygamie, alors on se trompe. Nous ne sommes pas dans la
modération, mais dans la disparition de la barbarie.
Ceci étant
posé, que dire ou que faire de plus et surtout que faire pour éviter l’expansion
des « coranneries » dans votre beau pays .
On ne
« lutte » pas contre l’islam, c’est inutile. Cette «lutte »
est vouée à l’échec. L’islam est impérialiste et est « condamné » à
l’expansion ; ils ne peuvent pas faire autrement.
On
n’intègre pas les mahométans dans la « République », c’est un leurre
marxiste, la pierre noire n’est pas soluble dans l’eau de la liberté.
Si la
France a intégré pendant des siècles et c’est très bien, quantité de
populations allogènes, l’échec avec les populations musulmanes est flagrant,
irréversible définitif et grave.
Patriotes
Français et autres laïques, vous vous trompez de « lutte », votre
combat contre « l’islam », sa critique et son implantation est voué à
l’échec.
Pourtant en
République, la critique de la « religion », comme toutes les
convictions, devrait être libre car elle est constitutionnellement garantie
et fait partie de la liberté d'opinion
et d'expression seulement l’Islam n’est pas une « religion » ou alors
faut m’expliquer ? Une « religion » sans
« clergé » ? Elle ne saurait être assimilée au racisme et à la
xénophobie » (Extrait du Rapport annuel 2005 du Haut Conseil à
l'Intégration).
Oui, mais
voila, vous vous bercé d’illusions si vous vous croyez encore vivre dans une république, vous vous
trompez, vous vivez dans une dictature marxiste communiste d’un genre nouveau,
la république marxiste culturelle ! D’aucuns parlent de
« multiculturelle »
Ce marxisme
culturel là, ne peut que développer le vice. Car
c'est dans un régime non socialiste,
c'est-à-dire un régime vraiment libéral où personne n’agresserait
personne, et ou les vicieux ne pourrait l'être qu'à leurs
dépens. Si, parce que je n'aime pas les musulmans, ce
qu’a Dieu ne plaise, (En fait personnellement je les adore ! Chez
eux !!! Dans leur beaux pays ou ils peuvent êtres polygames, torchonner ou
bâcher leurs moukères ; les battrent et les lapider, se prosterner le cul
en l’air 5 fois par jour, se faire couper le kiki et le clito des petites
filles, exécuter les homos, couper les mains aux voleurs, bouffer de la merde
hallal,tourner comme des cons autour d’une tente de bédouins avec une météorite
au milieu ( Faut y être allumé !) enfin pratiquer cette magnifique
« religion » la RATP Religion d’Amour de Tolérance et de Paix) donc
si je ne les aime pas, je refuse d'acheter les services du
musulman, alors qu'ils sont meilleurs et moins chers,
c'est à mes frais à moi que je pratique le
« racisme islamophobe » ( Oh … ; comme ils disent !)
. Le régime non socialiste, la véritable république où la
solidarité est régulée par le consentement, punit toujours
l'irrationalité. La responsabilité régule le vice,
comme tous les autres aspects de la société.
C'est
en revanche quand le marxisme vole l'argent et en cela les parasites
marxistes sont des experts, que certains peuvent forcer
les autres à payer leurs erreurs et leurs fautes. Par
exemple en faisant payer à la collectivité toute entière la construction de
« Mosquées » qui ne profiteront qu’à quelques uns.
C'est
ainsi que, dans les administrations publiques Française,
perdure un racisme institutionnel anti-blancs et anti
Français qui a remplacé le racisme anti-noirs, et que
les gouvernements européens, avec l'argent volé aux
contribuables, ont développé cette extraordinaire
multiplicité de racistes anti-indigènes que nous
pouvons observer aujourd'hui. Ce racisme-là illustre
aussi que :
Le
communisme développe spécifiquement le racisme, parce
qu'à la place de l'échange volontaire, où les
différences enrichissent l'un et l'autre, il impose une
relation forcée, où "le profit de l'un est la perte de
l'autre" [Montaigne], la même différence
devenant de ce fait le prétexte d'une haine, donc
éventuellement d'un racisme qui est sa création
exclusive et son pur produit. Et comme il vole
tout le monde pour redistribuer à tout le monde
, il pousse chacun à s'enrôler dans un
groupe de pression, afin de voler les autres plutôt
que d'en être volé. D'un racisme personnel il fait un
racisme politique, organisé voire violent.
Certains
objecteront que ma conclusion est fallacieuse parce qu'il
existe des crimes spécifiquement racistes.
Encore une
fois, ce qu'on s'acharne à faire oublier, que lorsqu'un
crime ou un « délit raciste » est commis, ce n'est
pas son racisme qui en fait un crime ou un
délit. C'est le crime qui fait le crime et non le
motif du crime, ni la race de la victime,
et pas davantage l'arme du crime.
Si c'est
pour vous voler que je vous assassine, quel soulagement n'est-ce
pas pour vous que d'apprendre, dans les spasmes de votre
agonie, que le racisme n'y était pour rien !
Si
c'est par haine de classe ou par hostilité politique marxiste
que les hommes de l'état et leurs apparatchiks du MRAP ou du PCF persécutent une minorité, ce n'en
est pas moins injuste que si c'était par haine de
race. Les 9 millions d’ukrainiens assassinés par Staline
l'ont-ils été en tant que koulaks, en tant que
nationalistes ou en tant qu'Ukrainiens ? Un Rothschild
n'a-t-il pas quitté la France parce qu'il y était
persécuté [je cite] comme "riche sous
Mitterrand" après l'avoir été comme "Juif sous
Pétain" ? Bon d’accord, c’est un mauvais exemple, Mitterrand, faisait
partie du gouvernement de Vichy et était décoré de la Francisque.
Ma
conclusion, donc, demeure que le « racisme »
n'est pas en soi criminel, et constitue un leurre
absolu dans le débat politique. Mais à quoi sert un
leurre ? A détourner l'attention. Car ce qui
n'est pas vrai du racisme en tant que tel, à
savoir qu'il serait criminel par nature, l'est en
revanche du marxisme. On a vu qu'il ne
peut en aucun cas être moins immoral que le racisme.
Mais il faut aller plus loin : le marxisme
consiste à nier la propriété naturelle, en commettant
systématiquement des agressions contre les biens (dans ce
qu'on a coutume d'appeler le "socialisme") et
contre les personnes (dans ce qu'on appelle
communément "communisme"). C'est donc par
essence, par définition, par principe et par
vocation que le socialisme est criminel.
La seule
lutte pour la liberté qui vaille et qui est une petite chance de réussite,
c’est la lutte contre votre pire ennemi, le marxisme culturel. Marxisme ou
communisme qui implante « l’Islam » par intérêt politique. Le
communisme revient à la vie. Il est comme l’hydre du mythe grec, dont les têtes
repoussaient après avoir été coupées. Il poursuit les mêmes objectifs que
l’Islam, l’hégémonie mondiale. Le marxisme comme l’Islam est un totalitarisme
criminel
A-t-on
jamais vu un site « islamique », et l’islam est la première
« religion » des prisons de France, si ce n’est de France tout court,
demander la fermeture de « mes blogs, de Riposte Laïque, François de
Souche, j’en passe et des meilleurs comme feu
marcelisme.com ou France Avenir ».
En réaction
à vos « attaques » contre la construction de mosquées, qui vous
répond ? L’Islam ? Les sectateurs de Mahomet ? Non bien sur,
mais les fameux « élus » de la république, communistes, socialistes
ou pour le moins convaincus du bien fondé du marxisme culturel avec les idiots
utiles des médias, de jeune lobotomisés qui on bu le lait de la très marxiste
« éducation nationale ». Les experts auto proclamés de la nébuleuse
marxiste culturelle française de type PCF, GISTI, MRAP, CIMADE, SOS Racisme,
LICRA, et autres groupuscules ou « mouvements » marxistes culturels,
sont vos vrais ennemis qui agissent dans l’ombre en cachant leurs objectifs qui
sont sensiblement les mêmes que ceux de l’islam comme je viens de vous le
démontrer.
Vous me
direz, certes, mais qu’est ce qui vous
permet d’affirmer si catégoriquement que ces associations,ces partis
politiques, ces comités et collectifs sont la résurgence de la bête immonde et
criminelle communiste et marxiste économique de sinistre mémoire.
Un simple
exemple « camarades… !
Non ; pas camarade, c’est comme citoyen, c’est une injure, préférons lui
les mots « d’amis patriotes ».
Prenons un cas plus ou moins connu, celui de monsieur Gérard Kerforn, le bon
« Président » du MRAP des Landes, ex conseillé municipal (SE) de Mont
de Marsan, retraité de l’éducation nationale, siégeant au comité central bureau national de la volkpoliceï du MRAP et surtout comme tous les affidés du PCF,
membre d’ATTAC.
Vous me
direz, l'incomparable monsieur Kerforn président du MRAP 40,ancien conseillé municipal de Mont de Marsan est un
démocrate, puisqu’il participe à la démocratie. Ce à quoi je vous
répondrai ; oui, un démocrate de façade comme une Lepen ou un Alain
Krivine qui ont été ou sont eux aussi des élus de la république.
C’est
vraiment se tromper où vouloir tromper et avoir de la bouse dans les yeux que
de croire qu’un membre d’ATTAC comme cet excellent Gérard Kerforn peut être un
« démocrate », ce n’est qu’un marxiste culturel déguisé en
« démocrate ». Se pourrait il qu’il soit un nostalgique des goulags
ou des asiles psychiatriques (qui n’ont jamais existés) lorsqu’il appelle sur
le net à mettre « hors d’état de nuire » ses « ennemis
politiques » ? Je n’ose le croire.
Tout comme
son joli faux nez « d’antiraciste » détourne l’attention. Sa “ lutte”
pour l’ «antiracisme» et le «métissage» et la promotion du «multiculturalisme»
lui permet de détruire l’identité nationale donc la nation, c'est-à-dire un
lieu majeur de transmission des valeurs traditionnelles Françaises. Son
immigrationnisme a le même objectif, remplacer un peuple rétif mais instruit
par un peuple importé peu éduqué donc manipulable.
Il n’est
que de se rendre voir le site d’ATTAC dont le très honorable retraité de
l’éducation nationale monsieur Kerforn est membre. Ces gens s’appellent des
Alter Mondialistes on pourrait croire que chez ces gens là monsieur, on luttent
contre la mondialisation, que nenni amis lecteurs, ces gens là “luttent” pour
une autre mondialisation, pour l’internationale marxiste. Il l’avouent
eux mêmes sur leur site marxiste :”Le mouvement alter mondialiste est la
forme nouvelle que prend aujourd’hui l’organisation de la lutte pluriséculaire
de l’humanité pour son émancipation, c’est-à-dire le combat contre toutes les
formes de domination des êtres humains. ». Le credo marxiste dans
toute sa splendeur nidoreuse.
Une de leur
“ruse” préférée est l’invention de mots, par exemple “islamophobie » qui
est un vocable marxiste culturel, destiné à faire passer la laïcité pour du
racisme.
C’est dans
ce cadre que s’inscrit l’action contre l’immigration choisie, les marxistes
culturels comme ce bon et gentil monsieur Kerforn ne tiennent pas à voir
arriver des migrants cultivés, éduqués, donc non manipulables. De plus, les
marxistes culturels et autres néos communistes ne souhaitent pas voir arriver
des migrants ayant la capacité de s’intégrer rapidement ce qui ne permettrait
pas d’exploiter leur ressentiment pour les attirer à soi.
Comme
l’islam, le marxisme culturel ou économique ne peut pas être infléchi, il doit
être éradiqué. Le marxisme culturel comme économique est une tentative de
reconstruction de l’ancien régime marxiste et de ce fait il est vulnérable à la
démocratie libérale, ce qui explique d’ailleurs la haine qu’il lui voue. Il
peut et doit donc être combattu par la démocratie libérale et en faisant
prévaloir des valeurs occidentales valables. Pour autant, l’occident ne doit
pas se contenter de se recroqueviller sur ses valeurs pour résister à
l’agression, il doit continuer à aller de l’avant et à s’améliorer mais en
ayant foi dans sa qualité.
Cela ne suffit pourtant pas, il est indispensable de détruire et de discréditer cette idéologie par le débat et l’argumentation ou toute autre voie de destruction idéologique car, comme toutes les idéologies fausses et puantes de haine, le marxisme culturel ne peut se maintenir que par le mensonge et la falsification.
Cela ne suffit pourtant pas, il est indispensable de détruire et de discréditer cette idéologie par le débat et l’argumentation ou toute autre voie de destruction idéologique car, comme toutes les idéologies fausses et puantes de haine, le marxisme culturel ne peut se maintenir que par le mensonge et la falsification.
Il est
aussi indispensable de donner une éducation aux citoyens leur permettant de
résister à la démagogie et de résoudre eux-mêmes les injustices auxquelles ils
pourraient être confrontés. Il est enfin indispensable de démontrer la fausse
moralité de cette idéologie en lui opposant une vraie morale.
Il est temps d’opposer une vraie résistance à cette dictature intellectuelle immorale qui brise des hommes, qui les humilie en les contraignant à vivre dans le mensonge et qui salit, donc discrédite les vraies valeurs comme la liberté, la solidarité, la justice, la générosité et le respect de l’autre.
Il est temps d’opposer une vraie résistance à cette dictature intellectuelle immorale qui brise des hommes, qui les humilie en les contraignant à vivre dans le mensonge et qui salit, donc discrédite les vraies valeurs comme la liberté, la solidarité, la justice, la générosité et le respect de l’autre.
Il
faut d’abord détruire la cause de l’implantation
de l’Islam en France avant de lutter contre ses effets.
L’islam est
obligatoirement une théocratie et un mode d’organisation de la société sous
tous ses aspects ; la famille, les rapports sociaux, l’économie, la
justice qui inclut aussi la surveillance de la moralité, l’application des
différents codes de conduite et le respect des obligations religieuses. Peut-on
envisager l’émergence d’un islam nouveau, qui se contentera d’être une religion
personnelle respectueuse du choix des individus et des droits humains, qui ne
prétendra plus régenter le politique et le social et qui écartera de son
programme le projet de convertir de gré ou de force toute l’humanité ? La question
mérite d’être posée.
Avant
d’aborder le sujet du totalitarisme dans l’islam j’invite le lecteur à méditer
les citations suivantes :
« Parmi
les religions du monde, le bolchevisme doit être comparé à l’islam plutôt qu’au
christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant
tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de la
contemplation. L’islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale,
matérielle dont le seul but est d’étendre leur domination sur le monde. » Bertrand Russell ; Theory
and Practice of Bolschevism. Londres, 1921.
«
...Par un million de ramifications, pénétrant chaque aspect de la vie, toutes
avec une signification religieuse, l’islam maintient son emprise sur les
musulmans. » Charles Watson
« La
charia vise à contrôler dans leurs moindres détails les activités politiques et
sociales des individus, sans aucune restriction la vie des fidèles, et
s’assurer que les autres religions ne puissent pas gêner l’islam. » « ...Elle constitue un
corpus de devoirs institués par « Dieu » mais contrôlés par une
autorité humaine. Sans exception, ces devoirs sont fondés sur l’impénétrable
volonté de Dieu et ne s’exercent qu’à son profit. Toutes les obligations que
l’on peut imaginer y sont traitées, toutes les obligations imposées aux hommes
dans n’importe quelle circonstance et en rapport avec n’importe quelle tierce
personne. » Snouck Hurgronje.
« La
loi islamique essaye de régenter tous les aspects de la vie d’un individu. Ce
dernier n’est pas libre de penser ou de décider par lui-même. Il lui est
seulement permis d’accepter les commandements divins tels qu’ils furent
infailliblement interprétés par les docteurs de la loi... » « Les
droits et l’importance qu’une culture accorde aux femmes et aux minorités est
l’indicateur de son niveau de démocratie. La loi islamique refuse tout droit
aux femmes et aux minorités religieuses non musulmanes. Les païens et les
incroyants ne bénéficient d’aucune mesure de tolérance. Pour eux, c’est la
conversion ou la mort. Les juifs et les chrétiens sont traités comme des
citoyens de seconde classe... » Ibn
Warraq ; Pourquoi je ne suis pas musulman.
Pour
ceux qui l’ignorent, l’islam est présenté par ses adeptes comme un système
global (et parfait) voulu par Allah.
Ce sont les fameux trois D : Din, Dawla et Donia. Traduction de
l’arabe : Religion, État, Monde, ce dernier point comprend la famille, la
société, la vie quotidienne, le commerce et l’industrie. L’islam ne se contente
pas du statut de religion personnelle, il est obligatoirement une théocratie et
un mode d’organisation de la société sous tous ses aspects ; la famille,
les rapports sociaux, l’économie, la justice qui inclut aussi la surveillance
de la moralité, l’application des différents codes de conduite et le respect
des obligations religieuses.
Il est
important de traiter du rôle de l’islam dans les états musulmans contemporains,
particulièrement de ceux qui possèdent une constitution conforme à l’idéologie
islamiste.
La
constitution d’un état musulman qui se veut conforme à l’islam est en tous
points opposée aux constitutions des états démocratiques. Les oppositions sont
évidentes : Dans l’islam le pouvoir temporel et le pouvoir religieux se
confondent d’où cette appellation bien connue de « République »
islamique et, dans certains états semi-islamisés l’enchâssement de l’islam dans
la constitution en tant que religion officielle de l’État et source de la
législation. Même dans les états considérés comme « laïcs »,
la loi stipule que le chef d’État doit obligatoirement être musulman, les
portefeuilles des ministères sont détenus presque exclusivement par des
musulmans, en particulier les ministères importants.
En Égypte
(pays supposément laïc devenu musulman) où l’on compte une minorité chrétienne
d’au moins dix millions de personnes, seul le ministère de l’approvisionnement
(sujet de doléances favori des égyptiens) est occupé par un copte. Boutros
Ghali architecte des accords de paix avec Israël a été déchu de son titre de
ministre par intérim des affaires étrangères en 1978 (en pleins pourparlers) et
nommé ministre d’état sans portefeuille pour la simple raison qu’il n’est pas
musulman, ce qui ne l’a pas découragé de servir son pays et la cause de la
paix. Quand il a été nommé Secrétaire Général des Nations Unies par le Conseil
de Sécurité de l’ONU, les musulmans n’ont pas caché leur irritation :
l’Égypte n’avait-elle pas de musulmans assez qualifiés pour le poste ?
La
discrimination religieuse est inscrite en toutes lettres dans le coran, les musulmans
ne doivent en aucun cas « obéir » à un supérieur non musulman.
Dans les pays musulmans à constitution « laïque » ou
semi-islamisée, les postes de responsabilité dans la fonction publique, les
institutions d’enseignement, les hôpitaux, les entreprises d’état, la police et
l’armée sont réservés aux musulmans par une sorte de règle non écrite mais
toute aussi implacable que le coran dont elle suit fidèlement les directives.
Le
caractère islamique de l’État signifie l’imposition des règles prescrites par
le coran, lesquels s’opposent littéralement à la déclaration universelle des
droits de l’homme. Voyons de quoi il en retourne :
Article
1 : « Tous
les êtres humains naissent LIBRES et ÉGAUX en dignité et en droits... »
Que dit la « loi » coranique ? elle affirme que les
femmes sont des êtres inférieurs, elles dépendent de leur tuteur (père, frère
ou oncle paternel) ou de leur mari, leur témoignage devant une cour de justice
vaut la moitié de celui d’un homme, elle n’ont pas le droit de se déplacer librement,
ne peuvent disposer de leur propre personne, ne peuvent épouser un
non-musulman, leur part d’héritage vaut la moitié de celle de l’homme, elles
peuvent être légalement violentée par leur mari si celui-ci CRAINT ou ANTICIPE
leur désobéissance, elle ne peuvent refuser ses avances sexuelles, elle ne
peuvent quitter le domicile conjugal même si elles sont violentées, elles
peuvent être répudiées à tous moments et n’ont pas en contrepartie le droit de
répudier leur mari, elles sont tenues de partager leur mari avec d’autres
épouses, elles ont l’obligation de se couvrir le corps au complet et ne rien
révéler de leur épiderme.
En ce qui
concerne les non-musulmans la loi coranique ne leur reconnaît qu’un
statut inférieur comme on l’a déjà démontré, ils ne peuvent témoigner contre un
musulman, ne peuvent monter à cheval, ni porter des armes (ils ne peuvent
exhiber un statut social égal à celui des musulmans), leur domicile doit être
en tout temps ouvert aux musulmans de passage, ils doivent en tout temps céder la
place aux musulmans, ils doivent porter des signes distinctifs et se raser la
tête, ils doivent payer la taxe tout en s’humiliant.
Article
3 : « Tout
individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa
personne » Que décrète la « loi » coranique ?
Les athées n’ont pas droit à la vie, au même titre que les polythéistes, ils
sont condamnés à mourir et ne peuvent échapper à la mort qu’en se convertissant
à l’islam. La peine de mort est prescrite à ceux parmi les musulmans qui
abandonnent leur religion.
Article
4 : « Nul
ne sera tenu en esclavage ni en servitude... ; » L’esclavage est
reconnu par la « loi « coranique, il connaît actuellement un
regain de faveur au Soudan en Mauritanie et dans de nombreux autres pays
« Islamiques », les hommes musulmans ont droit à des rapports sexuels
avec leurs esclaves femelles même si elles sont mariées.
Article
5 : « Nul
ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains
ou dégradants. » La « loi » coranique, prévoit
l’amputation des mains pour le vol, la flagellation en cas d’adultère pour les
célibataires, la lapidation en cas d’adultère pour les personnes mariées.
Article
6 : « Chacun
a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité
juridique. » La notion de personnalité juridique appliquée à
l’être humain signifie qu’il est libre de ses choix tout en étant responsable
moralement et juridiquement de ses actes. Cette notion n’existe pas dans
l’islam pour qui l’être humain est soumis aux règles immuables de la divinité,
il est soit observant ou transgresseur de ces règles.
Article
18 : « Toute
personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce
droit implique la liberté de changer de religion ainsi que la liberté de
manifester sa religion seule ou en commun, tant en public qu’en privé... »
en Arabie, terre du « prophète », il est interdit aux non
musulmans de pratiquer leur religion, de construire des édifices de culte et
même de porter des signes religieux distinctifs tels qu’une croix autour du
cou, la possession d’une bible et de tout autre livre religieux est
formellement interdite. Il est formellement interdit sous peine de mort
d’abandonner l’islam. Les ulémas ont le droit d’annuler un mariage sans le
consentement du couple du simple fait que l’époux a émis une opinion considérée
comme contraire à l’orthodoxie islamique, c’est le cas d’un professeur
d’université du Caire que les ulémas d’Al Azhar ont littéralement divorcé de sa
femme et qui s’est vu obligé de s’exiler en Europe.
Article
19 : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et
d’expression ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions
et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de
frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce
soit. » Ce
droit est non seulement inexistant dans les pays islamiques mais la
libre expression des opinions est formellement interdite par la loi coranique,
la peine de mort est prescrite pour qui est convaincu de blasphème ou de propos
désobligeants à l’égard du prophète Mahomet ou des membres de sa famille, et
cette loi s’applique même à l’extérieur des territoires musulmans comme on a
bien pu le constater dans l’affaire Salman Rushdie, l’assassinat de Hitoshi
Igarashi, traducteur des Versets Sataniques, l’assassinat de Théo Van Gogh,
l’affaire des caricatures danoises, les propos du Pape Benoît XVI, l’article de
Redeker dans le Figaro etc. etc.
En 1994, un
jugement rendu par la Haute Cour de Lahore au Pakistan considère que la loi
contre le blasphème concerne tous les prophètes de l’islam dont Jésus-Christ. Or
en professant que Jésus est le fils de Dieu, alors que le coran enseigne qu’il
n’est qu’un des prophètes, les chrétiens pourraient être convaincus de
blasphème.
Taha Hussein
écrivain égyptien a subi les foudres des ulémas non pour avoir mis en doute la
véracité du coran mais pour avoir soutenu la thèse selon laquelle la poésie
arabe pré-islamique est d’une rédaction postérieure, soit une centaine d’années
après l’hégire. Il est vrai que cette thèse étayée par des arguments de nature
historique et linguistique soutient que la langue arabe n’a connue sa forme
définitive qu’après les conquêtes islamiques, ce qui s’applique sur la poésie
pourrait s’appliquer sur le coran même s’il n’en est pas fait mention dans la
thèse d’où la réaction des religieux. Farag Fouda autre écrivain et penseur a
été assassiné dans la rue pour avoir critiqué les superstitions islamiques
particulièrement celles qui ont rapport avec les djinns supposés hanter la vie
des humains ! Naguib Mahfouz a été égorgé en pleine rue à l’âge vénérable
de 82 ans par un islamiste (il a miraculeusement survécu) à cause de ses romans
qui soulèvent le voile sur les tares de la société égyptienne empêtrée dans ses
rigidités et ses croyances.
Et quoi
encore ? La
loi islamique interdit l’alcool, sa production son commerce et sa consommation
sont sévèrement punis par la flagellation. Le prêt avec intérêt est contraire à
la loi divine, il est donc interdit obligeant les musulmans à contourner
hypocritement le tabou en utilisant des subterfuges comme par exemple, faire
mine de vendre un objet au prêteur et le racheter pour un montant plus élevé à
l’échéance du prêt, la différence de prix représentant l’intérêt (hallal).
Les jeux de
hasard sont interdits parce qu’ils constituent un défi à la volonté divine,
Allah étant omniscient, le hasard et la chance n’existent pas, tout est
prédestiné, on ne force pas la main à la « providence ». Pour
la même raison les assurances sont interdites et comme pour le prêt avec
intérêt il devient nécessaire de contourner l’interdit.
Les
relativistes et les défenseurs de l’exception religieuse soutiennent que les
pays islamiques respectent à leur façon les droits de l’homme. Cependant il n’y
a rien qui vient appuyer leurs affirmations, l’examen objectif des faits
indique plutôt le contraire : Elizabeth Mayer dans « Islam and
Human Rights », 1991 démontre comment, dans divers programmes
islamiques des droits de l’homme, des critères spécifiquement islamiques ont
été utilisés pour restreindre les libertés garanties par le droit international
et comment, pour beaucoup de musulmans, les garanties des conventions
internationales sont de loin plus généreuses que les « droits »
et les « libertés » qui sont accordées par l’islam. Sa
conclusion est que, « dans ces programmes l’islam est considéré
comme un moyen de restreindre les libertés individuelles et de maintenir les
individus dans un état d’infériorité vis-à-vis l’état et la société. »
Plus loin
elle dénonce le fait que ces programmes islamistes n’accordent aucune
protection réelle aux minorités religieuses, elle ajoute : « ...En
fait, dans la mesure où ces programmes traitent de la question des droits des
minorités religieuses, ils semblent retourner aux directives de la charia qui
appellent à reléguer les non-musulmans à un statut inférieur s’ils
appartenaient au peuple du livre (ahl al Kitab) et à nier tout droit humain à
ceux qui n’appartiennent pas aux religions juive et chrétienne. Que ces programmes
islamiques des droits de l’homme soient incapables de prendre position contre
la peine de mort prescrite par la charia pour l’apostasie signifie que les
auteurs ont négligé de confronter les droits universels de l’homme et la charia
et de résoudre les principaux problèmes engendrés par l’harmonisation de leurs
normes respectives. Leur répugnance à supprimer une règle qui condamne à mort
une personne pour une question de foi religieuse révèle le fossé énorme qui
existe entre leur mentalité et la conception moderne des droits de l’homme. »
Mayer
rapporte que dans des pays tels que le Soudan, le Pakistan ou l’Iran, les
programmes officiels d’islamisation se sont traduits par de sérieuses
violations des droits des femmes, des non-musulmans, des bahaïs, des ahmadis et
de bien d’autres minorités religieuses dont les chrétiens. Dans ces pays,
l’islamisation « fit beaucoup pour supprimer les procédures pénales,
limiter l’indépendance des magistrats, placer la justice sous le contrôle de
l’autorité politique et pour transformer les tribunaux en instruments
d’intimidation et de répression. Dans ces trois pays, l’islamisation s’est
traduite par une nette dégradation du fonctionnement de la justice." Selon
Mayer » « La façon dont les gouvernements de ces pays traitent
leurs administrés ne doit pas être inaccessible à l’investigation et à la
critique des spécialistes, et il est tout à fait approprié de juger les
programmes islamiques à l’aune des standards internationaux qu’ils tentent de
remplacer. »
L’islam
est-il réformable ?
Peut-on envisager l’émergence d’un islam nouveau, qui se contentera d’être une
religion personnelle comme les autres respectueuse du choix des individus et
des droits humains, qui ne prétendra plus régenter le politique et le social et
qui écartera de son programme le projet de convertir de gré ou de force toute
l’humanité ?
À mon avis
la question mérite d’être posée.
De l’avis
de plusieurs spécialistes la réponse est donnée d’avance. Que dire de cette
réflexion de Muir : « Une religion (l’islam) réformée qui
remettrait en question l’autorité divine sur laquelle ses propres institutions
reposent ou qui tenterait par des choix rationnels ou des compromis de mener à
bien un changement, cesserait d’être l’islam ! »
Et c’est là
toute la différence avec le Christianisme qui en se reformant et en se
recentrant sur le message évangélique n’a fait que renouer avec sa vraie nature.
Allez
en primes trois définitions sur l’islam.
Islam de France :
Comment ça
marche : marquant l'origine, la préposition «de» suggère un Islam originaire de
France. La formule implique que l'Islam est chez lui en France, ce qui
correspond davantage à une volonté de certains politiques communistes qu'à une
réalité historique.
Islam Modéré :
Comment ça
marche : «Islam Modéré» est destiné à faire croire qu'il existe un Islam
compatible avec la « démocratie. »
La réalité sur
l' «Islam Modéré» : Il n'existe aucune démocratie Islamique.
On notera : On
n'essaie même pas de faire croire à un «Islam Pacifique» mais à un «Islam Modéré».
Modérément quoi, au fait ?
Islamophobe : « Je suis un peu
islamophobe, ça ne me gêne pas de le dire. J’ai le droit de penser que l’Islam
— je dis bien l’Islam je ne parle même pas des islamistes — apporte une
certaine débilité qui en effet me rend islamophobe » Claude Imbert, membre du Haut Conseil à l’Intégration et
fondateur du magazine Le Point sur LCI (24.10.03).
« Si être islamophobe, c’est d’avoir
peur, alors je suis islamophobe, comme beaucoup de Français. » Véronique Genest
09/2012.
Michel Alain Labet de
Bornay.
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Sale mec à tes loukoums,
RépondreSupprimerLabête immonde et chien d’infidèle sioniste, Après lecture et l'allah n’ Alise attentive de ton article harâm et non cor Annick ta mère la pute par notre équipe de mahomerdation celui ci a été déclaré sincèrement harâm par Mohamerdatus notre logiciel qu’Oran nique sa mère , Mahométan et marxiste, celui-ci mérite d’ être retiré de la publication, âme doux lilas, en raison de sa non Allahité vis-à-vis de la Charia de Francarabia au Boukaquistan Le motif de retrait de votre article harâm serait: Autre motif non précisé. En fait ton article sent le cochon ! Et pi si la charia si tout. Si coum sa là, ti ferme ton gueule counard ou ak barre toi spice di con de ta race!
Nos mahomerdateurs islamomarxistes sont tenus à une stricte obligation de respect de la pensée Mao et de Staline les joyeux duettistes de l’humour de bon goût et des corranerries marxistes. In chat là ! La neutralité islamique de leur Allah Lise est d’ailleurs régulièrement vérifiée par un mahométans certifié con-forme et sale afiste ainsi qu’ayatollah du parti antisioniste de Dieudonné et par les mollahs et commissaires politiques de la volkpoliceï, du MRAP du PCF, D’EELV, du PIR et du Front de Gauche.
A tes look homme ; sale mec et bijour à Nadine Belbec, Nadine Aumoque et Oualdique
Mahomerdatus ( PSL).
Traduire « Allah » par « Dieu » est une tromperie ! Les Romains ne si trompaient pas, lorsqu’ils affirmaient : Traduire c’est Trahir ! C’est comme de traduire JVH, le Jéhova hébreux par « Dieu ».
RépondreSupprimerAllah est un dérivé de El, le fameux : « je suis celui qui est » de la Bible, adoré au même titre que YVH dans le temple de Jérusalem, par nombres de tribus sémites, avec leurs prêtres spécifiques formant la tradition Eloïste de la bible en opposition à la tradition Jéhoviste. Les deux « Religions Hébraïque et Musulmane ne sont nullement des religions monothéiste comme le politiquement correct voudrais vous le faire avaler, mais des « religions » de peuples sémites monolâtres.