Le
Travailleur Catalan.
Cet hebdo organe du
PCF est
édité par la Fédération des Pyrénées-Orientales du Parti Communiste Français. L’administration est à la Maison communiste 44 av.
de Prades à Perpignan.
Depuis fin 2010 l’organe
marxiste stalinien nauséabond que Sébastien Pouilly son rédacteur en chef dit aujourd’hui
affronter les pires difficultés financières de son histoire, fait état d'une
situation de "péril".
Le titre étant "menacé de
disparition", après avoir bénéficié ces dernières années d'un
sauvetage, à travers une campagne d'abonnements solidaires, et la création pour
4000 Euros d'une "Association des amis du Travailleur Catalan". La
seule volonté des militants communistes et autres idiots utiles semble ne pas
avoir suffi, pas plus qu'une ouverture éditoriale vers les loisirs, le plus
souvent à connotation marxiste culturelle, ou encore la création d'une version
Internet et d'un relais d'informations instauré sur le réseau Facebook.
Mais les communistes jamais à cours de ressources occultes décident de renflouer le Travailleur Catalan avec l’argent du contribuable comme d’habitude. Le communisme incapable de produire quelques richesses que ce soit, en est réduit au vol, toujours le vol de l’argent des autres. D’ailleurs le communisme ne peut se concevoir qu’au travers d’une économie capitaliste performante.
Comment faire ? Facile !
Monsieur Nicolas Garcia 52 ans,
secrétaire départemental du Parti communiste français (PCF66) qui est
« rédacteur de presse » au Travailleur Catalan est rétribué 1640 €
par mois, il est aussi maire de la ville d’ Elne et touche 2091
Euros d’indemnités mensuelles. Soit un « petit » salaire de 3751 Euros par
mois plus de deux briques anciennes ! Sans oublier les frais en
plus ! Pas mal pour un camarade !
La mairie d'Elne aurait donné une
subvention de 4000 € à l’association "les amis du TC" pour le sauver
de la faillite. L’idéologie marxiste léniniste ne faisant plus recette en ce
pays des droits de l’homme et l’argent de Moscou étant tari.
La mairie d'Elne devient ainsi une sorte d'usine
à gaz pour alimenter le PCF et/ou le TC.
Mairie qui décide de confier l’exécution
de son bulletin municipal de 2009 au Travailleur Catalan organe du PCF. L’hebdo
le travailleur Catalan a un gérant, monsieur Remy Cathala cadre territorial, directeur
général des services de la ville d’Elne qui dit être gérant
« bénévole » du TC. L’épouse de monsieur Cathala madame Raymonde
Pumareda est aussi appointée par le Travailleur Catalan, elle est aussi une
élue de la ville d’Elne.
Dans les faits, la mairie argue qu’elle
aurait signé un contrat en 2009 avec la régie publicitaire du Travailleur
Catalan, Inter Perpignan Publicité société dissoute en 2007
qui était dirigée par jean Vila, maire communiste de Cabestany.
Jean Vila a présenté les candidatures de Marie
George Buffet et Jean-Luc Mélenchon aux élections
présidentielles de 2007 et 2012.
Il s'est engagé publiquement en faveur du
mariage des personnes du même sexe, organisant une « cérémonie » dans
« sa » mairie en novembre 2011
Jean Vila l’ex député communiste est
encore conseiller général. Cet ancien ajusteur outilleur chez Poupées Bella à
Perpignan de 1958 à 1964 était devenu par la grâce du parti communiste le
camarade directeur d’Inter Perpignan Publicité.
Pourquoi utiliser le nom de Inter
Perpignan Publicité alors que c’est le Travailleur Catalan qui démarche les
« clients » ? « Pour cacher, aux habitants que c’est le
Parti Communiste qui ramasse les sous »" avoue un employé de la
Mairie d’Elne.
En 2009 des commerçants d’Elne se
plaignaient alors d’avoir été très fortement incités à acheter un espace
publicitaire dans le bulletin municipal. Démarchés par un commercial qui leur
mettait sous le nez une lettre du maire. Ils avaient l’impression de ne pas
avoir le choix. Le bulletin municipal en question comportait 86 emplacements
publicitaires. Espace publicitaire dont le volume global dépasse celui consacré
au rédactionnel. L’ours du journal (l’espace où se trouvent toutes les mentions
légales) indiquait que la régie publicitaire avait été confiée à Inter
Perpignan Publicité. Mais les factures étaient émises par le Travailleur
Catalan.
Le démarcheur publicitaire Richard Siméon, payé par le Travailleur Catalan avait en s’appuyant
sur les tarifs facturés selon la taille des espaces publicitaires réalisé un chiffre
d’affaires très capitaliste de 25 000 Euros pour le seul numéro d’Elne
Citoyenne de Mars 2009.
De plus Nicolas Garcia maire communiste
d’Elne qui était mis en examen et inculpé pour ces trois affaires était accusé
d’infraction à la procédure des marchés public en l’occurrence favoritisme en
faveur de l'imprimerie la SARL Salvador pour des sommes de plus de 25 000€ par
an (bulletins municipaux de propagande marxiste, papiers de la mairie, etc.
etc.).L’imprimerie Salvador est l’imprimeur du Travailleur Catalan, organe du
PCF.
Nicolas Garcia est un récidiviste. Il
avait comparu devant le Tribunal Correctionnel en Décembre 2008 dans l’affaire
du lotissement du Coeur des Trilles et avait déjà été condamné pour prise
illégale d’intérêts.
Le 18 septembre dernier Salah HAMOURI et
Jean Claude LEFORT avaient été reçu par le camarade Garcia à Elne, salle
Vautier, espace Gavroche pour une remise de la médaille de la ville en présence
de la « presse » en l’occurrence le Travailleur Catalan.
Encore une fois c’est l’argent des
contribuables qui paye la médaille d’un terroriste antisémite Palestinien du
FPLP, le très marxiste Salah Hamouri qui a effectué 7 ans de prison en Israël
pour tentative d’assassinat sur un rabbin.
A l’heure où j’écris ces lignes, sans
parler de « condamnation attendue » chère aux militants marxistes, je
ne peux que me réjouir qu’enfin un maire communiste soit condamné à rendre
l’argent détourné pour subventionner le PCF, vaste entreprise criminelle de
déstabilisation des valeurs de la république !
Nicolas Garcia,
maire d’Elne et secrétaire départemental du Parti communiste français (PCF66), Membre du Conseil National du PCF a été condamné le 8 11 2012 à
trois mois de prison avec sursis, 8 000 euros d’amende ainsi qu’à 1
000 euros de dommages et intérêts à verser à l’association « Ensemble Pour Elne ». La peine requise d’1 an d’inéligibilité n’a pas été retenue.
Ce jugement est une sanction pénale donnée à une équipe
municipale communiste prévaricatrice qui, placée sous la tutelle du Maire, ne
respecte ni les règles de droit en vigueur et encore moins la démocratie.
Le tribunal correctionnel de Perpignan a
reconnu le maire d’Elne « coupable
de prise illégale d’intérêts dans l’affaire des bulletins municipaux réalisés
par l’hebdomadaire Le Travailleur Catalan »
A Cabestany, le bulletin municipal ne
comporte pas de publicité, mais il est publié une fois par an une Édition
Spéciale du Bulletin Municipal qui regorge de publicité. 96 espaces
publicitaires dans le numéro de juin 2008. Les tarifs sont à peu de chose près
les mêmes que ceux d’Elne. Et ils sont élevés pour une publication qui tire à
4500 exemplaires : 950 euros la page, 550 la demi page… Même réaction des
commerçants qui pour beaucoup se sentent obligés. Au regard des tarifs de
publicité, les 20 000 euros de recette semblent dépassés. C’est là encore une
opération sur laquelle le Parti Communiste fait un bénéfice capitaliste substantiel.
N’est ce pas d’ailleurs le but de l’opération ?
Informée de ce qui se passait à Elne,
Colette A., élue de l’opposition à Cabestany, a écrit au maire jean Vila pour
lui demander le contrat passé entre la ville de Cabestany et la régie
publicitaire du T.Catalan . Inter Perpignan Publicité ? C’est le nom qui
apparaît dans l’ours du bulletin municipal. C’est le subterfuge employé pour
cacher au lecteur que la régie publicitaire est assurée par le Travailleur
Catalan. Il faudra près d’un mois et demi et deux courriers, plus un à la CADA
avant que madame A. ne reçoive la copie du contrat de régie publicitaire entre
la mairie de Cabestany et Inter Perpignan Publicité Le Travailleur Catalan.
Pourquoi retrouve t’on le nom d’Inter Perpignan Publicité sur ce contrat signé
en 2008 ? Ayant été Directeur de cette société dont il détenait 20% des
parts, le maire de Cabestany ne peut pas ignorer qu’elle a été dissoute en
2007. Dans l’explication donnée au Conseil Municipal d’Elne, Nicolas Garcia dit
qu’Inter Perpignan Publicité a été reprise par le Travailleur Catalan mais que
ce dernier utilise ce nom plus connu de la clientèle. Vérification faite dans
les statuts de la SARL éditrice du Travailleur Catalan, mis à jour en 2008, il
n’y est pas question d’un quelconque usage de ce nom qui
n’apparaît d’ailleurs pas. Mensonge, falsification, occultation diversion et
vol toutes méthodes communistes si il en est !
A Cabestany, la signature de ce contrat
aurait du être portée à la connaissance des conseillers municipaux dans le
cadre de la communication des actes signés par le maire entre deux conseils
municipaux. Pourquoi cela n’a-t-il pas été fait ? Si les élus de
l’opposition étaient informés des problèmes soulevés à Elne par la collecte de
la publicité au profit du Parti Communiste, Jean Vila ne l’était sans aucun
doute pas moins. Y a-t-il eu une régularisation à posteriori ? Il est
assez évident qu’en utilisant le nom d’Inter Perpignan Publicité dans le
bulletin municipal d’ Elne et celui de T.Catalan dans celui de Cabestany, on
cherche à dissimuler le rôle joué par une structure du P.C. pour financer
l’activité de celui-ci. Comme dans le bulletin d’Elne, on trouve des annonceurs
qui sont des fournisseurs de la mairie. Pour être démarchées, il a fallu qu’une
liste de ces entreprises soit fournie au commercial du parti communiste. Les
réactions des élus de l’opposition des deux communes ont commencé à porter leur
fruit. A Cabestany, le numéro spécial annuel du bulletin municipal n’est pas
sorti en 2009 et à Elne le dernier bulletin municipal est sorti sans publicité.
A la rédaction du Travailleur Catalan il y
a plusieurs délinquants de droit commun, ainsi monsieur Philippe Galano ancien DSC CGT des Autoroutes du Sud de la France (ASF) licencié
en 2003 est condamné en 2010 par la cour d'appel de Montpellier pour
« séquestration » à 3 mois de prison avec sursis et 20 000 €
d’amende.
Les lois de sécurité intérieure de la
république lui imposaient de se soumettre à un prélèvement d’ADN.
Le camarade Galano avait décider de
s’asseoir sur les lois de la république comme bon communiste et syndicaliste
CGT bien décidé de ne pas se soumettre à ce prélèvement que ce marxiste jugeait
dégradant, dangereux pour la démocratie, stigmatisant les militants syndicaux
comme des criminels en puissance.
Malheureusement c’est bien ce qu’ils
sont ! En plus d’être des récidivistes de la haine raciste.
Le 6 avril 2011, le tribunal correctionnel de PERPIGNAN a rendu
son délibéré dans le dossier du refus de prélèvement d’ADN.
Le
tribunal a prononcé une peine minimum de 150€ d’amende avec sursis, sans
inscription au casier judiciaire et sans révocation du sursis antérieur.
Cette peine symbolique, contrainte par
l’actuel cadre législatif, fera jurisprudence concernant une loi qui, pour
l’instant, ne prévoit pas d’exceptions pour les marxistes délinquants de droit
commun.
Le travailleur Catalan
l’hebdomadaire du crime organisé fait un chiffre d’affaires annuel de près de
300 000 euros. Pas mal pour un hebdomadaire communiste dont la diffusion
est confidentielle. Quelques centaines d’exemplaires vendus en kiosque et 1500
abonnés. Une diffusion qui ne répondrait pas aux critères pour être habilité à
recevoir les annonces légales. Un journal doit garantir une diffusion et une
distribution chiffrées selon des critères fixés par la préfecture. L’objectif
étant que l’information légale soit portée à la connaissance d’un grand nombre
de personnes. Plus des deux tiers des recettes du Travailleur Catalan dont
d’origine publicitaire. Avec deux annonceurs, le Conseil Général et le Conseil
Régional qui pèsent très lourd dans les comptes. Le volume d’achat d’espace est
trop considérable pour ne pas avoir un caractère politique. C’est du
financement du parti communiste déguisé.
Dans des pays affamés par le
communisme comme en Corée du Nord, les magasins spéciaux permettent aux chefs de
faire bombance. C'est l'aspect mafieux.
Depuis la chute apparente du
communisme et la disparition des énormes subventions du système soviétique, les
camarades chefs du PCF ont été obligés pour maintenir leur « niveau de vie »
de cadres de la nomenklatura de ce livrer au pillage de l’argent public, par là
même, de celui du contribuable. D’une certaine façon c’est le système mafieux marxiste
qui continue.
J’ai
été voir leur site raciste du Travailleur Catalan relais de la propagande
marxiste antisémite dite BDS là ou le français de confession Israélite est
injurié, insulté, traité de « colon » « d’assassin
d’enfant palestiniens» « d’étranger », etc. etc.
Lors
d'une des dernières conférences de l'OSCE Michel Barnier allait très loin dans
l'appel à la punition de ces gens là :"Nous sommes ici pour combattre les
déclarations qui, proférées et parfois répétées, peuvent conduire au crime. (...)
Ce qui est en cause n'est pas pour nous la liberté d'expression mais l'appel,
l'incitation à des actes. Quand l'insulte mène au crime, elle change de nature;
elle devient un véritable acte de préméditation intellectuelle."
Les
marxistes inculpés d’incitation à la haine raciale antisémite sont coupables de
crime avec préméditation !
Un autre des membres de la rédaction du
Travailleur Catalan est monsieur Jean Jacques Cadéac président du MRAP
66 et chargé de communication du « Collectif » 66 Paix et
Justice en Palestine.
Comme en Alsace ou Madame Aline Parmentier du PCF est inculpée
d’incitation à la haine raciale antisémite trois « militants » islamo
marxistes du Collectif 66 de la haine Paix et Justice (sic) en Palestine,
que leurs « camarades » disent « pacifistes et antiracistes de toutes les causes humanitaires,
trois militants des droits de l’homme » Ces gens sont connus sous le nom de 3 de Perpignan et prévenus
d’incitation à la haine raciale antisémite, Yamina Tadjeur, Jeanne Rousseau et
Bernard Cholet, comparaîtrons en correctionnelle en Novembre 2012
. (Le 7 juin 2012, le
tribunal de Perpignan n’avait pas retenu la QPC (Question prioritaire de
Constitutionnalité) dilatoire qui avait été déposée par l’inénarrable Maître Antoine
Conte) pour avoir à Perpignan dans le département des P/O le 15 mai 2010
depuis temps non prescrit pour :
Des discours proférés dans un lieu public en l’espèce en interpellant les clients du magasin Carrefour en leur demandant de ne pas acheter des produits en provenance d’Israël.
Des discours proférés dans un lieu public en l’espèce en interpellant les clients du magasin Carrefour en leur demandant de ne pas acheter des produits en provenance d’Israël.
Des écrits distribués ou exposés dans un lieu public en l’espèce en distribuant aux clients du magasin Carrefour ou en exposant dans ce magasin des tracts à l’entête de BDS appelant au BOYCOTT des produits en provenance d’Israël.
Des affiches exposées au regard du public en l’espèce en exposant des affiches dans le magasin Carrefour mentionnant notamment « BOYCOTT APARTHEID ISRAEL » et « refusez d’acheter des produits israéliens…refusez le code qui commence par XXX… ».
Les
affiches étaient imprimées par l’imprimerie Salvador de Elne aux frais du
Travailleur Catalan avec de l’argent volé au contribuable des Pyrénées
Orientale. Mais c’est un scandale comme aurait dit Georges Marchais
Ces gens là, des marxistes, des communistes, avaient Provoqué à la discrimination à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée faits prévus et réprimés par les articles 23, 24 alinéa 8, alinéa 11 et 1 article 42, article 43 de la loi du 29 juillet 1881---
Les membres du Collectif
66 Paix et Justice en Palestine : AFPS 66, PCF, NPA, Collectif des
Musulmans de France, CREF, association Salam, Expression Musulmane, Pôle
Ethique, FSU 66, CNT66, ASTI 66, LDH, Solidarité Féminine, Solidaires 66.
Michel
Alain Labet de Bornay
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Nicolas Garcia, ne sera « ni exemple, ni bouc émissaire »
RépondreSupprimer14 novembre 2012 par Joan-Miquel
Trois mois avec sursis et 8000 euros d’amende pour le maire d’Elne
« Monsieur le maire nous ne ferons de vous ni un exemple ni un bouc émissaire » c’est en ces termes que le président du tribunal, Jean-Luc Dooms résumait le délibéré de l’affaire du Travailleur Catalan et de Nicolas Garcia.
Nicolas Garcia, maire d’Elne et employé du Travailleur Catalan, était poursuivi pour un délit de favoritisme, il avait contracté la société de publicité de l’hebdomadaire communiste afin de collecter des publicités auprès des commerçants d’Elne. Publicités destinées au bulletin municipal de la ville d’Elne. Bruno Salvador, imprimeur sur la commune, chargé de l’impression du bulletin municipal et du Travailleur Catalan, a été relaxé du délit de recel. Le tribunal ayant jugé que ça responsabilité n’était pas établie. Toujours selon le tribunal, il n’était pas censé savoir que l’édition du bulletin était entachée d’irrégularité.
Prise illégale d’intérêt
Le président Dooms a longuement exposé les motivations de la condamnation. Le tribunal a retenu la prise illégale d’intérêt, l’enquête ayant révélé « l’implication constante et historique » de Nicolas Garcia dans l’entreprise « Le Travailleur Catalan ». Il y est encore aujourd’hui le salarié le mieux payé. Le marché publicitaire a été attribué à l’hebdomadaire communiste, sans aucun contrat et sans que le prévenu n’ait pu fournir le moindre délibéré du conseil municipal. M. Dooms qualifiera le délit de sociopolitique et soulignera la clémence du tribunal, qu’il justifiera, parce que l’attribution de marchés, sans appel d’offre, dénote « un état de fait généralisé » et « une pratique généralisée et particulièrement désagréable dans les Pyrénées Orientales ». Le président du Conseil Régional, Christian Bourquin vient d’être condamné pour un délit de favoritisme dans l’attribution de marchés publicitaires à trois mois de prison avec sursis. Délit commis lorsqu’il était encore président du Conseil Général des Pyrénées Orientales.
Les trois petits cochons
Le président, en parlant de clémence, faisait allusion à une précédente condamnation sans peine, un premier avertissement pour Nicolas Garcia, pour un délit de complicité, dans une prise illégale d’intérêt. Un espace vert avait été saisi par la commune à leurs légitimes propriétaires, pour soi-disant aménager un espace vert, à l’heure de la vérité, le terrain avait été partagé entre trois conseillers municipaux qui y ont fait construire leur maison. Le tribunal a considéré recevable la plainte de l’association « Ensemble pour Elne ». En sa qualité de partie civile, représentée par Me Bassole, l’association est déclarée veiller aux intérêts des habitants d’Elne et M. Dooms a précisé que le délit de Nicolas Garcia porte atteinte en termes d’image et de réputation à la commune. Le président du tribunal de Perpignan, Jean-Luc Dooms qui a commencé sa carrière avec une spécialisation dans la répression de la délinquance en col blanc, a précisé que le tribunal n’a pas voulu intervenir dans le débat démocratique et n’a pas prononcé de peine d’inéligibilité, laissant cette responsabilité aux électeurs. Exactement la même phrase prononcée, toujours par le président Dooms, lors de la lecture du délibéré dans l’affaire du « Théâtre de l’étang ». Elie Puigmal, ancien maire de Saint Esteve, avait été condamné à trois mois de prison et 8000 euros d’amende … pour délit de favoritisme.
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