Vidéo dédicacée par Seth Gueko le Rom, le manouche, le gitan "aux Babtous,
karlouches, on t’nourrit de son, criaveur d’hérissons,(*) pousse à fond, pousse
la fonte !"
Le péril noir ? |
Extrait : « Flâner
aux alentours de la résidence universitaire à Rabat, quand j’y vivais encore,
relevait d’une aventure dangereuse. De nombreux étudiants subsahariens y ont
été victimes d’agressions atroces, certaines ayant même abouti à des
hospitalisations. Je me souviens de Sacko, un étudiant malien, et de Kromah, un
Libérien, pour ne citer qu’eux.
Le premier avait été
sauvagement roué de coups juste à l’entrée du campus, ses bourreaux lui
crachaient dessus et le traitaient de "qird" (singe), de
"k’hal" (Noir) de "`abd" (esclave)… Et n’eût été
l’intervention des gardiens alertés par ses cris stridents, il serait mort.
Finalement, il s’en est sorti avec plusieurs mois d’indisponibilité médicale,
et a dû manquer la période des examens.
Kromah, lui, s’était
pris un violent coup de couteau au niveau de l’abdomen. A la vue d’un groupe
d’étudiants qui passait par là et qui était plus important en nombre, ses
agresseurs ont pris la fuite, mais pas sans lui lancer cette menace:
"La prochaine
fois, on te tue! Et c’est valable pour tous tes camarades, transmets-leur le
message. Compris, sale nègre ?"
L’étudiant libérien,
qui saignait abondamment et qui se tordait de douleur, n’a pu répondre que par
un acquiescement de la tête.
Sacko et Kromah ne sont
ni les premières ni les dernières victimes d’agressions anti-Noirs dans les
environs de la cité, mais leur mésaventure a été la goutte d’eau de trop: les
étudiants subsahariens étaient alors descendus dans la rue pour exprimer leur
ras-le-bol et appeler les autorités à prendre les mesures qui s’imposaient.
Depuis, le phénomène a certes perdu de l’ampleur mais il persiste. »
D’accord mais les noirs ne
se laissent pas faire, écoutons donc l’un d’eux : « Je me
demande aussi qu'est qu'on pourra faire contre ces esclavagistes de Mustapha et
autre Rachid. C'est vraiment ignoble de voir ces gros bougnouls de Maghrébin
nous traiter sur leur sol encore de Karlouches et de les voir nous appeler
Cousin en Europe. Quelle hypocrisie chez tous ces Hakim avec leur mauvaise
haleine quand je les vois s'associer avec des Mamoudou en France. Je vous le
jure qu'un jour ces pourritures vont payer toutes les exactions et toutes leurs
animosités qu'ils ont fait subir au peuple noir et c'est ça la vérité et à bon
entendeur ... Source:
Racisme au Maghreb.
Et en France dans notre
beau pays des droits de l’homme ? Certains disent sur le net que les
musulmans, souvent antisémites, ont développé un féroce racisme anti-noir !
Source.
Le mot d’argot des
« quartiers » pour désigner un homme de race noire est karlouche,
c’est un nom masculin péjoratif.
Exemple « Malika, elle m'a dit qu'elle sortait pas avec les karlouches
! »
C’est en 1983,que Rachid Taha, dans le délicieux morceau
un poil « racialiste » Rhorhomanie « Frères » du groupe
Carte de Séjour, exprime le mot hybride kahlouche (de khel, 'noir' + suffixe
méditerranéen commun –ouche, -uš en arabe maghrébin et en berbère) :
« Les kahlouches, c'est louche ».
En résumé pour ces gens là, les « noirs »
c’était louche ! Mais ou était le MRAP ? SOS Racisme ? Le
CRAN ?
Plus prêt de nous en 2008 le groupe musical
( ?) Rom, (La vidéo ci-dessus) Seth Gueko feat. 25G,
Cabochards, sur l’album Drive by en caravane s’exprime : « ‘Babtous,
karlouches, on t’nourrit de son, criaveur d’hérissons, pousse à fond, pousse la
fonte ! »
Mon Dieu ; des Roms racistes ! Que vont dirent les antiracistes du MRAP ?
Pour ceux que cela intéresse
voir l’Explication
phonétique de Karlouche.
Il existe un synonyme à karlouche, le mot
d’argot « krèle » un nom masculin encore plus péjoratif
pour désigner une personne de race noire qui peut éventuellement avoir
un usage raciste.
Maintenant que les grandes idéologies
marxistes fraternisantes et mrapistofurieuses ont vécues.....Maintenant que certains dirigeants antiracistes du MRAP exprime des propos islamophobes, christianophobes et Israèlophobes tel monsieur Delarue membre du secrétariat National du MRAP et membre co-fondateur d’ATTAC qui dit: « La montée du racisme en Alsace mérite d’être combattue fermement mais sans y mêler un pseudo délit de blasphème qui n’existe pas – Dieu soit loué – en France ! (Quel humour !) Un homme a incendié le Coran, et a uriné dessus. C’est un fait divers. Ce n’est qu’un blasphème qui désacralise ce livre. Rien de plus mais c’est quand même un acte qui a du sens. Source »
Il ira jusqu’à écrire :
« Pour ma part je ne porte aucun respect au Coran, à la Bible, à la Thora et aux autres livres sacrés et à tous les fétiches religieux (je pisse dessus) Source. »
Pisser sur le saint Coran ? Un acte qui a du sens ? Et c’est un membre antiraciste de la direction nationale du MRAP qui écrit ça ?
Bien, alors maintenant que les « solidarités » internationales se nouant sur la base de grands idéaux révolutionnaires ne sont plus que d’anciens cauchemars.
Que notre belle « jeunesse » ne se nourrit plus de la Rêvo- Loutionn', de Iossif Vissarionovitch Djougachvili ou de Fidel y Che Guevara y Pol Pot y Mao, itou comme ma tante...
Que les logiques anti libérales « humanistes », et « droit de l’hommistes » sont la règle....
Je conseille à tous ceux qui ont un peu de jugeotte de rester chez soi, chacun dans son monde dans son pays avec les siens, au milieu des siens, de ces parents, des proches, des amis, des voisins, de réapprendre les fondamentaux de la survie s'il le faut, en attendant des jours meilleurs, je veux dire quand l'humanité sortira enfin de l'état d'abrutissement et de paralysie intellectuelle dans laquelle les idéologies nauséabondes marxistes culturelles l'a plongé depuis plus de 70 ans.
Mais c’est pas fini nini !
Cliquez
ici, c'est la Cerise sur le ghetto ! Titre :
Wesh wesh cousin, Mafia K'1 K'1 : « Pour tous les Karlouches,
les manouches aux regards louches, Pour les cas sociaux qui font des fautes sur
les murs, qu'ont des lacunes… »
(*) Argot Rom vient du
romani krha-, rha-, manger. D’ou criaver.
Aux larmes citoyens
RépondreSupprimerDe L'éphéméride de Caritate Libertine.
SupprimerMmoui, le CRAN n'a pas réagi, car la victime n'est pas noire, la SPA n'a pas bronché, le mort n'est pas un chien (quoique, dans son mode d'assassinat), les associations féministes n'ont pas bougé, l'homme battu n'est pas de leur compétence, le Mrap n'a pas hurlé, le décédé se voulait Français, le clergé n'a pas prié, le defunt était musulman, la mosquée n'a pas prononcé un mot, le de cujus n'était pas pratiquant, la CGT n'a rien dit, le trépassé n'était pas syndiqué.
Finalement, tout le monde s'en tape, sauf sa famille qui a des mots simples, et ses collègues de travail, qui l'ont encensé.
C'est peu.