mercredi 12 décembre 2012

Décryptage du discours marxiste du MRAP.





Le MRAP Islamophobe ?
Le mercredi 12 décembre 2012 sur son site Cliquez ici. , monsieur Mraplandes interroge monsieur Pierre Mairat co-président national du MRAP sur les inquiétudes ressenties par la Fédération des Landes de ce délicat mouvement antiraciste.

In limine monsieur Mraplandes nous réaffirme que la fédération des Landes du MRAP lutte contre les discriminations qui représentent le racisme dans sa forme structurelle.
Le racisme structurel ? Mais c’est quoi ? Le racisme structurel ou racisme institutionnel selon l’épistémologie marxiste culturelle habituelle aux organisations d’ultra gauche de type MRAP ferait référence aux règles, aux normes, aux routines et aux modes de comportements et d’attitudes qui seraient présents dans les institutions/structures qui feraient obstacle à l’obtention par les minorités ethniques ou religieuses des mêmes droits et des mêmes chances que ceux dont peut disposer la majorité de la population. Il/elle peut être ouvert(e) ou caché(e), intentionnel (le) ou involontaire.”Le racisme institutionnel serait donc le manquement collectif d’une organisation à assurer un service professionnel et approprié aux personnes en raison de leur couleur, de leur culture ou de leur origine ethnique. En savoir plus.


Monsieur Mraplandes est très inquiet car il nous dit que : «  ce « racisme institutionnel » peut se retrouver dans le marché du travail, le logement, la politique, le système juridique, l’enseignement et la sécurité sociale. »
Je crois savoir que monsieur Mraplandes est un retraité de l’éducation nationale.
Récemment en Pologne libérée de l’oppresseur criminel marxiste le ministre de l’ éducation, Roman Giertych a demandé à son personnel de rendre compte de toutes les allocations accordées par le ministère aux ONG et d’exclure celles qui “promeuvent” l’homosexualité, le communisme et les points de vue immoraux ainsi que celles qui sont de gauche.

C’est ça qui inquiète profondément monsieur Mraplandes, il sent bien le vent tourner et que l’idéologie véhiculée par son « mouvement »  confirme que ce qu’il nomme « racisme structurel », n’est que le faux nez, la partie immergée de l’idéologie marxiste culturelle.

La tolérance ou la mort ! Le MRAP !
Il faut se méfier des idéologies, fussent-elles des plus généreuses. Car sur le chemin du bien on finit par rencontrer un goulag ou un camp. 

Alain Finkielkraut, nous dit bien que c'est l'antiracisme, la «religion de l'homme», qui devient à son tour un pousse-au-crime. Cette idéologie marxiste qui ne dit pas son nom, réduit la réalité à un conflit entre agresseurs et agressés, elle opère des renversements pervers (les juifs sont des nazis, l'Amérique est un pays totalitaire) et cultive un antisémitisme travesti en humanisme. «La haine des antiracistes est aussi dangereuse que celle des racistes», avertit Finkielkraut.

Monsieur Mraplandes affirme que : «  c’est là un racisme qui affecte quasi exclusivement les personnes issues de l’immigration post-coloniale, les Roms et plus généralement les personnes qui n’ont pas la couleur de peau conforme au "standard dominant". »
MRAP et FN même discours ?
Mais ce qui l’inquiète le plus, c’est suivant ses dires : «  l’émergence, parmi certains intellectuels communautaristes et leurs soutiens, d’un corpus idéologique racialiste qui substitue la lutte de race aux enjeux sociaux est un phénomène beaucoup plus inquiétant. Il vient en complément du discours racial traditionnel de l’extrême droite. »

Voilà avec le cas Said Bouamama militant politique d’ultra gauche (certains, comme Philippe Bernard, journaliste au Monde, le qualifie de « sociologue d’extrême gauche antinationaliste et militant d'un nouveau rapport aux "différences" » et monsieur Mraplandes d’intellectuel communautariste), qui a travaillé avec le MRAP, le CSP (« Comité des sans papiers »), la LDH, etc. Ce marxiste culturel propagandiste de la haine communiste se dit « sociologue ». C’est un soutien du raciste antisémite Dieudonné M’Bala M’Bala. Il contribue au site islamiste et antisémite oumma.com.


Voir ICI: J'ai acheté et lu "Nique la France". : Monsieur Bouamama, au sein de l’institut de formation IFAR, est notamment responsable de la préparation au Certificat d’Aptitude aux Fonctions d’Encadrement et Responsable d’Unité d’Intervention Sociale (C.A.F.E.R.U.I.S.). En est donnée la description suivante : « Les cadres de proximité interviennent dans le secteur social. Ils sont les acteurs de la mise en œuvre de l’action sociale et médico–sociale. Ils tendent à promouvoir l’autonomie et la protection des personnes, la cohésion sociale, l’exercice de la citoyenneté (ça ne s’invente pas !).

Ils cherchent à prévenir les exclusions et à en corriger les effets. Monsieur Bouamama comme monsieur Mraplandes « lutte » bien  contre les discriminations qui représentent le racisme dans sa forme structurelle qui serait présent dans les institutions/structures qui feraient obstacle à l’obtention par les minorités ethniques ou religieuses des mêmes droits et des mêmes chances que ceux dont peut disposer la majorité de la population.

tee shirt racialiste et communautariste?
Nul doute que M. Bouamama inculque aux candidats, qui œuvrent le plus souvent dans des établissements publics ou des associations subventionnées par l’État, sa vision de la société française « pyramide de l’oppression avec des strates cloisonnées et hiérarchisées … tout en bas et sans aucun droit les indigènes, ensuite les indigènes évolués… ensuite les petits Blancs et enfin la bourgeoisie coloniale ». Bravo la cohésion sociale ! Un des chapitres de son « ouvrage » s’intitule » la révolte des quartiers populaires est légitime » (émeutes de 2005). Bel apprentissage de la citoyenneté ! »

Le paradoxe exprimé par monsieur Mraplandes est que monsieur Bouamama, qui lutte bien comme le MRAP dont il est un militant, contre les prétendues discriminations qui représenteraient le « racisme » dans sa forme structurelle délivrerait un corpus idéologique racialiste c'est-à-dire le pire des racismes qui prétend expliquer les phénomènes sociaux par des facteurs héréditaires et raciaux.

Pour messieurs Mraplandes et Bouamama la "race" n'existerait pas scientifiquement mais elle serait néanmoins socialement construite par le système de discrimination raciste. C’est un pur sophisme marxiste du style : Un problème comporte toujours au moins une solution. Donc s'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème.

Renaud Camus dans  L'anti racisme, communisme du XXI ème siècle.  Xénia 2007. Écrit ! «  Entre culture nationale et société anti raciste, il y avait certes incompatibilité radicale, assez soulignée je pense à titre emblématique, par le renversement de sens que subit d’un pôle à l’autre un mot comme discrimination : lequel, dans le langage de la culture désigne la plus grande des vertus intellectuelles, l’exercice même de l’intelligence, la qualité par excellence de la pensée ; et dans celui de l’anti racisme, le premier d’entre les péchés. »



Michel Alain Labet de Bornay

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire