Le MRAP Islamophobe ? |
In limine monsieur Mraplandes nous réaffirme que la fédération des Landes du MRAP lutte contre les discriminations qui représentent le racisme dans sa forme structurelle.
Le racisme structurel ? Mais c’est quoi ?
Le racisme structurel ou racisme institutionnel selon l’épistémologie marxiste
culturelle habituelle aux organisations d’ultra gauche de type MRAP ferait référence
aux règles, aux normes, aux routines et aux modes de comportements et
d’attitudes qui seraient présents dans les institutions/structures qui feraient
obstacle à l’obtention par les minorités ethniques ou religieuses des mêmes
droits et des mêmes chances que ceux dont peut disposer la majorité de la
population. Il/elle peut être ouvert(e) ou caché(e), intentionnel (le) ou
involontaire.”Le racisme institutionnel serait donc le manquement collectif
d’une organisation à assurer un service professionnel et approprié aux
personnes en raison de leur couleur, de leur culture ou de leur origine
ethnique. En
savoir plus.
Monsieur Mraplandes est très inquiet car il nous
dit que : « ce « racisme institutionnel » peut se
retrouver dans le marché du travail, le logement, la politique, le système
juridique, l’enseignement et la sécurité sociale. »
Je crois savoir que monsieur Mraplandes est un
retraité de l’éducation nationale.
Récemment en Pologne libérée de l’oppresseur
criminel marxiste le ministre de l’ éducation, Roman Giertych a demandé à son
personnel de rendre compte de toutes les allocations accordées par le ministère
aux ONG et d’exclure celles qui “promeuvent” l’homosexualité, le communisme et
les points de vue immoraux ainsi que celles qui sont de gauche.
C’est ça qui inquiète profondément monsieur
Mraplandes, il sent bien le vent tourner et que l’idéologie véhiculée par son
« mouvement » confirme que ce
qu’il nomme « racisme structurel »,
n’est que le faux nez, la partie immergée de l’idéologie marxiste culturelle.
La tolérance ou la mort ! Le MRAP ! |
Alain Finkielkraut, nous dit bien que c'est l'antiracisme, la «religion de l'homme», qui devient à son tour un pousse-au-crime. Cette idéologie marxiste qui ne dit pas son nom, réduit la réalité à un conflit entre agresseurs et agressés, elle opère des renversements pervers (les juifs sont des nazis, l'Amérique est un pays totalitaire) et cultive un antisémitisme travesti en humanisme. «La haine des antiracistes est aussi dangereuse que celle des racistes», avertit Finkielkraut.
Monsieur Mraplandes affirme que : «
c’est là un racisme qui affecte quasi exclusivement les personnes issues de
l’immigration post-coloniale, les Roms et plus généralement les personnes qui
n’ont pas la couleur de peau conforme au "standard dominant". »
MRAP et FN même discours ? |
Voilà avec le cas Said
Bouamama militant politique d’ultra gauche (certains, comme Philippe Bernard,
journaliste au Monde, le qualifie de « sociologue d’extrême gauche
antinationaliste et militant d'un nouveau rapport aux
"différences" » et monsieur Mraplandes d’intellectuel
communautariste), qui a travaillé avec le MRAP, le CSP (« Comité des sans
papiers »), la LDH, etc. Ce marxiste culturel propagandiste de la haine
communiste se dit « sociologue ». C’est un soutien du raciste
antisémite Dieudonné M’Bala M’Bala. Il contribue au site islamiste et
antisémite oumma.com.
Voir
ICI: J'ai acheté et lu "Nique la France". : Monsieur Bouamama, au
sein de l’institut de formation IFAR, est notamment responsable de la
préparation au Certificat d’Aptitude aux Fonctions d’Encadrement et Responsable
d’Unité d’Intervention Sociale (C.A.F.E.R.U.I.S.). En est donnée la description
suivante : « Les cadres de proximité interviennent dans le secteur social.
Ils sont les acteurs de la mise en œuvre de l’action sociale et médico–sociale.
Ils tendent à promouvoir l’autonomie et la protection des personnes, la
cohésion sociale, l’exercice de la citoyenneté (ça ne s’invente pas !).
Ils cherchent à prévenir
les exclusions et à en corriger les effets. Monsieur Bouamama comme monsieur
Mraplandes « lutte » bien contre les discriminations qui représentent le
racisme dans sa forme structurelle qui serait présent dans les institutions/structures
qui feraient obstacle à l’obtention par les minorités ethniques ou religieuses
des mêmes droits et des mêmes chances que ceux dont peut disposer la majorité
de la population.
tee shirt racialiste et communautariste? |
Le paradoxe exprimé par
monsieur Mraplandes est que monsieur Bouamama, qui lutte bien comme le MRAP
dont il est un militant, contre les prétendues discriminations qui
représenteraient le « racisme » dans sa forme structurelle délivrerait
un corpus idéologique racialiste c'est-à-dire le pire des racismes qui
prétend expliquer les phénomènes sociaux par des facteurs héréditaires et
raciaux.
Pour messieurs Mraplandes
et Bouamama la "race" n'existerait pas scientifiquement mais elle serait
néanmoins socialement construite par le système de discrimination raciste.
C’est un pur sophisme marxiste du style : Un problème comporte toujours au
moins une solution. Donc s'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème.
Renaud
Camus dans L'anti racisme,
communisme du XXI ème siècle. Xénia 2007. Écrit ! « Entre
culture nationale et société anti raciste, il y avait certes incompatibilité
radicale, assez soulignée je pense à titre emblématique, par le renversement de
sens que subit d’un pôle à l’autre un mot comme discrimination : lequel,
dans le langage de la culture désigne la plus grande des vertus intellectuelles,
l’exercice même de l’intelligence, la qualité par excellence de la
pensée ; et dans celui de l’anti racisme, le premier d’entre les
péchés. »
Michel Alain Labet de
Bornay
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