Boniface a un téléphone. |
Monsieur Murutampunzi journaliste accompli qui était en poste à la Radio Nationale au moment du génocide, commet alors quelques « reportages » qui déplaisent très fortement aux dirigeants officiels du Rwanda, le premier au sujet de l’assassinat de Pierre Claver Rwangabo ancien « préfet » de Butaré, le second au sujet de « l’étouffement » de 30 détenus dans une prison de Kigali et de quelques autres violations des fameux « Droits de l’Homme ». Les dirigeants du Rwanda lui auraient alors fait subir des pressions qui à ses dires aurait empêché l’exercice de son « métier ». Il décide alors de quitter sa patrie pour s’exiler en France. Voir ici : La polémique RFI / Pierre Péan.
Il arrive à Paris le 7 Janvier 1996 Jacques Chirac étant président, la veille du décès de Mitterrand le décoré de la Francisque du Maréchal Pétain et demande le statut de réfugié politique. Qu’il semble avoir obtenu. Voir ici: Le livre: Comment la France traite l'asile politique. Livre où l’on traite la France de pays de racistes !
Le grand reporter Boniface Murutampunzi, (*2) toute honte bue et sans reconnaissance pour le pays qui l’a accueilli ira jusqu’ à commettre un article au titre évocateur de : « En France les chiens mieux traités que les étrangers. Source: Gauche de combat.».
Monsieur Murutampunzi, l’excellentissime journaliste de l’AFP (Agence « France » Presse) est le créateur en Juillet 2006 d’un blog au titre de « Quomodo Vales ? » cette locution latine veux dire "Comment vous portez-vous ?" Quelle culture ! Il faut dire que l’adresse de ce blog Ici est : » Boni, veni, vedi, vici c'est-à-dire Boniface est venu il a vu et a vaincu ! Il a vaincu ? Le blog n’est plus « alimenté » depuis 6 ans !
Et le
24 Mars 2012 (Source)
l’exquis, que dis je, le sans pareil journalistissime nous en remet une couche
dans un article : « Deux blessés à Paris en marge du
rassemblement anti-Qatar » article qui ne fait pas l’unanimité au
sujet de la déontologie c’est le moins que l’on puisse dire : Extraits :
Deux personnes ont été légèrement blessées samedi après-midi à l’issue d’un
rassemblement, place de l’Opéra à Paris, d’une petite centaine de jeunes
militants identitaires du « Projet Apache » qui manifestaient contre
« le rachat de la France par le
Qatar« , a constaté un journaliste de l’AFP.
Le rassemblement s’est achevé dans la
confusion, les forces de l’ordre étant obligées d’intervenir, deux personnes
ayant été blessées, l’une au visage et à l’oeil et l’autre ayant perdu une dent
à la suite d’un coup reçu dans la figure.Les jeunes du « Projet Apache » et quelques militants du Bloc identitaire Paris Ile de France se sont accrochés avec des badauds qui les filmaient en les traitant de « fachos », les identitaires répliquant en les traitant de « fachos de gauche ».
Boniface a un téléphone mais pas de lunettes. |
Amis lecteurs de mon blog faites vous une opinion en écoutant l’interview de monsieur Boniface Murutampunzi journaliste Rwandais de l’Agence France ( ?) Presse.
Nos amis de l'Union des français Juifs relaieront l'article.
Ni riposte laïque, ni Novopress ne feront l’objet de critiques de la part de l’inénarrable et néanmoins merveilleux journaliste Boniface Murutampunzi mais je viens d’apprendre Source Ici, que le site patriotique Français François de Souche et son prétendu directeur de publication fait l’objet d’une plainte en diffamation et injures à caractère raciales de la part de monsieur Murutampunzi.
Affaire à suivre donc !
(*1) Si j’ai mis le mot « ethnique » entre guillemet c’est qu’au Rwanda il n’y a jamais eu de conflit « ethnique » mais une idéologie « ethniciste » importée d’Occident
Il semblerais que l’état belge, qui occupa le pays à partir de 1916, en partagea la gestion avec l’Église catholique Romaine appuya son pouvoir sur une administration indigène, qu’ils délimitèrent selon un critère « ethnique » car en réalité il n’y a pas plus de différence entre un Tutsi et un Hutu, qu’entre un Lyonnais et un Marseillais. Parlant la même langue, pratiquant la même religion, la différence entre Hutus et Tutsis est d’ordre social : les Hutus (74% de la population) étant davantage des cultivateurs et les Tutsis (25% de la population) davantage des éleveurs, donc socialement plus avantagés. L’aristocratie traditionnelle était ainsi majoritairement tutsie. Le pouvoir belge favorisa l’émergence d’une élite tutsie occidentalisée et dévouée, et institutionnalisa le clivage en créant en 1932 la « carte d’identité ethnique », mentionnant l’appartenance « hutu » ou « tutsi ». Lire la suite ici.
(*2) Source Vu l’affaire RP 0051/1/GIRO instruite, au premier degré par le Tribunal de Première 2ème feuillet Instance de Gikongoro, Chambre Spécialisée le 20/07/1998; en cause : le Ministère Public. Contre GASAMUNYIGA Isidore, RUREMESHA Vianney, MUNYAWERA Vénuste et MURUTAMPUNZI, (Non autrement identifié.) prévenus des infractions ci mentionnées : Assassinat, association de malfaiteurs, attentat ayant pour but de porter la dévastation le massacre ou le pillage, crime contre l’humanité, génocide, incendie volontaire,
Avoir, à MUSENYI, commune MUKO, préfecture GIKONGORO en République Rwandaise, au mois d’avril 1994, comme auteurs, coauteurs ou complices formé une association ayant pour but de porter atteinte aux personnes, articles
Avoir, dans les mêmes circonstances de temps et de lieux, dirigé une attaque à la paroisse KADUHA pour tuer les personnes qui y avaient trouvé refuge, article 312 du Code pénal
Avoir, dans les mêmes circonstances de temps et de lieux, participé à l’assassinat de beaucoup de personnes issues de cette région, dont KAYIGAMBA Jean, une vieille dame du nom de NYIRAMPIRWA, MUKARUHIGISHA Marciana, l’enfant de SEMUZIMA portant le nom de RODIYA, deux enfants de Cyriaque, NYIRABAZIGA Cécile la mère de NZARAMBA, l’enfant de SEBUTIMBIRI et bien d’autres, fait prévu et puni par l’article
Avoir, dans les mêmes circonstances de temps et de lieux, volontairement incendié les maisons de personnes qui étaient pourchassées.
Avoir, dans les mêmes circonstances de temps et de lieux, tué les personnes ci haut citées, dans le cadre global de l’exécution du plan visant l’extermination d’une partie de la population, plan relatif au massacre des Tutsi.
Attendu que l’affaire a été instruite en date du 04/03/97 et du 25/03/97, le jugement a été rendu et prononcé en audience publique, en date du 28/03/97, comme suit :
MUNYAWERA, RUREMESHA et GASAMUNYIGA sont condamné à la peine de mort.
Le tribunal déclare la disjonction de l’action publique à l’égard de MURUTAMPUNZI qui sera jugé dès qu’il sera à la disposition de la justice et la disjonction de l’action civile aux motifs ci haut avancés.
Voir aussi ce document sur les émissions de radio machette où il semble que Boniface est été "orateur".
Voir ici une source confirmant que monsieur Murutampunzi c’est exprimé ainsi sur la radio nationale Rwandaise : « (…) Les éléments du FPR ont profité de cette sortie pour attaquer la garde présidentielle Kimihurura et s’infiltrer dans plusieurs quartier de la capitale semant la terreur et la mort D’autres éléments ont lancé des attaques sporadiques dans d’autres coins du pays destinées à leur assure contrôle de la ville de Kigali sans succès Toutes les forces armées rwandaises ont une nouvelle fois fait preuve de la farouche déterminations à défendre leur mère patrie. Le Premier Ministre Jean Kambanda souligne que toute reprise des hostilités par le FPR montre clairement que ce dernier n’a eu d’autres aspirations que de prendre le pouvoir par la force des armes. Il invite la population rwandaise à se lever comme un seul homme derrière les forces armées rwandaises pour empêcher l’ennemi à prendre le pouvoir. »
(*3) 25/03/2012 – 17h40 NOVOPRESS (PARIS) — La dépêche AFP “Deux blessés à Paris en marge du rassemblement anti-Qatar” relatant l’attaque par une cinquantaine de militants d’extrême gauche armés et casqués à la fin d’une manifestation organisée par le Projet Apache et le Bloc Identitaire hier à Paris est un modèle de désinformation.
Le journaliste, Boniface Murutampunzi, pourtant présent au moment des faits, prétend n’a rien vu ni entendu. L’attaque par un commando armé ? Une simple bagarre. La cinquantaine de militants d’extrême gauche ? De simples badauds.
Dans la série rions un peu du malheur des autres :
RépondreSupprimerAujourd’hui :Non! monsieur Boniface Murutampunzi cet excellent journaliste n’est pas coupable de désinformation.
En effet il passe son temps au téléphone sans fils. Voir les photos ici . Avez vous remarquez comme tout s’enfile aujourd’hui ? Après les perceuses, les téléphones. et la liberté sans oublier
les beurs et Alexis Musanganya a qui dans son beau Rwanda natal on avait dit que l'homosexualité, c'était un truc de Blanc pourtant
les trous noirs existent bel et bien, la matière qui est happée par un trou noir est chauffée à des températures considérables avant d’être engloutie et émet de ce fait une quantité importante de rayons X. et c’est bien çà qui est dangereux.
Même plus d'une dizaine de minutes après usage d'un sans fil, on détecte des modifications à l'électroencéphalogramme, signes d'une perturbation de l'activité cérébrale.
Des chercheurs ont également remarqué que les ondes des mobiles sans fils peuvent dégrader la barrière hémato-encéphalique, la rendant plus poreuse. Si cette barrière qui assure la protection de notre cerveau est moins étanche, elle peut alors laisser passer dans le cerveau des substances toxiques qui peuvent altérer la vision d’un grand reporter.
CQFD.
Quelle vision quelle science des trous!
SupprimerBravo pour le belle défense de ce très grand reporter qui va bientôt nous chanter le blues comme Ray Charls.
Je me dois de remercier ici le commentateur de FdeSouche Du Guesclin qui a écrit le 8 janvier 2013 à 21 h 16 min
RépondreSupprimer@ 412 Labet de Bornay
Merci pour votre excellent travail d’investigation et de compilation.
Pean a eu énormément de problèmes avec le Rwanda. Il s’est fait jeter comme un malpropre quand il a montré que le nombre de victimes était comparable des deux cotés, et que cela ne pouvait être considéré comme un génocide (qui implique une volonté et un plan d’action délibéré).
A noter que les Vendéens ont eux, été victimes d’une véritable génocide en 1993, avec les colonnes infernales de Turreau. Il y’a eu 250 000 victimes, pour une population de 815 000 personnes avant la révolution, soit pratiquement un tiers. Ce génocide n’a jamais été reconnu par la République, ce qui en fait en plus un mémoricide (cf l’excellent livre de Reynald Seycher : Vendée, du génocide au mémoricide, Mécanique d’un crime légal contre l’humanité).
Double merci puisque j’ai un ouvrage en préparation en réponse à un jeune marxiste qui m’avait écrit çà :
« Que cela vous plaise ou non, la France à été fondée dans les faits par la révolution de 1789, et les rares améliorations de la conditions humaines qu'elle a apportée vous les anéantissez au long des pages de votre blog. Nationaliste vous l'êtes peut-être, à supposer que l'idée de la nation que vous vous faîtes soit encore d'actualité, mais patriote sûrement pas. »
Je lui avait répondu : « Ah oui j’oubliais que vous n’avez tété que le lait de la gueuse, que l’on vous a fait croire qu’avant la révolution de 1789 la France était plate et vide et qu’aucun souffle « social » ne flottait à sa surface. C’est faire peu de cas des siècles de culture et de civilisation qui l’on précédée mais là, le sujet est trop vaste, je vous conseille simplement la lecture d’un bon livre d’histoire de France. » (Il me manquait une bonne référence, les livres de Le Nôtre me semblant assez ardus pour une âme simple, merci donc à Du Guesclin)
Comme l’a montré Alain Besançon dans son beau livre, Le Malheur du siècle, à l’hypermnésie des crimes nazis correspond une amnésie des crimes communistes. Sans doute faut-il y voir l’effet de la pression persistante des communistes en ex-URSS, en Europe de l’Est, en Chine et jusque dans notre gouvernement. Mais il est indéniable que pèse aussi, en France, le prestige de l’idée de révolution qui demeure constitutive de la fondation de la République.
Veiller au bien-être des travailleurs est une préoccupation universelle et très antérieure à la révolution: les catholiques sociaux y avaient réfléchi bien avant la naissance du parti communiste français. Les propositions sociales de ces chrétiens souvent royalistes furent longtemps rejetés pas les notables du parti laïc et républicain. De même, en Allemagne, c’est Bismarck, conservateur et homme de droite s’il en fut qui instaura un système de protection sociale que les républicains français si imbus de leur humanitarisme et donneurs de leçon n’ont pas eu l’idée d’importer en France. Les préoccupations sociales ne sont pas le monopole de la gauche ou des communistes : il faut être inculte pour penser cela. On peut même soutenir que les marxistes ont retardé les avancées sociales par leur intransigeance et la peur légitime qu’ils inspiraient. »