Selon le quotidien Le Parisien, la femme de monsieur Justin Bridou, Jean-Jacques Bridey, député-maire de
Fresnes (Socialiste,
Républicain et Citoyen) a été attaquée
vendredi soir par 4 « jeunes » armés d'une arme de 6 ème
catégorie en l’occurrence un gros bâton (de berger ?) et ce quelques
heures à peine après l'attentat qui a détruit la voiture de monsieur Bridou Bridey, le député-maire socialiste. L'explosion a été entendue par bon nombre de
riverains du centre-ville de cette commune. La Peugeot 508 toute neuve (26 000
Euros) du maire est partie en fumée. Il y a trois ans, la voiture du
maire socialiste avait déjà été taguée juste après des arrestations de
racailles.
Alors qu'une enquête a été
ouverte vendredi pour déterminer les causes de l'incendie qui a détruit la
voiture à 26 000 Euros de Jean-Jacques Bridey, député-maire de
Fresnes, dans le Val-de-Marne,
dans la nuit de jeudi à vendredi, une nouvelle agression est
survenue. Celle de la femme du député maire, affirme ce samedi Le Parisien.
Parmi les pistes très probables de l'incendie de la voiture de Jean-Jacques Bridey, l'arrestation quelques heures plus tôt d'un « jeune homme » suspecté d'être impliqué dans un trafic de stupéfiants dans une cité de non droit dite « sensible » et abritant la faune habituelle de racailles halogène située à quelques centaines de mètres du centre-ville et qui a provoqué un attroupement dans ce « quartier » très défavorisé.
Nous espérons que ces malheureux « jeunes » si jamais on les retrouvent se dont je doute fort et qui ne faisaient certainement qu’exprimer l’exaspération bien compréhensible contre la haine et l’exclusion dont ils sont les éternelles victimes de la part de ces français grand bourgeois de la gauche caviar allah louche ne seront pas trop durement condamnés. Peut être même doivent ils être félicités d’avoir agit contre des capitalistes qui osent, comble de l’impudeur arborer les trois couleurs de la république raciste sur des macarons ornant leur pare brise et qui osent exhiber des véhicules de grand luxe dans des quartiers hautement défavorisés.
En novembre 2010 après 30 longues années de refus de voir la réalité en face la direction du PS avait accouché d’un « pacte national de protection et de sécurité publique » décliné en 22 propositions très rigolotes pour améliorer la « sécurité » dans notre beau pays des droits de l’homme.
Un document hilarant qui prouvait que les socialistes allaient loin, très loin, des préoccupations du peuple de France ! Voici un petit Best of de ce document pour le moins truculent.
Et le PS commençait à nous faire rire dès l’introduction du document : « Telle est la réalité de l’abandon des Français par la droite face à l’insécurité. Les habitants des quartiers populaires et des territoires ruraux en sont les premières victimes. » Mais bien sûr, les paysans de Creuse, du Lot et de l’Allier sont les premières victimes de la délinquance…
Le reste du document était un agglomérat de lieux communs et de fausses propositions : « Nous construirons une société qui crée de la sécurité. La violence de notre société est la première cause de l’insécurité. C’est d’abord en construisant une société plus solidaire et moins brutale que nous renforcerons la sécurité des personnes. » C’est beau non ? Digne de plus belle la vie, mais où est la proposition ?
Bien sûr, le parti Socialiste au nom qui rappelle une idéologie anachronique et meurtrière (au bas mot quelques dizaines de millions de mort), n’est pas en manque d’idées nouvelles et bien fraîches : « Nous déploierons, dans ces zones et au delà, une police des quartiers. » Ça nous rappelait bien quelque chose mais quoi?… La police de proximité peut-être ?
Mais « m’enfin » Gaston? Que serait le parti Socialiste sans une bonne dose de démagogie : « Nous concevrons à partir du code de déontologie de la police nationale, un code de déontologie de la sécurité. Les gendarmes et les policiers sont les premiers à souffrir de la perte de confiance de la population. » Évidemment, pourquoi n’y avons nous pas pensé plus tôt, les problèmes de sécurité dans notre pays viennent du mauvais comportement des policiers et des gendarmes.
La dernière proposition de ce texte était également fort percutante. « Aujourd’hui, la politique du chiffre voulue par Nicolas Sarkozy ne laisse pas de place à la culture du résultat. L’efficacité des forces de sécurité sera mesurée qualitativement à partir du service rendu à la population (efficacité, rapidité et dialogue) et non basée sur une culture du rendement. »
Heu…pardon…quoi ? De belles phrases alambiquées pouvaient-elles cacher l’incompétence de ce parti sur les thématiques sécuritaires. Malheureusement pour vous, non.
Malgré le vague de cette proposition (censée être concrète) on avait bien compris le fond de leurs petits cerveaux bien pensants et marxistes culturels : les bons flics sont ceux qui sont sympa, qui discutent avec les gens sur le marché et non pas ceux qui arrêtent les malfrats.
Tout ça pour ça !! Décidément, on ne peut pas dire que le PS avait évolué depuis 2002 sur la question de la sécurité. Madame et monsieur « Justin » Bridey (Revient Léon « Trotsky ? » j’ai les mêmes « allah » maison !) commencent ils à le comprendre ?
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